10 - Agressivité Flashcards

1
Q

Quelles sont des préoccupations dans la population par rapport à l’agressivité?

A

→ la violence chez les jeunes (32 %)
→ la pauvreté des familles (32 %)
→ le suicide des jeunes (12 %)
→ l’échec scolaire (11 %)
→ la santé des jeunes (8 %)

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2
Q

La tranche d’âge la plus fréquemment sélectionnée par les enquêtés comme étant celle où les individus ont le plus souvent recours à l’agressivité physique est celle située entre __ et __ ans, que ce soit pour les ___ (61 %) ou pour les ___ (69 %)

A

12; 17
Garçons; filles

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3
Q

Les répondants croient que les investissements dans les programmes de prévention devraient être accordés en priorité aux…

A

→ adolescents de 12 à 17 ans (50%)
→ enfants âgés entre 5 et 11 ans (33%)
→ enfants âgés entre 0 et 4 ans (10%)

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4
Q

Quelles sont les 2 croyances majeures qui ont été relevés d’un sondage en matière d’agressivité physique? Pourquoi sont-elles non fondées?

A

1) Les enfants deviennent plus violents en vieillissant - on pense que les adolescents sont plus agressifs que les enfants.
2) Les enfants apprennent à devenir agressifs

Non fondées parce que…
1) Le développement de l’agressivité physique atteint un niveau maximum entre 2 et 4 ans et diminue significativement par la suite
2) Le développement de l’agressivité est associé à de multiples facteurs, d’origine sociale ou biologique

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5
Q

Cette diminution de la fréquence des actes d’agressivité avec l’âge est incompatible avec…

A

1) Incompatible avec la théorie de l’apprentissage social de l’agression
→ En vieillissant les enfants sont exposés à un nombre toujours croissant de modèles d’agressivité, pourtant, eux-mêmes sont moins agressifs
2) Incompatible avec l’idée populaire blâmant les jeux vidéos et les films violents comme facteur principal permettant d’expliquer l’agressivité chez les enfants et les ados
→ Il y a une corrélation élevée si on étudie de façon transversale parce que les ados qui sont déjà plus agressifs que la moyenne recherchent ce genre de stimulation. Mais dans ces cas, l’agressivité est déjà présente et mène à la consommation de ce genre de média et non pas l’inverse

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6
Q

Vrai ou faux: Les hormones, notamment les testostérones, peuvent être seules responsables de l’agressivité.

A

Faux: parce que tous les adolescents qui ont une montée de testostérone démontrerait beaucoup d’agressivité dans ce cas

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7
Q

Vrai ou faux: Les enfants n’ont pas besoin d’apprendre à faire une crise de colère.

A

Vrai
→ réactions dès l’âge de 2 mois démontre de l’agressivité
→ un bébé va spontanément faire recours à l’agressivité quand il ne reçoit pas ce qu’il veut (tirer, crier, lancer, etc.)

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8
Q

Les recherches démontrent que les animaux agressifs sont, dans la plupart des cas, ceux qui ont été ___ dès la naissance.

A

Isolés

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9
Q

Que font les enfants plutôt que d’apprendre à recourir à l’agression physique par l’intermédiaire de leur environnement?

A
  • Plutôt que d’apprendre à recourir à l’agression physique par l’intermédiaire de leur environnement, les enfants apprennent à ne pas recourir à l’agression physique grâce à divers types d’interactions avec leur environnement
    → les gens qui ont des taux d’agressivité plus tard dans la vie, quand ils étaient jeune et démontre de l’agressivité, les parents ne désapprenait pas l’enfant à recourir à l’agressivité (dans quand il grandit, ils continue l’agressivité)
  • On socialise les enfants de manière à ce qu’ils désapprennent leurs comportements agressifs dès leurs premières années (on apprend à l’enfant quoi faire au lieu d’être agressif)
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10
Q

À quel âge la fréquence des actes d’agression physique augmente-elle chez la plupart des enfants, pour ensuite diminuer de manière constante?

A
  • Pendant les 30 à 42 premiers mois après la naissance
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11
Q

La période préscolaire est une période ___ pour ce qui est de l’apprentissage de la ___ de l’agression physique.

A

Charnière (déterminante) ; régulation

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12
Q

Seulement __ à __% des enfants continuent à manifester des niveaux élevés d’agression physique lors de la période scolaire.

A

5 - 10%

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13
Q

Alors que la fréquence des agressions physiques diminue après la 3ème ou 4ème année après la naissance, quel acte augmente en fréquence?

A
  • la fréquence des gestes d’agressivité indirecte augmente considérablement entre quatre et sept ans
    → p.ex: parler dans le dos d’un ami
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14
Q

Quels sont les 2 grands facteurs expliquant l’agressivité?

A

1) Facteurs biologiques: les dispositions génétiques, l’exposition prénatale au tabac, un faible rythme cardiaque, un taux élevé de testostérone, etc. (mais ce ne sont pas les seuls facteurs, ils jouent tous ensemble ainsi avec les facteurs sociaux)
2) Facteurs sociaux: la dynamique familiale, les pratiques parentales, l’influence des pairs, les expériences scolaires, etc.
- Ces facteurs peuvent s’accumuler dans le temps et placer les enfants sur une trajectoire négative, ce qui suggère qu’il est nécessaire d’intervenir de façon précoce

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15
Q

Quels sont les 4 types d’agressivité?

A

1) Agressivité directe (manifeste): forme directe d’agressivité telle que se battre, les injures ou la défiance (envers un pair ou une figure d’autorité)
2) Agressivité indirecte (relationnelle): nuire à l’intégration sociale d’un individu en parlant dans son dos ou en faisant en sorte que les autres ne l’acceptent pas. Provoque des dommages psychologiques importants chez la victime
→ Les filles recourent davantage à l’agression indirecte alors que les garçons privilégient l’agressivité directe. Probablement un effet de socialisation
3) Agressivité réactive (défensive): l’enfant réagit fortement à ce qu’il perçoit comme une injustice ou une agression
→ Associé à un tempérament plus réactif, plus de symptômes dépressifs, et plus de discipline sévère des parents
4) Agressivité proactive (instrumentale): a pour but d’obtenir quelque chose et n’est pas une réaction émotive (vraiment faite de façon réfléchie). Davantage comme un prédateur ou un intimidateur
→ L’apprentissage social joue un rôle plus important (parce qu’on apprends comment chercher ce qu’on veut)

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16
Q

Quel type d’agressivité est le meilleur prédicteur de la délinquance à l’adolescence?

A

L’agressivité proactive (instrumentale)

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17
Q

Explique les différences sexuelles par rapport à l’agressivité, notamment en relation avec les parents.

A
  • Les adultes sont moins acceptants envers les comportements agressifs chez les filles avant qu’elles n’entrent à l’école, tandis qu’ils les voient souvent comme une marque d’affirmation de soi chez les garçons
  • Les mères réagissent différemment aux transgressions : elles discutent des conséquences de celles-ci sur leurs pairs avec leurs filles, alors qu’elles ont recours à la punition avec leurs fils
  • À l’âge de trois ans, les garçons commettent deux fois plus de transgressions que les filles
  • Les mères de garçons prennent le parti de leurs propres enfants dans les conflits avec leurs pairs trois fois plus souvent que les mères de filles
    → p.ex: si un garçon se bat à l’école, la mère va dire que c’était mérité, alors que si une fille se bat à l’école, la mère va demander pourquoi et dire que ce n’était pas mérité
    on soutien donc plus les garçons dans l’agressivité que les filles
  • Il n’ y a pas d’études sur les réactions des pères, mais ce serait probablement similaire ou encore plus marqué
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18
Q

Comment est-ce que la réaction parentale influence l’agressivité de l’enfant?

A
  • Une réaction parentale inappropriée à la dysrégulation des émotions (avoir la misère à gérer ses émotions) et des comportements agressifs des jeunes enfants augmente le risque de problèmes d’agressivité à long terme
    → p.ex: soit ignorer, vraiment se choquer, ne pas répondre adéquatement aux besoins de l’enfant, etc. avoir une sous-réaction ou une sur-réaction
  • L’absence de réaction parentale face à un enfant exigeant prédit les problèmes de comportements perturbateurs à trois ans
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19
Q

Qu’est-ce qui se passe avec les enfants «difficiles» ayant des parents passifs?

A

→ Vers la fin de l’enfance, les enfants « difficiles » dont les parents sont passifs ont obtenu les pires résultats en termes de problèmes d’externalisation ultérieurs tels qu’évalués par les parents et les enseignants

20
Q

Le contrôle maternel négatif (envers l’enfant) et le recours à des techniques de discipline négative à l’âge de 4 ans est prédicteur de ___ ___ à 9 ans

A

Problèmes d’externalisation

21
Q

Les programmes d’intervention pour l’agressivité sont centrés sur… (4)

A

1) Sur les femmes enceintes afin de prévenir la consommation de cigarettes, d’alcool et de drogue et d’enseigner des habiletés parentales;
2) Sur les parents de très jeunes enfants afin de leur enseigner des stratégies de discipline positives dès le début du développement
3) Sur les enfants pour leur enseigner la résolution de problèmes, la gestion de la colère et pour acquérir des habiletés sociales adéquates;
4) Sur les enseignants au préscolaire pour les former à la gestion de classe efficace

22
Q

Défini la violence.

A

Violence: Toute manifestation de force exercée intentionnellement, directement ou indirectement, par un individu ou un groupe, et ayant comme effet de léser, de blesser ou d’opprimer toute personne en s’attaquant à son intégrité, à son bien-être psychologique ou physique, à ses droits ou à ses biens

23
Q

Vrai ou faux: L’intimidation est une forme de violence.

A

Vrai: Toutefois, tout acte de violence n’est pas de l’intimidation

24
Q

Quels sont certains critères qui doivent être présents pour qu’on puisse parler d’intimidation? (4)

A

1) Il doit y avoir des gestes négatifs répétitifs et constants contre la victime
2) L’intention de l’intimidateur doit être négative et volontaire
3) Il doit y avoir un déséquilibre de force entre l’intimidateur et la victime
4) Il doit y avoir une différence entre les émotions ressenties par l’intimidateur et par celui qui est la cible suite à un incident d’intimidation

25
Q

Combien d’enfants sur la planète serait victime d’intimidation?

A

un tiers
→ Pour 11% de ces enfants, cette intimidation serait sévère (plusieurs fois par mois)

26
Q

Les enfants victimes d’intimidation sont plus susceptibles de développer des ___ ___, ainsi que davantage de ___ ___

A
  • Troubles intériorisés (dépression, choc post-traumatique, anxiété)
  • Troubles somatiques (ressentir des symptômes physiques à propos de ton état) et sont plus à risque d’abandonner l’école
27
Q

Distingue le conflit de l’intimidation.

A
  • Conflit: état incompatible entre les désirs de deux personnes et de leurs buts respectifs
    → Contrairement à l’intimidation, les conflits impliquent généralement des opposants de forces égales et l’intention est de faire prévaloir son désir ou ses objectifs, et non pas d’humilier l’autre personne
28
Q

On distingue 2 types d’intimidation, quels sont-ils?

A

Intimidation directe: implique des gestes tels que frapper, pousser, injurier, taxer, menacer, etc.
Intimidation indirecte: implique des rumeurs, parler dans le dos, etc.

29
Q

On porte de plus en plus d’attention à la cyberintimidation; quelles sont certains aspects de ce concept?

A

→ Caractère anonyme permet une désinhibition qui laisse place à des gestes beaucoup plus graves qu’on le ferait en société
→ La notion de répétition prend tout son sens sur internet (parce que les vidéos reviennent et se font partager, des commentaires s’ajoutent, etc.)
→ La fréquence et les sources de harcèlement se multiplient rapidement
→ Le geste d’intimidation est le même. Ce n’est pas différent. Ce qui change c’est le moyen mis à disposition de l’intimidateur: plus puissant et plus anonyme

30
Q

Quels sont les 2 types de victimes?

A

1) Les victimes passives sont généralement hors-normes (habillement, style…), ont tendance à s’isoler, peuvent manquer d’habiletés sociales (affirmation, autonomie), peuvent manquer de confiance (perception de soi négative), et vont accumuler beaucoup avant de signaler leur détresse
2) Les victimes provocatrices sont généralement immatures et impulsives, manque de confiance, ont tendance à mentir et se mettre à dos tant les adultes que les autres enfants. Il est donc difficile pour elles de trouver de l’aide puisque les adultes peuvent avoir le sentiment qu’elles méritent en partie ce traitement

31
Q

Que démontre les études longitudinale sur la relation entre l’intimidation et les habiletés sociales?

A

→ Les études longitudinales montrent que, même si dans certains cas, le manque d’habileté sociale des victimes mène à l’intimidation, dans la grande majorité des cas, c’est l’intimidation qui mène à un déficit de l’adaptation sociale

32
Q

Le caractère ___ et ___ de l’intimidation provoquerait un stress prolongé et intense chez la victime puisqu’elle n’arrive pas à solutionner le problème

A

Chronique; répétitif

33
Q

Les victimes subissent un stress chronique en raison de l’intimidation, quel est l’impact de ce stress?

A
  • Ce stress chronique va affecter le cycle de libération de cortisol (trop haut ou trop bas) , ce qui va modifier les cellules du cerveau, par exemple dans l’hippocampe
    Cercle vicieux de la pathologie: la victime devient plus vulnérable à toute nouvelle forme ou incident d’intimidation puisque le système
34
Q

Quelles sont des caractéristiques des filles dans les cas d’intimidation?

A
  • Plus souvent victimes d’intimidations et séquelles plus importantes
  • Rapportent plus d’anxiété et de dépression suite à l’intimidation
  • L’intimidation serait perçue comme plus stressante
  • Montrent un pattern d’hyposécrétion de cortisol (moins)
    → Elles vivent le stress, mais parce que c’est vécu comme continuant, il y a un certain détachement de la situation; elles arrêtent de réagir au stress
  • Paradoxe entre ce qui est perçu et ce qui est vécu: perçoivent le stress mais cessent d’y réagir
35
Q

Quelles sont des caractéristiques des garçons dans des cas d’intimidation?

A
  • Plus enclin à croire que la situation est temporaire et qu’ils ont le pouvoir de changer les choses
  • Plus de déni: on s’amuse entres amis
  • Montrent un pattern d’hypersécrétion de cortisol (rapportent moins de stress, mais ils vont réagir davantage, parce qu’ils ne le voit pas comme continuant, ce n’est jamais attendu donc à chaque fois la réaction reboots)
    → Paradoxe inverse: rapportent moins de stress mais y réagissent davantage?
36
Q

L’intimidateur utilise une agressivité ___ qui semblerait davantage être apprise par ___ ou apprentissage ___.

A

Proactive; modelage; social

37
Q

Quelles sont des caractéristiques de l’intimidateur?

A
  • Capacité limitée à gérer les conflits et l’agressivité est la réponse privilégiée face à la frustration ou les délais
  • Attribue à tort des intentions hostiles aux autres, les victimes méritent donc, à ses yeux, le traitement qui leur est réservé
  • Manque d’empathie envers les « plus faibles »
  • Il exerce son pouvoir sur les autres et les autres doivent lui accorder ce pouvoir
38
Q

Quels sont des exemples de gains socials réels pour l’intimidateur?

A

→ Inclusion dans un gang (pour être accepté par les autres)
→ Absence d’intimidation à son endroit (si je suis l’intimidateur, les chances sont que je ne serais pas intimidé)
→ Etc.

39
Q

L’intimidation se maintient par la présence de ___

A

témoins

40
Q

Comment est-ce que les témoins jouent leur rôle dans l’intimidation?

A
  • L’intimidation se maintient par la présence de témoins
  • 85% des situations d’abus se font devant témoins
  • Lorsqu’un témoin intervient, l’intimidation arrête en 10 secondes en moyenne
  • Seulement 10% des témoins interviennent
  • Distinction entre témoins et complices
    → témoin: ne prennent pas acte à l’intimidation mais ne disent rien
41
Q

Quelles sont 5 raisons pour lesquelles il y a une absence de réaction des témoins?

A

1) La diffusion de la responsabilité sociale
→ si je suis seul à voir l’acte, la responsabilité est purement à moi, mais si c’est toute un groupe, tout le monde se dit «qqun d’autre va s’en occuper» et aucune solution y vient
2) Peur d’être victime de l’agresseur
3) Incapacité - ne sait pas quoi faire
4) Relation entre le témoin, la victime et l’agresseur
5) La dénonciation n’est pas un geste socialement valorisé

42
Q

Vrai ou faux: Contrairement à la résolution de conflit où les partenaires sont de forces égales, l’adulte doit être impliqué tout au long du processus afin de mettre un terme à l’intimidation

A

Vrai

43
Q

Vrai ou faux: On devrait élaborer le plan d’intervention pour la victime, et non avec elle.

A

Faux: Il faut élaborer le plan d’intervention avec la victime et ne pas lui imposer
→ l’enfant doit être redonner un peu de pouvoir dans ce sens

44
Q

Que faut-il faire pour l’intervention de l’intimidation?

A
  • On doit:
    nommer le rapport de force avec l’intimidateur et la victime
    réfuter toutes les justifications de l’intimidateur
    sanctionner les actions de façon cohérente et consistante
45
Q

Quels sont certains éléments plus générals mais important pour l’intervention?

A

→ Les parents de tous les enfants impliqués doivent être informés de la situation.
→ Une plainte à la police peut être nécessaire et justifiée même s’il s’agit d’enfants
→ Sur le plan organisationnel, tous les membres de l’école doivent avoir un pouvoir d’intervention et une autorité en la matière.
→ S’il y a un code de vie (de l’école), il doit être appliqué