8 Memoire de Travail Flashcards

1
Q

MCT =

A
  • Capacité limité (7+/- 2.chunk)
  • 15-30 sec

On a démontré que ça ce n’était pas bon:
- Oubli causé par dégradation de la trace
- Codage auditif-verbal-linguistique
- Si en MCT assez longtemps, ça transfert en MLT
- Contrôle répétition et encodage (structure/processus) pas de sous système (faux)

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2
Q

Baddeley & Hitch (1974)
Proposition: Mémoire de travail

A

v Système à capacité limitée

v Entreposage temporaire

v Composantes multiples pour codages différents (pas la même partie qui genre le AVL et visuel)

v Manipulation de l’info dans des tâches complexes (mais aussi simple)

v Séparation: capacité vs. répétition

4 composantes:
Exécutif central: gestionnaire de la capacité de traitement, gère les stratégies de sélections, «système patron».

  • Relie les systèmes employés et la MLT
  • Responsable des plans, division de l’attention et stratégies de sélection

Systèmes employés:

  • Tablette visuospatiale: système employé qui enregistre et manipule l’info visuelle et spatiale
  • Tampon épisodique: système employé qui encode, intègre et récupère l’information sous forme consciente (Tampon: fait ce qu’on n’est pas capable d’expliquer par les deux autres systèmes)
  • Boucle phonologique: système employé qui enregistre et manipule l’information auditive

Tous relié à des systèmes de mémoire à long terme

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3
Q

L’exécutif central
Baddeley (1966): The capacity for generating information by randomization

A

But
Montrer:
- Capacité de traitement limitée de l’exécutif central
- Dépendance de l’exécutif central sur la MLT durant une tâche de production

Lorsque l’exécutif central est débordé, il va chercher la MLT

Tâche: Génération aléatoire
- «Tirer des lettres de l’alphabetd’un chapeau»
v Tirage avec remise (imaginé!)

            - Produire des séquences aléatoires de 100 lettres v A-F-K-S-W-B-Y-H…

            - Variable-clé: Taux de génération requis v 1 lettre par 500/1000/2000/4000 millisecondes

Chapeau avec papier pour toutes les lettres de l’alphabet. Tu pige et tu dit quel lettre, ten pige une autre. Il faut avoir l’aire le plus aléatoire possible.
À toutes les secondes (ou 0,5, 2 sec…) tu dis une lettre

Rationnel
- Exécutif central est ce qui est responsable pour sélection de stratégie et la distribution de la capacité de traitement

  • MAIS capacité de traitement limitée
    C’est dans l’exécutif central qui a une limite pour la capacité de traitement

Hypothèse: si on veut démontrer ses caractéristiques

Augmentation demande (analyse ou production) pour l’exécutif central (1 lettre par sec vs 2)
- Diminution surcharge de la capacité limitée, ce qui mène à des répétitions dans la séquence
- Diminution dépendance sur les connaissances disponibles en MLT (CLSC, PQ…)

Prédiction: Taux de génération + rapide = 
Niveau de hasard + bas = Occurrence + élevée de séquences prévisibles (A-D, A-D, A-D…) boucle et de Séquences stéréotypées (S-A-Q, C-I-A, P-L-Q…) acronym

Résultats: c’est ce qui est arrivé

Participants génèrent + de séquences non-aléatoires (prévisibles ou stéréotypiques) lorsque que la pression (due au rythme) est plus élevée

2 lettres/sec = 15-25% non aléatoire
Vs 1 lettre/4sec = 7-13% non-aléatoire

Interprétation

  • Soutien pour l’idée que l’exécutif central dépend plus des connaissances en MLT (acronyme) lorsque les demandes de traitement sont élevées
  • Soutien pour capacité générale de traitement limitée

v Exécutif central responsable de gérer capaciter

v Tel que démontré par séquences prévisibles/stéréotypées

  • Soutien pour connexion entre exécutif central et MLT

v Tel que démontré par séquences stéréotypées (on trouve des solutions)

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4
Q

Pourquoi deux sous-systèmes?

A

Un système pour AVL et un pour visuospatial

Originalement (1974), 2 systèmes employés
Boucle phonologique/Tablette visuospatiale

Brooks (1968): Spatial and Verbal Components of the Act of Recall

But: Montrer des systèmes séparés à capacité limitée en mémoire à court terme

Procédure: 2 tâches utilisées (verbale vs. Visuospatiale)

v Mesure: Temps de réponse

v Rationnel

On va jouer avec le fait qu’on doit traiter du matériel soit AVL ou Visuospatial et on doit répondre simultanément soit de façon AVL ou visuospatial

Rationnel: montrer que quand je dois traiter le matériel et répondre dans la même modalité = surcharge un des sous-systèmes

Si j’utilise des modalités différentes il n’y aura pas de surcharge et ça va démontrer qu’on a besoin de postuler deux sous-systèmes (AVL et Visuospatial)

v Correspondance entre type d’entrée et de réponse va surcharger l’un des sous-systèmes

v Non-correspondance n’aura aucun effet
v Preuve de sous-systèmes séparés

Brooks (1968) voir notes

Métho: 2 tâches/3 modalités réponse (6 conditions)
À chacun des essaie: on recoit un stimulus (1 = verbale = poème, 2 = visuospatiale = lettres)

On doit le garder à l’esprit et opération 1: évaluer si chaque mot est un nom ou non

La réponse t’a 3 choix:
1. Dire verbalement la réponse
2. Taper sur nos cuisse (1 cuisse oui une cuisse non)
3. Tableau avec indication oui ou non et on doit pointer

2 et 3: puisqu’on ne parle pas = non verbaux = visuospatiale

v Traitement de l’entrée et réponse se font de façon simultanée = essayer de surcharger le système de traitement

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5
Q

Tâche verbale
Brooks (1968)

A

Va falloir traiter chaque mot de la phrase et prendre une décision par rapport à ces mots-là.

Seulement les mots main, amour, richesse et four sont des noms

Dire: entrée verbal (AVL)

Taper sur ma cuisse: pas tant visuo plus spatiale mais c’est quand même considéré visuo-spatiale

Pointer: visuospatial car je regarde le tableau et je dois faire une activité spatiale

Hypothèses/Prédictions
Mon entrée (la phrase) prend une partie de ma capacité de traitement limité mais pas toute.

Selon les systèmes unitaires:
Lorsque je traite et je fournis une réponse: ça prend toute la capacité de traitement limité car surcharge
Donc temps de réponses égaux

Selon les systèmes séparés:

  • Verbal: j’utilise le système pour traiter, fournir une réponse verbale et aussi visuospatiale
  • Visuospatial: on utilise zéro partie du visuo pour traiter les paroles. Pas de traitement pour fournir une réponse verbale, seulement pour réponse visuospatiale.

Si traitement de l’info verbale/visuospatiale se fait séparément: + de surcharge quand entrée/réponse sollicite même modalité

Résultats:

    - Impact moyen sur TR v Plus marqué lorsque correspondance entre type d’entrée et de réponse

    - Soutien pour systèmes verbal (boucle phonologique) et visuospatial (tablette visuospatiale)

Lorsque l’entrée c’est une phrase (lorsque l’entrée est verbale et que la réponse est aussi verbale) c’est significativement plus long de répondre que lorsque l’entrée est verbale et la réponse n’est pas dans la même modalité c’est-à-dire un visuo-spatiale

Plus marqué lorsque l’entrée et la réponse sont dans la même modalité que lorsqu’elles sont dans les modalités différentes

Ce qui va me démontrer que j’ai 2 systèmes séparés: un pour le verbal et un pour le visuo-spatiale
Avec les capacités de traitement qui sont également séparées

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6
Q

Tâche visuospatiale
Même chose mais à l’inverse

A

Hypothèses/Prédictions
Si deux systèmes séparés = TR plus long pour taper et pointer pour la tache visuospatiale

VS

Si deux systèmes séparés = TR plus court car moins de saturation pour la tache verbale

Si traitement de l’info verbale/visuospatiale se fait séparément = + de surcharge quand entrée/réponse sollicite même modalité

Résultats:
- Impact moyen sur TRs
v Plus marqué lorsque correspondance entre type d’entrée et de réponse

    - Soutien pour systèmes verbal (boucle phonologique) et visuospatial (tablette visuospatiale)

Dire « taper «pointer

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7
Q

Boucle phonologique (AVL)
Composée de deux sous-systèmes

A

v Contient traces de matériel AVL

v Contient jusqu’à 2 secondes de matériel

Le 7+/- 2 n’est pu tant valide
Plus les mots sont longs, moins je vais être capable de me rappeler de plusieurs mots
Oui la durée reste 15-30 sec. Mais la quantité est l’équivalent de ce que je peux lire/répété en deux sec. (Donc plus petit mot je peux en répéter plus)

Le système de répétition articulatoire:
v Maintient traces mnésiques phonologiques
v Traduit information visuelle en nommant de façon sous-vocale

Lorsque je vois une affiche que je ne peux m’empêcher de lire, c’est expliquer par le système de répétition articulatoire

Entrepôt phonologique: entrepose les mots dans la mémoire de travail temporairement (un pot)
Système de répétition articulatoire: la voix dans notre tète, ce qu’on utilise pour garder de façon active les mots dans notre mémoire de travail

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8
Q

Comment la boucle fonctionne (1)

A

Stimulus va aller dans l’exécutif central, puis dans la boucle phonologique. Le matériel va ensuite être traiter à l’interieur de la boucle. Si on fait rien le matériel reste dans la boucle et si on ne m’intient pas activement, après 15-30sec il disparait en raison d’interférence proactive (entre autre). Si je veux les maintenir le dois utiliser le système de répétition articulatoire (la voix dans notre tète). Le mot devient du résistant à l’oubli car répété.

Entrée auditive (phonologique)

v Mémoire sensorielle→Exécutif central→Entrepôt phonologique

v Capacité de la boucle: 2 secondes (!!!) de contenu

v Trace gardée active par système de répétition articulatoire

v Si entrée non «rafraîchie», disparaît (en 15-30 sec.)

J’envoie un mot, une composante se rappele du son associé au mot. Si son associé, il est envoyé dans l’autre boucle = explique pourquoi quand on voit un mot on ne peut s’empêcher de le lire.

Entrée visuelle/visuospatiale

v Mémoire sensorielle → Exécutif central → Tablette visuospatiale

v Si info avec contrepartie AVL
- Transfert au système de répétition articulatoire pour nommer de façon sous-vocale ou «traduire»

v Info transférée à la boucle phonologique (0n rafraichi les mots dans l’entrepôt à l’aide du système de répétition articulatoire)
- Limite de 2 sec./Répétition articulatoire possible

Mais il va être traité dans la boucle phonologique il ne va pas être traité dans la période du spatial ici mais c’est ce qui démontre en fait on va le regarder dans une des prochaines études que

Le système de répétition articulatoire, c’est la voix dans votre tête, ici quand c’est le mot était dans la tablette visuo-spatiale, c’est juste la forme visuelle qui était là.

Pour pouvoir traiter ça sous forme de son, il faut que le mot soit nommé et pour le nommer j’utiliser la voix dans votre tête (qui est le système de répétition articulatoire) puis quand vous nommez du matériel visuel que vous nommez sa contrepartie AVL on va dire que vous le nommez de façon sous vocal ou que vous traduisez en sous vocal: vocale c’est la voix mais sous-vocale c’est la voix dans votre tète

Une fonction du système de répétition articulatoire c’est de maintenir actif, là ici on montre que c’est aussi de traduire en AVL du matériel qui se au spatial qui a une composante AVL

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9
Q

Soutien pour la boucle phonologique
Baddeley et Hitch

3 phénomènes importants et interreliés

A

v Effet de similarité phonologique

v Effet de longueur du mot

v Suppression articulatoire (je vais occuper la voix dans votre tête pendant que t’essaie de mémoriser du matériel)

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10
Q

Testons les postulats
1. L’importance du traitement AVL

A

Rappel: Effet de similarité phonologique
(Conrad, 1964)
Peu importe de visuel ou auditive, l’erreur était auditive. AVL = tellement important. Erreur de perception sont basé sur la phonétique plus que sur le visuel

Effet de similarité phonologique
(Baddeley, 1966)
Baddeley (1966): Short-term memory for word sequences as a function of acoustic

But: Déterminer si codage AVL est utilisé/important en mémoire de travail

Tâche: Rappel sériel avec présentation auditive ou visuelle

Matériel:
v Listes de mots similaires au niveau auditif
v Listes de mots différents au niveau auditif

Hypothèse: Il sera plus difficile de rapporter les listes de mots similaires à cause de la confusion auditive

Exemple de listes de mots utilisés
Phonologiquement différents mais visuelle similaires:
- Rough
- Through
- Bough
- Dough
- Cough

Phonologiquement similaires mais visuellement différent:
- Bought
- Sort
- Taut
- Caught
- Wart

Similarité visuel vs auditive (phonologique = plus difficile à rapporter)

Résultats/Interprétation
- Peu importe la modalité de présentation, les listes de mots similaires au niveau auditif sont plus difficiles à rapporter

  • Importance de la propension à nommer/traduire les mots sous forme AVL

Effet de similarité phonologique:
- Rapporte 10% des séries lorsque les mots se ressemble auditivement
- Rapporte 80% des séries lorsque les mots sont différents phonologiquement

Démontre le traitement AVL

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11
Q

Testons les postulats
Baddeley, Thomson & Buchanan (1975)
Exp. 1: Effet de longueur du mot

A

Jusqu’à maintenant: Capacité mémoire court terme = 7+/-2 chunks

Chunks: groupes (subjectifs!) d’items organisés

Si tous les mots d’une liste sont non-reliés par le sens, 1 mot = 1 chunk

Tâche: Rappel sériel
v 4-8 mots/ chaque mot avant 1 ou 5 syllabes
v Doit rapporter séquence complète pour essai correct

1 syllabe:
- Gain
- Veau
- Jazz
- Nerf

5 syllabes:
- Interlocuteur
- Réciprocité
- Impropriété

But: Montrer que capacité mémoire de travail
v ≠ constant
v varie avec longueur des mots à rapporter

Si il a raison: rapporter les deux conditions (1 vs 5 syllabes) devrait être le même temps et égaux car ce sont tous 1 chunk

Pour invalider la théorie, il faut démontrer l’effet de longueur du mot

Hypothèse
- Si capacité de mémoire de travail limitée en termes de nombre de chunks, aucun effet de longueur du mot sur empan mnésique

        - Si capacité de mémoire de travail limitée en termes de quantité d’information sur une période de temps donnée, effet de la longueur du mot sur l’empan mnésique

v Mots plus longs = moins de mots en mémoire

v Mots plus longs prennent plus de temps à répéter

Résultats
- Effet de longueur du mot pour toutes longueurs de liste

v Avantage clair pour mots courts (les mots cours rapportent dès le début plus que les longs mots)

Conclusion

        - Capacité basée sur une limite temporelle et non basée sur le nombre d’unités significatives (chunks) la duré (si je ne maintiens pas les mots actifs pendant plus de 15-30sec = ils disparaissent) la capacité est aussi calculée en nombre de seconde (tout ce que je suis capable de me dire dans ma tete en deux secondes = maximum de matériel que je suis capable de retenir) et ça se perd en 15-30sec si pas répété. 

        - Durée du ruban acoustique = 2 secondes
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12
Q

Baddeley, Thomson & Buchanan (1975) 
Exp. 6: Durée des traces acoustiques

A

But: Déterminer durée de la boucle

Procédure: 2 tâches
- Mesure de taux de lecture
v # de mots lus par seconde (selon # de syllabes)

        - Tâche de rappel sériel (séquences de mots)

Matériel: 5 mots par liste (Mots de 1 à 5 syllabes)

Rationnel
- Répétition articulatoire (dans notre tête) analogue à la parole (notre vraie voix et notre voix intérieur ont pratiquement les mêmes caractéristique)

        - Mots plus courts: Lus et répétés + vite

        - Plus de mots courts «entrent» dans la boucle (plus court = plus de mots)

Hypothèse: Taux lecture prédit rappel/détermine capacité boucle

Résultats/Interprétation
Comme Exp. 1, # de syllabes par mot lié à performance de rappel sériel

1 mot de 1 syllabe = 90% de séquence bien rapporté
2 mots de 2 syllabes = 80%
5 mots de 5 syllabes = 50%

Plus les mots sont longs moins ont est capable d’en rapporter = effet de longueur du mot

Rouge: en fonction du nombre de syllabes
1 syllabe: 2,3 mots /sec
4 syllabes: 1,5 mots/sec

    - Taux de lecture prédit # de séquences correctes Nombre de mot que je suis capable de lire / secondes = taux de lecture Plus les gens sont capables de lire de mots/sec, plus y sont capable de retenir de mot en mémoire = lien direct entre les 2

    - En moyenne, 2 sec. de matériel dispo pour rappel

    - Encore une fois, durée temporelle = facteur-clé

La capacité est donc basée sur la capacité temporelle et non un chiffre d’items

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13
Q

Testons les postulats
Le maintien des traces mnésiques phonologiques et traduit l’information visuelle en nommant de façon sous-vocale:
Baddeley, Thomson & Buchanan (1975)* 
Exp. 8: Suppression articulatoire

A

But: Montrer que le système de répétition articulatoire

v maintient les traces mnésiques phonologiques

v traduit l’information en mode AVL en nommant de façon sous-vocale

v est responsable de l’effet de longueur du mot

Tâche: Rappel sériel (une seule longueur de liste) 5 mots tout le temps pour tout le monde

Variables

v Longueur de mot (court (1syllabe) ou long (5 syllabes))

v Type de présentation (auditif ou visuel)

v Possibilité de répétition (contrôle (on laisse le système tranquille) ou suppression (un nombre de 2 chiffres ex.44, et durant la diffusion de la liste, les gens doivent compter à voix haute donc le système de répétition articulatoire est occupé pendant la tache)
- Condition suppression: Participants comptent à voix haute avant, pendant et après présentation de la liste

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14
Q

Suppression articulatoire (voir notes)

A

Prédiction 1: En auditif – suppression, effet de longueur du mot absent lorsque répétition de la liste non permise

        - Parce que système de répétition articulatoire ne peut rafraîchir les traces mnésiques de l’entrepôt phonologique

        - Auditif - Contrôle v Info transférée dans la boucle phonologique/répétée v Capacité pleinement utilisée

        - Auditif - Suppression v Info transférée… mais non répétée v Perte de la trace Puisqu’une partie de la boucle est occupé = les mots vont mourir dans l’entrepôt phonologique

Auditif – Contrôle vs. Auditif – Suppression
Résultats
- Suppression cause une baisse de performance

v Mais pas absence, donc 2e composante (entrepôt) en jeu

        - Effet de longueur du mot disparaît (même résultat pour mots long ou cours) cependant, même sans l’effet de longueur du mot, on est quand même capable de rapporter 40-45% des séquence. Donc pas juste le système de répétition articulatoire. (Entrepôt !!)

v Utilité du système de répétition articulatoire pour le maintien des traces actives

v Système de répétition articulatoire responsable de l’effet de longueur du mot

Suppression articulatoire
Prédiction 2: En visuel - suppression, effet de longueur du mot sera perdu parce qu’aucune traduction par le SRA. Matériel visuel, mais composante AVL donc on envoie à la boucle phonologique

        - Visuel - Contrôle

v Info à composante AVL transférée de la tablette visuospatiale vers l’entrepôt phonologique, via le système de répétition articulatoire

v Une fois transférée, performance basée sur limites de la boucle
Même résultats que si on avait attendu car le transfert s’est fait

        - Visuel - Suppression

v Syst. de répétition articulatoire occupé, ne peut pas traduire

v Performance basée sur info visuelle restante traduite pendant rappel

Les mots qu’on voit ne seront jamais traduit et envoyer/ répété. Perte de l’effet de longueur du mot.
Si on pert l’effet, on démontre que le système sert à nommer les mots perçus.

Visuel – Contrôle vs. Visuel – Suppression
Résultats
- Suppression élimine effet de longueur du mot

v Parce que matériel non codé en AVL

Pas une différence assez statistiquement grande pour dire qu’il y a une différence entre les mots courts et longs = perte de l’effet de longueur du mot.

        - Valide «traduction» comme processus plausible pour maintenir traces mnésiques d’information visuelle à composante AVL. Les mots ne se sont jamais rendus dans la boucle. Quand le système de répétition articulatoire est disponible, les mots se rendent dans la boucle et on peut les nommer. Si le système n’est pas dispo, les mots ne se rendent pas et nous ne pouvons pas les nommés. 

Sommaire des résultats
- Modalité auditive
v Effet de longueur du mot seulement si répétition possible (Valide processus de maintien à court terme)

    - Modalité visuelle v Effet de longueur du mot seulement si «traduction» et répétition possibles (Valide processus de traduction phonologique)
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15
Q

Boucle phonologique
Sommaire/Conclusions
Soutenu par

A
  • Effet de similarité phonologique
    v Codage auditif (ADL)
          - Effet de longueur du mot v Capacité: 2 seconds de contenu AVL v Lié au taux de lecture
    
          - Suppression articulatoire v Répétition sous-vocale qui tient actif les trace v Traduction du visuel au phonologique

Conclusions générales
- Au cours des années, Baddeley a fourni beaucoup de preuves empiriques soutenant la boucle phonologique

        - Bien qu’il existe d’autres modèles, celui-ci demeure le standard dans ce domaine de recherche
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16
Q

Tablette visuospatiale
Un concept unitaire?
Logie & Marchetti (1991): Visuo-spatial memory: Visual, spatial or central executive?

A

But: Déterminer si les composantes visuelle et spatiale sont gérées par des sous-systèmes différents

Rationnel: Si sous-systèmes distincts, on peut montrer effet d’une manipulation expérimentale sur un sous-système mais pas l’autre (et vice-versa)

Tâches
v Rétention de couleurs ou séquences spatiales
v Mesure: Nombre de fausses reconnaissances

Conditions

Primaire: ce qui est mesurer pendant l’expérience
- Nuance de couleur = 4 nuances de vert
- Séquence spatiale = 6 rectangles dans différents angles

On compare les performances entre les deux taches

Tache secondaire:
- Rien à l’écran
-On doit faire un mouvement spatial (les participants ne voient pas leurs bras. Pendant 10sex tu doit bouger ton bras selon une séquence = purement spatial car pas de visuel)
- On fait juste regarder une image

Procédure
Est-ce que le stimulus test est identique au stimulus original


Hypothèse (1)
Hypothèse
- Si la tablette visuospatiale contient 2 sous-systèmes

v Un pour l’information spatiale et dynamique

v Un pour l’information visuelle et statique

        - ALORS, pour le groupe qui fait la tâche primaire spatiale:

v La tâche secondaire «mouvement actif» (secondaire) causera significativement plus de fausses reconnaissances dans la tâche primaire qu’avec la condition contrôle

v La tâche secondaire «images non-reliées» ne causera pas significativement plus de fausses reconnaissances dans la tâche primaire qu’avec la condition contrôle

Lors de la tache primaire spatiale, quand je fais le mouvement actif (la tâche secondaire spatiale) il va y avoir plus de fausses reconnaissances ou d’erreur dans la tâche primaire spatial que quand j’ai un écran blanc avec la condition qu’on compte

Impo: notre dissociation va tenir sur des comparaisons entre quand il n’y a rien pendant 10 secondes à quand il y a des tâches. Ce qu’on voit, ce qui explique ça c’est que je suis en train d’utiliser du spatial et du spatial en même temps donc là ça vient surcharger mon système spatial. Tandis que si je suis en train de retenir une séquence et que je montre des images non reliées, ça va être la même chose que si je ne montre absolument rien. Parce que ça n’utilise pas la même capacité, ça utilise 2 systèmes différents.
C’est pour démontrer la dissociation, c’est 2 résultats là sont importants, ce n’est pas juste de dire il y a un des 2 systèmes qui influence, je compare la performance avec la tâche secondaire spatiale versus la condition contrôle quand il n’y a rien puis là je vois une différence puis quand je compare la page secondaire visuelle avec la commission contrôle, ça fait pas déférence, c’est comme si j’avais rien présenter à l’écran.

Résultats
Contrôle: présente rien entre les deux stimuli = le nombre de fausse reconnaissance 18,95%

Mouvement actif: 30,83% (augmentation des fausse reconnaissance)

Images non-reliées: 17,93% (pas signitifiquement différent donc pas de différence)

Nombre de fausses reconnaissances
Pour la tâche primaire spatiale (séquences)

v Mouvement actif > (Images non-reliées = Contrôle)
Plus d’erreur dans le mouvement actif que l’orsque image ou rien

Hypothèse (2)
Hypothèse
- Si la tablette visuospatiale contient 2 sous-systèmes

v Un pour l’information spatiale et dynamique

v Un pour l’information visuelle et statique

        - ALORS, pour le groupe qui fait la tâche primaire visuelle: (résultats empirique)

v La tâche secondaire «images non-reliées» causera significativement plus de fausses reconnaissances dans la tâche primaire qu’avec la condition contrôle

v La tâche secondaire «mouvement actif» ne causera pas significativement plus de fausses reconnaissances dans la tâche primaire qu’avec la condition contrôle

Si j’ai 2 systèmes: un pour l’information spatiale dynamique un pour visuel statique

Quand les gens essaient de maintenir juste les nuances de couleur (les nuances de vert ou des nuances de bleu…) si je montre des images non rédigées pendant les 10 secondes = il essaie de maintenir de l’information visuelle dans leur mémoire je vais causer des erreurs parce que les 2 tâches (maintenir les couleurs puis regarder les dizaines nouveaux) utilisent le système visuel puis là ça surcharge puis je vais avoir plus d’erreurs que si je présente un signal à l’écran qui bien évidemment peut pas causer une surcharge

Si les gens essaient de maintenir les nuances de couleur en mémoire puis pendant 10 secondes je présente rien à l’écran, je fais bouger leurs bras mais comme ça utilise pas le même système (les nuances de couleur c’est visuelle et le mouvement actif du bras c’est spatial) ça causera pas plus d’erreurs que la condition où les gens ont rien à faire puis rien à regarder

Résultats
Nombre de fausses reconnaissances
Pour la tâche primaire spatiale (séquences)
v Mouvement actif > (Images non-reliées = Contrôle)

Pour la tâche primaire visuelle (couleurs)
v Images non-reliées > (Mouvement actif = Contrôle)

Interprétation
- Il est possible d’affecter la performance à une tâche spatiale dynamique seulement lorsqu’une tâche secondaire concurrente utilise aussi de l’information spatiale dynamique (ne fonctionne pas avec tâche visuelle statique)

  • Il est possible d’affecter la performance à une tâche visuelle statique seulement lorsqu’une tâche secondaire concurrente utilise aussi de l’information visuelle statique

Double dissociation !!!
On doit donc postuler deux sous-systèmes dans la tablette visuospatiale

v Un qui s’occupe de l’information spatiale et dynamique

v L’autre qui s’occupe de l’information visuelle et statique

17
Q

Tablette visuospatiale
(Logie, 1995)
Sous-système responsable pour l’info visuelle et spatialle

A

Rationnel: semblable à la boucle phonologique (ya une composante pour la capacité (entrepot visuel = dernière image qui a touché l’œil) et une composante qui tiens l’info à jour (scribe interne = met à jour par des dessins et compare avec les images precedantes pour prendre en note les différences (répétition de séquences spatiale))

Entrepôt visuel

        - Système passif v Oubli par interférence

        - Entreposage général visuospatial v Information statique (Forme/Couleur)

        - Requiert entrée visuospatiale (peut-être quelque chose qu’on imagine)

        - Info consciente ou non 

        - Liée à la traduction sous-vocale (par le système de répétition articulatoire)

Scribe interne

        - Système actif connecté à l’exécutif central

        - Rafraîchit l’entrepôt visuel

        - Mécanisme de répétition spatiale (met à jour et détermine si y’a des choses qui ont bougé dans l’espace)

        - Impliqué dans la rétention de mouvements/emplacements séquentiels (à cause qu’on remarque les changements) v Raison pour interférence en «mouvement actif»

        - Collabore à la planification et l’exécution du mouvement (avec le cervelet) v Extrait info de l’entrepôt pour permettre mouvement ciblé (savoir quoi faire comme mouvement) 
18
Q

Problème avec le modèle
Tablette visuospatiale

A
  • N’explique pas les tâches qui demandent la création d’images mentales traitées de façon dynamique (on dit de penser à un éléphant rose, je peux l’imaginer (statique ou dynamique (chat qui danse))
          - On peut demander à des participants de créer des images mentales, et cela n’interfère pas dans les tâches spatiales dynamiques ou les tâches visuelles statiques Tampon visuel !!!
19
Q

Tablette visuospatiale
(Pearson, 2001) Tampon visuel

A
  • Génère/Maintient images pour certaines tâches (mentale)
          - Pas d’entrée visuelle requise (peut venir de notre cerveau directement)
    
          - Toujours consciente (il faut volontairement créer une image)
    
          - Peut recevoir info de la boucle phonologique (éléphant rose: je n’ai pas besoin de répété lorsque l’image est créer)

v Plus besoin de codage AVL si l’image est générée

    - Selon ce modèle, nous aurions donc accès à des images mentales visuelles conscientes pour réaliser des tâches en mémoire de travail
20
Q

Boucle phonologique vs.
Tablette visuospatiale

A

Boucle phonologique :

  • Contient du matériel AVL
  • Maintient les traces AVL actives à l’aide de la répétition articulatoire

Utilité principale:
-Encodage des entrées
-Entreposage temporaire

Support empirique:
BEAUCOUP

Tablette visuospatiale :

  • Contient du matériel visuospatial
  • Maintient les traces VS actives en rafraîchissant (scribe interne)Utilité principale:

-Encodage des entrées
-Entreposage temporaire
-Génération d’images visuelles dans l’esprit

Support empirique:
PEU