Module 13 - Personnalité en contexte: relations interpersonnelles, genre, culture Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la sensibilité au rejet? Quel est son impact potentiel sur les relations interpersonnelles?

A
  • Type de raisonnement caractérisé par des appréhensions anxieuses de rejet dans les relations interpersonnelles. Certains individus semblent particulièrement enclins à croire qu’une relation, même une relation qui va très bien, prendra inévitablement fin. La possibilité d’être rejeté hante ces personnes et les rend anxieuses. Peut endommager une bonne relation. Même si attentes ne reposent pas sur des faits, elles créent néanmoins tension interpersonnelle susceptible d’affaiblir relation solide. Attente du rejet peut devenir prophétie autoréalisatrice.
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2
Q

Que sont les facteurs « chauds » et « froids »?

A
  • Dans une situation sociale complexe, bcp de choses peuvent capter l’attention. Certaines sont neutres sur le plan affectif et d’autres suscites différentes émotions. Chaud et froid pour décrire divers aspects d’une situation. Aspect chaud = émotions ressenties pendant l’épisode de rejet, ex cœur qui battait plus vite. Aspect froid = aspects de la situation qui ne comportaient aucune expérience affective, ex environnement physique où le rejet avait lieu. Mettre son attention sur aspects chauds apporte plus de pensées hostiles.
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3
Q

Expliquez le transfert dans les relations interpersonnelles.

A
  • Bon nombre de nos réactions face aux gens que nous rencontrons dans le cadre de nos activités quotidiennes subissent l’influence d’un facteur contextuel clé : le degré de ressemblance entre la personne que nous rencontrons et une personne marquante de notre passé.
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4
Q

Quel est le rôle de l’ocytocine? Comment ses effets varient-ils d’une personne à l’autre dans un même contexte?

A
  • Hormone qui circule à travers le corps. Contribue aux changements physiques qui facilitent la naissance et l’allaitement. Les chercheurs ont émis l’hypothèse que l’ocytocine pouvait expliquer la confiance en l’autre en activant dans le cerveau les circuits neuronaux qui déclenchent des émotions et une motivation positives envers autrui.
  • L’ocytocine aide les individus de niveau bas sur le plan des habiletés sociales à détecter avec précision les émotions exprimées par quelqu’un. Chez les individus de niveau élevé, l’ocytocine n’avait aucun effet.
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5
Q

Comment les pessimistes défensifs abordent les défis? Quelle est la différence avec les optimistes?

A
  • Pessimistes défensifs : Réfléchissent souvent de manière négative. Même lorsqu’ils semblent posséder toutes les habiletés nécessaires pour réussir, ils expriment des doutes et s’attendent au pire. Pour eux, le pessimisme est loin d’être une mauvaise chose. La pensée négative peut représenter une stratégie d’adaptation efficace qui les aide à se motiver elles-mêmes pour atteindre des niveaux de rendement élevés.
  • Optimistes : entretiennent des attentes relativement réalistes au sujet de leurs capacités. S’ils possèdent les habiletés requises pour relever un défi, ils n’hésitent pas à l’affirmer.
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6
Q

Résumez le KAPA (architecture de la personnalité, connaissance et évaluation) dans vos mots. Quel est le lien entre le KAPA et l’auto-efficacité?

A
  • Analyse théorique de l’architecture de la personnalité qui établit une distinction entre deux aspects du fonctionnement cognitif de la personnalité : une connaissance stable et une évaluation dynamique de la signification des situations que rencontre le soi.
  • Architecture de la personnalité = terme qui décrit la structure d’ensemble et les caractéristiques opérationnelles des systèmes psychologiques sous-jacents (affectifs et cognitifs) au fonctionnement de la personnalité.
  • Connaissance = s’applique aux informations que nous détenons sur nos caractéristiques personnelles des autres, leurs objectifs, les objets qui nous entourent, les types de situations sociales, et ainsi de suite. Stable habituellement car nos connaissances de base à propos de notre environnement ne varient pas d’une journée à l’autre.
  • Évaluations = sur la relation qui nous lie à une situation donnée. Nous vivons nos vies en évaluant presque en continu les situations dans lesquelles nous nous trouvons : sont-elles favorables ou non pour nous?…
  • On a observé différences très importantes dans l’évaluation de l’autoefficacité face aux situations que les participants estimaient étroitement liées à leurs schémas de soi positifs par opposition à ceux qui étaient négatifs. Cette connaissance de soi schématique semblait effectivement influer sur les évaluations sur l’autoefficacité, c’est-à-dire que les participants s’accordaient une note élevée lorsque les traits étaient liés aux schémas de soi positifs. Résultats nuls quand participants faisaient évaluations similaires mais avec traits non schématiques pour eux, donc qu’ils ne croient pas posséder.
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7
Q

Quel est l’impact du contexte socio-économique sur l’impulsivité et la délinquance?

A
  • La relation entre l’impulsivité et la délinquance fluctue en fonction du contexte socio-économique. Parmi les adolescents qui vivaient dans des quartiers pauvres, les individus très impulsifs étaient plus susceptibles de verser dans les comportements délinquants que les individus peu impulsifs. À l’inverse, dans les quartiers riches, on ne relevait aucune différence sur le plan de la délinquance entre les individus très impulsifs et ceux qui l’étaient peu. (Ressources communautaires sont raison).
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8
Q

Quel lien a été démontré entre l’anxiété et les conditions sociales?

A

Les enfants qui grandissaient au sein de familles défavorisées socioéconomiquement devenaient des adolescents relativement plus anxieux.

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9
Q

Comment peut-on expliquer la plus grande résilience psychologique des aînés?

A
  • Pendant les dernières années de vie, les adultes âgés peuvent constater un déclin de certaines fonctions cognitives de base, mais un gain en sagesse. Ces gains en matière de connaissance et de sagesse que les individus font avec l’âge leur permettent souvent de compenser les pertes que subissent leurs capacités cognitives.
  • Aussi, les adultes âgés peuvent concentrer leur énergie sur quelques aspects importants de leur vie. Ils parviennent donc à compenser leur déclin physique ou cognitif et à maintenir un niveau élevé de bien-être.
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10
Q

Expliquez la théorie de la sélectivité socioaffective.

A
  • S’intéresse aux changements qui modifient les motivations sociales au cours d’une vie. Les individus sont conscients des possibilités et des contraintes associées aux différentes étapes de la vie. Cette conscience du temps influe sur le choix des objectifs de vie. Les objectifs comportant des expériences émotionnelles significatives deviennent plus importants pour l’adulte âgé. La théorie prédit que l’adulte âgé, comparativement au jeune adulte, sera davantage susceptible de consacrer son énergie à un nombre restreint de relations sociales qui agrémentent son expérience affective.
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11
Q

Vrai ou Faux. La conception de soi, nos croyances sur nos droits, devoirs et nos possibilités sont les mêmes dans toutes les cultures.

A
  • Faux. Diffèrent selon les régions du monde. Des cultures différentes peuvent nourrir des croyances différentes à propos des droits, des devoirs, des possibilités et de la plupart des aspects qui sont au cœur de l’identité individuelle. Croyances pas nécessairement explicites.
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12
Q

Quelle est la différence entre les cultures euro-américaines et les cultures extrême-orientales?

A
  • Orientaux ont moins tendance à entretenir un degré d’estime de soi élevé, mais l’autocritique y occupe une place importante.
  • La motivation intrinsèque poussant à accomplir des tâches n’est pas plus grande chez les Orientaux lorsque ces tâches résultent d’un choix personnel; au contraire, elle est moindre que si ce choix a été fait par des figures d’autorité ou des personnes de confiance.
  • Occident insistent sur qualités individuelles pour expliquer le comportement. Survaloriser facteurs personnels comme étant les causes des actions au détriment des facteurs situationnels. / orientaux = moins susceptibles d’afficher un tel a priori d’attribution causale.
  • Pour prédire degré satisfaction des individus envers la vie qu’ils mènent, le caractère agréable des expériences émotionnelles vécues au quotidien est un prédicteur plus révélateur en Occident que dans les cultures orientales.
  • Les individus vivant dans les cultures orientales ont une conception du soi interdépendante qui est donc différentes de la conception du soi dépendante ayant cours dans les cultures occidentales.
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