Nutrition clinique et IDDSI Flashcards

1
Q

La dysphagie est associée à quoi?

A
  • Perte appétit
  • Peur/refus de s’alimenter
  • Modification de la durée du repas
  • Difficulté à garder les aliments en bouche * Gêne au moment d’avaler
  • Toux aux repas
  • Sensation de blocage des aliments
  • Régurgitations
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2
Q

Conséquences possibles de la dysphagie?

A
  • étouffement
  • malnutrition
  • déshydratation
  • aspiration
  • diminution qualité de vie
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3
Q

Meilleurs prédicateurs mortalité?

A
  • AVC
  • Cancer de la tête et du cou
  • État nutritionnel
  • Texture non autorisés
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4
Q

Meilleurs prédicateurs de pneumonie?

A
  • di
  • Maladie pulmonaire obstructive chronique
  • reflux gastro-oesophagien
  • état nutritionnel (malnutrition)
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Q

Définition de la malnutrition?

A
  • État aigu, subaigu ou chronique de sous-nutrition, avec ou sans inflammation, causé par l’un des facteurs suivants:
    • Apport insuffisant
    • Absorption altérée
    • Augmentation des besoins en nutriments
    • Transport et utilisation des nutriments altérés
  • Conduit à des changements dans la composition corporelle et à des changements fonctionnels.
  • Il est important de connaître la sévérité et la durée de cet état.
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6
Q

Facteurs de risque pouvant affecter l’état nutritionnel?

A
  • diarrhée
  • dépression
  • démence
  • dentition
  • dysgueusie
  • dysfonction
    -médicaments
  • environnement
  • maladies
  • dysphagie
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7
Q

Diarrhée comme facteur de risque?

A
  • plus de 4 semaines
  • perte de poids
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8
Q

Dépression comme facteur de risque?

A
  • diminution motivation à manger / désintérêt pour nourriture
  • diminution interaction sociale aux repas
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9
Q

Démence comme facteur de risque?

A
  • incapacité à préparer les repas
  • somnolence
  • dépendance pour manger et boire
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10
Q

Dentition comme facteur de risque?

A
  • mauvaise santé bucco-dentaire
  • prothèses mal ajustées
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11
Q

Dysgueusie comme facteur de risque?

A
  • faible appétit
  • perte odorat ou du goût
  • diminution du plaisir à manger
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12
Q

Dysfonction comme facteur de risque?

A
  • plaie qui guérit mal
  • système immunitaire
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13
Q

Médicaments comme facteur de risque?

A
  • effets secondaires
  • diminution absorption des nutriments
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14
Q

Environnement comme facteur de risque?

A
  • problèmes financiers
  • disponibilité des aliments
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15
Q

Maladie comme facteur de risque?

A
  • effet négatif sur le statut nutritionnel
  • augmentation besoins nutritionnels
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16
Q

Dysphagie comme facteur de risque?

A
  • incapacité à manger
  • augmentation de l’anxiété aux repas
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17
Q

Conséquences de la malnutrition?

A
  • diminution qualité de vie
  • augmentation morbidité
    *augmentation fréquence des hospitalisations
    *augmentation durée du séjour à l’hôpital
    *augmentation coût des soins
  • augmentation mortalité
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18
Q

Groupe de travail Canadien sur la malnutrition?

A
  • « … groupe de cliniciens, de décideurs et de chercheurs qui forment un comité permanent de la Société canadienne de nutrition (SCN). »
  • Améliorer les soins nutritionnels des patients canadiens
  • Réduire la prévalence de la malnutrition
  • Integrated Nutrition Pathway for Acute Care (INPAC)
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19
Q

Qu’est ce qui empêche les patients de bien se nourrir dans les hôpitaux?

A
  • aucune nourriture donnée si le repas est manqué
  • aide non obtenue lorsque nécessaire pour s’alimenter
  • interruption aux repas par le personnel
  • patient dérangé pendant les repas
  • interdiction de manger en raison d’examens
  • mauvaise position pour manger
  • difficultés à ouvrir les emballages
  • difficulté à atteindre les plateaux de repas
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20
Q

Spirale de la malnutrition chez la personne âgée?

A
  • évènements médicaux
    -> augmentation de besoins nutritionnels
    -> déclin du statut nutritionnel
    -> augmentation du délai de Recovery
    -> immobilité, risque de chutes
    -> perte d’autonomie (AVQ)
    -> institutionnalisation
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21
Q

Effets de la spirale de la malnutrition?

A
  • augmentation mortalité
  • augmentation hospitalisation
  • augmentation morbidité
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22
Q

Qu’est ce que l’INPAC?

A

Démarche conçue pour soutenir la santé et les soins nutritionnels

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23
Q

Qu’est ce que le GTCM recommande?

A

Un dépistage nutritionnel chez tous les patients au moment de l’admission à l’aide de l’outil canadien de dépistage nutritionnel?

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24
Q

Questions de l’Outil Canadien de Dépistage Nutritionnel (OCDN)?

A
  • Au cours des 6 derniers mois, avez-vous perdu du poids sans avoir essayé de perdre ce poids?
  • Depuis plus d’une semaine, mangez-vous moins que d’habitude?
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25
Q

Si le patient répond par l’affirmative aux 2 questions de l’OCDN, qu’est ce qu’on fait?

A

Évaluation subjective globale (ESG)?

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26
Q

Critères pour l’évaluation subjective globale?

A
  1. Apport nutritionnel
    * Antérieur
    * Au cours des 2 dernières semaines
  2. Poids.
    * Perte pondérale non liquidienne au cours des 6 derniers mois ET 2 dernières semaines
  3. Symptômes nuisant à l’apport alimentaire
  4. Capacités fonctionnelles
    * Antérieures
    * Au cours des 2 dernières semaines
  5. Besoins métaboliques
  6. Examen physique
    * Perte de masse adipeuse
    * Perte de masse musculaire
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27
Q

Soutien nutritionnel (nutrition entéral vs orale)?

A
  • si capacité d’alimentation orale non fonctionnelle -> nutrition entérale
  • si capacité d’alimentation orale fonctionnelle, mais alimentation et suppléments nutritionnels oraux comblent pas besoin -> nutrition entera
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28
Q

Rhéologie des aliments?

A
  • Science qui étudie les déformations et l’écoulement des aliments solides, semi-solides et liquides.
  • Importance pour l’industrie alimentaire
  • Importance en dysphagie (adapter à des besoins particuliers et assurer la sécurité)
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29
Q

Pourquoi utiliser des liquides épaissis?

A
  • Ils contribuent au confort du patient en diminuant les écoulements prématurés vers l’oropharynx et le risque de pénétration et d’aspiration.
  • Ils contribuent à assurer une hydratation et un apport nutritionnel adéquats.
30
Q

Effet du l’augmentation de la viscosité?

A
  • ralentit leur transit et donne + de temps pour préparer la phase pharyngée - permet d’éviter l’aspiration
31
Q

Effet consistance trop épaisse?

A

peut mener à des stases pharyngée

32
Q

Effet liquide trop épais?

A
  • pas bien accepté
  • risque de diminuer l’hydratation du patient
33
Q

Effet mise en purée des aliments?

A

diminue légèrement leur valeur nutritive par effet de dilution

34
Q

Y’a-t-il des valeurs rhéologiques spécifiques pour définir les limites d’un épaissement efficace?

A

Non

35
Q

Aliments préformés?

A

Donner à un aliment transformé en purée une allure presque réelle

36
Q

Qu’est ce que l’IDDSI?

A
  • Fondé en 2013
  • Équipe de nutritionnistes, orthophonistes, ergothérapeutes,
    technologues alimentaires, médecins ingénieurs, infirmiers/ère
37
Q

Mission IDDSI?

A

*Développer un vocabulaire international pour les liquides et les aliments à consistance et à texture modifiée afin de:
* Favoriser la sécurité du traitement alimentaire
* Maintenir une communication claire entre les professionnels,
les aidants, les chercheurs et les partenaires de l’industrie

38
Q

Clientèle cible IDDSI?

A

Personne souffrant de dysphagie, de tous âges, culture et réalités cliniques?

39
Q

Comment s’effectue la mesure de la consistance d’un liquide?

A

avec un consistomètre « Bostwick » en laissant s’écouler le produit au fond d’un espace gradué pendant un temps donné.

40
Q

La consistance d’un liquide est influencé par quoi?

A
  • la température du liquide
    -le temps de repos du liquide une fois épaissi
  • le type de liquide et sa composition
  • l’agent épaississant utilisé
41
Q

Étapes d’un test d’écoulement?

A

1- Se munir d’un chronomètre et seringues à embout, luer lisse de 10 ml, retirez le piston d’une seringue, laissez-le de cote
2- bouchon de façon étanche l’embout avec le doigt
3- Remplir (avec une autre seringue) la seringue jusqu’à 10 ml
4- Retirez doigt de l’embout et démarrer chronomètre
5- Après 10 secondes, rebouchez embout pour arrêter écoulement

42
Q

Niveaux de classification IDDSI basés sur quantité de liquide restant après 10 secondes?

A
  • niveau 0: tout le liquide écoulé
  • niveau 1: reste 1 à 4 ml
  • niveau 2: reste 4 à 8 ml
  • niveau 3: reste plus de 8ml, mais un peu s’est écoulé
  • niveau 4: liquide ne s’écoule pas
43
Q

Caractéristiques niveau 4 pour l’identifier sans seringue?

A
  • échantillon conserve sa propre forme
  • petits reliefs restant sur la surface
  • trop épais pour être bu à la tasse ou paille, pris à la cuillère
  • bloc entier doit tomber de la cuillère si on tourne sur le côté
  • très légère secousse peut être nécessaire mais échantillon ne doit pas être ferme, ni adhérent, ni collant
44
Q

Description / caractéristiques niveau 0?

A
  • Très fluide
  • S’écoule comme de l’eau
  • S’écoule rapidement
  • Peut être bu au biberon, à la tasse ou à la paille, selon l’âge et les capacités de l’individu
45
Q

Bases physiologiques justifiant cette consistance 0?

A

Habileté fonctionnelle à gérer les liquides de façon sécuritaire

46
Q

Description / caractéristiques niveau 1?

A
  • À peine épais
  • Plus épais que l’eau
  • Requiert un peu plus d’effort pour boire que le « très fluide »
  • S’écoule à travers une paille, une seringue ou un biberon
  • Consistance ~ formule anti-reflux pour bb
47
Q

Bases physiologiques justifiant cette consistance 1?

A

Utilisé surtout en pédiatrie car un liquide épaissi ralentit l’écoulement et peut être bu au biberon.

48
Q

Description / caractéristiques niveau 2?

A
  • Légèrement épais
  • S’écoule rapidement d’une cuillère, mais moins que « très fluide »
  • Effort requis pour boire avec une paille standard (5.3 mm
49
Q

Bases physiologiques justifiant cette consistance 2?

A
  • Si un liquide « très fluide » s’écoule trop vite, le « légèrement épais » peut être géré de façon plus sécuritaire.
  • Peut être approprié si le contrôle de la langue est légère
50
Q

Description / caractéristiques niveau 3?

A
  • Liquéfié - modérément épais
  • Peut être bu d’une tasse
  • Se mange à la cuillère (texture lisse)
  • Difficile de le boire à la paille standard ou large (6.9 mm)
  • Ne peut être administré à la sonde, étendu ou moulé
  • Ne peut être mangé à la fourchette car s’égoutte entre les fentes
51
Q

Bases physiologiques justifiants cette consistance 3?

A
  • Contrôle de la langue insuffisant pour Légèrement épais
  • Permet + de temps pour le contrôle oral
  • Nécessite un certain effort de propulsion linguale
52
Q

Test égouttement de la fourchette niveau 3?

A
  • S’écoule en grosses gouttes entre les fentes d’une fourchette
  • Si on passe une fourchette à la surface, pas de marque
  • Se répand sur une surface plane
53
Q

Test égouttement cuillère inclinée niveau 3?

A
  • Se verse facilement d’une cuillère inclinée
  • Ne colle pas à la cuillère
54
Q

Description / caractéristiques niveau 4?

A
  • Très épais, purée
  • Garde sa forme sur la cuillère et sur une assiette
  • S’écoule très lentement sous la gravité
  • Ne requiert pas de mastication
  • Peut être étendu ou moulé
  • Pas de grumeaux, non adhérent ou collant
  • Tombe de la cuillère en une pièce si on penche la cuillère - Ne peut être bu à la paille
  • Le liquide ne se sépare pas du solide
55
Q

Bases physiologiques justifiant consistance 4?

A
  • Si contrôle lingual significativement diminué.
  • Requiert moins de propulsion linguale que 5, 6 et 7 mais + que 3
  • Ne nécessite pas de mordre ou de mastiquer
  • Risque de résidu pharyngé post-déglutition si collant.
56
Q

Test de pression de la fourchette niveau 4?

A

Les fentes de la fourchette laissent une marque à la surface.

57
Q

Test égouttement fourchette niveau 4?

A

Une petite partie peut s’écouler entre les dents de la fourchette mais pas d’écoulement continu.

58
Q

Test égouttement cuillère inclinée niveau 4?

A
  • S’écoule d’une cuillère inclinée
  • n’adhère pas à la cuillère
59
Q

Description/caractéristiques niveau 5?

A
  • Haché et humecté
  • Peut être mangé à la fourchette ou à la cuillère.
  • Pourrait être mangé avec des baguettes si la personne a une bonne dextérité manuelle.
  • Peut être servi en boule sur une assiette.
  • Mou et humide, sans liquide qui se sépare.
  • L’aliment peut contenir de petits grumeaux (enfant: 2-4 mm; adulte = 4 mm), faciles à écraser avec la langue.
  • Particules facilement séparés
  • faible pression pour écraser aliments (ongles ne devient pas blanc)
60
Q

Bases physiologiques justifiant texture 5?

A
  • Pas nécessaire de mordre (couper); peu de mastication requise.
  • La force de la langue suffit pour briser les petits grumeaux.
  • Force de la langue requise pour déplacer le bolus.
  • Douleur ou fatigue à la mastication.
  • Dents manquantes ou prothèses mal ajustées.
61
Q

Exemples niveau 5?

A

Viande hachée (2-4 mm) servie avec sauce très épaisse, poisson, fruits écrasés et égouttés. Céréales très épaisses, lisses égouttées. Pas de pain.

62
Q

Description /caractéristiques niveau 6?

A
  • petite bouchée molle
  • Peut être mangé à la fourchette, cuillère ou baguettes.
  • Peut être écrasé à la pression de la fourchette, de la cuillère ou des baguettes.
  • Un couteau n’est pas requis.
  • Il est nécessaire de mastiquer avant d’avaler.
  • Mou, tendre et humide, mais sans liquide qui se sépare.
  • Grosseur des bouchées: enfant 8 mm; adulte 1.5 cm ou selon les habiletés orales de la personne.
63
Q

Bases physiologiques niveau 6?

A
  • Pas nécessaire de couper mais mastication requise.
  • La force et le contrôle de la langue sont requis pour déplacer l’aliment et le garder en bouche durant la mastication.
  • Douleur ou fatigue à la mastication.
  • Dents manquantes ou prothèses mal ajustées.
64
Q

Exemples niveau 6?

A
  • Mets en casserole. La portion liquide doit être épaisse.
  • Peut contenir de la viande, du poisson ou des légumes si les morceaux cuits ne dépassent pas 1.5 x 1.5 cm et sont mous et tendres.
    Fruits écrasés, non fibreux. Drainer l’excès de liquide.
    Légumes cuits à la vapeur, tendres. Pas cuits au wok. Pas de pain.
65
Q

Test pression de la fourchette niveau 6?

A
  • L’ongle du pouce devient blanc
  • L’échantillon s’écrase et ne reprend pas sa forme initiale une fois la pression relâchée
66
Q

Description / caractéristiques niveau 7?

A
  • régulier
  • Aliments de diverses textures selon l’âge et le stade de développement: durs, cassants, croquants, fibreux, filandreux, élastiques, fermes, friables, etc. Inclut les aliments qui contiennent des pépins, des grains, des écorces, des os ou de consistances mixtes.
  • Aucune restriction de texture.
67
Q

Bases physiologiques justifiant texture 7?

A
  • Habileté à mordre, mastiquer pendant assez longtemps sans fatigue.
  • Bon contrôle et bonne force et propulsion linguales. - Capable d’enlever les particules qui ne doivent pas être avalées.
68
Q

Description / caractéristiques textures évolutives?

A

Aliments qui changent de texture sous l’action de l’eau, de la salive ou d’un changement de température.

69
Q

Bases physiologiques justifiant textures évolutives?

A
  • N’ont pas besoin d’être croqués ou coupés.
  • Nécessitent peu de mastication.
  • La langue peut être utilisée pour briser ces aliments une fois altérés par la température ou la salive.
70
Q

Méthodes test:
Pression de la fourchette ou de la cuillère pour textures évolutives?

A
  • Après avoir appliqué l’humidité ou la température, l’aliment peut être déformé facilement et ne reprend pas sa forme.
  • Utiliser un échantillon de 1.5 x 1.5 cm. Placer 1 mL d’eau sur l’échantillon et attendre 1 min. Presser avec la fourchette jusqu’à ce que le pouce sous l’ongle blanchisse. C’est un aliment de texture évolutive si, après le retrait de la fourchette, l’aliment:
  • s’est écrasé et désintégré et ne reprend plus son allure initiale
  • s’il s’est liquéfié ou a fondu et n’a plus son apparence initiale.
71
Q

Exemples textures évolutives?

A

Glace, crème glacée, sorbet; gaufrettes, hosties, cornets, collations
soufflées au fromage, craquelins et certains biscuits, chips Pringle, etc.

72
Q

Facteurs à considérer lors de la réflexion sur la méthode (IDDSI vs Bostwick)?

A
  • La T° à laquelle la mesure est prise: liquide froid ou T° de service
  • Bostwick = 450-650$ (réutilisable)
  • IDDSI = ~ 2$/seringue, jusqu’à quel point est-ce réutilisable?
    Par contre = simple d’utilisation
  • L’écoulement libre versus test d’écoulement de l’IDDSI où l’orifice de la seringue ne permet pas un écoulement libre
  • Volume mesuré avec le test d’écoulement de l’IDDSSI est beaucoup + petit