8 Memoire de Travail Flashcards
MCT =
- Capacité limité (7+/- 2.chunk)
- 15-30 sec
On a démontré que ça ce n’était pas bon:
- Oubli causé par dégradation de la trace
- Codage auditif-verbal-linguistique
- Si en MCT assez longtemps, ça transfert en MLT
- Contrôle répétition et encodage (structure/processus) pas de sous système (faux)
Baddeley & Hitch (1974)
Proposition: Mémoire de travail
v Système à capacité limitée
v Entreposage temporaire
v Composantes multiples pour codages différents (pas la même partie qui genre le AVL et visuel)
v Manipulation de l’info dans des tâches complexes (mais aussi simple)
v Séparation: capacité vs. répétition
4 composantes:
Exécutif central: gestionnaire de la capacité de traitement, gère les stratégies de sélections, «système patron».
- Relie les systèmes employés et la MLT
- Responsable des plans, division de l’attention et stratégies de sélection
Systèmes employés:
- Tablette visuospatiale: système employé qui enregistre et manipule l’info visuelle et spatiale
- Tampon épisodique: système employé qui encode, intègre et récupère l’information sous forme consciente (Tampon: fait ce qu’on n’est pas capable d’expliquer par les deux autres systèmes)
- Boucle phonologique: système employé qui enregistre et manipule l’information auditive
Tous relié à des systèmes de mémoire à long terme
L’exécutif central
Baddeley (1966): The capacity for generating information by randomization
But
Montrer:
- Capacité de traitement limitée de l’exécutif central
- Dépendance de l’exécutif central sur la MLT durant une tâche de production
Lorsque l’exécutif central est débordé, il va chercher la MLT
Tâche: Génération aléatoire
- «Tirer des lettres de l’alphabetd’un chapeau»
v Tirage avec remise (imaginé!)
- Produire des séquences aléatoires de 100 lettres v A-F-K-S-W-B-Y-H… - Variable-clé: Taux de génération requis v 1 lettre par 500/1000/2000/4000 millisecondes
Chapeau avec papier pour toutes les lettres de l’alphabet. Tu pige et tu dit quel lettre, ten pige une autre. Il faut avoir l’aire le plus aléatoire possible.
À toutes les secondes (ou 0,5, 2 sec…) tu dis une lettre
Rationnel
- Exécutif central est ce qui est responsable pour sélection de stratégie et la distribution de la capacité de traitement
- MAIS capacité de traitement limitée
C’est dans l’exécutif central qui a une limite pour la capacité de traitement
Hypothèse: si on veut démontrer ses caractéristiques
Augmentation demande (analyse ou production) pour l’exécutif central (1 lettre par sec vs 2)
- Diminution surcharge de la capacité limitée, ce qui mène à des répétitions dans la séquence
- Diminution dépendance sur les connaissances disponibles en MLT (CLSC, PQ…)
Prédiction: Taux de génération + rapide = Niveau de hasard + bas = Occurrence + élevée de séquences prévisibles (A-D, A-D, A-D…) boucle et de Séquences stéréotypées (S-A-Q, C-I-A, P-L-Q…) acronym
Résultats: c’est ce qui est arrivé
Participants génèrent + de séquences non-aléatoires (prévisibles ou stéréotypiques) lorsque que la pression (due au rythme) est plus élevée
2 lettres/sec = 15-25% non aléatoire
Vs 1 lettre/4sec = 7-13% non-aléatoire
Interprétation
- Soutien pour l’idée que l’exécutif central dépend plus des connaissances en MLT (acronyme) lorsque les demandes de traitement sont élevées
- Soutien pour capacité générale de traitement limitée
v Exécutif central responsable de gérer capaciter
v Tel que démontré par séquences prévisibles/stéréotypées
- Soutien pour connexion entre exécutif central et MLT
v Tel que démontré par séquences stéréotypées (on trouve des solutions)
Pourquoi deux sous-systèmes?
Un système pour AVL et un pour visuospatial
Originalement (1974), 2 systèmes employés
Boucle phonologique/Tablette visuospatiale
Brooks (1968): Spatial and Verbal Components of the Act of Recall
But: Montrer des systèmes séparés à capacité limitée en mémoire à court terme
Procédure: 2 tâches utilisées (verbale vs. Visuospatiale)
v Mesure: Temps de réponse
v Rationnel
On va jouer avec le fait qu’on doit traiter du matériel soit AVL ou Visuospatial et on doit répondre simultanément soit de façon AVL ou visuospatial
Rationnel: montrer que quand je dois traiter le matériel et répondre dans la même modalité = surcharge un des sous-systèmes
Si j’utilise des modalités différentes il n’y aura pas de surcharge et ça va démontrer qu’on a besoin de postuler deux sous-systèmes (AVL et Visuospatial)
v Correspondance entre type d’entrée et de réponse va surcharger l’un des sous-systèmes
v Non-correspondance n’aura aucun effet
v Preuve de sous-systèmes séparés
Brooks (1968) voir notes
Métho: 2 tâches/3 modalités réponse (6 conditions)
À chacun des essaie: on recoit un stimulus (1 = verbale = poème, 2 = visuospatiale = lettres)
On doit le garder à l’esprit et opération 1: évaluer si chaque mot est un nom ou non
La réponse t’a 3 choix:
1. Dire verbalement la réponse
2. Taper sur nos cuisse (1 cuisse oui une cuisse non)
3. Tableau avec indication oui ou non et on doit pointer
2 et 3: puisqu’on ne parle pas = non verbaux = visuospatiale
v Traitement de l’entrée et réponse se font de façon simultanée = essayer de surcharger le système de traitement
Tâche verbale
Brooks (1968)
Va falloir traiter chaque mot de la phrase et prendre une décision par rapport à ces mots-là.
Seulement les mots main, amour, richesse et four sont des noms
Dire: entrée verbal (AVL)
Taper sur ma cuisse: pas tant visuo plus spatiale mais c’est quand même considéré visuo-spatiale
Pointer: visuospatial car je regarde le tableau et je dois faire une activité spatiale
Hypothèses/Prédictions
Mon entrée (la phrase) prend une partie de ma capacité de traitement limité mais pas toute.
Selon les systèmes unitaires:
Lorsque je traite et je fournis une réponse: ça prend toute la capacité de traitement limité car surcharge
Donc temps de réponses égaux
Selon les systèmes séparés:
- Verbal: j’utilise le système pour traiter, fournir une réponse verbale et aussi visuospatiale
- Visuospatial: on utilise zéro partie du visuo pour traiter les paroles. Pas de traitement pour fournir une réponse verbale, seulement pour réponse visuospatiale.
Si traitement de l’info verbale/visuospatiale se fait séparément: + de surcharge quand entrée/réponse sollicite même modalité
Résultats:
- Impact moyen sur TR v Plus marqué lorsque correspondance entre type d’entrée et de réponse - Soutien pour systèmes verbal (boucle phonologique) et visuospatial (tablette visuospatiale)
Lorsque l’entrée c’est une phrase (lorsque l’entrée est verbale et que la réponse est aussi verbale) c’est significativement plus long de répondre que lorsque l’entrée est verbale et la réponse n’est pas dans la même modalité c’est-à-dire un visuo-spatiale
Plus marqué lorsque l’entrée et la réponse sont dans la même modalité que lorsqu’elles sont dans les modalités différentes
Ce qui va me démontrer que j’ai 2 systèmes séparés: un pour le verbal et un pour le visuo-spatiale
Avec les capacités de traitement qui sont également séparées
Tâche visuospatiale
Même chose mais à l’inverse
Hypothèses/Prédictions
Si deux systèmes séparés = TR plus long pour taper et pointer pour la tache visuospatiale
VS
Si deux systèmes séparés = TR plus court car moins de saturation pour la tache verbale
Si traitement de l’info verbale/visuospatiale se fait séparément = + de surcharge quand entrée/réponse sollicite même modalité
Résultats:
- Impact moyen sur TRs
v Plus marqué lorsque correspondance entre type d’entrée et de réponse
- Soutien pour systèmes verbal (boucle phonologique) et visuospatial (tablette visuospatiale)
Dire « taper «pointer
Boucle phonologique (AVL)
Composée de deux sous-systèmes
v Contient traces de matériel AVL
v Contient jusqu’à 2 secondes de matériel
Le 7+/- 2 n’est pu tant valide
Plus les mots sont longs, moins je vais être capable de me rappeler de plusieurs mots
Oui la durée reste 15-30 sec. Mais la quantité est l’équivalent de ce que je peux lire/répété en deux sec. (Donc plus petit mot je peux en répéter plus)
Le système de répétition articulatoire:
v Maintient traces mnésiques phonologiques
v Traduit information visuelle en nommant de façon sous-vocale
Lorsque je vois une affiche que je ne peux m’empêcher de lire, c’est expliquer par le système de répétition articulatoire
Entrepôt phonologique: entrepose les mots dans la mémoire de travail temporairement (un pot)
Système de répétition articulatoire: la voix dans notre tète, ce qu’on utilise pour garder de façon active les mots dans notre mémoire de travail
Comment la boucle fonctionne (1)
Stimulus va aller dans l’exécutif central, puis dans la boucle phonologique. Le matériel va ensuite être traiter à l’interieur de la boucle. Si on fait rien le matériel reste dans la boucle et si on ne m’intient pas activement, après 15-30sec il disparait en raison d’interférence proactive (entre autre). Si je veux les maintenir le dois utiliser le système de répétition articulatoire (la voix dans notre tète). Le mot devient du résistant à l’oubli car répété.
Entrée auditive (phonologique)
v Mémoire sensorielle→Exécutif central→Entrepôt phonologique
v Capacité de la boucle: 2 secondes (!!!) de contenu
v Trace gardée active par système de répétition articulatoire
v Si entrée non «rafraîchie», disparaît (en 15-30 sec.)
J’envoie un mot, une composante se rappele du son associé au mot. Si son associé, il est envoyé dans l’autre boucle = explique pourquoi quand on voit un mot on ne peut s’empêcher de le lire.
Entrée visuelle/visuospatiale
v Mémoire sensorielle → Exécutif central → Tablette visuospatiale
v Si info avec contrepartie AVL
- Transfert au système de répétition articulatoire pour nommer de façon sous-vocale ou «traduire»
v Info transférée à la boucle phonologique (0n rafraichi les mots dans l’entrepôt à l’aide du système de répétition articulatoire)
- Limite de 2 sec./Répétition articulatoire possible
Mais il va être traité dans la boucle phonologique il ne va pas être traité dans la période du spatial ici mais c’est ce qui démontre en fait on va le regarder dans une des prochaines études que
Le système de répétition articulatoire, c’est la voix dans votre tête, ici quand c’est le mot était dans la tablette visuo-spatiale, c’est juste la forme visuelle qui était là.
Pour pouvoir traiter ça sous forme de son, il faut que le mot soit nommé et pour le nommer j’utiliser la voix dans votre tête (qui est le système de répétition articulatoire) puis quand vous nommez du matériel visuel que vous nommez sa contrepartie AVL on va dire que vous le nommez de façon sous vocal ou que vous traduisez en sous vocal: vocale c’est la voix mais sous-vocale c’est la voix dans votre tète
Une fonction du système de répétition articulatoire c’est de maintenir actif, là ici on montre que c’est aussi de traduire en AVL du matériel qui se au spatial qui a une composante AVL
Soutien pour la boucle phonologique
Baddeley et Hitch
3 phénomènes importants et interreliés
v Effet de similarité phonologique
v Effet de longueur du mot
v Suppression articulatoire (je vais occuper la voix dans votre tête pendant que t’essaie de mémoriser du matériel)
Testons les postulats
1. L’importance du traitement AVL
Rappel: Effet de similarité phonologique
(Conrad, 1964)
Peu importe de visuel ou auditive, l’erreur était auditive. AVL = tellement important. Erreur de perception sont basé sur la phonétique plus que sur le visuel
Effet de similarité phonologique
(Baddeley, 1966)
Baddeley (1966): Short-term memory for word sequences as a function of acoustic
But: Déterminer si codage AVL est utilisé/important en mémoire de travail
Tâche: Rappel sériel avec présentation auditive ou visuelle
Matériel:
v Listes de mots similaires au niveau auditif
v Listes de mots différents au niveau auditif
Hypothèse: Il sera plus difficile de rapporter les listes de mots similaires à cause de la confusion auditive
Exemple de listes de mots utilisés
Phonologiquement différents mais visuelle similaires:
- Rough
- Through
- Bough
- Dough
- Cough
Phonologiquement similaires mais visuellement différent:
- Bought
- Sort
- Taut
- Caught
- Wart
Similarité visuel vs auditive (phonologique = plus difficile à rapporter)
Résultats/Interprétation
- Peu importe la modalité de présentation, les listes de mots similaires au niveau auditif sont plus difficiles à rapporter
- Importance de la propension à nommer/traduire les mots sous forme AVL
Effet de similarité phonologique:
- Rapporte 10% des séries lorsque les mots se ressemble auditivement
- Rapporte 80% des séries lorsque les mots sont différents phonologiquement
Démontre le traitement AVL
Testons les postulats
Baddeley, Thomson & Buchanan (1975)
Exp. 1: Effet de longueur du mot
Jusqu’à maintenant: Capacité mémoire court terme = 7+/-2 chunks
Chunks: groupes (subjectifs!) d’items organisés
Si tous les mots d’une liste sont non-reliés par le sens, 1 mot = 1 chunk
Tâche: Rappel sériel
v 4-8 mots/ chaque mot avant 1 ou 5 syllabes
v Doit rapporter séquence complète pour essai correct
1 syllabe:
- Gain
- Veau
- Jazz
- Nerf
5 syllabes:
- Interlocuteur
- Réciprocité
- Impropriété
But: Montrer que capacité mémoire de travail
v ≠ constant
v varie avec longueur des mots à rapporter
Si il a raison: rapporter les deux conditions (1 vs 5 syllabes) devrait être le même temps et égaux car ce sont tous 1 chunk
Pour invalider la théorie, il faut démontrer l’effet de longueur du mot
Hypothèse
- Si capacité de mémoire de travail limitée en termes de nombre de chunks, aucun effet de longueur du mot sur empan mnésique
- Si capacité de mémoire de travail limitée en termes de quantité d’information sur une période de temps donnée, effet de la longueur du mot sur l’empan mnésique
v Mots plus longs = moins de mots en mémoire
v Mots plus longs prennent plus de temps à répéter
Résultats
- Effet de longueur du mot pour toutes longueurs de liste
v Avantage clair pour mots courts (les mots cours rapportent dès le début plus que les longs mots)
Conclusion
- Capacité basée sur une limite temporelle et non basée sur le nombre d’unités significatives (chunks) la duré (si je ne maintiens pas les mots actifs pendant plus de 15-30sec = ils disparaissent) la capacité est aussi calculée en nombre de seconde (tout ce que je suis capable de me dire dans ma tete en deux secondes = maximum de matériel que je suis capable de retenir) et ça se perd en 15-30sec si pas répété. - Durée du ruban acoustique = 2 secondes
Baddeley, Thomson & Buchanan (1975) Exp. 6: Durée des traces acoustiques
But: Déterminer durée de la boucle
Procédure: 2 tâches
- Mesure de taux de lecture
v # de mots lus par seconde (selon # de syllabes)
- Tâche de rappel sériel (séquences de mots)
Matériel: 5 mots par liste (Mots de 1 à 5 syllabes)
Rationnel
- Répétition articulatoire (dans notre tête) analogue à la parole (notre vraie voix et notre voix intérieur ont pratiquement les mêmes caractéristique)
- Mots plus courts: Lus et répétés + vite - Plus de mots courts «entrent» dans la boucle (plus court = plus de mots)
Hypothèse: Taux lecture prédit rappel/détermine capacité boucle
Résultats/Interprétation
Comme Exp. 1, # de syllabes par mot lié à performance de rappel sériel
1 mot de 1 syllabe = 90% de séquence bien rapporté
2 mots de 2 syllabes = 80%
5 mots de 5 syllabes = 50%
Plus les mots sont longs moins ont est capable d’en rapporter = effet de longueur du mot
Rouge: en fonction du nombre de syllabes
1 syllabe: 2,3 mots /sec
4 syllabes: 1,5 mots/sec
- Taux de lecture prédit # de séquences correctes Nombre de mot que je suis capable de lire / secondes = taux de lecture Plus les gens sont capables de lire de mots/sec, plus y sont capable de retenir de mot en mémoire = lien direct entre les 2 - En moyenne, 2 sec. de matériel dispo pour rappel - Encore une fois, durée temporelle = facteur-clé
La capacité est donc basée sur la capacité temporelle et non un chiffre d’items
Testons les postulats
Le maintien des traces mnésiques phonologiques et traduit l’information visuelle en nommant de façon sous-vocale:
Baddeley, Thomson & Buchanan (1975)*
Exp. 8: Suppression articulatoire
But: Montrer que le système de répétition articulatoire
v maintient les traces mnésiques phonologiques
v traduit l’information en mode AVL en nommant de façon sous-vocale
v est responsable de l’effet de longueur du mot
Tâche: Rappel sériel (une seule longueur de liste) 5 mots tout le temps pour tout le monde
Variables
v Longueur de mot (court (1syllabe) ou long (5 syllabes))
v Type de présentation (auditif ou visuel)
v Possibilité de répétition (contrôle (on laisse le système tranquille) ou suppression (un nombre de 2 chiffres ex.44, et durant la diffusion de la liste, les gens doivent compter à voix haute donc le système de répétition articulatoire est occupé pendant la tache)
- Condition suppression: Participants comptent à voix haute avant, pendant et après présentation de la liste
Suppression articulatoire (voir notes)
Prédiction 1: En auditif – suppression, effet de longueur du mot absent lorsque répétition de la liste non permise
- Parce que système de répétition articulatoire ne peut rafraîchir les traces mnésiques de l’entrepôt phonologique - Auditif - Contrôle v Info transférée dans la boucle phonologique/répétée v Capacité pleinement utilisée - Auditif - Suppression v Info transférée… mais non répétée v Perte de la trace Puisqu’une partie de la boucle est occupé = les mots vont mourir dans l’entrepôt phonologique
Auditif – Contrôle vs. Auditif – Suppression
Résultats
- Suppression cause une baisse de performance
v Mais pas absence, donc 2e composante (entrepôt) en jeu
- Effet de longueur du mot disparaît (même résultat pour mots long ou cours) cependant, même sans l’effet de longueur du mot, on est quand même capable de rapporter 40-45% des séquence. Donc pas juste le système de répétition articulatoire. (Entrepôt !!)
v Utilité du système de répétition articulatoire pour le maintien des traces actives
v Système de répétition articulatoire responsable de l’effet de longueur du mot
Suppression articulatoire
Prédiction 2: En visuel - suppression, effet de longueur du mot sera perdu parce qu’aucune traduction par le SRA. Matériel visuel, mais composante AVL donc on envoie à la boucle phonologique
- Visuel - Contrôle
v Info à composante AVL transférée de la tablette visuospatiale vers l’entrepôt phonologique, via le système de répétition articulatoire
v Une fois transférée, performance basée sur limites de la boucle
Même résultats que si on avait attendu car le transfert s’est fait
- Visuel - Suppression
v Syst. de répétition articulatoire occupé, ne peut pas traduire
v Performance basée sur info visuelle restante traduite pendant rappel
Les mots qu’on voit ne seront jamais traduit et envoyer/ répété. Perte de l’effet de longueur du mot.
Si on pert l’effet, on démontre que le système sert à nommer les mots perçus.
Visuel – Contrôle vs. Visuel – Suppression
Résultats
- Suppression élimine effet de longueur du mot
v Parce que matériel non codé en AVL
Pas une différence assez statistiquement grande pour dire qu’il y a une différence entre les mots courts et longs = perte de l’effet de longueur du mot.
- Valide «traduction» comme processus plausible pour maintenir traces mnésiques d’information visuelle à composante AVL. Les mots ne se sont jamais rendus dans la boucle. Quand le système de répétition articulatoire est disponible, les mots se rendent dans la boucle et on peut les nommer. Si le système n’est pas dispo, les mots ne se rendent pas et nous ne pouvons pas les nommés.
Sommaire des résultats
- Modalité auditive
v Effet de longueur du mot seulement si répétition possible (Valide processus de maintien à court terme)
- Modalité visuelle v Effet de longueur du mot seulement si «traduction» et répétition possibles (Valide processus de traduction phonologique)
Boucle phonologique
Sommaire/Conclusions
Soutenu par
- Effet de similarité phonologique
v Codage auditif (ADL)- Effet de longueur du mot v Capacité: 2 seconds de contenu AVL v Lié au taux de lecture - Suppression articulatoire v Répétition sous-vocale qui tient actif les trace v Traduction du visuel au phonologique
Conclusions générales
- Au cours des années, Baddeley a fourni beaucoup de preuves empiriques soutenant la boucle phonologique
- Bien qu’il existe d’autres modèles, celui-ci demeure le standard dans ce domaine de recherche