8-Contrôle et apprentissage moteurs suite (Q4) Flashcards

1
Q

QUIZ : Aider un enfant à développer ses habiletés pour habiller une
poupée en commençant par lui faire pratiquer à enfiler une manche, alors que
l’ergothérapeute exécute les étapes suivantes, est un exemple de whole task
training

A

Faux, c’est un exemple de part task training

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2
Q

QUIZ : L’ergothérapeute dit à un enfant : « Bravo, tu as réussi à monter ta fermeture
éclair jusqu’en haut! ». S’agit-il d’une rétroaction orientée sur le processus (knowledge of process) ou orientée sur le résultat (knowledge of result) ?

A

Résultat, car “jusqu’en haut” qui qualifie la réussite et non le comment faire

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3
Q

QUIZ : L’ergothérapeute dit à un enfant : « Pique plus fort avec ta fourchette pour
que ton poulet reste sur ta fourchette ». S’agit-il d’une rétroaction orientée sur
le processus (knowledge of process) ou orientée sur le résultat (knowledge of
result) ?

A

Processus, on explique comment faire (mm si ca amène a réussir c’est processus)
C’est aussi prescriptif, on donne des consignes

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4
Q

QUIZ : Pour être efficace, à quelle fréquence la rétroaction orientée sur le résultat
ou sur le processus doit-elle être donnée à un enfant qui apprend à faire une
nouvelle activité?
A) 100% du temps
B) Moins de 50% du temps
C) Au moins 50% du temps

A

C) au moins 50% du temps

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5
Q

QUIZ : La TCIm est utilisée avec un jeune enfant. Il a deux séances par jour. Il
pratique avec plusieurs répétitions de suite du même mouvement (ex. : mettre
une balle dans un plat, frapper une balle suspendue). De quel type de pratique
s’agit-il?

A

Pratique en bloc

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6
Q

QUIZ : Un enfant pratique à faire la boucle. Il doit enfiler un soulier, attacher sa
boucle, faire un parcours, enlever le soulier et le lancer dans un cerceau. Il
recommence ce circuit avec 5 souliers différents. De quel type de pratique
s’agit-il?

A

Pratique distribuée avec variabilité

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7
Q

QUIZ : Vrai ou faux. Au courant de la phase associative d’un apprentissage moteur,
la pratique distribuée (distributed practice) est plus favorable que la pratique en
bloc (massed practice)

A

Vrai, phase cognitive (1) c’est en bloc et phase associative (2) c’est distribuée

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8
Q

QUIZ : Vrai ou faux. Frapper avec son pied un ballon qui roule sur un terrain de
soccer alors que l’enfant est en mouvement constitue une tâche fermée.

A

Faux, tâche ouverte, l’enfant doit anticiper dans le temps et l’espace

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9
Q

QUIZ : Vrai ou faux. Prendre une tasse sur une table et la porter à sa bouche constitue une tâche fermée.

A

Vrai, car la tasse ne bouge pas, c’est nous qui s’ajuste

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10
Q

QUIZ : Vrai ou faux. Il peut être bien que l’ergothérapeute organise volontairement
l’environnement pour que l’enfant produise des « erreurs » dans ses mouvements.

A

Vrai, peut permettre résolution de problème

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11
Q

QUIZ : Vrai ou faux. L’utilisation des propres ciseaux de l’enfant plutôt que les ciseaux que l’ergothérapeute lui fournit en thérapie facilite le transfert de ses habiletés de découpage à la maison et à l’école.

A

Vrai, utiliser les objets de l’enfant est plus aidant que les objets du th

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12
Q

QUIZ : Vrai ou faux. Pratiquer à découper en variant les types de ciseaux (grand, petit, avec deux loupes égales, avec une plus grande et une plus petite loupe) aide un enfant à développer la capacité à ajuster ses mouvements

A

Vrai, permet généralisation des apprentissages

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13
Q

QUIZ : Vrai ou faux. La pratique en contexte écologique est plus efficace pour le
transfert des habiletés dans le quotidien de l’enfant.

A

Vrai

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14
Q

Qu’est-ce qu’un trouble développementale de la coordination (TDC)?

A

trouble neurodéveloppemental courant caractérisé par des difficultés d’apprentissage de la motricité globale ou fine, lesquelles entraînent une déficience fonctionnelle de la performance scolaire ou des activités de la vie quotidienne
Au canande, synonyme = dyspraxie motrice

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15
Q

Quels sont les comorbidité des enfants TDC?

A

TDAH, TSA, trouble des apprentissages
Nuire au développement émotionnel et social (identité, appartenance à un groupe)

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16
Q

Qu’est ce que la dyspraxie visuospatiale / visuoconstructive

A

La dyspraxie visuo-spatiale est une forme de dyspraxie où le regard entre en jeu. En plus d’une difficulté de coordination entre les membres et le cerveau, il y a une difficulté de coordination avec le regard.

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17
Q

Quels sont les critères dx selon le DSM-5 du trouble développemental de la coordination (TDC)

A

A) Habiletés motrices (fines ou globales) significativement sous la moyenne vs enfants du même âge + exposés à des stimulations motrices qui soutiennent suffisamment le
développement des capacités motrices. S’observe par de la maladresse (ex.: échapper les objets) ainsi que par de la lenteur ou par un manque de précision (ex.: attraper, découper, utiliser ses ustensiles, écriture manuelle,
sports)
B) Impacts significatifs et persistant sur les activités de la vie quotidienne, sur la productivité scolaire ou sur les jeux et loisirs tels qu’attendus pour l’âge.
C) Symptômes apparus dans l’enfance.
D) Difficultés non explicables par une déficience intellectuelle, une déficience visuelle ou autres maladies ou conditions neurologiques qui
affectent le mouvement (ex.: paralysie cérébrale, dystrophie musculaire,…) .

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18
Q

Quels sont les deux outils pour quantifier le niveau de développement des capacités motrices chez les enfants TDC?

A
  • BOT-2
  • M-ABC-2
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19
Q

Quel est le pronostic/évolution du TCD

A
  • Ne disparait pas avec l’âge, mais apprentissage permet évolution
  • Évolution dépend de +++ facteurs (niveau d’atteinte, résilience, tempérament, E)
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20
Q

DÉJÀ MIS DANS AUTRE COURS - Quel sont les éléments à tenir compte lorsqu’on choisi un schème (permet de justifier le choix d’un schème)

A
  • Type de problème ou dx
  • Données probantes
  • Contexte de pratique/offre de service
  • Ressources (humaines et matérielles)
  • Objectifs et cibles d’intervention
  • Âge/niveau de developpement
  • Connaissances ou expertise
  • Suivi individuel vs de groupe
  • ++ (ex. valeur de la famille)
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21
Q

Sur quelle théories se base le schème de référence four-quadrant model of facilitated learning (4QM)

A
  • Théories behavioristes : le développement comme résultante de l’influence de l’environnement et apprentissage = acquisition de nouveaux comportements façonnés de façon prévisible par ses interactions et ses expériences (chien de pavlov)
  • Théorie de l’apprentissage de Vygotsky (constructivisme)
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22
Q

Pourquoi est-il impo pour l’ergo d’intégrer les théories du cpt et de l’apprentissage dans ses interventions?

A

Pcq plusieurs de nos interventions vont être d’enseigner qqch à nos clients

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23
Q

Quelle est l’approche d’enseignement-apprentissage

A

C’est de choisir les bonnes stratégies pour que l’apprenant apprenne bien (rechercher signes d’apprentissage dans cpt, visage, …), diff d’un client à l’autre

24
Q

Qui a développer le modèle des 4 cadrans?

A

Des ergooo

25
Q

Pour quelle clientèle a été développer le modèle des 4 cadrans?

A

âge scolaire

26
Q

Quels sont les objectifs du schème des 4QM?

A

o Nourrir notre raisonnement clinique
o Comprendre et planifier nos stratégies d’enseignement
o Aller chercher l’engagement de l’enfant dans l’apprentissage d’une tâche
o Favoriser la maîtrise et l’indépendance de l’enfant dans le développement de ses
compétences

27
Q

Selon le modèle 4QM, quel est le rôle de l’ergo (ou facilitateur) lors de l’éval

A
  • Identifier le niveau de maîtrise, la zone proximale de développement
  • Identifier les points d’échec/les obstacles
  • Identifier les stratégies utilisées spontanément, à quel quadrant ils appartiennent et leur efficacité
28
Q

Selon le modèle 4QM, quel est le rôle de l’ergo (ou facilitateur) lors de l’intervention

A
  • Choisir les stratégies qui fonctionnent et les mettre en place (Q1 et Q2)
  • Faciliter l’apprentissage, l’autonomie et l’autorégulation dans l’exécution de la tâche (Q3 et Q4)
29
Q

Quelle est la différence entre le schème de l’apprentissage moteur et le schème des 4QM

A

Apprentissage moteur
- Apprendre geste, mvt - MOTEUR
- Devenir meilleur à découper
- Etre capable d’attacher ses boutons

4 cadrans
- Tous apprentissage confondu (autant moteur que planification, organisation, …)
- Apprendre à découper
- La séquences pour s’habiller, comment faire l’activité

30
Q

En gros, c’est quoi le schème 4QM

A

Donner des outils, pour que les ergo soit des meilleurs enseignants

31
Q

Quels sont les 4 quadrans du schème de 4QM

A
  1. Spécification de la tâche : stratégies qui informent sur les caractéristiques de la tâche et de la réponse attendue (ex. pictogramme pour ordre habillage) ou vise l’enseignement des caractéristiques de la tâche par des stratégies directes, évidentes
    GUIDER
  2. Prise de décision : stratégies visant la découverte et favorisant la résolution de problème ou vise le soutien de l’apprenant à s’engager dans une résolution de problème par des stratégies indirectes, plus subtile
    ORIENTER
  3. Rappel : Stratégies que se donne l’enfant pour se rappeler comment faire la tâche ou utilisation évidente de rappels pour suivre les points importants de la tâche, stratégies évidentes (utiliser les stratégies enseigner à Q1)
    ESTOMPER
  4. Autonomie : Autorégulation, stratégie intériorisées ou performance autonome, processus/stratégies non visibles

*plus on avance dans les cadrans, plus on va de stratégie apparentes et initiées par l’ergo à stratégies non apparentes et initiées par l’enfant

32
Q

Comment peut-on évalué à quel cadrans se trouve un enfant dans la réalisation d’une activité?

A

En observant l’enfant faire et en regardant les stratégies utilisées

33
Q

Quelles sont les stratégies directes initiées par le facilitateur au quadrant 1

A
  1. Explications/enseignement explicite/instruction explicite = Description
    de diverses caractéristiques de la tâche elle-même (ex.: étapes, façon de faire ou matériel requis) ou de la réponse attendue. Peut
    aussi être sous forme graphique ou technologique.
  2. Démonstration = Exemple de la réponse attendue, démontré par le thérapeute ou autre médium audio-visuel.
  3. Facilitation/modélisation physique/guidance motrice (Physical patterning) = Manipulation de l’enfant durant l’exécution en contrôlant
    complètement le mouvement ou en laissant l’enfant graduellement planifier et contrôler davantage en le guidant simplement. Utilisé pour donner l’idée générale du mouvement ou ses caractéristiques spatio-temporels.
  4. Questions d’ordre inférieur/bas niveau = Questions utilisées afin d’évaluer la rétention ou la compréhension de l’enfant de la tâche ou
    de l’exécution. Ex : « Que feras-tu ensuite? », « Où devrais-tu regarder? », « Comment devrais-tu te placer? », « Que dois-tu faire
    en premier », « de quoi as-tu besoin pour … »?
34
Q

Quelles sont les stratégies indirectes initiées par le facilitateur au quadrant 2

A
  1. Questions d’ordre supérieur/de haut niveau = Questions (ou affirmations) provoquant la réflexion de l’enfant et attirant son attention
    sur les éléments de l’habileté qui doivent être réévalués. Ce type de question vise à engager l’apprenant dans une analyse, une résolution de problème, un jugement ou une évaluation de sa performance. Ex: «Pourquoi cela est-il arrivé» « D’après toi, quel est le problème? »,
    «Comment pourrais-tu faire ça différemment? »
  2. Feedback/rétroaction extrinsèque = Observations rapportées par le thérapeute sans donner d’explication sur ce qui doit être fait (deviendraient alors des instructions explicites). Ex : « cette fois tu as
    bien réussi, tu l’as fait lentement », «Oh-oh!, Je pense qu’il y a un problème», «Tu penches un peu à droite».
  3. Indices physiques (Physical Prompts) = Touchers (pousser ou impulsion) qui favorisent l’initiation des mouvements ou la réorientation des mouvements durant l’exécution.
  4. Indices non-verbaux (Non-verbal Prompts) = Expressions faciales, regards et gestes de la part du thérapeute qui incitent l’enfant à porter son attention sur un élément ou réévaluer sa performance ou chercher ce qui ne va pas.
  5. Modèle de réflexion à voix haute (Think aloud modeling) = Description à voix haute par le thérapeute en lien avec son propre processus de prise de décision pendant sa performance. Cela vise à démontrer à l’apprenant comment s’engager dans une réflexion/autorégulation sur sa propre performance. Le dialogue peut donner un modèle de reconnaissance des
    erreurs. Ex : «Il y a quelque chose qui cloche ici. Qu’est-ce que j’ai fait ou pas fait correct? Peut-être que si je me concentre à garder cette main bien stable…» «Qu’est-ce qui va arriver si je le mets ici? Oh non, il est tombé. Où dois-je le mettre alors? Peut-être ici».
35
Q

Quelles sont les stratégies directes et extériorisées initiées par l’apprenant au quadrant 3

A
  1. Préparation (Priming) = Rappel/révision verbale ou physique des tâches à accomplir avant la performance de l’activité. Vise à se préparer à l’action et non à s’améliorer. L’élément clé ici est l’intention de se préparer.
  2. Moyens mnémoniques = Rimes, acronymes, phrases non sensées, mots-clés reliés, etc. Stratégie pour aider la rétention ou la récupération des informations. Même si le facilitateur peut aider au développement de la
    mnémonique, son utilisation devient la responsabilité de l’apprenant. Ex.: bonhomme de neige avec comptine pour nouer corde au harnais en escalade
  3. Auto-instructions verbales (Verbal self-instructions) = Stratégies verbales pour s’engager dans un processus de prise de décision ou pour se rappeler les étapes d’exécution d’une tâche. Un script/procédurier verbal à réciter pour guider l’exécution d’une tâche est un autre exemple. Soutien l’attention à la tâche.
  4. Indices visuels = rappel visuel des étapes d’une tâche ou un indice visuel/un objet pour rappeler de produire une action (ex. image des mains sur les cuisses pour écouter), un graphique, une carte conceptuelle, organisateur
    graphique,
  5. « Auto-indiçage » kinesthésique/physique (Kinesthetic self-prompting) = L’utilisation d’un geste ou d’un toucher pour se rappeler de faire une action ou un mouvement (ex : l’enfant touche son bras hémiplégique pour se rappeler
    de l’utiliser).
36
Q

Quelles sont les stratégies indirectes et intériorisées initiées par l’apprenant

A
  1. Imagerie mentale : sert à planifier, prendre des décisions, faire des choix… Survient dans « la tête » de l’apprenant (non- observable ou signes subtils tels que fermer les yeux, ne pas
    réagir aux stimuli externes,…). Stratégie utile pour se remémorer les indices visuels du quadrant 3.
  2. Auto-instruction = Discours internalisé, dirige les actions de l’apprenant. Particulièrement utile pour se rappeler les étapes ou pour diriger une résolution de problème. C’est « se parler dans sa tête ».
  3. Auto-questionnement = Dialogue internalisé pour analyser de l’information et réfléchir.
  4. Auto-contrôle/régulation (Self-monitoring) = Analyse de l’efficacité de ses stratégies, critique de sa performance et évaluation du besoin d’apporter des modifications.
  5. Résolution de problèmes = Processus cognitifs employés pour surmonter les obstacles ou difficultés rencontrés.
  6. Automatisation : Habileté spontanée à performer une tâche de façon automatique. Arrive quand la tâche peut être exécutée
    avec très peu d’attention et de planification.
37
Q

Quels sont les types de renforcement

A
  • Intrinsèque (satisfaction personnelle)
  • Extrinsèque (vient de l’extérieur)
    *Tangible - objet, collant, choco
    *Non-tangible - félicitation, sourire, regard
    *Vicariant (en donnant le renfo à une autre personne, mais dans le but de viser l’enfant)
38
Q

Quelle sont les différentes fréquences auxquelles nous pouvons donner du renforcement?

A

Continue
Intermittent
-fixe : à tous les 5x jdonne renfo, ou 1e,4e,7e
jdonne renfo
-variable (mieux) :tjrs chance d’avoir renfo
Partiel : moins de renfo qu’intermittent, on va vers estompage, on en donne vrm juste de temps en temps pcq on veut que la renfo deviennent intrinsèque

39
Q

Quel sont les moyens d’ajustement des attentes par rapport à la performance

A
  • Par façonnement (shaping) : renforcement d’une tâche partiellement réussie (ex. dire bravo, mm si cest pas parfait et aug nos exigences pour dire bravo de + en +)
  • Par réussite parfaite (dire bravo juste quand ya réussite parfaite)
40
Q

Comment choisir un bon renforçateur

A
  • Renforcement spécifique à l’enfant et à
    l’environnement (ex.: selon l’intérêt de l’enfant,
    à la maison vs à la garderie).
  • Prévoir l’extinction des renforçateurs pour
    passer à un renforcement intrinsèque et
    l’engagement spontané au quotidien pour
    l’apprentissage en question.
41
Q

Quand utilise-t-on les renforçateurs?

A

Quand l’enfant ne veut pas faire la tâche en pratique, si l’enfant n’a pas les capacités cognitives pour aller dans analyse/planification (aug faisabilité de l’activité dans le quotidien)
ex. durant les diff type de pratique (distribuée, en bloc, aléatoire)

42
Q

Quels sont les prérequis scolaires

A

*Habiletés requises pour faciliter la transition vers l’école
**Émergence spontanée pour certaines et enseignement nécessaire pour d’autres
- Maturité physique et émotionnelle
- Langage
- Autonomie dans les AVQ
- Suivi des règles et des consignes de groupe
- Utilisation d’outils scolaires (ex.: ciseaux, colle, crayon de couleur …)
- Habiletés grapho-motrices (écriture du prénom, contrôle du crayon, relier,
souligner, encercler…)

43
Q

À quelles âge apparaissent les habiletés de découpage

A

entre 2 et 6-7ans

44
Q

Quels sont les éléments à tenir compte dans l’intervention pour le découpage?

A
  • Analyse de la performance et identification des points d’échec
  • Approche d’apprentissage moteur et/ou 4QM
  • Gradation/juste défi (ex. épaisseur du papier, forme à découper)
  • Opportunités de pratique
  • Ciseaux adaptés si besoin
45
Q

Quelles sont les différentes prises de crayon fonctionnelles?

A
  • Tripode dynamique (crayon est sur majeur, pouce sur crayon)
  • Quadripode dynamique (crayon sur majeur, pouce en haut)
  • Tripode latérale (Crayon sur annulaire, pouce sur crayon)
  • Quadripode latérale (crayon sur annulaire, pouce en haut)
46
Q

Quels sont les composantes qui sont prédictives des habiletés à apprendre à écrire?

A

Dextérité digitale, intégration visuo-motrice

47
Q

Vers quel âge un enfant est capable d’écrire son nom?

A

entre 4 à 6 ans

48
Q

À quoi sert la dextérité digitale?

A

Écriture et manipulation dans les AVQ

49
Q

Comment est souvent évalué la dextérité digitale?

A

Par l’observations des manipulations fines d’objets dans la main dont les In-hand manipulations durant observations dans occupation ou MES

50
Q

Comment est souvent évalué la dextérité digitale?

A

Par l’observations des manipulations fines d’objets dans la main dont les In-hand manipulations durant observations dans occupation ou MES

51
Q

Qu’est-ce que les In-hand manipulation?

A

Mouvement fins qui se produisent afin de replacer un objet dans la main une fois que celui-ci a été saisi
*habiletés les plus complexes en motricité fine

52
Q

Quels sont les indices d’immaturité dans les In-hand manipulations?

A
  • Utilisation de la gravité
  • Re stabilisation à l’ext de la main
  • Laisser échapper l’objet
53
Q

Qu’est-ce qu’il faut retenir sur les In-hand manipulation?

A
  • Se développent vers 4-5 ans
  • Sujettes à variabilité entre les enfants et selon les objets manipulés.
  • Développement est influencé par l’expérience.
  • Réalisées de plus en plus harmonieusement (qualité) et rapidement = les enfants échappent de moins en moins les objets manipulés.
  • Moins de compensations. Ex. : utiliser deux mains ou une autre partie du corps (bouche, tronc).
54
Q

Qu’est-ce qui influence les In-hand manipulation?

A
  • Extension du poignet;
  • Stabilité de l’articulation MP du pouce;
  • Mobilité du pouce;
  • Dissociation des doigts (les uns par rapport
    aux autres);
  • Équilibre entre le travail des muscles
    extrinsèques et intrinsèques de la main;
  • Dissociation radio-ulnaire.
55
Q

EN RÉSUMÉ, qu’est-ce qu’il faut retenir par rapport aux interventions en ergo?

A
  • La pratique d’activité/occupation en contexte signifiant
  • L’adaptation au juste défi par la gradation de l’activité
  • Des opportunités de développer ses capacités (composantes) et ses habiletés à travers le jeu ou par mise en situation, en salle
    de thérapie ou en milieu naturel
  • L’intervention sur l’environnement et éducation ou « coaching » aux parents sur activités, matériel (ex.: choix des jouets ou matériel « maison »), organisation de l’environnement
  • L’adaptation de la tâche ou du matériel / les compensations (ex.: ciseau à ressort)
  • Le positionnement