Anxiété 3 Flashcards

1
Q

Quelles sont les différences observables selon les âges chez les enfants inhibés et non-inhibés?

A

4 mois:
I: Réagissent fortement de manière motrice à la nouveauté et pleurs excessifs qui démontre de la détresse marquée.
NI: Semblent peut réactif et peu irritable face aux stimuli.

9 mois - 2 ans: Peur et inhibition suscités par diverses procédures
*intrusions dans la bulle de l’enfant, exposition objets inconnus (robot), inconnus.

4-8 ans : observer dans les situations de jeux libres avec des pairs inconnus.

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2
Q

Quels sont les indices d’inhibition de 9 mois-2 ans?

A

Regarde beaucoup mère, tente de se rapprocher d’elle, évitement, latence d’approche.

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3
Q

Expliques de patron de réactivité qui persistent dans le temps (son évolution).

A

Enfants fortement réactifs à 4 mois le sont toujours de 14-21 mois,
puis méfiance et réticence lors d’interaction avec des inconnus,
puis silencieux et évitants en présence d’adulte et d’enfants à 7 ans.

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4
Q

Quelles sont les corolaires physiques lié à l’inhibition (4)?

A

 Rythme cardiaque plus élevé et moins variable en situation de nouveauté;

 Tonus vagal plus faible (capacité du système nerveux parasympatique à gérer la réactivité physiologique).

 Activité adrénocorticale plus intense (cortisol salivaire).

 Au repos, activité supérieure du lobe frontal droit (plus enclins à exprimer des affects négatifs et plus de difficultés à régulariser leurs émotions).

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5
Q

Pour résumer, quels sont des faits liés à l’inhibition comportementale (4)?

A

Pour la majorité des enfants elle est adaptatifs et momentanés.

Les enfants inhibés apparaissent très réactifs à des choses non-familières. C’est pourquoi ils recourent à l’évitement et dépendent plus des agents extérieurs pour se réguler.

C’est un précurseurs de l’anxiété à l’enfance,

Les parents qui ont un trouble panique avec de l’agoraphobie ont souvent des enfants avec une inhibition marquée.

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6
Q

Il est vrai que l’inhibition est un facteur de risque pour le développement des troubles anxieux, alors lequel de ces énoncés est faux?

70% des enfants inhibés de 21 mois ne les seront plus à 4 ans.

De ceux qui restent inhibés, la majorité ne développera pas de trouble anxieux.

Beaucoup d’enfant qui n’étaient pas inhibés vont avoir un trouble d’anxiété.

A

f
v
v

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7
Q

Comment peut être une mère d’enfant anxieux?

A

Elle est plus critiques, contrôlante, intrusive et moins affectueuse.

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8
Q

Quels sont les caractéristiques des enfants anxieux et de leur mère et des mères aux enfants prosociaux?

A

E.A: Plus d’affect négatif que les enfants normatifs et prosociaux.

M.A: Contrôlent l’enfant pour le protéger de faire des bêtises (pas malveillants), peu de réciprocité quand l’enfant à des affects positifs, moins de cohérence dans pratique parentale (critique, contrôlants affect négatif (obéissance ou même désobéissance)

M.P: Grande réciprocité dans les affects de l’enfant et plus de cohérence parentale.

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9
Q

Que caractérisent les comportements parentaux de la mère? Qu’est-ce que cela entraine face au symptômes anxieux?

A

Le fonctionnement de la dyade mère-enfant et non de la mère (si avec un autre enfant = totalement différent)

De l’émergence, du maintien et de l’aaccroissement des symptômes anxieux.

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10
Q

À quoi est associé un style d’attachement insécurisant-ambivalent (2) ?

A

Inhibition comportementale et trouble anxieux.

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11
Q

Qu’est-ce qui résulte de l’interaction d’un enfant hautement réactifs exposé à un manque de sensibilité, du contrôle et de l’intrusion?

A

Ils perçoivent leur environnement comme menaçant et imprévisible, alors ils deviennent plus enclin à utiliser une technique de régulation = évitement.

S’il peut compter sur ses parents sensibles à ses besoins, il pourra développer un mode d’autorégulation adéquat

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12
Q

Quels facteurs psychologiques impact le développement de l’anxiété (4)?

A

L’affectivité négative
Le sentiment d’impuissance
Le faible sentiment de contrôle
Les interprétations erronées

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13
Q

Comment sont les personnes avec de l’anxiété au plan psychologique (6)?

A

Sens de contrôle personnel limité
Intolérance à l’incertitude
Biais sélectifs négatifs
Propension à percevoir les évènements de façon négative et à surestimer les évènements malheureux qui pourraient survenir
Tendance à surestimer les conséquences négatives
Affectivité négative

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14
Q

Quel principe permettent d’expliquer l’origine des troubles anxieux et le traiter?

A

Le conditionnement opérant et classique, ainsi que l’apprentissage par observation (vicariant)

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15
Q

Comment expliquer que le conditionnement classique impact le développement de l’anxiété?

A

1) présence de stimulus inconditionnel qui entraîne une réaction inconditionnelle

2) Réponse conditionnée (processus par lequel un stimulus neutre est associé à un stimulus inconditionnel.

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16
Q

Explique le cas du petit albert.

A

Bébé de 11 mois initialement effrayé par les sons forts.

En produisant un son fort derrière Albert au moment où il touchait un rat, Watson a progressivement induit la phobie des rats chez Albert.

La phobie des rats s’est ensuite généralisée à la peur d’autres animaux ou objets avec fourrure.

17
Q

Comment l’anxiété peut se développer (2)?

A

En une seule occasion, lorsque le SI est assez fort
(ex.: piqûre d’abeille, stress post-traumatique).
Graduellement (ex.: une personne qui doit aller
régulièrement à l’hôpital. Au départ l’hôpital est
un SN. Le traitement (SI) cause de la douleur (RI).
Après les traitements la personne se mettra à
éviter les hôpitaux (RC)).

18
Q

Vrai ou faux, l’anxiété ne peut-être associé par conditionnement à des perceptions physiologiques.

À quel trouble peut-on associé cela?

A

Faux, c’est possible et c’est associé au modèle explicatif du trouble panique.

19
Q

Qu’est-ce que l’extinction?

A

Apparait un conditionnement, si on n’associe le stimulus conditionné ou stimulus inconditionnel, la réaction conditionnelle finit par disparaître.

C’est donc l’affaiblissement progressif d’une peur conditionnée (avec le temps, la personne apprend à défaire l’association qu’elle a fait entre ces deux stimuli).

C’est adaptatif, puisque si la situation ne se reproduit pas, il devient inutile d’avoir peur dans ce contexte.

20
Q

Quel est le rôle des comportements d’évitement dans l’anxiété?

A

Ils contribuent au maintien de la réaction d’anxiété, car l’individu ne peut pas apprivoiser le stimuli anxiogène, ce qui ne permet pas le phénomène d’extinction de l’anxiété conditionnée.

Ils sont aussi renforcé négativement par le fait que la personne n vit pas d’anxiété.