SCPD Flashcards

1
Q

Décrire quelques éléments de la communication avec le patient atteint de déficit cognitif pour favoriser la rencontre médicale (4).

A
  • Interventions justifiées par l’acceptabilité
  • Approche chaleureuse et détendue
  • Par étape, ne pas surcharger de stimulation et dépasser la tolérance
  • Para-communication: regard, sons, toucher
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2
Q

Mme G. est une dame de 83 ans souffrant de trouble neurocognitif vasculaire,
nouvellement admise en CHSLD. Le personnel se plaint qu’elle est très « agitée ». En explorant le
problème, on décrit principalement qu’elle se promène beaucoup dans l’unité, pénètre dans les
chambres des autres patients.
Parmi les énoncés suivants, lesquels sont vrais?

a) On devrait s’assurer que cette patiente ne souffre pas d’effets secondaires de sa
médication.
b) Une activité physique régulière quotidienne pourrait améliorer ses symptômes.
c) Un neuroleptique atypique ou une benzodiazépine pourraient traiter son problème.
d) Il faudrait discuter avec le personnel de l’instauration de méthodes de réorientation, de
personnalisation de son espace et de possibilités de déambulation sécuritaire.

  1. A et C
  2. B et D
  3. Toutes ces réponses, sauf C
A

réponse : 3. L’errance du résident nouvellement admis est signe d’une tentative d’orientation. Il est nécessaire
d’observer son adaptation au cours des premières semaines et de tenter de déterminer son niveau
d’activité pré-admission. Il arrive qu’un résident ait besoin de faire de l’exercice régulièrement,
surtout s’il était physiquement actif par le passé ou passait beaucoup de temps à l’extérieur. Des mécanismes habituels d’adaptation au stress de type moteurs plus que verbaux sont associés à l’errance. De même, une étude a démontré un taux d’événements de vie traumatiques plus élevé chez les résidents errants. La médication est rarement utile. Toutefois, le résident qui tente de
fuguer peut être psychotique. En présence de symptômes psychotiques, une médication
neuroleptique peut être indiquée. Il faut cependant rester à l’affût de manifestations acathisiques
secondaires à l’utilisation des antipsychotiques, qui pourraient aggraver l’errance. L’errance n’est pas en soi une indication de médication et doit plutôt faire l’objet d’approches comportementales.

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3
Q

M. Têtu, 73 ans est atteint de trouble neurocognitif à corps de Lewy depuis deux ans.
Au début, le patient présentait des hallucinations crépusculaires sous forme d’insectes ou
d’animaux qui le dérangeaient peu. La rivastigmine avait permis d’éliminer ce symptôme. Vous le
revoyez d’urgence à la demande du personnel. Depuis quelque temps, le patient est méfiant,
croit qu’un infirmier a des relations intimes avec sa femme et que les deux complotent pour faire
main basse sur son héritage. Il dira les avoir vu discuter au pied de son lit plusieurs nuits d’affilée.
Il croit qu’ils ont essayé de l’empoisonner et a agressé l’infirmier le matin même, lui fracturant un
bras. Il entretient de telles idées depuis deux semaines, sans évènement précipitant notable.

Quelles interventions seraient pertinentes à ce stade, le bilan médical s’étant par ailleurs révélé
normal ?

a) Assurer la sécurité du patient et du personnel.
b) Commencer la risperidone.
c) Commencer la quétiapine.
d) Commencer le citalopram.
e) Opter pour des approches non pharmacologiques pour contrôler son agressivité.
f) Commencer la mémantine.

  1. A et B
  2. A, B et D
  3. A, C et D
  4. Seulement la réponse D
A

reponse : 3.
L’approche pharmacologique devrait être réservée aux situations où la détresse du résident et les
risques pour le résident ou l’entourage sont élevés comme c’est le cas ici. Les médicaments dont
l’efficacité a été démontrée dans le traitement de l’agitation ou de l’agressivité grave sont en
première ligne les antipsychotiques atypiques, principalement la rispéridone (2 mg, dose plus
efficace). Ici, la quétiapine est préférée au risperdal pour réduire le risque d’aggraver le syndrome
extrapyramidal relié au trouble neurocognitif à corps de Lewy. Un bénéfice a été noté avec la
mémantine sur l’agitation et l’agressivité, mais il n’y a pas d’études contrôlées portant sur cette
molécule pour cette indication. Le citalopram serait également efficace contre l’agitation et
l’agressivité, de façon comparable à certains neuroleptiques.

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4
Q

Mme L., 71 ans, a été admise récemment en CHSLD avec un diagnostic de trouble
neurocognitif d’étiologie multiple (vasculaire et Alzheimer). Elle souffre également
d’hypertension artérielle et d’une maladie pulmonaire obstructive chronique avec surinfection
récente ayant nécessité un traitement aux corticostéroïdes. Sa fille vous appelle parce qu’elle est
inquiète pour sa mère et la trouve changée. Alors qu’avant elle était très sociable et participait à
la vie de l’unité, elle ne sort presque plus de sa chambre, disant ne plus y voir d’intérêt.
Lorsqu’elle la visite, elle la trouve souvent en pleurs, ce que Mme s’empresse de cacher. Son
appétit et son sommeil seraient adéquats selon le personnel. Elle aurait cependant mentionné
désirer mourir « pour ne plus être un fardeau ».
À quels diagnostics devez-vous penser chez cette patiente pour poursuivre l’évaluation?

a) Trouble d’adaptation avec humeur dépressive.
b) Dépression caractérisée.
c) Apathie associée au trouble neurocognitif.
d) Problème médical émergent (ex. : hypothyroïdie).
e) Effet secondaire de sa médication.

  1. B et E
  2. A et C
  3. B, D et E
  4. Toutes ces réponses
A

4.

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5
Q

Lequel des énoncés suivants est vrai ?
a) L’apathie fait partie des perturbations comportementales les plus fréquentes dans les
troubles neurocognitifs.
b) La personnalité prémorbide ne joue probablement pas de rôle dans l’apparition de
perturbations comportementales.
c) L’efficacité de l’approche non pharmacologique a été bien démontrée.
d) On devrait tenter annuellement le sevrage des psychotropes puisque les troubles de
comportement peuvent fluctuer dans le temps.

A

a) est vrai

D’après l’étude du Cache County, les perturbations comportementales les plus prévalentes
sont l’apathie, la dépression et l’anxiété. L’apathie est aussi le symptôme le plus persistant.
L’énoncé b est faux : l’étiologie des perturbations comportementales est probablement
multifactorielle. Des facteurs génétiques, le processus neurodégénératif en soi, des
complications médicales ou médicamenteuses, une fragilité prémorbide (éléments de
personnalité et antécédents psychiatriques), des processus psychologiques et interactionnels
sont probablement impliqués.
L’énoncé c est faux : les biais méthodologiques des études concernant l’approche non
pharmacologique font en sorte qu’il est difficile de tirer des conclusions scientifiques claires.
Toutefois, l’absence de preuve ne signifie pas nécessairement l’absence d’efficacité et les
interventions non-pharmacologiques sont tout de même recommandées en première intention
dans la plupart des guides de pratique.
L’énoncé d est faux : il est conseillé de réévaluer plus fréquemment les psychotropes, soit chaque
trois à six mois.

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6
Q

Énumérez 5 facteurs contributifs possibles des perturbations des comportements
associées aux TNC. (9)

A
  • Nouvelle condition médicale
  • Douleur partiellement soulagée
  • Effets secondaires d’une médication
  • Besoins essentiels auxquels on n’a pas répondu (faim, soif, sociabilité, sécurité)
  • Niveau de stimulation inapproprié (lumière, sons, température, nombre de personnes
    autour)
  • Absence de routine quotidienne prévisible
  • Absence de repères temporo-spatiaux
  • Comportement perturbateur d’autres résidents
  • Isolement ou ennui ; approche non adaptée du personnel soignant
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7
Q

M. Rossignol a 90 ans et il appelle à l’aide continuellement depuis son admission sur votre
unité de soins de longue durée, il y a environ 4 mois. Il présente un TNC vasculaire majeur. Vous constatez que ses comportements vocaux ont évolué. Au début, il
criait seulement le soir. Maintenant, il présente ce comportement sur de longues périodes, durant le jour également, qu’il soit entouré ou non des autres résidents. Cependant, il cesse lorsque sa conjointe ou sa fille sont présentes.

Quels pourraient être le ou les sens possibles de ces comportements vocaux?

A

 La douleur étant très fréquente chez les personnes présentant ces comportements, c’est un des sens possibles.
 Puisqu’il criait le soir, il est possible que cela exprime un besoin physique de se reposer ou de changer de position.
 Le fait que les comportements vocaux cessent en présence de membres de sa famille laisse penser qu’il a probablement des besoins affectifs ou sociaux non comblés ou qu’il
ressent une anxiété qui est apaisée par le contact avec des personnes connues.
 Puisqu’il s’ajuste à un nouvel environnement qu’il pourrait avoir de la difficulté à
comprendre étant donné son trouble neurocognitif, ses comportements vocaux se
caractérisant par un appel à l’aide pourraient refléter un sentiment de grande
vulnérabilité.
 S’il est entouré de résidents lors des comportements, il pourrait vivre une surstimulation,
ou encore une sous-stimulation s’il est souvent seul.
 D’autres sens pourraient aussi être possibles et explorés avec lui et ses proches. Par
exemple, est-ce qu’il aurait pu vivre un traumatisme lors d’un service militaire?

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8
Q

Avec votre équipe, vous discutez pour identifier des interventions pour M. Rossignol. Un des
membres de l’équipe suggère de lui administrer un antipsychotique afin de faire cesser ces
comportements.
Que lui répondez-vous sur la pertinence de ce type d’intervention pour les
comportements vocaux?

A

Le recours aux antipsychotiques a été démontré comme étant peu efficace pour faire cesser les comportements vocaux des personnes âgées vivant avec un TNC. Ils sont donc déconseillés puisqu’ils n’ont pas démontré de bénéfices, mais qu’ils présentent
d’importants risques d’ES pour les personnes âgées, dont des risques de décès ou de sédation excessive qui interfère avec leur qualité de vie.
Avec ce type de comportement, il est préférable d’essayer de comprendre ce qu’exprime le
comportement, ses sens, et de choisir des interventions sociales ou psychologiques, ainsi que
modifiant l’environnement qui sont cohérentes avec ce qu’exprime le comportement.
Toutefois, ta suggestion me rappelle que la douleur est très souvent associée aux comportements vocaux, et cela est une raison justifiant une approche pharmacologique.
Nous pourrions donc évaluer la possibilité que M. Rossignol ait de la douleur et voir si un
médicament approprié ne pourrait pas aider. Nous pourrions aussi penser à y joindre des
interventions non pharmacologiques qui pourraient l’aider s’il a de la douleur, par exemple l’application de chaleur.

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9
Q

nommez 3 types de comportements réfractaires aux antipsychotiques ? (8)

A
  • Errance
  • Fugue
  • Cris
  • mouvements répétitifs
  • Vocalisation répétitives
  • Rituels de collection (collectionner ses crottes de nez par exemple)
  • l’oralité
  • Comportements d’élimination ou habillement inapproprié

https://rushgq.org/wp-content/uploads/2020/06/Annexe_04_Fiche_RUSHGQ_antipsy_SCPD_2ieme_edition_22avril2019_FINAL-1.pdf

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10
Q

Quels sx sont à surveiller lors de l’introduction d’un Antipsychotique ? (4 principaux)

A
  1. Extrapyramidaux (dose dépendante)
    (rispéridone > olanzapine > quétiapine)
  2. Sédation
  3. HTO
  4. Effet anticholinergique

*Ne pas oublier possibilité d’allongement intervalle QT ( ECG souhaitable avant début antipsychotique si FDR)

autres:
Tr. cognitif
Risque de chute
Altération état de conscience
Syndrome métabolique
Prise de poids (Olanzapine et Quétiapine +)
AVC
Infection

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11
Q

Vous travaillez en CHSLD, vous avez introduit Rispéridone 2 mg PO HS il y a 7 semaines pour des comportements violents envers le personnel soignant. (dose cible atteinte il y a 4 sem.) Vous constater que les comportements ne se sont pas améliorés depuis l’introduction de l’antipsychotique.
A. Quel est l’intervalle d’essai afin de conclure à un échec de traitement?
B. Quel est votre plan (Pharmaco)?

A

a. un essai valable de 2 à 4 sem à dose efficace doit être tentée avant de conclure à un échec
b. Sevrage (↓ 10 à 25 % de la dose quotidienne q sem. r/a introduction <12 sem.) et cessation

réévaluation des causes

Possible essai d’une autre AP

référence spécialité géronto-psy PRN

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12
Q

Nomme une intervention non-pharmaco pour chacune des catégories si dessous.

  1. Intervention sensorielle
    2.Activité structurée
  2. Activité physique
  3. Contact sociaux
  4. approche environnementale
  5. Approche comportementale
A

1.Interventions sensorielles:
Musicothérapie, Aromathérapie (ø de PATCHOULI d’Hippie), Massage et toucher thérapeutique, massage des mains,
Luminothérapie

  1. Activités structurées:
    Artisanat, Horticulture et arrangement floral, Thérapie par l’art, Thérapie occupationnelle présentant un intérêt pour la personne (pliage de serviettes, timbrage d’enveloppes, etc.), Manipulation d’objets Stimulation cognitive (orientation à la réalité ; stimulation de la mémoire)
  2. Activités physiques:
    Marche, Danse, Séances d’exercices
  3. Contacts sociaux:
    Contacts humains « un à un », Zoothérapie
    Contact social simulé (photos de famille, vidéos, enregistrements
    sonores)
  4. Approche environnementale:
    Accès à un jardin extérieur (l’hiver c’est toujours la meilleure période pour ca), Aménagement comparable à celui de la maison, Aménagement de repères spatiaux,
    Installation de barrières visuelles
  5. Approche comportementale:
    Renforcement différentiel (comportements désirables récompensés), Approche confort‐stimulation‐distraction
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13
Q

Dans un contexte de SPCD, pour quels raisons les antipsychotiques sont-ils inefficaces ou non indiqués ?

A
  • Cris
  • Errance
  • Trouble du sommeil
  • Résistance aux soins hygiènes
  • mouvements répétitifs
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14
Q

Quels sont les différents sens des cris des personnes ayant un SCPD ?
(que peut exprimer la personne par ses cris) (8)

A
  • Douleur, inconfort
  • Besoins physiques (ex. : élimination, repos)
  • Besoins affectifs et sociaux (ex. : anxiété, solitude)
  • Vulnérabilité (fragilité dans ses relations, difficulté à se
    défendre)
  • Souffrance existentielle (détresse psychologique, deuils multiples)
  • Sur- ou sous-stimulation de l’environnement
  • Insatisfaction quant à un soin ou à une situation
  • Traumatisme psychologique antérieur
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15
Q

Quelles sont les questions à se poser pour un recadrage ? (2)

*recadrage = analyse situation et regarder SCPD de la personne sous un angle différent. Permet parfois de ne plus percevoir les SCPD comme un probléme et aucun intervention n’est alors nécessaire.

A
  • Le SCPD entraine-t-il un danger pour l’ainé ou les autres personnes soignées?
  • L’aîné présente-t-il des signes de détresse psychologique?
  • en quoi le SCPD est-il réellement dérangeant?
  • quelles sont les conséquences négatives réelles ?
  • Qui souffre réellement le plus ? (pt/entourage)
  • Intervention réellement nécessaire ?

https://www.inesss.qc.ca/fileadmin/doc/INESSS/Rapports/Medicaments/Fiche-accompagnement_antipsychotiques.pdf

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16
Q

Quels sont les symptomes extrapyramidaux ? (4)

A

Akathisie
Dystonie
Parkinsonnisme
Dyskinésie tardive

17
Q

vrai ou faux
le NPI-R est un outil utile pour évaluer les SCPD chez un patient hospitalisé sur une unité de longue durée (CHSLD)

A

faux
l’inventaire neuropsychiatrique réduit (NPI-R) est utilisé chez le patient toujours a domicile.
Il évalue les domaines : 1. idées délirantes, 2. hallucination, 3. agitation/ agressivité, 4. dépression/ dysphorie, 5. anxiété, 6. exaltation de l’humeur, 7. apathie/indifférence, désinhibition

18
Q

au combien de temps le dépistage des SCPD devrait être fait en CHSLD ?

A

à l’admission puis au 3 à 6 mois

19
Q

Vrai ou faux
Lors de l’évaluation des SCPD en contexte de CHSLD, il est nécessaires d’évaluer davantage le patient sur le quart du soir pour évaluer le ‘‘syndrome du soleil couchant’’ et ce pendant 1 semaine.

A

FAUX
le syndrome du soleil couchant n’existe pas. Avec un peut plus de sérieux : il est nécessaire d’évaluer un SCPD sur les 3 quart de travail idéalement et ce pendant 2 semaines

20
Q

À l’amorce d’un antipsychotique, quel sont les effets indésirables à surveiller (4) et après combien de temps devrions nous évaluer notre patient ?

A

symptomes extrapyramidaux,
Hypotension orthostatique
Sédation
Effet anticholinergiques

suivi après 2 à 4 semaine d’utilisation
si efficace poursuivre ad 3 mois de stabilité puis rééval.
pour le sevrage : dim graduellement de 25 % aux 2 a 4 semaines ad arrêt ou dose minimale efficace

21
Q

quel antipsychotique est a privilégier chez TNCM a corps de Lewy et Parkinson ?

A

la Quétiapine

22
Q

Vrai ou faux: L’apathie est la manifestation comportementale la plus prévalente chez les pt atteint d’un TNC

A

Vrai

23
Q

Quels sont les sx de l’apathie ? (3)

A

Perte ou diminution des comportements orientés vers un but (manque d’initiative)
PErte ou diminution des activités cognitives orientées vers un but (manque d’intérêt)
Perte ou diminution des émotions

24
Q

Quels sont les redflags à considérer lors d’une prise en charge de SCPD faisant partis de vos premières évaluations ?

A

Dangerosité pour la personne ou autrui
Souffrance psychologique grave
Présence de manifestations cliniques potentiellement liés à un problème de santé physique
Épuisement du proche aidant et capacité à compenser les pertes

25
Q

Quel est le questionnaire utilisé pour les symptômes comportementaux ?

A

Cohen-mansfield

26
Q

Quel est le questionnaire utilisé pour les symptômes psychologiques?

A

NPI-R

27
Q

Décrivez quelques éléments de l’approche de base?

A

Validation
Diversion
Adaptation de l’environnement
Examen de la personnalité pré morbide et histoire biographique
Respecter dignité
Communiquer
Écoute active adapter
Frapper avant d’entrer
Appeler la personne par son nom
Maintenir contact visuel
Ambiance calme
Attitude non menaçante
Aborder la personne face à face
Prononcer clairement une consigne à la fois
Etc…

28
Q

Qu’est ce que le syndrome de Capgras ?

A

Personne de l’unité perçus comme ayant été remplacés par des imposteurs