Pneumologie Flashcards
Anticholinergique
Ipratropium
Antileucotriène
Montélukast
Antituberculeux
Isoniazide
Rifampicine
Éthambutol
Pyrazinamide
Association BDLA-CSI
Formotérol–budésonide
Formotérol-béclométasone
Salmétérol-fluticasone
Bilan à réaliser avant l’instauration d’un traitement antituberculeux
Créatininémie avec estimation du débit de filtration glomérulaire (DFG)
Uricémie
Transaminases
Hémogramme
Sérologie de dépistage VIH (à proposer)
Antigènes HBs, Ac anti HBs et anti VHC (à proposer)
Examen ophtalmologique avec vision des couleurs et champs visuel (peut être différé)
Bilan biologique à réaliser avant le traitement pour la MTEV
Plaquettes, TP, TCA
NFS
Créatinine sanguine et transaminases
Bilan prétransfusionnel pour les patients à risque hémorragique
Bilan de thrombophilie si indication
Bronchodilatateurs B2-mimétiques à courte durée d’action
Salbutamol
Terbutaline
Bronchodilatateurs B2-mimétiques à longue durée d’action
Salmétérol
Formotérol
Classification de la sévérité clinique de la BPCO
A : mMRC < 2 et 0 ou 1 exacerbation par an sans hospitalisation
B : mMRC ≥ 2 et 0 ou 1 exacerbation par an sans hospitalisation
C : mMRC < 2 et ≥ 2 exacerbation par an ou ≥ 1 exacerbation par an avec hospitalisation
D : mMRC ≥ 2 et ≥ 2 exacerbation par an ou ≥ 1 exacerbation par an avec hospitalisation
Classification de la sévérité de l’obstruction dans la BPCO
Grade GOLD 1 (obstruction bronchique légère) : VEMS ≥ 80 %
Grade GOLD 2 (obstruction bronchique modérée) : 50 % < VEMS < 80 %
Grade GOLD 3 (obstruction bronchique sévère) : 30 % < VEMS < 50 %
Grade GOLD 4 (obstruction bronchique très sévère) : VEMS < 30 % ou VEMS < 50 % en présence d’insuffisance respiratoire (PaO2 < 60 mmHg) ou de signes cliniques d’insuffisance cardiaque droite
Conduite à tenir en cas de pneumothorax bien toléré
Pneumothorax spontané primaire : surveillance ou exsufflation
Pneumothorax spontané secondaire : drain sauf si tout petit décollement
Pneumothorax traumatique : surveillance ou drain si le patient est sous ventilation assistée
Conduite à tenir en cas de pneumothorax mal toléré
Pneumothorax spontané primaire : exsufflation, puis si échec, mise en place d’un drain de petit calibre
Pneumothorax spontané secondaire : mise en place d’un drain
Pneumothorax traumatique : mise en place d’un drain
Corticoïdes systématiques
Prednisone
Prednisolone
Critères d’épanchement parapneumonique non compliqué
Épanchement de faible abondance
Liquide clair riche en polynucléaires neutrophiles non altérés
Absence de germe à l’examen direct et en culture
Critères d’épanchement parapneumonique compliqué
Épanchement abondant
Épanchement cloisonné
Liquide purulent
Germes à l’examen direct ou en culture
Critères d’hospitalisation des exacerbations de BPCO
Signes de gravité immédiate
Aggravation rapide des symptômes
Dyspnée dans les activités quotidiennes (habillage) à l’état basal
Absence de réponse au traitement médical initial
Incertitude diagnostique
Âge avancé, fragilité
Absence de soutien à domicile
Oxygénothérapie au long cours, ventilation assistée à domicile
Antécédents de séjour en réanimation pour exacerbation
Comorbidités : cardiovasculaires, alcoolisme, neurologiques, psychiatriques
Critères du SAHOS
A. Somnolence diurne excessive non expliquée par d’autres facteurs
B. Ronflement sévère et quotidien
Sensation d’étouffement ou de suffocation pendant le sommeil
Éveils répétés pendant le sommeil
Sommeil non réparateur
Fatigue diurne
Difficultés de concentration
Nycturie
C. Critère polysomnographique ou polygraphique : IAH ≥ 5
Présence des critères A ou B et du critère C
Définition de la bronchite chronique
Toux productives (c’est-à-dire avec expectoration) quotidienne ou quasi quotidienne pendant au moins 3 mois par an et au cours d’au moins de 2 années consécutives
Définition de la bronchopneumopathie chronique obstructive
Existence de symptômes respiratoires chroniques (au moins un parmi dyspnée d’exercice, toux, expectoration, infections respiratoires basses répétées ou traînantes) et une obstruction permanente et progressive des voies aériennes (trouble ventilatoire obstructif non complètement réversible)
Définition de la détresse respiratoire aiguë
Ensemble des signes respiratoires témoignant de la gravité d’une affection de l’appareil respiratoire
Définition de l’insuffisance respiratoire aiguë
Insuffisance respiratoire aiguë de type 1 : hypoxémie profonde PaO2 < 60 mmHg
Insuffisance respiratoire aiguë de type 2 : hypercapnie PaCO2 > 45 mmHg
Définition du syndrome de détresse respiratoire aiguë
Détresse respiratoire d’évolution aiguë < 7 jours
Anomalies radiologiques : opacités alvéolaires bilatérales diffuses non complètement expliquées par épanchement, une atélectasie
Sans défaillance cardiaque ni surcharge volémique
Diagnostic sarcoïdose
Présentation clinico-radiologique évocatrice ou au moins compatible
Mise en évidence de granulomes typiques sans nécrose caséeuse
Élimination des autres granulomatoses
Distension pulmonaire
CPT > 120 % de la valeur prédite et VR/CPT > 30 %
Durée du traitement anticoagulant dans la MTEV
3 mois :
- 1ère EP ou TVP provoquée par un facteur majeur transitoire ou non provoquée chez une femme < 50 ans
- Si risque hémorragique élevé
6 mois : 1ère EP à risque faible ou intermédiaire-faible ou TVP proximale, non provoquée avec ou sans facteur mineur
Non limité :
- EP ou TVP proximale non provoquée récidivante
- EP ou TVP avec facteur persistant majeur
- 1ère EP à risque élevé non provoquée
Échelle mMRC de la dyspnée
Stade 0 : je suis essoufflé uniquement pour un effort important
Stade 1 : je suis essoufflé quand je me dépêche à plat ou quand je monte une pente légère
Stade 2 : je marche moins vite que mes gens de mon âge à plat ou je dois m’arrêter quand je marche à mon pas à plat
Stade 3 : je m’arrête pour respirer après 90 mètres ou après quelques minutes à plat
Stade 4 : je suis trop essoufflé pour quitter ma maison ou je suis essoufflé rien qu’à m’habiller
Effet espace mort
Alvéoles normalement ventilées mais mal perfusées
Effet shunt
Alvéoles normalement perfusées mais mal ventilées
Effets secondaires de l’isoniazide
Troubles digestifs (nausées)
Hépatite (surveillance des transaminases voire arrêt du traitement)
Polynévrites sensitivo-motrices en cas de carence en vitamine B6
Effets secondaires de la pyrazinamide
Cytolyse hépatique (surveillance des transaminases)
Hyperuricémie par effondrement de l’uraturie (souvent asymptomatique, crise de goutte, pas de crise de colique néphrétique)
Contre-indiqué en cas d’insuffisance hépatocellulaire et d’insuffisance rénale
Effets secondaires de la rifampicine
Interactions médicamenteuses avec les anticoagulants oraux, la pilule oestroprogestatives, inhibiteurs de protéases, méthadone, corticoïdes, digitaliques
Réactions immuno-allergiques
Coloration en orange des larmes, spermes, urine
Effets secondaires de l’éthambutol
Névrite optique rétrobulbaire (surtout si posologie élevée, éthylisme chronique ou insuffisance rénale)
Étiologie des masses médiastinales du compartiment antérieur et inférieur
Kystes pleuropéricardiques
Étiologie des masses médiastinales du compartiment antérieur et supérieur
Goitre thyroïdien
Lésions parathyroïdiennes