neurophysiologie VII Flashcards
les récepteurs ionotropes
constitués de sous unités
le pore
site extracell
site intracell
rôle
le pore
constitué d’une porte
site extracell
site de fixation du ligand
site de modulation
site intracell
sites de régulation
rôle du recepteur ionotropes
action directe par intermédiaire de potentiels locaux post-synaptiques excitateurs PPSE ou inhibiteur PPSI
mode d’action rapide
récepteurs métabotropes
en majorité des récepteurs à protéine G mais il existe aussi des recepteur à tyrosine kinase
fonctionnement général: cascade
rôle
fonctionnement général: cascade
le neuromédiateur est le ligand 1er messager se fixe sur le récepteur transmembranaire métabotrope couplé à un transducteur
la protéine G active un effecteur primaire qui va activer un 2nd messager qui active un effecteur secondaire
rôle recepteurs métabotropes
action indirecte
pas à l’origine d’un potentiel post synaptique
lent
cinétique d’activation d’un récepteur métabotrope à protéine G
1er messager : neuromédiateur
récepteur:
transducteur= prot G
effecteur primaire
2nd messager
effecteur secondaire
1er messager
neuromédiateur
récepteur
NH2->extracell site de fixation du ligand
COOH->intracell site de fixation de phosphorylation
effecteur primaire
enzyme membranaire
effecteur secondaire
kinases
libération de calcium
il existe un cas où un récepteur métabotrope peut entrainer une action direct c’est si
un récepteur métabotrope doublé de sa protéine G activé entraine l’ouverture d’un canal ionique
différent types de prot G
Gs adénylcyclase stimule la production d’AMPc qui favorise la protéine kinase A PKA
Gi, inhibitrice de l’adénylcyclase
inactivation des récepteurs à protéine G
-inactivation en fonction de la quantité de ligand
-découplage fonctionnel par phosphorylation
-internalisation
inactivation en fonction de la quantité de ligand
car l’activité des récepteurs dépend en premier lieu de la quantité de ligand libéré
si il y en a moins l’activité diminue
découplage fonctionnel par phosphorylation
la prot G est phosphorylée et devient alors attractive pour l’arrestine
une fois le contact effectué l’échange GTP/GDP est rendu impossible
internalisation
le récepteur peut être internalisé grâce à la formation d’un puit de clathrine il est alors recyclé et ramené à la membrane ou dégradé
il existe aussi des toxines qui peuvent être à l’origine du dysfonctionnement de ces récepteur à prot G
la coqueluche : inhibitrice sur les protéines Gi
le choléra : excitatrice sur Gs
cinétique d’activation d’un récepteur tyrosine kinase
1er messager
recepteur
transducteur effecteur primaire
2nd messager
synapse électrique
distance fente
continuité du cytoplasme
composant ultra structuraux
agent de transmission
délai de transmission
sens de transmission
2-4mm
oui
gap junctions
courant ionique
virtuellement absent
habituellement bidirectionnel
synapse chimique
distance fente
continuité du cytoplasme
composant ultra structuraux
agent de transmission
délai de transmission
sens de transmission
20-40mm
NON
vésicules présynaptiques couplées à des fibres nerveuses post synaptiques portant des récepteurs post synaptiques spécifiques
neuromédiateur
1ms
toujours unidirectionnel
chaque neurone reçoit à chaque instant
de très nombreuses informations d’amplitude variées issues des synapses situés majoritairement sur les dendrites
la sommation est importante car
le message éfférent est binaire
si le potentiel de membrane au niveau du collet dépasse le seuil, déclenchement d’un PA
si il ne le dépasse pas: rien
loi du tout ou rien
influence des PPSE et PPSI
un PPSI est capable d’une hyperpolarisation bloquant le PA
influence de la localisation des synapses
une synapse sur une dendrite est moins efficace que sur le soma
dangereux d’avoir une synapse excitatrice sur le soma
elles sont généralement inhibitrice
influence de la force des signaux
un signal fort plus de chance d’atteindre le collet et de produire in fine un PA
influence taille des dendrites
la constante d’espace est plus longue sur les grosses dendrites, un synapse sur une grosse dendrite que sur une petite dendrite
sommation spatiale
endroits différent
sommation temporelle
pulses identiques succesifs
potentialisation
différents types de synapses
axono dendritiques: excitatrices
axono somatiques: inhibitrices
axono axonales: modulatrices, module l’ouverture des canaux VD au niveau du bouton présynaptiques
plasticité synaptique
rôle
dév et maturation du SN
apprentissage et mémorisation
pallier certains déficit dans des pathologies
run up
run down
run up
établissement de nouvelles connexions
renforcement
run down
suppression
désensibilisation