Entretien et Bilan Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que l’on peut dire à propos de l’entretien clinique ?

A

Situation programmée.
Compétences particulières des deux personnes.
La demande vient du patient.
C’est un outil.

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Q

En quoi l’entretien clinique est-il différent des autres entretiens ?

A

Modalités de mise en contact
Visée de la mise en contact
Protagoniste

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3
Q

Que veut dire Benjamin Jacobi, quand il parle de l’entretien clinique comme l’instauration d’un lien ?

A

Instauration d’un lien par l’échange, la parole et le langage.

Dans l’entretien, une action se déroule. La parole est formulée par une personne pour une autre personne.

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4
Q

Que signifie la réciprocité du contact dans l’entretien ?

A

La parole est formulée par une personne pour une autre personne.

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5
Q

Comment peut-on résumer l’entretien clinique ?

A

Situation de rencontre entre deux personnes où l’on utilise le langage et la parole, et l’on reconnaît la compétence de l’une et de l’autre qui est sollicité pour s’exercer.

D’un côté, la compétence du psychologue et de l’autre côté, la demande du patient.

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6
Q

En quoi la relation d’un entretien n’est pas symétrique ?

A

On vient en entretien pour fonction que le psychologue occupe. Cette fonction nécessite une formation. Permet de prendre certaines positions dans le dialogue.

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7
Q

Dans un entretien, qu’est-ce qu’il est important de faire ?

A

On est d’abord son propre savoir.
On fait preuve d’accueil d’écoute et de sérieux.
On abandonne nos idées.
On aborde le sujet dans sa globalité, on ne le réduit pas à ses symptômes.
On prend soin de la dimension psychique du patient.

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8
Q

Quelles sont les différentes paramètres à prendre en compte dans un entretien ?

A

Le contexte (médical, emploi)

La visée (évaluation, bilan, soutien)

La méthode (directif, semi, directif, non directif)

Le nombre de personnes concernés (individus, groupe)

Le domaine (psychologie, social, psychanalyse, sociologie)

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9
Q

Que peut-on dire à propos de la psychologie clinique ?

A

Le centre d’intérêt et la personne dans sa dimension psychique.

Formation et recherche sur la vie psychique normale et pathologique.

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10
Q

Quels sont les deux processus identifiés par Freud au sujet de la pensée ?

A

La volonté de la pensée et le sentiment de la pensée.

Cette pensée, cette volonté sont inconsciente et se manifeste dans les symptômes. Elles se constituent dans le contact avec autrui.

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11
Q

Comment est considéré le psychisme ?

A

selon Freud, il est régi par trois instances : le CA, le MOI et le SURMOI.

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12
Q

Que peut-on dire à propos de la psychanalyse ?

A

Introduite par Freud.
Permet d’investiguer des processus mentaux qui sont à inaccessible autrement.
Série de concept psychologique qui s’accroît pour former une nouvelle discipline.
La parole est centrale en psychanalyse.

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13
Q

Pourquoi la parole est centrale en psychanalyse ?

A

Car c’est le lieu où la dimension psychique en mouvement peut être saisi. Dans la rencontre est dans la parole, la personne va signifier quelque chose d’elle-même et de sa vie psychique.

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14
Q

Envoie la relation entre le psychologue et le patient est aussi une relation symétrique ?

A

Car le psy ne peut pas se passer de son propre appareil psychique. Il doit être attentif à ses mouvements psychique et à ce qu’il ex éprouve. Question du contre transfert.

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15
Q

Que signifie REIK quand il parle d’une écoute avec la troisième oreille ?

A

Idée que dans l’entretien la tension et l’écoute est particulière. On a besoin de ça pour explorer la dimension psychique.

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16
Q

Que peut-on dire de manière générale à propos de la parole ?

A

Elle englobe la personne en entier. On ne peut pas séparer une personne de ce qu’elle dit.

On est toujours en train d’écouter et de dire en même temps.

Elle est le résultat d’une pensée consciente et inconsciente.

Elle permet la constitution d’un lien/rapport avec autrui.

Elle est infini.

Elle est le lieu où se creuse le sens.

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17
Q

Qu’est-ce que l’énonciation ?

A

Appropriation de la langue pour signifier quelque chose sur le plan psychique.

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18
Q

Qu’est-ce que le potentiel créatif de la parole ?

A

Idée que la parole est soumise à la contrainte et la liberté. Contrainte car on l’utilise pour parler mais libertés car l’expression est limité.

Idée qu’il n’y a pas de parole hors sujet/sans sujet.

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19
Q

Que signifie la phrase : « le sujet et sa parole. » ?

A

Idée qu’il y a des manifestations psychiques inconsciente dans ce qu’on dit.

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20
Q

Qu’est-ce que l’homophonie dans la parole ?

A

Mot/séquence de mots qui peuvent avoir des sens différents. Question du double sens et de l’inconscient.

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21
Q

Selon Freud, qu’est-ce que le mot d’esprit ?

A

Il s’agit de manifestations inconsciente destinées à un autre.

C’est la plus sociale des activités psychiques.

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22
Q

Que signifie le concept d’oreille nue ?

A

C’est l’idée d’une oreille qui est dans une démarche exploratoire de l’appareil psychique. Il faut permettre à la réalité psychique de se déployer. L’écoute ne doit pas être passive puisque la parole est constituée de cette réalité psychique.

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23
Q

Que doit permettre l’entretien ?

A

Il doit permettre le déploiement libre de la parole.

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24
Q

Quels sont les deux niveaux de la parole et en quoi ça consiste ?

A

Niveau de la communication : personne raconte quelque chose de logique/communique.

Niveau de l’inconscient : dans ce que raconte la personne, elle signifie quelque chose d’elle-même, et ça nous permet de savoir comment elle se situe psychiquement/par rapport au monde.

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25
Q

En tant que psy, qu’est-ce que l’on doit faire dans un entretien de très important ?

A

Il faut laisser le jugement et le raisonnement de côté. Ne pas chercher à toujours trouver du sens tout de suite et savoir s’effacer. Ne pas mélanger sa subjectivité à une autre directement.

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26
Q

Qu’est-ce que l’attention flottante chez Freud ?

A

Attention en égal suspens.

Idée qu’il ne faut pas porter son attention sur quelque chose en particulier.
L’écoute ne doit pas être sélective.
Il ne faut pas sélectionner le matériel qui est offert.

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27
Q

Pourquoi est-ce qu’il ne faut pas être sélectif dans son intention et dans son écoute ?

A

Parce que le matériel qui est offert et que l’on sélectionne correspond à nos attentes et nous nous permet pas de trouver quelque chose de nouveau et d’inconnu.

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28
Q

En quoi l’attention flottante est-elle avantageuse ?

A

C’est une forme d’attention qui est moins fatigante et qui mobilise une mémoire qui est inconsciente.

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29
Q

Les erreurs de mémoire, c’est quoi ?

A

Lorsqu’il y a une interférence avec les éléments du psy. Montre que la tension flottante n’a pas été respectée.
Il faut écouter sans se préoccuper de savoir si on va retenir ou pas.

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30
Q

Qu’est-ce que la notion d’après coup ?

A

Idée que ce qui a été entendu, fais sens plus tard dans un second temps. L’écoute est un opérateur clinique.

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31
Q

Que peut-on dire à propos de la libre association ?

A

Doit permettre à la parole de se déployer sans se soucier de savoir ce qui est communiqué.

Et sous la contrainte psychique (résistance/réticence).

Et soumise à la situation analytique et les idées qui viennent aux patients sont en rapport avec la situation.

32
Q

En quoi le rébus est-il intéressant ?

A

Permet de déchiffrer ce qui est dit.
Aborde le langage autrement.
Sépare le signifiant du signifiant.
Montre les usages/sens possible du langage.

33
Q

Selon REIK, à quoi renvoie les rébus ?

A

Renvoie à l’attention suspensive et l’attention flottante.

On suspend la question du sens.
En suspend l’interprétation pour se laisser surprendre par des informations qui ne sont pas forcément évidentes à la première écoute.

34
Q

Que nous explique REIK sur le retrait de l’attention ?

A

Le retrait de l’attention n’est pas synonyme d’inattention. Il nous rend disponible pour des stimulis inconscient/inconnu.

35
Q

Quel est l’intérêt de ne pas interpréter tout de suite ?

A

Cela nous laisse du temps pour comprendre ce qui se dit et le lien qu’il y a avec les pensées. Car les pensées et la parole sont deux choses différentes.

36
Q

Quels sont les trois notions à distinguer du côté du psy lors de l’entretien ?

A

Entendre
Écouter
Comprendre

37
Q

Entendre, c’est quoi ?

A

Activité de l’oreille lorsqu’elle perçoit quelque chose.

38
Q

Écouter, c’est quoi ?

A

Parce que on entend l’oreille vers quelque chose en particulier. Synonyme d’ausculter. Donc cette attention est particulière puisqu’elle t’en enverrai un signe.

39
Q

Comprendre, c’est quoi ?

A

Consiste à donner du sens.

40
Q

Que peut-on dire à propos du cadre ?

A

Il doit être pensé.
Il est en lien avec le psy.
Il préexiste à la rencontre.
Il doit permettre des manifestations psychiques et il doit garantir que la parole puisse se déployer librement.

41
Q

Quelles sont les trois éléments à prendre en compte à propos du cadre ?

A

Le cadre est une unité du lieu, une unité du temps et une unité d’action.

42
Q

En quoi l’unité est-elle importante ?

A

Car la continuité est une donnée importante dans le travail psychique. On essaye donc d’avoir un lieu une action et un temps qui soit maintenu stable.

43
Q

Que peut-on dire sur l’unité du lieu de l’action et du temps ?

A

Le lieu est toujours identique pour tous.

L’action est toujours la même.

La durée de l’entretien doit être pensée.

44
Q

Que peut-on dire à propos du temps de l’entretien ?

A

La durée doit être suffisante pour observer la dimension psychique, sans créer d’attente ni de liens.

45
Q

Le rythme et la fréquence c’est quoi et en quoi est ce important ?

A

Le travail psychique doit être stable et continu.

Le rythme correspond à la continuité/l’engagement.
La fréquence correspond à l’intervalle entre deux rendez-vous.

46
Q

Quelle hauteur remplace le terme de cadre par le terme de dispositif et qu’est-ce que cela comprend ?

A

Yves Nogué remplace le terme de cadre par le terme de dispositif.

Le dispositif comprend l’offre et la demande ainsi que la question du transfert.

47
Q

Que nous dit POUSSIN à propos du cadre ?

A

Le cadre doit séparer l’intérieur de l’extérieur. Idée d’une délimitation.

Il y a une réalité externe et une réalité interne.

48
Q

Pourquoi est-ce important que le cadre soit une délimitation entre l’environnement interne externe ? Et à quoi faut-il faire attention ?

A

Ça nous permet de protéger le travail réalisé en entretien.

Il faut faire attention à tout ce qui pourrait venir de l’extérieur et saisir l’attention du patient comme un bruit de par exemple.

49
Q

Quelles sont les trois principes importants lors d’un entretien ?

A

La neutralité
L’abstinence
La discrétion

50
Q

Que signifie la neutralité lors d’un entretien ?

A

Le psy ne doit pas être dans le jugement et doit être compréhensif. Il doit laisser ses valeurs et ses convictions de côté. Il ne doit pas se fier à ses sentiments.

51
Q

Que signifie l’abstinence lors d’un entretien ?

A

Le travail que l’on fait un travail psychique, et il n’est pas question d’intervenir dans la vie de la personne.

52
Q

Que signifie la discrétion lors d’un entretien ?

A

Le cadre doit garantir la discrétion, car le travail est entre la personne et le psy.

53
Q

Pourquoi est-ce que la discrétion est très importante ?

A

Car on travaille avec la vie psychique du sujet qui est une sphère hautement intime.

54
Q

Qu’est-ce que le principe d’incommunicabilité ?

A

Idée que ceux qui se dit en entretien n’est pas communicable, car apparaît dans un cadre et une relation précise. Ce cadre et cette relation favorise l’émergence de ce qui est dit, et la réalité psychique n’est pas pertinente en dehors de ce cadre.

55
Q

Qu’est-ce que le temps linguistique ?

A

Correspond au temps de la parole, de l’énonciation au présent et à la subjectivité. Construit par l’auteur comme il le souhaite.

56
Q

Qu’est-ce que le souvenir écran ?

A

Souvenirs liés à l’enfance.
La personne se voit en dehors de la scène (observateur).
Ce n’est pas une construction, mais une élaboration psychique sur la base d’association.

57
Q

Que peut-on dire à propos du temps psychique ?

A

Le temps psychique est hors temps, il n’est pas figé, il est toujours en mouvement.

58
Q

Qu’est-ce que la notion d’après coup ?

A

Ce qui se passe dans la psyché après la mise en mouvement. Mise en mode du vécu dans la parole. Élaboration secondaire. Activité permanente des évènements vécus dans la psyché.

59
Q

Quels sont les notions importantes introduite par Jacobi ?

A

L’entretien et le moment de l’instauration d’un lien/échange.
Le cadre doit permettre de créer une situation qui permet d’exercer son travail.
Unité du temps du lieu et de l’action.

60
Q

Quelle est la notion introduite par CHILAND ?

A

Le psy et le patient ont une position différente dans le dialogue du fait de la demande du patient et de la fonction/formation du psychologue.

61
Q

Quelles sont les notions introduites par Freud ?

A

Existence d’une pensée/volonté inconsciente.
Introduction à la psychanalyse.
3 Instances psychiques.
Le mot d’esprit.
Les erreurs de mémoire.
L’après coup.
L’attention flottante.

62
Q

Quelles sont les notions introduites par REIK ?

A

L’écoute avec la troisième oreille.
La tension flottante.

63
Q

Quelle est la notion introduite par BELLET ?

A

L’oreille permet une certaine écoute et une démarche exploratoire de l’appareil psychique. Idée qu’il y a différentes formes d’écoute.

64
Q

Quelle est la notion introduite par BLANCHET ?

A

L’entretien est la co-construction du sens.
Paradigme même du travail du psychologue clinicien.

65
Q

De quoi nous parle POULICH ?

A

Parle du mouvement psychique/activité psychique/mouvement des souvenirs dans la psyché.

66
Q

Qu’est-ce qu’un test ?

A

Outils qui permet de faire une observation.
Standardisé.
Comparer l’individu à la population.

67
Q

Comment peut-on définir l’outil ? Et est-ce que le psy P lorsqu’il fait un bilan ?

A

Lot est un objet fabriqué qui sert à agir sur la matière. Quand le psy fait un bilan, il agit sur la matière à porter par le sujet pour produire quelque chose.

68
Q

Quelles sont les différentes étapes du bilan psychologique ?

A

Demande
Analyse de la demande
Choix des outils
Passation
Restitution

69
Q

Qu’est-ce qu’une analyse qualitative ?

A

Repose sur l’interprétation des réponses du patient en fonction du cadre théorique du psy. Analyse approfondie et subjective.

70
Q

En quoi la question d’ temporalité, les primordial dans le bilan ?

A

Le bilan est une photographie d’un moment. Ce n’est pas une vérité intemporelle, ni en portrait, figé de la personne.

71
Q

Envoie le psychologue influence le bilan ?

A

Il travaille avec sa subjectivité, ses connaissances/expérience/affecte ce qui peut avoir une influence sur le bilan.

72
Q

Quelle est la différence entre le test et le bilan ?

A

Le test est un outil qui peut être utilisé pendant le bilan.
Le bilan est un outil spécifique au psychologue.

73
Q

Comment se fait le choix des outils ?

A

Avant le bilan ou durant la passation si besoin.
Se fait en fonction de la demande/visée.
Se fait en fonction de l’analyse de la demande.

74
Q

Que peut-on dire à propos des outils qualitatifs ?

A

Selon la méthode de passation/analyse utilisée. L’analyse peut être totalement différente avec un même outil.

75
Q

Pourquoi est-ce que le choix des outils est important ?

A

Le psy, responsable de ce qu’il fait, de la façon dont il analyse les données recueillies, de ses outils et du retour qu’il fait aux patients.