Questions De Lecture Flashcards
Expliquez deux arguments développés par Fassin qui remettent en question la définition du châtiment du juriste Hart. - Punir, une passion contemporaine
Expliquez pourquoi Fassin, à partir de son approch généalogique, soutient que « l’infliction de la souffrance […] n’a pas toujours fait partie de la réponse à la violation des codes sociaux et qu’elle procède d’une moralisation de la peine d’inspiration chrétienne » (p. 79)? - Punir, une passion contemporaine
Car pour un certain temps l’infliction d’une souffrance physique était légitime, en effet seulement quelques modèles proposait le contraire. Toutefois, les autres modèles de détention proposaient quant à eu l’infliction d’une souffrance morale qui selon certains était pire qu’une souffrance physique. Elle procède ainsi d’une moralisation de la peine, car l’Église a seulement modifié des termes pour s’ajuster à la réalité et s’immiscer dans la justice pénale en douce. Puisque, comme le dit fassin à la page 77, « pourrait s’interroger sur les traces laissées par le christianisme dans le dispositif légal en remplaçant «politique »par «loi »et «ordre politique »par «dispositif pénal »
Expliquer à l’aide de deux arguments, comment, selon Dubé, la rationnalité du risque remet en question la rationnalité coûts/bénéfices ? - La théorie de la dissuasion remise en question par la rationnalité du risque
• Coûts = joue sur si la personne va oui on non commettre l’acte —> rationnalité = tenir compte des particularités de la situation pour envisager certaines mesures pour diminuer les risques des conséquences négatives (fait naître une impression de contrôle sur l’issue de la situation)
• Mécanismes de gestions de la déception différents, car rationnalité, personne croit qu’elle peut influencé sont sort, alors si conséquence, c’est parce qu’elle s’est trompée à quelque part (mauvais anticipation) + influence aussi l’effet de la dissuasion, car si personne pense quelle peut réduire le risque de se faire prendre, elle va essayer au lieux de seulement ne pas faire l’action
• —> donc la peine n’a aucune influence sur la décision de commettre l’acte ou non puisque s’il y a peine, la personne va focuser sur le processus décisionnel et non la décision du passage à l’acte
• Survalorisation des qualités et aptitudes de la personne concernée
Conclusion
- En prenant les mesures nécessaires les risques peuvent être évités/ contrôlés
- Décision de passer à l’acte parfait raisonnable
- Échec = pas décision d’agir mais bien réflexions des conditions de réalisation de l’acte
Digneffe soutient que nous pouvons trouver deux théories de la peine différentes dans les travaux de Durkheim. Comparer ces deux théories de la peine en identifiant deux caractéristiques qui les distinguent. - la rationalité pénale et la naissance en criminologie
Théories utilitaristes
- Peine = moyen de prévenir le crime (prévention générale et spéciale)
- Risque d’éveiller des sentiments de révolte
- Pein propotionnelle
- Respect du critère = indépendant de la question de l’utilité
Théories rétributivistes
- Peine = effacer la faute commise (compensation, réparation du mal commis)
- Réagit contre la faute
- Réaffirmé la loi —> montrer quelle est sacré
- souffrance, l’intimidation, al proportionnalité de la peine deviennent des caractères secondaires de la peine; ce qui compte, «c’est el sentiment exprimé, et non el signe par lequel il s’exprime»
