Trauma et stress Flashcards
A quel exposition peut amener un trouble réactionnel de l’attachement ou une désinhibition du contact social ?
L’exposition à la négligence et la maltraitance peuvent mener à des difficultés dans le développement émotionnel.
A quel exposition peut amener un trouble de l’adaptation ?
L’exposition à des facteurs de stress identifiables (divorce, licenciement…) avec un impact de longue durée par rapport à la norme. Certaines personnes sont en difficulté pour s’adapter à des stresseurs.
A quel exposition peut amener un trouble stress aigu ou un trouble stress post-traumatique ?
L’exposition à la mort effective ou à une menace de mort, à une blessure grave ou à des violences sexuelles.
Quels sont les changement par rapport au DSM 5 ?
Le trouble stress-traumatique sort de la catégorie des troubles anxieux : il y a d’autres émotions en jeu que l’anxiété, telles que le dégoût, la colère…
–> Meilleure définition des événements considérés comme traumatiques (critère A)
–> Augmentation du nombre de symptômes requis (critère C)
–> Création de critères spécifiques à l’enfant de moins de 6 ans
Nouvelle catégorie « les troubles liés à des traumatismes ou à des facteurs de stress.
Le stress se place sur un continuum page 120
Le stress n’est pas mauvais, il est même utile… mais il doit être régulé.
Dans le PTSD, l’individu ne peut plus faire face, sa vie est envahie → il faut être attentif à la persistance et à l’impact sur la vie de la personne.
Quelles sont les caractéristiques générales de l’état de stress aigu et du trouble de stress post-traumatique?
Exposition (directe ou indirecte) à un stresseur extrême (événement traumatique) : militaires, tremblement de terre, agression, accident, condition médicale grave qui a mené aux soins intensifs (ex : covid sévère).
Qu’est-ce que le cas du PTSD complexe ?
La répétition de harcèlement ou de négligence, les assistantes sociales qui rencontrent tous les jours des enfants victimes de violence, etc. peuvent aussi développer les symptômes du PTSD.
Dans le cas clinique de l’homme se faisant agressé, volé et attaché à un arbre, quels sont les caractéristiques centrales qui ont montrer un PTSD ?
–>Symptômes d’INTRUSION : souvenirs, cauchemars, flashbacks… associés à une forte émotion.
–>EVITEMENT des stimuli associés au traumatisme.
–> ALTÉRATION DE LA COGNITION ET DE L’HUMEUR : certaines personnes sont vidées de l’aspect émotionnel et ont l’impression de ne plus aimer leurs proches.
–> HYPERACTIVITÉ NEUROVÉGÉTATIVE : sursaut exagéré, système constamment activé
Est-ce que les symptômes de PTSD peuvent s’estomper avec le temps ? Ex de la femme violée
Elle passe de 94% de femmes a présentées des symptômes de PTSD à 42% après 6 mois.
Ressentir des symptômes de stress après un événement traumatique est normal. Habituellement, ils s’estompent avec le temps.
La différences entre stress aigu et PTSD ?
ATTENTION : Ici, la durée est importante et il faut la connaître !
Les symptômes de l’état de stress aigu doivent persister pendant au moins 3 jours et jusqu’à 1 mois après le trauma
Les symptômes du PTSD doivent persister au-delà d’1 mois.
NB: le ptsd n’est pas le seul trouble qui peut se développer après un évènement traumatique.
50% des personnes qui ont présenté un stress aigu vont maintenir la symptomatologie → PTSD.
L’événement traumatique peut faciliter l’apparition d’autres troubles : dépression, TAG… il faut être attentif à ces événements. Les addictions ne sont pas des symptômes mais des troubles comorbides (elles peuvent aussi être liées à l’évitement).
Quels sont les critères diagnostiques du trouble de stress aigu ?
A. Exposition à la mort effective ou à une menace de mort, à une blessure grave ou à des violences sexuelles d’une (ou plus) des façons suivantes :
1. En étant directement exposé à un ou plusieurs événements traumatiques.
2. En étant témoin direct d’un ou de plusieurs événements traumatiques survenus à d’autres personnes.
3. En apprenant qu’un ou plusieurs événements traumatiques est/sont arrivés à un membre de la famille proche ou à un ami proche.
N.B. : Dans les cas de mort effective ou de menace de mort d’un membre de la famille ou d’un ami, le ou les événements doivent avoir été violents ou accidentels.
- En étant exposé de manière répétée ou extrême à des caractéristiques aversives du ou des événements traumatiques (p. ex. intervenants de première ligne rassemblant des restes humains, policiers exposés à plusieurs reprises à des faits explicites d’abus sexuels d’enfants).
N.B. : Cela ne s’applique pas à des expositions par l’intermédiaire de médias électroniques, télévision, films ou images, sauf quand elles surviennent dans le contexte d’une activité professionnelle.
B. Présence de neuf (ou plus) des symptômes suivants de n’importe laquelle des cinq
catégories suivantes, débutant ou s’aggravant après la survenue du ou des événements
traumatiques en cause :
SYMPTÔMES ENVAHISSANTS
1. Souvenirs répétitifs, involontaires et envahissants du ou des événements traumatiques
provoquant un sentiment de détresse.
2. Rêves répétitifs provoquant un sentiment de détresse dans lesquels le contenu et/ou
l’affect du rêve sont liés à l’événement/aux événements traumatiques.
3. Réactions dissociatives (p. ex. flashbacks [scènes rétrospectives]) au cours desquelles l’individu se sent ou agit comme si le ou les événements traumatiques allaient se reproduire.
(De telles réactions peuvent survenir sur un continuum, l’expression la plus extrême étant une abolition complète de la conscience de l’environnement.)
4. Sentiment intense ou prolongé de détresse psychique lors de l’exposition à des indices internes ou externes pouvant évoquer ou ressembler à un aspect du ou des événements traumatiques en cause.
HUMEUR NÉGATIVE
5. Incapacité persistante d’éprouver des émotions positives (p. ex. incapacité d’éprouver bonheur, satisfaction ou sentiments affectueux).
SYMPTÔMES DISSOCIATIFS
6. Altération de la perception de la réalité, de son environnement ou de soi-même (p. ex. se voir soi- même d’une manière différente, être dans un état d’hébétude ou percevoir un ralentissement de l’écoulement du temps).
7. Incapacité de se rappeler un aspect important du ou des événements traumatiques (typiquement en raison de l’amnésie dissociative et non pas en raison d’autres facteurs comme un traumatisme crânien, l’alcool ou des drogues).
SYMPTÔMES D’ÉVITEMENT
8. Efforts pour éviter les souvenirs, pensées ou sentiments concernant ou étroitement associés à un ou plusieurs événements traumatiques et provoquant un sentiment de détresse.
9. Efforts pour éviter les rappels externes (personnes, endroits, conversations, activités, objets, situations) qui réveillent des souvenirs, des pensées ou des sentiments associés à un ou plusieurs événements traumatiques et provoquant un sentiment de détresse.
SYMPTÔMES D’ÉVEIL
10. Perturbation du sommeil (p. ex. difficulté d’endormissement ou sommeil interrompu ou agité).
11. Comportement irritable ou accès de colère (avec peu ou pas de provocation) qui s’expriment typiquement par une agressivité verbale ou physique envers des personnes ou des objets.
12. Hypervigilance.
13. Difficultés de concentration.
14. Réaction de sursaut exagérée.
C. La DURÉE DE LA PERTURBATION (des symptômes du critère B) est de 3 JOURS À 1 MOIS après l’exposition au traumatisme.
N.B. : Les symptômes débutent typiquement immédiatement après le traumatisme mais ils doivent persister pendant au moins 3 jours et jusqu’à 1 mois pour répondre aux critères diagnostiques du trouble.
D. La perturbation entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
E. La perturbation n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. médicament ou alcool) ou à une autre affection médicale (p. ex. lésion cérébrale traumatique légère), et n’est pas mieux expliquée par un trouble psychotique bref.
Dans les critères diagnostiques du stress aigu, qu’est-ce qui est différents pour les enfants ?
–> Critère B1 : on peut observer un jeu répétitif exprimant des thèmes ou des aspects du traumatisme
–>Critère B2 : il peut y avoir des rêves effrayants sans contenu reconnaissable (pas directement en lien)
Quels sont les critères diagnostiques du PTSD?
A. Exposition à la mort effective ou à une menace de mort, à une blessure grave ou à des violences sexuelles d’une (ou plus) des façons suivantes :
1. En étant directement exposé à un ou plusieurs événements traumatiques.
2. En étant témoin direct d’un ou de plusieurs événements traumatiques survenus à d’autres personnes.
3. En apprenant qu’un ou plusieurs événements traumatiques est/sont arrivés à un membre de la famille proche ou à un ami proche.
N.B. : Dans les cas de mort effective ou de menace de mort d’un membre de la famille ou d’un ami, le ou les événements doivent avoir été violents ou accidentels.
- En étant exposé de manière répétée ou extrême à des caractéristiques aversives du ou des événements traumatiques (p. ex. intervenants de première ligne rassemblant des restes humains, policiers exposés à plusieurs reprises à des faits explicites d’abus sexuels d’enfants).
N.B. : Cela ne s’applique pas à des expositions par l’intermédiaire de médias électroniques, télévision, films ou images, sauf quand elles surviennent dans le contexte d’une activité professionnelle.
B. Présence d’un (ou de plusieurs) des symptômes envahissants suivants associés à un ou plusieurs événements traumatiques et ayant débuté après la survenue du ou des événements traumatiques en cause :
1. Souvenirs répétitifs, involontaires et envahissants du ou des événements traumatiques provoquant un sentiment de détresse.
2. Rêves répétitifs provoquant un sentiment de détresse dans lesquels le contenu et/ou l’affect du rêve sont liés à l’événement/aux événements traumatiques.
3. Réactions dissociatives (p. ex. flashbacks [scènes rétrospectives]) au cours desquelles l’individu se sent ou agit comme si le ou les événements traumatiques allaient se reproduire. (De telles réactions peuvent survenir sur un continuum, l’expression la plus extrême étant une abolition complète de la conscience de l’environnement.)
4. Sentiment intense ou prolongé de détresse psychique lors de l’exposition à des indices internes ou externes pouvant évoquer ou ressembler à un aspect du ou des événements traumatiques en cause.
5. Réactions physiologiques marquées lors de l’exposition à des indices internes ou externes pouvant évoquer ou ressembler à un aspect du ou des événements traumatiques.
C. Évitement persistant des stimuli associés à un ou plusieurs événements traumatiques, débutant après la survenue du ou des événements traumatiques, comme en témoigne la présence de l’une ou des deux manifestations suivantes :
1. Évitement ou efforts pour éviter les souvenirs, pensées ou sentiments concernant ou étroitement associés à un ou plusieurs événements traumatiques et provoquant un sentiment de détresse.
2. Évitement ou efforts pour éviter les rappels externes (personnes, endroits, conversations, activités, objets, situations) qui réveillent des souvenirs des pensées ou des sentiments associés à un ou plusieurs événements traumatiques et provoquant un sentiment de détresse.
D. Altérations négatives des cognitions et de l’humeur associées à un ou plusieurs événements traumatiques, débutant ou s’aggravant après la survenue du ou des événements traumatiques, comme en témoignent deux (ou plus) des éléments suivants :
1. Incapacité de se rappeler un aspect important du ou des événements traumatiques (typiquement en raison de l’amnésie dissociative et non pas à cause d’autres facteurs comme un traumatisme crânien, l’alcool ou des drogues).
2. Croyances ou attentes négatives persistantes et exagérées concernant soi-même, d’autres personnes ou le monde (p. ex. : « je suis mauvais », « on ne peut faire confiance à personne », « le monde entier est dangereux », « mon système nerveux est complètement détruit pour toujours »).
3. Distorsions cognitives persistantes à propos de la cause ou des conséquences d’un ou de plusieurs événements traumatiques qui poussent le sujet à se blâmer ou à blâmer d’autres personnes.
4. État émotionnel négatif persistant (p. ex. crainte, horreur, colère, culpabilité ou honte).
5. Réduction nette de l’intérêt pour des activités importantes ou bien réduction de la participation à ces mêmes activités.
6. Sentiment de détachement d’autrui ou bien de devenir étranger par rapport aux autres.
7. Incapacité persistante d’éprouver des émotions positives (p. ex. incapacité d’éprouver bonheur, satisfaction ou sentiments affectueux).
E. Altérations marquées de l’éveil et de la réactivité associés à un ou plusieurs événements traumatiques, débutant ou s’aggravant après la survenue du ou des événements traumatiques, comme en témoignent deux (ou plus) des éléments suivants :
1. Comportement irritable ou accès de colère (avec peu ou pas de provocation) qui s’exprime typiquement par une agressivité verbale ou physique envers des personnes ou des objets.
2. Comportement irréfléchi ou autodestructeur.* prendre le volant en étant complètement ivre, etc.
3. Hypervigilance.
4. Réaction de sursaut exagérée.
5. Problèmes de concentration.
6. Perturbation du sommeil (p. ex. difficulté d’endormissement ou sommeil interrompu ou agité).
F. La perturbation (symptômes des critères B, C, D et E) dure PLUS D’UN MOIS.
G. La perturbation entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
H. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. médicament, alcool) ou à une autre affection médicale.
Spécifier le type :
Avec symptômes dissociatifs : Les symptômes présentés par le sujet répondent aux critères d’un trouble stress post-traumatique ; de plus et en réponse au facteur de stress, le sujet éprouve l’un ou l’autre des symptômes persistants ou récurrents suivants :
1. Dépersonnalisation : Expériences persistantes ou récurrentes de se sentir détaché de soi, comme si l’on était un observateur extérieur de ses processus mentaux ou de son corps (p. ex. sentiment d’être dans un rêve, sentiment de déréalisation de soi ou de son corps ou sentiment d’un ralentissement temporel).
2. Déréalisation : Expériences persistantes ou récurrentes d’un sentiment d’irréalité de l’environnement (p. ex. le monde autour du sujet est vécu comme irréel, onirique, éloigné, ou déformé).
N.B. : Pour retenir ce sous-type, les symptômes dissociatifs ne doivent pas être imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. période d’amnésie [blackouts], manifestations comportementales d’une intoxication alcoolique aiguë) ou à une autre affection médicale (p. ex. épilepsie partielle complexe).
Spécifier si :
À expression retardée : Si l’ensemble des critères diagnostiques n’est présent que 6 mois après l’événement (alors que le début et l’expression de quelques symptômes peuvent être immédiats).
*Spécifications ajoutées dans le DSM5
Dans les critères diagnostiques du PTSD, qu’est-ce qui est différents pour les enfants de plus de 6 ans ?
–>Critère B1 : on peut observer un jeu répétitif exprimant des thèmes ou des aspects du traumatisme.
–> Critère B2 : il peut y avoir des rêves effrayants sans contenu reconnaissable.
Adaptation des critères pour les enfants de moins de 6 ans
–> Regroupement des critères C & D – abaissement du seuil
–> Abaissement du seuil pour le critère relatif à l’éveil et la réactivité
Les critères qui ont changer pour le PTSD pour les enfants de moins de 6 ans ?
A. Chez l’enfant de 6 ans ou moins, exposition à la mort effective ou à une menace de mort, à une blessure grave ou à des violences sexuelles d’une (ou de plusieurs) des façons suivantes :
1. En étant directement exposé à un ou à plusieurs événements traumatiques.
2. En étant témoin direct d’un ou de plusieurs événements traumatiques survenus à d’autres personnes, en particulier des adultes proches qui prennent soin de l’enfant.
N.B. : Être le témoin direct n’inclut pas les événements dont l’enfant a été témoin seulement par des médias électroniques, la télévision, des films ou des images.
- En apprenant qu’un ou plusieurs événements traumatiques sont arrivés à un parent ou à une personne prenant soin de l’enfant.
B. Présence d’un (ou de plusieurs) des symptômes envahissants suivants associés à un ou à plusieurs événements traumatiques ayant débuté après la survenue du ou des événements traumatiques en cause :
1. Souvenirs répétitifs, involontaires et envahissants du ou des événements traumatiques provoquant un sentiment de détresse.
N.B. : Les souvenirs spontanés et envahissants ne laissent pas nécessairement apparaître la détresse et peuvent s’exprimer par le biais de reconstitutions dans le jeu.
- Rêves répétitifs provoquant un sentiment de détresse, dans lesquels le contenu et/ou l’affect du rêve sont liés à l’événement/aux événements traumatiques.
N.B. : Il peut être impossible de vérifier que le contenu effrayant est lié à l’événement/aux événements traumatiques.
- Réactions dissociatives (p. ex. flashbacks [scènes rétrospectives]) au cours desquelles l’enfant se sent ou agit comme si le ou les événements traumatiques allaient se reproduire. (De telles réactions peuvent survenir sur un continuum, l’expression la plus extrême étant une abolition complète de la conscience de l’environnement.) Des reconstitutions spécifiques du traumatisme peuvent survenir au cours du jeu.
- Sentiment intense ou prolongé de détresse psychique lors de l’exposition à des indices internes ou externes évoquant ou ressemblant à un aspect du ou des événements traumatiques en cause.
- Réactions physiologiques marquées lors de l’exposition à des indices rappelant le ou les événements traumatiques.
C. Un (ou plusieurs) des symptômes suivants, représentant soit un évitement persistant de stimuli associés à l’événement/aux événements traumatiques, soit des altérations des cognitions et de l’humeur associées à l’événement/aux événements traumatiques,
doivent être présents et débuter après le ou les événements ou s’aggraver après le ou les événements traumatiques :
Évitement persistant de stimuli
1. Évitement ou efforts pour éviter des activités, des endroits ou des indices physiques qui réveillent les souvenirs du ou des événements traumatiques.
2. Évitement ou efforts pour éviter les personnes, les conversations ou les situations interpersonnelles qui réveillent les souvenirs du ou des événements traumatiques.
Altérations négatives des cognitions
3. Augmentation nette de la fréquence des états émotionnels négatifs (p. ex. crainte, culpabilité, tristesse, honte, confusion).
4. Réduction nette de l’intérêt pour des activités importantes ou bien réduction de la participation à ces activités, y compris le jeu.
5. Comportement traduisant un retrait social.
6. Réduction persistante de l’expression des émotions positives
D. Changements marqués de l’éveil et de la réactivité associés à l’événement/aux événements traumatiques, débutant ou s’aggravant après la survenue du ou des événements traumatiques, comme en témoignent deux (ou plus) des manifestations suivantes :
1. Comportement irritable ou accès de colère (avec peu ou pas de provocation) qui s’exprime typiquement par une agressivité verbale ou physique envers des personnes ou des objets (y compris par des crises extrêmes de colère).
2. Hypervigilance.
3. Réaction de sursaut exagérée.
4. Difficultés de concentration.
5. Perturbation du sommeil (p. ex. difficulté d’endormissement ou sommeil interrompu ou
agité).
E. La perturbation dure plus d’un mois.
F. La perturbation entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération des relations avec les parents, la fratrie, les pairs, d’autres aidants ou une altération du comportement scolaire.
G. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. médicament, alcool) ou une autre affection médicale.