questions_quiz_partie2 Flashcards
V OU F ; La mémoire à court terme n’est pas influencée par l’aspect phonologique des mots :
FAUX
V OU F Le traitement des mots polysémiques peut nécessiter une réévaluation du sens.
VRAI
Se rappeler un mot est plus simple que se rappeler une suite de lettres
vrai
Les phrases de type « garden path » donnent lieu à des ambiguïtés: a. Prosodiques b. Polysémiques c. Lexicales d. Syntactiques
syntactiques
Le cervelet est impliqué dans la mémoire à court terme
faux
La mémoire procédurale fait référence aux habiletés acquises comme le fait d’apprendre à conduire
vrai
Le CPS est un potentiel évoqué qui reflète :
La fermeture d’un groupe prosodique.
La perception du langage est un système exclusivement « bottom-up ».
faux
L’assignation des rôles thématiques est un processus qui suit l’ordre dans lequel les mots sont présentés. Pour montrer l’indépendance de l’ordre des mots et leur rôle thématique on peut utiliser :
Des phrases passives
Donnez trois composantes de la mémoire à long terme :
Amorçage, mémoire procédurale, apprentissage non-associatif.
Selon l’innéisme, l’environnement nous aide à apprendre le langage.
faux
L’argument de la « pauvreté de stimulus » nous dit que :
L’environnement linguistique est insuffisant pour acquérir le langage
La Grammaire Universelle est un système de principes abstraites qui déterminent les formes possibles que peuvent prendre les grammaires et exclue les énoncés qui n’appartiennent pas aux langues naturelles
vrai
Selon la théorie « Goverment-biding » :
a.
Aucune
b.
Les principes sont les caractéristiques de la GU qui s’adaptent aux particularités de chaque langue
c.
Les paramètres sont les caractéristiques de la GU qui s’adaptent aux particularités de chaque langue
d.
Les paramètres sont les caractéristiques de la GU qui organisent la capacité du langage
c.
Les paramètres sont les caractéristiques de la GU qui s’adaptent aux particularités de chaque langue
Un des erreurs très fréquents des enfants est de généraliser des règles de la grammaire à des « mots exception », comme dans l’application d’un participe passé régulière dans un verbe irrégulier. Le modèle de la « apprenabilité » de Pinker nous montrent que cette situation a son origine dans l’incapacité de la mémoire procédural à annuler le processus génératif.
faux
Dans les approches fonctionnelles :
a.
Être exposé à des input différents se traduit par l’acquisition des langues différentes
b.
L’input est suffisant pour acquérir le langage
c.
Le développement du langage est subordonné au développement cognitif
d.
Toute
d tout
La grammaire constructive de Tomasello prend en compte l’aspect générative de la grammaire, mais non son aspect transformationnel. Donc, la phrase « Le livre a été écrit par mon amie » n’est dérive pas de la phrase « Mon amie a écrit le livre ».
vrai
Lequel n’est pas un processus faisant parti de l’acquisition du langage selon la grammaire constructive?
a.
Labstraction des unites linguistiques
b.
La combinaison des unités connues avec des nouvelles phrases
c.
La correspondance entre les unités identifiées et les catégories grammaticales
d.
L’extraction de caractéristiques en commun
La correspondance entre les unités identifiées et les catégories grammaticales
Dans le connexionnisme, les règles de la grammaire font partie active de la construction des réseaux d’association.
faux
Quel énoncé ne caractérise pas le connexionnisme?
a.
Pour l’acquisition du langage, on modélise explicitement les connaissances innées du langage
b.
La connaissance abstraite se reflète dans les associations formées dans le système
c.
Le modèle fait usage du calcul probabiliste
d.
La structure du modèle est basée sur la structure du cerveau
Pour l’acquisition du langage, on modélise explicitement les connaissances innées du langage
Les trois questions nous aidant à définir un apprenant de la L2 posent sur :
Le contexte, l’âge et le niveau de compétence
La différence entre apprentissage et acquisition de la L2 peut être définie par le contexte d’immersion ou d’apprentissage formel.
vrai
Selon l’analyse contrastive, des structures avec un fonctionnement différent dans la langue cible et de départ se traduisent en des transferts positifs.
faux
Le phénomène observé avec les apprenants japonais de l’anglais L2, qui présentent des difficultés pour différencier /l/ de /r/, peut être expliqué par :
N’étant pas une caractéristique importante dans le japonais, la F3 n’as pas assez de poids dans les connexions du cerveau