QCM - Application clinique système moteur Flashcards
Il est normal que la stimulation de la plante du pied entraine une réponse « en éventail » (extension) des orteils chez un bébé de 5 mois.
Vrai, signe de Babinski est normal en bas de 6 mois.
Suite à un accident vasculaire cérébral, il y a une augmentation de la représentation corticale des muscles atteints
Faux, la non-utilisation d’un membre à la suite d’une parésie diminue la représentation corticale de ce membre.
L’augmentation du tonus suite à un AVC est principalement causée par une contraction simultanée des muscles agonistes et antagonistes
Faux
La spasticité est caractérisée par une augmentation des réflexes tendineux.
Vrai
Suite à un accident vasculaire cérébral, un des facteurs neuronaux contribuant à l’hyper-rigidité est l’hyperréflexie.
Faux, les facteurs neuronaux de l’AVC est la suractivité de la voie réticulospinale et la perte de mouvements fractionnés.
La spasticité est causée par une hyperexcitabilité du réflexe tonique d’étirement.
Vrai
Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une flaccidité.
Vrai, car perte de la contraction musculaire.
Le hoquet est un exemple de myoclonus.
Vrai
Suite à un accident vasculaire cérébral, l’absence d’influence modératrice sur les motoneurones provoque une hyperréflexie (réflexe d’étirement phasique).
Faux, l’hyperréflexie n’est pas un facteur neuronal de l’AVC.
Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une atrophie musculaire.
Vrai, car aucune contraction musculaire (atrophie neurogénique)
Une rigidité de décérébration résulte en une posture en extension des membres supérieurs.
Vrai
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, l’inhibition de la spasticité préalablement au mouvement améliore l’effet d’un entraînement moteur.
Faux
Chez les personnes hémiparétiques après un AVC, un entraînement en renforcement augmente la force et la fonction motrice, sans effet néfaste sur la spasticité.
Vrai
Une lésion du cervelet entraîne une diminution importante de la force musculaire.
Faux, diminution de la coordination et de la fonction posturale.
Une lésion des voies motrices peut causer des contractions musculaires involontaires.
Vrai
Une immobilisation par un plâtre entraine plus d’atrophie qu’une immobilisation causée par une paralysie car le plâtre limite plus la stimulation sensorielle du membre.
Faux, l’atrophie de non-usage permet quand même certaines contractions pour garder la position.
Sur l’EMG, la présence d’unités motrices polyphasiques lors d’une contraction volontaire indique la présence de réinnervation.
Vrai
Une lésion suffisamment haute des voies motrices n’a pas d’impact sur les réflexes produits au niveau de la moelle épinière.
Faux, c’est une lésion suffisamment basse.
Le « forced-use » ou « constraint-induced movement therapy » est beaucoup utilisée chez l’enfant et les populations AVC
Vrai
Une lésion au niveau du cortex moteur provoque principalement des symptômes contralatéraux à la lésion.
Vrai
Une fasciculation est une saccade rapide des fibres d’une unité motrice, visible sur la surface de la peau.
Vrai
Une lésion des motoneurones (inférieurs) entraîne une hyperréflexie.
Faux, c’est une lésion des motoneurones supérieurs qui entraînent une hyperréflexie.
La spasticité est un désordre moteur.
Vrai
Le spasme est une contraction involontaire plus ou moins sévère.
Vrai