Psychopathologie et TCC Flashcards
Qu’est-ce que la taxonomie ?
C’est la science de la classification des organismes. Et les classification, en psychologie s’inspirent de la taxonomie des sciences naturelles.
Darwin, et la taxonomie…
Parle de l’importance de la taxonomie pour classer les espèces de végétaux, en faisant des dessins détaillés des espèces.
Quel est l’étymologie du mot taxonomie ?
Taxis ce qui signifie ordre.
Nomos ce qui signifie règle.
Que signifie morbus ?
Cela signifie maladie/pathologie.
Comment peut-on définir la maladie/pathologie ?
C’est une altération de l’état normal, qui se manifeste par des signes et des symptômes.
Que dit Thomas Sydenham à propos des maladies ?
Il explique que les maladies sont des catégories naturelles, car elles peuvent être décrites et se distinguer par des signes discriminant.
Définition d’une maladie.
Ensemble de signes et symptômes observables et réguliers avec une évolution prévisible.
Hystérie, manie, mélancolie = maladie naturelles
À propos de William Cullen…
À l’origine du premier système de nosologie médicale.
Insiste sur le fait qu’il faut trouver la causalité des maladies et pas juste. Décrire les symptômes.
Les troubles sont regroupés avec les troubles neurologiques, sous le nom de névrose ou affliction du système nerveux.
En quoi la catégorisation est-elle utile en médecine ?
Appliquer un traitement efficace.
Informer le patient du pronostic.
Favoriser la formation et la recherche.
Estimer le taux de prévalence.
Communication patience/médecin.
Organiser les systèmes de santé.
Quelles sont les trois questions que l’on se pose en médecine et quelle est la différence avec la psychologie ?
Normal/pathologique ?
Critères distinctif ?
Quelles étiopathogénie (cause) ?
En psychologie, on ne peut pas regarder le cerveau du patient. Donc on écoute, c’est le principe de subjectivité.
Pourquoi est-ce que c’est compliqué de catégoriser les troubles psy ?
C’est difficile de faire la différence entre le normal et le pathologique.
Les commorbidités sont fréquentes.
La cause est souvent complexe et méconnue.
À propos d’Hippocrate…
A décrit la manie et la mélancolie.
Partie du postulat, il y avait quatre tempérament liées aux fluides corporelles (sanguin, bile noire, bile jaune, flegme).
Donc à chercher à trouver une cause et à pratiquer des soins grâce aux saignées
Quels sont les apports de Sydenham et Cullen ?
Sydenham nous apporte la classification.
Cullen nous parle de l’importance de la classification et des causes sous-jacente des maladies et propose le terme de névrose.
Qu’est-ce que nous introduit Pinel ?
Il propose la première classification pré moderne. Les troubles mentaux sont regroupés en quatre classes : mélancolie, manie, idiotie, démence.
Qui est l’origine de la notion de traitement moral pour les malades ?
Il s’agit de Pinel.
Comment Pinel souhaite-t-on que l’on s’occupe des malades ?
Il propose un traitement moral, il faut faire tomber les chaînes des aliénés.
Il faut arrêter de stigmatiser et de violenter les malades, et plutôt chercher à les isoler et les protéger d’eux-mêmes.
Quelle est la remarque que font les médecins à Pinel ?
Pour eux, si les maladies psychiatriques sont des vrais maladies, alors elles doivent être traitées avec des moyens physiques et pas moraux.
À propos de Georges T…
Selon lui, il faut faire la distinction entre les troubles psychologiques organiques et les troubles psychologiques non organiques.
À propos de Kraepelin…
Il s’intéresse aux quatre troubles psychiatriques décrit par Pinel, ainsi qu’aux autres troubles psychiatriques sévère.
Quel est le point sur lequel Kraepelin insiste ?
Il faut voir l’évolution du trouble dans le temps pour comprendre comment ça fonctionne.
Exemple : il remarque que certaines pathologies comme la schizophrénie évoluent vers une démence (déclin progressif).
Alors que les gens maniaque ou mélancolique ont des moments de vie normale entre deux épisodes.
À propos de Charcot, Freud et Jannet.
Neurologue qui ont un intérêt pour les troubles psychiatriques.
Insiste sur la différence entre les convulsions épileptiques et les convulsions hystériques.
On fait l’hypothèse que l’étiologie des troubles sont liés à des souvenirs traumatiques accessible par l’hypnose.
Comment Charcot et Freud catégorisent-ils l’épilepsie, l’hystérique, la névrose et la psychose ?
Épilepsie : cause organique
Hystérique : cause psychogène
Névrose : origine psychogène
Psychose : origine psychiatrique avec un soubassement biologique.
Qu’est-ce que le DSM ?
Manuel des classification psychiatrique.
Qu’est-ce que la CIM ?
Classification internationale des maladies fait par l’OMS.
Histoire et contexte du DSM I.
Apparait en 1952, aux USA.
La psychanalyse est à la mode, les psy ont besoin de légitimité.
Après la guerre, on observe le trouble PTSD, en se sert donc de ce manuel pour améliorer la communication entre les techniciens et faire la sélection dans l’armée.
Description du DSM I.
Basé sur un consensus entre psychologue.
102 catégories diagnostic divisée en 2 catégories : les troubles organiques et les troubles liés à des difficultés d’ajustement avec les psychose et les névroses.
Dans le DSM I, à quoi correspondent les psychoses et les psychonévroses ?
Psychose : maniaco-dépressive, schizophrénie.
Psychonévrose : anxiété, dépression.
Comment peut-on décrire les catégories dans le DSM I ?
Elles sont très pauvres et les causes sont organiques et psychosociales.
Comment est considéré l’homosexualité au fur et à mesure des DSM ?
DSM I : c’est un trouble de la personnalité sociopathique.
DSM II : une déviance sexuelle
DSM III : l’homosexualité est égo dystonique.
DSM IV : l’homosexualité n’est plus considéré comme égo dystonique.
Que veulent dire les psychologues quand ils parlent d’une homosexualité égo dystonique ?
Cela signifie qu’il y a une homosexualité pathologique et homosexualité non pathologique. Si l’homosexualité est source de souffrance alors elle est pathologique.
Que pense Freud à propos de l’homosexualité ?
Pour lui, ce n’est pas une maladie, mais le résultat d’une immaturité du développement sexuel.
À propos du DSM II.
Apparaît en 1968.
Abandonne le terme de «réaction» qui est un terme psychanalytique.
Les troubles ont toujours une origine psychogène.
Caractéristiques principales des DSM I et II.
Catégorie large/peu défini.
Étiologie basée sur la psychanalyse - limite le traitement car postulat de l’inconscient.
Le terme de réaction est abandonné.
Contexte et nouveauté du DSM III.
On a fini les catégories et on arrête de tout psychiatriser.
On différencie les troubles et on veut savoir comment est-ce qu’on les traite.
Déclin de la psychanalyse pour la psy, psychologie scientifique.
Découverte du lithium et de ses effets bénéfiques sur les troubles bipolaires.
Description du DSM III.
A descriptif et a théorique.
265 catégories avec des définitions précises.
Validité du diagnostic et fidélité inter-juge.
Basé les données empiriques recueillies.
On ne mentionne pas l’éthologie si on ne la connaît pas.
Modèle bio-psycho-sociale des troubles.
Description du DSM IV.
Apparaît en 1994.
410 catégories diagnostic.
On passe la littérature en revue pour faire des diagnostics, on regarde si les critères doivent être modifiés et on regarde si il y a une adéquation entre le diagnostic et la pratique clinique.
Quelle est la notion introduite dans le DSM IV ?
Notion de détresse et d’impact significatif sur le plan social, professionnel et dans d’autres domaines importants du fonctionnement.
Signifie que sans impact sur le fonctionnement, ce n’est pas un trouble.
Quelles sont les trois éléments pris en considération dans le DSM IV ?
Critère, durée, impact.
Description du DSM V.
300 catégories.
L’approche n’est plus catégorielle, mais dimensionnel.
On regroupe les troubles.
Les découvertes génétiques nous permettent de repérer des combinaisons de gêne, responsable des maladies.
On s’intéresse à la sévérité des troubles.
En quoi consiste l’approche catégorielle ?
L’approche catégorielle est dichotomique. On est malade ou on l’est pas.
En quoi consiste l’approche dimensionnelle dans le DSM V ?
On part du principe qu’il y a un continuum entre le normal et le pathologique. Exemple : continuum entre la timidité et l’anxiété sociale.
Évolution de la catégorisation de l’autisme au fur et à mesure des DSM.
DSM I : schizophrénie infantile.
DSM III : autisme, infantile
DSM IV : troubles envahissants du développement
Aujourd’hui, l’autisme n’est pas un trouble psy, mais un trouble d’une neuro développement.
Aujourd’hui, comment est considéré le trouble dans le DSM ?
Le trouble est considéré comme une majoration d’une chose chez un individu. Si il y a pathologie, il y a une majoration du trouble.
Comment expliquer l’évolution des DSM ?
Découverte génétique et biologique.
Manifestation.
Traitement qui était inadapté, car on signait les gens avec une conception psychanalytique des troubles.
Quelles sont les questions que posent la catégorisation ?
Est-ce que le modèle théorique est bien et est-ce que ça n’aboutit pas à un sur diagnostic ? Exemple : Beaucoup plus de diagnostic de troubles anxieux dans le DSM V que dans le DSM III.
Est-ce qu’il y a des catégories de maladie plus naturelles que d’autres ? Exemple : le trouble bipolaire est naturel, universel et biologique. Ce n’est pas une construction sociale. Alors que l’hystérie a disparu.
Quels sont les avantages de la catégorisation ?
Facilite l’emploi
Facilite la communication
Facilite la recherche
Quels sont les inconvénients de la catégorisation ?
Difficile de faire la différence entre le normal et le pathologique
Comorbidité fréquente
Quelle étiologie
Quelles sont les alternatives au DSM ?
Le RDOC
Le HITOP
La non classification
Description du RDOC
Modèle dimensionnel
Les catégories sont basées sur une explication des troubles avec une étiologie connue.
Basée sur des connaissances en génétique et en neurosciences, plutôt que sur les symptômes.
Description du HITOP.
Modèle dimensionnel.
Catégorie ne se font pas à partir d’un consensus entre les experts, mais à partir des données statistiques recueillies. Ce sont les chiffres qui doivent faire les catégories.
Description de la non classification.
On conceptualise des cas individuels.
On a connaissance des processus psychologiques.
On prend en compte les facteurs biologiques sociaux et la vie du patient pour adapter le soin, et on a pas besoin de catégorisation pour traiter une personne.
Quels sont les facteurs auquel on s’intéresse en TCC ?
Prédisposition
Protection
Précipitant
Comportement problème
Perpétuation
En tant que psychologue TCC, qu’est-ce que l’on utilise ?
On utilise la catégorisation pour faire l’analyse fonctionnelle.
On se sert de nos connaissances + du modèle et on prend en compte le patient.
L’immigration volontaire c’est quoi ?
Personnes qui viennent pour le travail, les études, le regroupement familial.
Les migrations forcées, c’est quoi ?
Personne qui quitte leur pays à cause de la politique, de la guerre, qui sont déportés.
Que peut-on dire sur les personnes migrantes ?
Elle souffre plus d’anxiété et de dépression.
Elle souffre 2 à 5x plus de psychose.
Elles sont moins vite orientées vers des centres de crise que les autres.
Que peut-on dire des personnes exilée ?
Elles sont plus vulnérables aux maladies psychiques par rapport aux migrants et à la population générale. C’est encore plus le cas pour les femmes, les LGBT, les chômeurs, les gens a faible revenus…
Le risque est plus élevé d’avoir une pathologie et de ne pas être soigné.
Quel est l’impact des différences culturels sur le soin ?
Difficultés dans la communication médicale.
Diagnostic plus compliqué.
Stéréotypes et discrimination.
Inégalité des soins.
Définition de la culture.
Caractéristiques de la vie quotidienne d’un groupe de personnes liées dans le temps et dans l’espace qui partagent un système de signification commun (politique, morale, juridique, éthique).
Quel est le point important à noter à propos de la culture ?
On ne se rend pas compte de sa culture avant de se confronter à une autre !
En terme de pathologie, sur quoi la culture a-t-elle une influence ?
Le normal et le pathologique
La façon de s’exprimer
Les causes et modèles explicatifs
La façon d’y faire face
L’interprétation qu’on a de la maladie et du besoin d’aide
Ce qu’on considère être un soin
Quels sont les trois niveaux dans le modèle explicatif de la maladie de KLEINMANN ?
ILNESS : niveau du patient - comment ils interprètent et exprime les symptômes.
SICKNESS : comment la société juge est se positionne sur la maladie.
DISEASE : conception que les professionnels de la santé ont de la maladie.
À quoi faut-il faire attention lorsque l’on prend en charge des personnes étrangères ?
Il faut faire attention à la façon qu’on interprète ce qui est dit. La façon d’exprimer sa souffrance et culturelle. Exemple : je vais tomber dans les pommes. Si on prend ça de manière littérale, on pourrait penser que la personne est folle. Mais pour une personne française c’est OK.
Il faut faire attention à ne pas catégoriser les gens trop vite, même si ce qu’ils nous disent peut nous faire penser à de la psychose et ne pas hésiter à refaire un diagnostic.
Que permettent les modèles explicatifs des troubles psychologiques ?
Améliorer le diagnostic
Succès de la thérapie
Meilleure relation patient-thérapeute
Moins d’interruption de la thérapie
Comment sont les modèles explicatifs dans la culture occidentale ?
Les modèles explicatifs sont biologiques, génétique et psychosociaux.
Comment sont les modèles explicatifs dans la culture orientale ?
Modèle explicatif sont religieux/surnaturel. On parle de volonté de Dieu, de mauvais esprit de malédiction.
Quel est le type de question que KLEINMANN nous invite à poser lors d’un entretien ?
Comment appelez-vous votre problème de santé ?
Que pensez-vous de la cause ?
Comment votre problème se manifeste ?
Que craignez-vous le plus avec ce problème ?
Quel traitement pensez-vous que vous devriez recevoir ?
Un diagnostic sensible à la culture est aussi un diagnostic sensible au contexte. Quelles sont les facteurs à prendre en compte lorsqu’il s’agit du contexte ?
Contexte personnel (santé, qualité de vie)
Contexte physique et social (professionnel, communauté, proche)
Organisation et réseaux (hébergement, milieu de travail)
Contexte politique économique (valeur, contexte politique, culturel et social)
Description des cultures collectiviste.
Grande famille, sentiment d’appartenance, loyauté et protection.
Évitent le conflit.
Communique uniquement lors des situations de problèmes.
La violation des règles est une honte pour soi et pour la famille.
Les relations sont prioritaires sur les tâches et obligations.
Description des cultures individualistes.
Chacun grandit pour soi, sentiment du moi très fort.
Exprimer son opinion et signe d’honnêteté.
Communication, même quand il n’y a pas de problème.
La violation des règles en train de la culpabilité et une perte d’estime de soi.
Les devoirs et les obligations ont priorité sur la relation.
Modèle migratoire de SLVZKI
Décrit les différentes phases de migration et les différents types de stress associés à celle-ci.
Phase de transit et phase post-migratoire sont des facteurs déclencheurs de troubles psychiatriques.
Qu’est-ce qui explique les troubles psychologiques chez les migrants ?
Avenir et séjour incertain.
Déracinement et crise identitaire.
Réseau social réduit.
Problème de compréhension.
Perte de statut.
Conflit familiaux/couples.
Difficultés pour trouver un emploi et un logement.
Traumatisme.
Discrimination.
Selon le modèle de Berry et al, quels sont les 4 orientations d’acculturation ?
Assimilation.
Marginalisation.
Intégration.
Ségrégation.
Définition de l’assimilation.
Entrer en contact avec une nouvelle culture et oublier la sienne.
Définition de la marginalisation.
Ne pas vouloir rentrer en contact avec la nouvelle culture et ne pas vouloir garder la sienne.
Définition de l’intégration.
Entrer en contact avec la nouvelle culture et garder la sienne.
Définition de la ségrégation.
Ne pas entrer en contact avec la nouvelle culture et vouloir garder la sienne.
L’assimilation et la marginalisation amène à…
Une tendance à la dépression.
L’intégration et la ségrégation amène à…
En effet plutôt producteur
Quels sont les compétences que doivent avoir les psychologues et à quoi doivent-ils faire attention à des patients étrangers ?
Les psys doivent avoir des compétences trans culturelles pour comprendre les valeurs, attitude et croyances de chaque culture.
Ils doivent avoir conscience que leurs valeurs sont relatives et être inconscient, de l’impact de notre propre culture et des soucis spécifiques que rencontre les migrants.
Les maladies sont des constructions et évoluent avec le temps. Il faut être capable de remettre en question notre perspective pour éviter des erreurs de diagnostic.
Quels sont les 2 types perspectives que l’on retrouve dans les classifications ?
Perspective éthique.
Perspective émique.
Classification : perspective éthique, explication.
Les chercheurs adapte d’un point de vue externe à la culture et différencient fortement la culture et l’individu. C’est deux entités différentes.
Classification : perspective émique, explication.
Idée que la culture n’est pas externe à l’individu et qu’on est tous influencé. On ne peut pas dissocier la culture et l’action de l’individu et on est obligé de prendre en compte la culture de l’individu pour comprendre sa maladie.
Prise en compte de la diversité culturelle dans le DSM.
DSM II : incohérence dans les diagnostics entre différents pays.
DSM III : existence de syndrome liés à la culture + introduction de l’Outline pour fournir un cadre pour évaluer les informations culturelles.
DSM IV : concept culturel de la détresse + une section sur la culture.
Quelles sont les faiblesses du DSM et de notre pratique en tant que psychologue ?
Les échantillons pris dans nos tests sont à 95 % composé de gens blancs et occidentaux. Ce qui représente 12 % de la population mondiale.
Notre vision occidentale est très normative et tout ce qui est en dehors du cadre et tout de suite pathologique.
Question de savoir qui détermine ce qui est normal et ce qu’il n’est pas.
Le genre, et la classe sociale ne sont pas pris en compte.
Qu’est-ce que la psychopathologie cognitive ?
Appuie sur les connaissances outils et méthodes de la psychologie expérimentale pour étudier les troubles.
Quelle est la pensée de Beck et Ellis ?
Ils font partie de la vague cognitive. Pour eux, les processus cognitifs sont au cœur de la psychopathologie (biais cognitif, perception distordue…)
Quelle est la différence entre l’approche catégorielle et l’approche transdiagnostic ?
Approche catégorielle : centrée sur une constellation de troubles.
Approche transdiagnostic : centré sur les processus commun affectés dans les différents troubles.
En quoi consiste l’approche transdiagnostique/processuelle ?
On s’intéresse au mécanisme commun, altéré dans différents troubles. Dans tous les troubles il y a des symptômes communs et des régions cérébrales, communes impliquées.
Quels sont les deux principes de l’approche trans diagnostic ?
On s’en fout du diagnostic.
On part du principe que les facteurs de maintien sont spécifiques à un troubles un cas donné.
Grands principes de l’approche transdiagnostic ?
Le diagnostic n’est pas nécessaire car on peut traiter le trouble en soi.
Les mêmes variables sociales/cognitive/émotionnel sont impliqués dans un tas de troubles.
On s’intéresse aux processus commun.
Que nous dit Haise à propos de la recherche?
Selon lui, les processus commun d’éthologie et de maintenance devraient être à la base de la recherche clinique.
Quel type de processus commun retrouve-t-on dans les différentes pathologies ?
L’évitement des ressentis.
L’évitement des pensées/sensation/émotion.
Un. Focus intentionnel, tourné vers soi.
Si les mécanismes sont communs entre différents troubles, comment expliquer le fait que tous les troubles ne se présentent pas de la même façon ?
S’explique par le fait que les mécanismes sont communs mais que les préoccupations sont différentes d’un trouble à un autre. Chaque trouble est associé à une préoccupation principale.
Ce qui différencie un trouble d’un autre, c’est comment le mécanisme commun entre en interaction avec la préoccupation.
Exemple : troubles panique-préoccupation–sensation corporelle.
Exemple : TCA–préoccupation–le poids
Quels sont les avantages de l’approche transdiagnostic ?
Idée d’un continuum entre le normal et le pathologique.
Donne une explication aux problèmes de la comorbidité dans les troubles.
Chaque scientifique bénéficie un ensemble de troubles.
Permet d’identifier des facteurs cibles dans la thérapie.