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M1S7 > Méthodes projectives : TAT > Flashcards

Méthodes projectives : TAT Flashcards

1
Q

Qu’est ce qu’une méthode projective ?

A

Méthode d’étude de personnalité (entre autres)
→ projection de la personne sur le matériel
→ ambigu, attentes pas claires => limite les biais

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2
Q

Hypothèse projective

A

Stimuli ambigus suscitent réponses reflétant besoins inconscients, sentiments, angoisses, motifs, pensées, conditionnements cptaux antérieurs
+ prendre en compte effets de contexte

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3
Q

Caractéristiques communes aux épreuves projectives (2)

A
  • Limiter les biais
  • Permet révéler informations menaçantes pr sujet (à son insu)
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4
Q

Informations sur le TAT (5)

A

= Test d’Aperception des Thèmes
- créé en 1943 par Murray et Morgan
- 31 images volontairement ambiguës
- adressé aux adultes, ados et pré ados (CAT pr enf)
- personne doit “inventer histoires”
(pt ê moins angoissant que Rorschach)

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5
Q

Def Aperception

A

Processus mental par lequel une perception / idée = assimilée aux cces existantes d’un individu

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6
Q

Def personnalité

A

Ensemble cohérent systématique et stable de pensées, affects et actions qui font un individu unique.
→ organisé en traits longs

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7
Q

Def diagnostic psychologique

A

Description valide du fonctionnement psychique (Sultan)

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8
Q

Les tests projectifs permettent de connaître … (4)

A
  • personnalité
  • indice de psychopathologie
  • préoccupations actuelles
  • capacités à s’adapter en dvpt
  • etc
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9
Q

Que permet le diag psy ?

A

Meilleure compréhension du fonctionnement du sujet pour lui même et pour le professionnel qui souhaite l’aider

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10
Q

Les narratifs des TAT peuvent révéler… (4)

A
  • Nature de la relation d’attachement
  • Rôle de genre et sexualité
  • Mentalisation (inférer état mental pr soi/autrui)
  • Capacité de résilience
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11
Q

Validité du TAT (3)

A
  • Medoff → tests projectifs = peu fiables
  • Fr → bonne fidélité interjuge
  • Certains pensent que parler de normes de validation pr projectifs n’a pas de sens
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12
Q

Méthodes d’interprétation et de cotation du TAT (4)

A
  • Méthode Shentoub
  • Defense mechanisms manual (DMM)
  • Social Cognition and Object Relation Scale (SCORS)
  • Méthode Personnage, Relation, Construction du récit et Thèmes (PRTC) (Bouvet)
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13
Q

Méthode d’interprétation et de cotation du TAT : Méthode Shentoub (2)

A
  • planches analysées à partir du contenu manifeste et latent + leur articulation
  • planches mobilisent rapport aux autres et rapport à soi
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14
Q

Méthode d’interprétation et de cotation du TAT : Defense mechanisms manual (DMM) (3)

A
  • Cramer
  • évalue intensité des mécanismes de défense
  • ≠ études montrent validité pr ≠ populations
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15
Q

Méthode d’interprétation et de cotation du TAT : Social Cognition and Object Relation Scale (SCORS) (4)

A
  • Westen (90’s)
  • évalue plusieurs dimensions psychiques impliquées ds relation d’objet
  • Relation d’objet = façon de se représenter les gens et les relations, règles pour inférer causes des émotions et cpts
  • on comprend les schémas relationnels de la personne (dimension interpersonnelle non présente dans le Rorschach)
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16
Q

Méthode d’interprétation et de cotation du TAT : Méthode Personnage, Relation, Construction du récit et Thèmes (PRTC) (Bouvet) (4, 3)

A
  • But : + facile, compréhensible, rapide, efficace
  • En cours de construction
  • Basée sur SCORS et méthodes Murray, Morval, Shentoub
  • Fonctionnement :
    1) Analyse planche par planche (selon perso, relation, thèmes et construction)
    2) Synthèse de chaque rubrique
    3) Synthèse générale
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17
Q

Modèles sous jacents aux méthodes SCORS et PRTC (2,4)

A

SCORS : relation d’objet et cognition sociales

PRTC :
- modèle alternatif de personnalité du DSM-5 (dimension soi/relation et Big five)
- schémas cognitifs et précoces d’approche cognitive des TCC
- préoccupations actuelles de la personne
- modèle psychologique d’adaptation (coping / processus émotionnel, cognitif, comportemental)

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18
Q

Qu’est ce qui est volontairement recherché par les auteurs dans la création du test ?

A

l’ambiguïté des images

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19
Q

Le TAT est un test … de … et d’… à … …
Il est … mais …. ….

A

Le TAT est un test implicite de personnalité et d’évaluation à réponse libre.
Il est critiqué mais largement utilisé.

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20
Q

Les domaines d’application du TAT (4)

A
  • bilan psychologique de routine
  • étude de rêves, de fantasmes, motivation
  • contextes psychiatriques
  • expertise médico-légale
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21
Q

3 facteurs contribuent à réponses au TAT

A
  • stimulus de la carte
  • environnement du test
  • monde intérieur du patient
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22
Q

Quel est le but des systèmes d’interprétation ?

A

Accéder à une description valide du monde intérieur du patient

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23
Q

Qu’est-ce que le pull-card effect ?

A

La tendance du stimulus à évoquer / prédisposer certaines réponses perceptives et/ou affectives chez la personne indépendamment de ses caractéristiques psychiques

=> dénote une réalité qui ne vient pas de l’intérieur du sujet mais correspond + à perception réelle de l’image

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24
Q

Evaluation de l’effet des cartes

A

1e recherches sur stimuli du TAT se focus sur évaluation des fréquences des thèmes et émotions évoquées par cartes dans populations de patients et de non patients.

Peu importe contextes sociopolitiques, cartes évoquent qqch de l’ordre de l’humain, des relations humaines

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25
Q

Contrôle interne/externe

A

= à qui on attribue responsabilité

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26
Q

Contenu des cartes

A

Cartes ne sont pas neutres
Leur contenu ne doit pas être considéré comme équivalent

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27
Q

Mise à jour du TAT ?

A

Narron → doctorant, San Francisco

→ cartes TAT →pbm génération ? culture ? N&B ?
→ propose TAT modernisé à partir de photos (tenues / contextes de vie modernes + N&B ET couleur)

=> Aucune publication

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28
Q

Passation du TAT

A
  • en diagonale, posture de trois quarts
  • mettre à l’aise, pas de bonne ou mauvaise réponse
  • racontez moi une histoire (avant, pdt, après, ce que les personnages pensent et ressentent)
  • une planche à la fois, cacher planche une fois terminée
  • chronométrer → noter tps de démarrage, latence et rép → bien de faire avec montre avec trotteuse
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29
Q

Méthode d’interprétation des narratifs est basée sur ?

A

Sur théorie cognition sociale et des relations d’objet

30
Q

Méthode SCORS (signification de l’acronyme et ce qu’elle évalue)

A

= Social Cognition and Object Relation Scale
Evalue ≠ facettes des relations d’objet (≠ échelles)

31
Q

Echelles de la SCORS (8 + qq infos)

A

8 échelles dont 4 dvptales, 2 dimension affective et 2 dimension cognitive.
⇒ cotation entre 1 et 7
⇒ évalue relations interpersonnelles

  1. Complexité des représentations et individus
  2. Qualité affective des relations
  3. Capacité d’investissement affectif ds relations
  4. Investissement des valeurs et des normes morales
  5. Compréhension de la causalité sociale
  6. Ressenti et gestion des pulsions agressives
  7. Estime de soi
  8. Identité et cohérence du soi
32
Q

Echelle 1 de la SCORS : complexité des représentations et individus
→ ce qu’elle évalue
→ cotations basses, moyennes et hautes

A
  • évalue différenciation et intégration
  • Sujet au Moi :
    B : égocentrique, mal différencié
    M : Bien différencié mais simpliste
    H : bien différencié, complexe et solide
33
Q

Echelle 2 de la SCORS : qualité affective des relations
→ ce qu’elle évalue
→ cotations basses, moyennes et hautes

A

Evalue l’ambiance affective associée aux relations (ce que le sujet ressent vàv des relations)

  • cotations :
    B : relations violentes
    M : vécu perso souffrance
    H : relations positives et réalistes
34
Q

Echelle 3 de la SCORS : capacité d’investissement affectif ds relations
→ ce qu’elle évalue
→ cotations basses, moyennes et hautes

A

Evalue l’investissement de l’autre ds la relation.

  • Investissement :
    B : absent, instable, narcissique
    M : superficiel
    H : affectif, positif, profond, réciproque
35
Q

Echelle 4 de la SCORS : Investissement des valeurs et des normes morales
→ ce qu’elle évalue
→ cotations basses, moyennes et hautes

A

Evalue intériorisation et intégration des normes sociales et morales

  • cotations :
    B : immoralité, anormalité
    M : intériorisation simpliste des normes (peur de la punition)
    H : vraie culpabilité
36
Q

Echelle 5 de la SCORS : Compréhension de la causalité sociale
→ ce qu’elle évalue
→ cotations basses, moyennes et hautes

A

Evalue cohérence logique et psychologique des récits (capacité à comprendre pourquoi les persos font ce qu’ils font)

  • Récits :
    B : incohérents
    M : embrouillés
    H : cohérents + éléments psychologiques expliquant agissements
37
Q

Echelle 6 de la SCORS : Ressenti et gestion des pulsions agressives
→ ce qu’elle évalue
→ cotations basses, moyennes et hautes

A

Evalue qualité gestion psychologique de l’agressivité

  • Cotations :
    B : faible capacité mentalisation
    M : auto-agressivité, passif-agressif
    MH : évitements agressivité
    H : mentalisation et gestion efficace
38
Q

Echelle 7 de la SCORS : estime de soi
→ ce qu’elle évalue
→ cotations basses, moyennes et hautes

A

Evalue valeur que le sujet s’attribue à lui-même

  • Image de soi :
    B : très négative
    M : négative
    H : incluant du positif réaliste
39
Q

Echelle 8 de la SCORS : identité et cohérence du soi
→ ce qu’elle évalue
→ cotations basses, moyennes et hautes

A

Evalue la solidité du sentiment d’identité

  • Identité :
    B : morcelée, multiple
    M : fragile
    H : stable et profonde
40
Q

Passation TAT selon SCORS (2)

A
  • SCORS n’impose pas les planches → choix selon objectifs
  • Min 10 planches par protocole (en pratique clinique)
41
Q

Cotation TAT avec SCORS

A

Chaque récit peut être coté selon chaque échelle de la SCORS mais le faire pour toutes serait trop lourd donc souplesse : échelles et planches = choisies /r aux objectifs de recherche / clinique

42
Q

Utilisation de la méthode SCORS en recherche (4)

A
  • used pour coter d’autres récits de projectif
  • pr enf, ados et adultes
  • pr recherches empiriques ET cas cliniques
  • pr toute populations tant qu’on étudie relations d’objet
43
Q

Qualités psychométriques de la SCORS (5)

A
  • E liens attendus entre échelles SCORS et différents outils d’évaluation
  • permet discriminer entre pop clinique et normales
  • permet repérer évolution des relations d’objet (longitudinal)
  • bonnes fidélité interjuge, validité de construit, cohérence interne

⇒ SCORS présente bonnes qualités psychométriques qui en autorisent l’emploi ds les études empiriques

44
Q

Stein → Buzzword

A

= une fois repérés, pour chacun on voit à quelle échelle ça correspond, puis comment on cote.

45
Q

Méthode PRTC (avancement et but)

A
  • méthode en cours de construction
  • But : rendre ça + simple, + rapide, + efficace pour mettre en évidence grands traits d’organisation psychique
46
Q

Bases théoriques du système PRTC (4 dimensions + s’appuie sur 2 choses)

A

4 dimensions fondamentales pour évaluer la personnalité et les dysfonctionnements :
- le SOI (à travers les personnages à travers récits)
- les TYPES DE RELATION (à travers relations entre les persos)
- les PBMATIQ ppales du sujet (à travers thématiques des récits)
- les PROCESSUS psychiques dominants (à travers construction des récits)

⇒ rubriques correspondent à dimension de vie psychique et se retrouvent ds plupart des méthodes d’interprétation du TAT…

⇒ s’appuie sur théorie des schémas (Young, Beck) et sur modèle alternatif des tb de la personnalité du DSM-5 (modèle intégratif)

47
Q

Méthode PRTC → niv de fonctionnement intra et interpersonnel (2)

A
  • Dimension INTRApersonnelle = soi = identité + autodétermination
    → proposition d’une identité qui serait stable, complexe, mature, sans pbms
    → autodétermination = poursuite d’objectifs cohérents
  • Dimension INTERpersonnelle → fonctionnement interpersonnel adapté = empathie + intimité
48
Q

Méthode PRTC → approche par traits de personnalité modèle à 5 facteurs (Big 5)

A

On postule l’existence de 5 grandes dimensions permettant de déf personnalité globale d’une personne et aspects possiblement pathologique.
→ modèle OCEAN

⇒ Ces catégories décrivent comment une personne peut se comporter de manière récurrente

49
Q

Méthode PRTC → Théorie des schémas cognitifs et précoces (méthode PRTC s’appuie aussi sur ce champ théorique clinique)

A

Croyances centrales sur soi, les autres et le monde :
- Schémas = ens des croyances et conviction intimes du sujet sur lui-même et le monde
- Thématiques dominantes des récits → laissent apparaître schémas cognitifs
- Schémas actifs devraient naturellement se manifester ds récits TAT

⇒ permet de comprendre large panel de cpts, d’expériences vécues, et souffrance humaine

50
Q

Méthode PRTC → rappel d’histoires et modifications sémantiques des récits : travaux de Rusinek

A

Propositions de Rusinek → autre façon d’accéder aux schémas
= comment restitution d’un récit va être potentiellement modifiée et cette modification traduit un schéma
⇒ il demande aux enfants de lire une histoire puis une semaine après de la restituer et il note quels détails ont été omis, lesquels ont été ajoutés, modifiés, etc.

51
Q

Méthode PRTC → construction du récit et processus psychiques -> permet d’identifier …

A

Permet d’inférer processus psychiques à l’œuvre chez personnes :
⇒ type de récit (e.g. descriptif, impersonnel,…) et lisibilité du récit (e.g. fluide, cohérent, causale…)
⇒ permet de voir quels processus = identifiables

52
Q

Méthode PRTC → périmètre théorique de l’interprétation

A

→ interprétation vise à caractériser personnalité du sujet
→ éléments clés de personnalité repérables :
- structuration et identification du moi et d’autrui
- type de relation (schémas de relation intériorisés)
- qualité et intensité des préoccupations dominantes (pbmatiq complexes)
- gestion de la vie émotionnelle (affects, sexualité, agressivité, angoisse,…) et des contenus de pensée

53
Q

Méthode PRTC → principes d’interprétation

A

Est ce que récits recueillis = reflet fidèle, déformé ou nul de la personne

54
Q

Méthode PRTC → 3 étapes de la méthode

A
  1. Analyse planche par planche selon 4 rubriques (perso, relations, thèmes, construction du récit)
  2. Synthèse de chaque rubrique (domaine par domaine) : dégager traits dominants de chaque rubrique et en inférer interprétation sur personnalité du sujet sur trait envisagé
  3. Synthèse générale
55
Q

Méthode PRTC → comment repérer éléments importants ou saillants ds récits TAT ?

A

Dét pertinence éléments = liée à expérience du clinicien.
+ E plusieurs critères simples peuvent y aider

56
Q

Méthode PRTC → un trait est important quand (6)

A
  • se répète
  • se recoupe avec d’autres signes allant ds même sens
  • chargé d’émotion
  • associé à une perturbation notable du récit
  • fait défaut là où il = normalement évoqué
  • particulièrement décalé vàv de la situation (du récit ou de la passation)
57
Q

Méthode PRTC → personnages

A

→ décrire comment ils sont construits et comment ils agissent (psychologiquement et ds leurs cpts)
→ les regarder individuellement
→ repérer ds l’odre :
- leur identité
- leur vie psychique
- leur cpt
⇒ ils reflètent vie psychique du sujet à 2 niv :
→ contenu (e.g. perso tjrs tristes) = reflet direct
→ production = produit du travail psychologique

58
Q

Méthode PRTC → les relations entre les personnages

A

→ Repérer dans l’ordre :
- présence ou non de relations
- intensité
- type de relation
- complexité

59
Q

Méthode PRTC → thème et scénario du récit

A

→ Repérer le(s) thème(s) ppal(aux) et leur évolution
→ Thèmes importants peuvent être compris à 2 niv :
- “miroir” des préoccupations du sujet
- indicateur des processus qui les ont introduits dans le récit

60
Q

Méthode PRTC → Etapes 2 et 3

A

Etape 2 :
Synthèse de chaque rubrique (domaine) :
- personnage (moi, vie psychique, identité)
- relations (structures relationnelles intériorisées : schémas, relations d’objet)
- thèmes (pbmatiq dominantes)
- construction (dynamique psychique)

Etape 3 :
synthèse générale de l’organisation de la personnalité du sujet, rép à la question motivant la passation

61
Q

Méthode PRTC → Caractéristiques psychopathologiques (partie provisoire à contrôler par recherches)

A

But TAT ≠ poser diag MAIS éclairer dim° imp de vie psychique du sujet !
= identité dimensionnelle = test de personnalité

62
Q

Méthode PRTC → Critères spécifiques à certains tb psychopathologiques

A

Il s’agit de repères RELATIFS et non SUFFISANTS ni SYSTEMATIQUES :
e.g. névrose obsessionnelle (personnalité rigide) : récit désaffectivé, agressivité difficile à gérer, culpabilité,…

63
Q

Les schémas sont visibles dans les … mais peuvent aussi l’être dans les … car …

A

Les schémas sont visibles dans les thèmes mais peuvent aussi l’être dans les relations car ce sont des croyances relationnelles

64
Q

Si la personne décrit simplement ce qu’elle voit, qu’est ce qu’on n’obtient pas ? (2)

A

on n’obtient pas de récit donc il n’y aura pas de thèmes

65
Q

Pour quelles raisons on peut envisager de ne pas donner toutes les informations dans la restitution ? (2)

A

Si des éléments peuvent être menaçants pour la personne (car trop éloignés de la représentation qu’elle a d’elle-même) ou trop menaçant pour l’alliance thérapeutique

66
Q

Pourquoi on considère que les récits de la personne traduisent un contenu psychique ?

A

Car on considère que ce que vivent les personnages est un reflet fidèle de ce que vit la personne

67
Q

Intérêts des projectifs en général (5)

A
  • observer contenus difficilement observables
  • stimuli ambigus permettent recueillir matériel intrapsychique qui va dépasser les mécanismes de censure
  • objectif d’évaluation ≠ apparent ⇒ contre le biais de désirabilité
  • caractère ludique
  • consigne simple
68
Q

Intérêts du TAT en particulier (4)

A
  • plusieurs systèmes d’interprétation ⇒ richesse
  • se prête à interprétation non psychanalytique
  • permet cibler domaines d’évaluation (pas obligé d’évaluer tous domaines en même temps)
  • evidence based
69
Q

Quelles sont les limites pouvant engendrer un manque de fiabilité dans l’interprétation du TAT ? (6)

A
  • plusieurs systèmes d’interprétation
  • pas de critères officiels de cotation
  • réactivité de la mesure au contexte et situation actuelle du sujet
  • soumis à interprétation du thérapeute ⇒ potentiels biais confirmations
  • planches ≠ neutres (pull card effect)
  • biais culturels = habituation aux récits grands et épiques ⇒ ça va potentiellement être activé chez les gens
70
Q

Dans quels cas n’est-il pas pertinent d’utiliser le TAT ? (7)

A
  • déficience intellectuelle
  • pas capacité verbale de produire un récit
  • pas bonne maîtrise de la langue
  • situation clinique aigue : douleurs, état délirant
  • sous effets d’une substance
  • idées suicidaires
  • embauche / situation pro : contre indication éthique
71
Q

Méthode PRTC → construction du récit

A

Repérer dans l’ordre :
- type de récit => imp pour le poids psychique à donner à l’interprétation du récit

  • style du récit => lié à son rapport à la réalité, son intelligence, sa façon de l’utiliser et ses perturbations
  • attitudes du sujet pdt la passation => éléments permettant suivre les réactions du sujet en direct + suivre l’effet immédiat de la passation

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