UA 3 Flashcards
L’hématopoïèse quoi et ou
L’hématopoïèse consiste en la formation et la maturation des cellules sanguines et de leurs dérivés. Les cellules sanguines sont formées principalement dans la moelle osseuse à partir de cellules souches.
Rôles des érythrocytes
Les érythrocytes sont des cellules anucléées et biconcaves. Ils constituent les éléments les plus présents dans le sang (environ 45% du sang).
Durée de vie des érythrocytes
La durée de vie des érythrocytes est en moyenne de 120 jours, ainsi la production quotidienne est d’environ 1/120 du nombre de ceux-ci afin de compenser pour la perte quotidienne.
L’érythropoïèse est principalement régulée par
une hormone nommée l’érythropoïétine (qui est produite par le cortex rénal) ainsi que par les apports en fer, en vitamine B12 et en folates.
Rôle plaquettes
Les plaquettes sont impliquées à plusieurs niveaux dans la coagulation sanguine. Les plaquettes forment les thrombus, fournissent des sites récepteurs spécifiques ainsi que les phospholipides nécessaires à la cascade de coagulation et protègent la thrombine de l’antithrombine.
Le taux normal de plaquettes est chez l’adulte de
150 à 400 x 109/litre.
Relation rate et plaquette
Normalement la rate renferme environ le tiers des plaquettes, ce qui explique pourquoi lorsque la rate augmente son volume, le chiffre des plaquettes au niveau sanguin baisse.
que sont neutrophiles
Les neutrophiles ou leucocytes polymorphonucléaires (PMN) sont les leucocytes sanguins les plus nombreux: ils représentent 50 à 75% des leucocytes sanguins.
Taux moyens neutrophile
Le taux moyen chez l’adulte est de 2000 à 7500 neutrophiles par mm3 de sang (2 à 7,5 x 109/litre).
Rôle neutrophile
La particularité des neutrophiles est qu’ils sont doués d’une mobilité grâce à leurs pseudopodes. La principale fonction des neutrophiles est de prévenir l’invasion par des microorganismes et le cas-échéant, de localiser et d’éliminer ces microorganismes s’ils réussissent à pénétrer le corps. Une chaîne d’événements déclenchée par divers médiateurs module l’activité des neutrophiles. Les neutrophiles sont attirés au site d’infection par des facteurs chimiotactiques (ex : système du complément). Lorsqu’attirés au site d’infection, les neutrophiles ingèrent les microorganismes opsonisés. L’opsonisation est un procédé qui consiste à enduire le microorganisme d’anticorps et d’éléments du système du complément afin de permettre la reconnaissance par les neutrophiles. À la suite de la phagocytose, les neutrophiles relâchent des enzymes qui tuent les microorganismes. Il est à noter que les enzymes lorsque libérées peuvent avoir des effets néfastes sur les tissus environnants.
Facteur croissance neutrophile
Les facteurs de croissance G-CSF (granulocyte colony stimulating factor) et GM-CSF (granulocyte-macrophage colony stimulating factor) peuvent stimuler l’activité des neutrophiles.
Rôle éosinophile
L’activité des éosinophiles est principalement dirigée vers les grands organismes qui ne peuvent pas être phagocytés comme par exemple les parasites. Le cytoplasme des éosinophiles renferme des granulations qui contiennent des protéines cytolytiques et des médiateurs inflammatoires. Comme les neutrophiles, les éosinophiles peuvent également endommager les tissus normaux et induire la dégranulation des mastocytes et la libération d’histamine. Des concentrations élevées d’éosinophiles pour de longues périodes de temps peuvent endommager le cœur et le système nerveux avec parfois même des implications pulmonaires et dermatologiques (ex : pneumonie éosinophilique).
Rôle lymphocyte
Ils sont, en quelque sorte, les maîtres d’œuvre du système immunitaire. Ils coordonnent les réactions immunitaires et synthétisent plusieurs cytokines. De plus, ils peuvent agir directement contre les pathogènes. Les lymphocytes se divisent en deux groupes fonctionnels : les lymphocytes B et les lymphocytes T ou NK. Les lymphocytes B sont responsables de l’immunité humorale alors que les lymphocytes T et NK sont responsables de l’immunité cellulaire.
Différenciation lymphocytes
Les lymphocytes B, suite à une stimulation antigénique, se différencient en plasmocytes qui sécrètent des anticorps spécifiques (immunoglobulines, ex : IgM ou IgG). Les lymphocytes T existent en 2 sous-types: les lymphocytes T auxiliaires ou CD4 (responsables de la maturation des lymphocytes B, de la production d’anticorps et de la régulation des réactions inflammatoires) et les lymphocytes cytotoxiques ou CD8 (responsables d’attaquer directement les pathogènes pour lesquels ils sont formés spécifiquement). Les lymphocytes NK possèdent une activité cytotoxique spontanée. Leur mode d’activation est différent de celui des lymphocytes T CD 8 : ils n’ont pas besoin d’être activés par un pathogène (antigène). Les lymphocytes NK peuvent reconnaître à la surface des cellules 2 types de signal : activateur et inhibiteur (peptide du soi). Ainsi, la reconnaissance d’un peptide du soi inhibera l’activité cytotoxique du lymphocyte NK et protègera les cellules saines.
Monocyte rôle
Les monocytes sont des cellules périphériques en transition entre la moelle osseuse et les tissus. Lorsqu’elles se retrouvent dans les tissus, elles se transforment en macrophages sous l’influence de divers facteurs. Les rôles des monocytes/macrophages incluent la phagocytose des organismes étrangers, l’initiation de la réponse immunitaire, la dégradation des débris cellulaires et la synthèse de cytokines. La phagocytose est donc un phénomène essentiel qui peut impliquer des substances endogènes comme les globules rouges (l’hémolyse physiologique a lieu dans les histiocytes : macrophages qui récupèrent le fer et dégradent l’hémoglobine), les plaquettes (des plaquettes recouvertes d’anticorps peuvent être détruites par les macrophages lors de thrombopénies d’origine immunologique) et les lipides (rôle important dans la formation de la plaque d’athérome). La phagocytose peut également impliquer des substances exogènes comme les bactéries, virus, parasites, champignons ou des particules inertes : charbon, amiante, silice…
Signifiaction hb
Quantité d’hémoglobine par unité de sang.
Signifiaction ht
Volume occupé par les globules rouges dans un volume de sang donné.
Signification VGM
Il s’agit du volume globulaire moyen (taille) des globules rouges. VGM = Ht (Hématocrite) / nombre de globules rouges. Une valeur au dessus des valeurs normales en combinaison d’une hémoglobine abaissée signifie une anémie macrocytaire alors qu’une valeur en dessous en présence d’une hémoglobine abaissée signifie une anémie microcytaire.
Signification TGMH
Il s’agit de la teneur globulaire moyenne en hémoglobine (la moyenne du poids d’hémoglobine contenu dans un globule rouge). Quantité d’hémoglobine / nombre de globules rouges. Cet indice est diminué en présence de microcytose et d’hypochromie.
Signification CGMH
Concentration globulaire moyenne en hémoglobine. (correspond à la saturation du globule rouge en hémoglobine) Quantité d’hémoglobine / volume des globules rouges. Une diminution de cet indice signifie une hypochromie.
IDVE (DVE ou IDE) signification
Indice de déviation du volume érythrocytaire. Plus l’IDVE est augmenté plus la taille des érythrocytes est variable.
Réticulocytes signification
Nombre d’érythrocytes immatures. Leur nombre est affiché en % (valeur relative) ou en quantité absolue (valeur absolue). Cet indice permet d’établir le taux de production d’érythrocytes. Il sera augmenté suite à une destruction ou une perte d’érythrocytes (saignement, hémolyse) et diminué lorsqu’il y a un problème d’érythropoïèse.
Exemple de formule anémie macrocytaire
hb: 62 (normale 140/175)
VGM 113 (80/100)
TGMH 40,6 27,0-33,0
CGMH 361 320-355
DVE 19,7 11,5-14,5
Plaquettes 132 150-400
Quelles sont les deux causes les plus probables de anémie macrocytaire
Les 2 causes les plus communes d’anémie macrocytaire sont la déficience en acide folique ou en vitamine B12. L’histoire suggère une déficience en acide folique étant donné le trouble de l’alimentation et l’alcoolisme mais une déficience en vitamine B12 est également une possibilité. Il est à noter que l’alcoolisme seul (sans déficience en vitamine B12 ni en acide folique) peut causer une anémie macrocytaire.
Quelles autres tests de l’érythropoïèse aimeriez-vous consulter pour anémie macrocytaire
Dosage d’acide folique et de vitamine B12.
Que pensez-vous du décompte plaquettaire? Comment expliquez-vous cette valeur?
GR bas
HB bas
Ht bas
VGM haut
TGMH haut
CGMH haut
DVE haut
plaquettes basses
4) Thrombopénie secondaire à l’alcoolisme est possible. Les alcooliques peuvent avoir un déficit en acide folique par manque d’apport. Un manque d’acide folique ou de vitamine B12 cause une diminution de la synthèse d’ADN et par conséquent, peut diminuer la fabrication de globules rouges mais également des plaquettes et des globules blancs (de façon moins importante).
Que signifie l’élévation de la déviation du volume érythrocytaire (DVE)?
Ceci indique une plus grande variation de la taille des érythrocytes
Quelle est la cause la plus probable d’anémie microcytaire hypochrome
2) Les pertes digestives de sang (méléna) sont la cause la plus probable de l’anémie. Il s’agit de la cause la plus fréquente d’anémie chez les hommes et les femmes post-ménopausées. De plus, dans cette population de patients, une néoplasie gastro-intestinale est présente chez environ 9% des patients
Hématopoïèse:
processus mène à la formation de ces cellules
sanguines (production et maturation):
Ø Extra-médullaire: foie , thymus rate
Ø Médullaire (majoritairement): moelle osseuse
L’érythrocyte
💧 Cellule biconcave, anucléée
💧 Production est initiée et stimulée par l’érythropoïétine (EPO),
hormone produite à 90% par les reins.
💧 Si diminution de l’oxygénation tissulaire, signal envoyé aux reins
pour produire plus d’EPO
💧 Durée de vie moyenne de 120 jours
💧 GR endommagés/en fin de vie: phagocytés par les macrophages
dans la rate, la moelle osseuse et le foie
Hémoglobine composante
Composant majeur de l’érythrocyte
Contient 2 chaînes polypeptidiques α, et 2 chaînes β
Chaque chaîne contient une molécule d’hème
Chaque molécule d’hème contient un ion de fer, qui peut se lier à une
molécule d’oxygène
Rôle hémoglobine
Dans les poumons, l’O2 se lie au fer contenu dans l’hémoglobine,
forme l’oxyhémoglobine, pour livrer l’O2 aux tissus. Dans les capillaires,
lie le CO2, formant ainsi le carbhémoglobine, et le transporte aux
poumons.
Anémie Définition:
Regroupement de pathologies qui ont en commun une baisse de la
quantité de GR ou de leur concentration en hémoglobine aux dessous des
valeurs normales. (limites normales diffèrent selon l’âge/le sexe).
Anémie ≠ une maladie, mais plutôt la manifestation d’une maladie sous-jacente
Anémie résultat
diminution de la capacité du sang à fournir de l’O2 pour répondre aux
besoins physiologiques du corps.
Anémie cause
➢ Perte sanguine
➢ Production défectueuse ou diminuée de GR
➢ Destruction excessive des GR
l’hématocrite
“Quantité de GR”… : l’hématocrite
Hématocrite (Ht) : volume qu’occupent les GR dans un volume
donné de sang total (L /L)
Souvent exprimé en % :
% qu’occupent les GR dans une unité de sang total
➢ Ht diminuée: diminution du volume des GR ou du nombre de
GR, ou une augmentation du volume plasmatique
Signes et symptômes anémie aigue
palpitations, angine, étourdissement, essoufflement, tachycardie, hypotension
signes et symptômes anémie chronique
faiblesse, fatigue, maux de tête, dyspnée à l’effort, sensible au froid
Relation Signes et symptômes et anémie
S&S pas toujours proportionnels à la sévérité de l’anémie: Un
patient jeune et sans problèmes cardiaques ou pulmonaires
pourrait mieux tolérer une anémie légère/modérée.
Formule sanguine complète (FSC)
analyse de sang de base lors
de l’évaluation d’un cas suspecté d’anémie
Décrit la quantité des cellules sanguines et leurs caractéristiques
Anémie hypochrome:
GR faible en Hb, de couleur pâle
Souvent associée à une microcytose (TGMH/CGMH bas avec VGM bas),
mais pas toujours.
Anisocytose érythrocytaire
IDVE (ou DVE ou IDE): permet de décrire la variation du volume
des érythrocytes.
Plus l’indice est élevé, la taille des GR est hétérogène
Anémie microcytaire types
Ch: anémie des maladies chroniques
iP: intoxication au plomb
I: “iron deficiency” anémie ferriprive
T: Thalassémie
S: Sidéroblastique
Ferritine:
protéine responsable du stockage du fer. Chaque
molécule de ferritine peut contenir jusqu’à 4000-4500 atomes de fer
● Diminution de sa concentration sérique (< 10μg/L) = marqueur le plus
précoce et sensible d’une carence en fer:
○ dans la phase initiale d’une carence, le fer stocké est d’abord utilisé. Se
traduit par une diminution de la ferritine sans diminution du fer sérique
● Protéine de phase aiguë positive: ses concentrations augmentent lors
d’un processus inflammatoire (incluant les anémies de type
inflammatoire)
● En absence d’un processus inflammatoire: sa concentration corrèle
avec les réserves en fer
Fer sérique:
concentration de fer circulant dans le plasma, lié
à une protéine de transport, la transferrine
● La concentration de fer sérique reflète un équilibre entre:
○ les apports alimentaires en fer
○ les réserves (ferritine, hémosidérine) les protéines contenant du fer (Hb,
myoglobine, cytochromes, etc)
○ Les pertes, par la voie fécale essentiellement
● Peut être dans les limites inférieures normales même si anémie
ferriprive (prend du temps pour appauvrir les réserves de fer)
● Niveaux de fer sérique sont diminués lors d’infection ou
inflammation.
Ferriprive vs inflammatoire
↓% saturation transferrine: anémie ferriprive et inflammatoire
TINC (capacité totale de fixation du fer sur la transferrine (équivalent à la transferrine totale))
Ferriprive: ↑transferrine,↑TIBC
Inflammatoire: ↓transferrine, ↓TIBC
Frottis sanguin
● Peut être utile comme complément à l’information obtenu
par la FSC et les autres données cliniques
● Échantillon de sang placé sur une lame de microscope, traité
avec un colorant. Permet de voir des différences de tailles,
formes, couleurs, etc.
○ Anisocytose (anomalie de la taille)
○ Poïkilocytose (anomalie de la forme)
○ Polychromatophilie (coloration, hématies bleutées)
○ Inclusions érythrocytaires (corps de Howell-Jolly, corps Heinz)
○ Schistocytes (fragments de GR, lors d’hémolyse)
Réticulocytes
précurseurs immédiats des érythrocytes matures.
● Produits dans la moelle osseuse, libérés dans le sang, en circulation x 1 à 2
jours avant de devenir des érythrocytes matures
● Normalement, environ 1 % (0,5-2%) du nombre total de GR
● Permet une évaluation indirecte du taux de production d’érythrocytes
● Permet de différentier entre les anémies non-régénératives (problème
niveau central) versus les anémies régénératives (problème au niveau
périphérique
Diminution des réticulocytes:
○ Anomalie de l’érythropoïèse (moelle osseuse)
■ anémie ferriprive
■ anémie des maladies chroniques
■ anémie mégaloblastique
Niveau normal ou augmenté des réticulocytes:
○ La moelle osseuse est capable de compenser (↑ sa production),
mais perte ou destruction périphérique
■ anémie hémolytique
■ saignement
si ferritine normale et VGM bas et Transferrine normale =
thalassémie, anémie sidéroblastique,
intoxication au plomb
si ferritine normale et VGM bas et transferrine basse
anémie des maladies chroniques
Hémolyse:
destruction prématurée des érythrocytes
(avant les 120 jours de vie normales)
● S & Sx spécifiques: jaunisse, splénomégalie (site de l’hémolyse),
↑LDH, ↑bilirubine (non-conjuguée)..
● Peut être héritée ou acquise, intravasculaire ou extravasculaire.
Nombreuses causes possibles.
● Une des causes possibles: induit par un médicament
○ mécanisme immun vs métabolique
Anémie hémolytique causée par un médicament, par un mécanisme auto-immun, par exemple:
1ère exposition, le patient créé un anticorps contre un complexe stable du médicament (ex: pénicilline) et une molécule soluble ou une protéine. 2ième exposition, un
complexe immun drug-antidrug est créé, se lie de façon nonspécifique au GR, active un complément et mène à sa destruction.
* Le médicament (ex. méthyldopa) induit la production d’un anticorps dirigé contre un antigène du GR, directement.
Anémie hémolytique causé par un médicament par un mécanisme métabolique (oxydatif):
● G6PD: enzyme qui permet la production de glutathion réduit, un antioxydant important qui protège les GR d’un stress oxydatif.
● Si déficience en G6PD, pas de protection contre un stress oxydatif causé par un médicament à potentiel oxydatif, résulte en une hémolyse.
● ex: Dapsone, metformin, rasburicase, méthylène bleu
Test de Coombs direct
identifier des anticorps et facteurs de complément à la surface des GR
Test de Coombs indirect
identifier les anticorps antiérythrocytaires circulant dans le sérum
Signification résultat test coombs
Positif: anémie hémolytique auto-immune, induit par un médicament, secondaire à une infection, réactions transfusionnelles, maladie hémolytique du nouveau-né
Négatif: anémie hémolytique à médiation non-immunitaire, ou un défaut intrinsèque du GR cause sa destruction (déficience en G6PD ou anomalie membranaire)
Lorsque VGM normal et réticulocytes bas: GB, plaquettes bas
anémie aplasique, cancer hématologique
(leucémie)… biopsie de moelle
Lorsque VGM normal et réticulocytes bas: GB, plaquettes normaux
insuffisance rénale, inflammation ou
infection
VGM élevé et vit B12/B9 normale:
anémie macrocytaire non-mégaloblastique:
Maladie hépatique, réticulocytose, hypothyroïdie, induite par un
médicament, alcoolisme
Vitamine B12 et Acide folique
● Facteurs hématopoïétique exogènes, nécessaires pour que
les érythroblastes se différencient en érythrocytes
● Source principalement alimentaire
● Anémie pernicieuse (carence en Vit. B12)
Facteur intrinsèque (“intrinsic factor”- IF) : Facteur est produit par
les cellules pariétales de l’estomac, se lie à la B12 pour former un
complexe, pour permettre son absorption
● Test anticorps IF: très sensible
● Test anticorps anti-cellules pariétales
● Test Schilling: plus complexe, coûteux, moins fréquent