Mémoire À Court Terme Flashcards
Qui suis-je
Ensemble de processus permettant de maintenir active et de manipuler l’information nécessaire aux activités courantes. Souvent associée à la conscience
MCT
Quelle tâche classique a été développée afin d’étudier le fonctionnement et les limites de la MCT
Rappel sériel
* 8 chiffres sont présentés un à la suite de l’autre et il faut rappeler la séquence dans le bon ordre
PROPRIÉTÉS DE LA MCT
Qu’est-ce que l’empan et qu’est-ce que la durée de la trace.
Empan: nb d’items pouvant être traités simultanément en MCT
Durée de la trace: le temps pendant lequel l’information peut être maintenue en MCT
Vrai ou faux
La mesure de la capacité est l’empan
Vrai
L’empan se mesure à partir du rappel correct lors d’une tâche de rappel sériel (le rappel est correct quand tous les items d’une liste sont rappelés dans le bon ordre)
Il existe deux méthodes pour calculer l’empan. Explique les
• On présente des listes de longueurs différentes et on calcule le % correct pour chaque longueur
Empan= longueur de la liste ayant 50% des essais réussis
• À partir d’une brève liste, on allonge la liste jusqu’à ce que le participant fasse deux rappels incorrects de suite
Empan= longueur de la liste précédant les erreurs
A) Quel est l’empan mnémonique de la MCT
B) l’empan est affecté par plusieurs variables (3). Nomme les
A) 7 (+-) 2
B) groupement, longueur du mot et similitude phonologique
L’empan mnémonique en MCT est affecté par le groupement
Qu’est-ce que le groupement?
C’est un regroupement de stimuli (chunk) rapprochés dans le temps/espace et où ayant une signification
- un ensemble connu (ex: TVA - RTC- SAQ), c-à-d ayant une signification, semble plus facile à mémoriser
Une deuxième variable pouvant influencer l’empan du participant est la longueur des mots à rappeler
Plus les mots de la liste à mémoriser sont [1], plus le % de rappel correct de cette liste diminue. L’empan dépendant donc de la longueur des mots
Longs
Y a t’il un lien entre la durée de prononciation et l’empan
Oui, l’empan correspond à ce que le participant peut prononcer en environ 2 secondes
Une autre variable pouvant réduire la capacité de la mémoire à court terme est la similitude phonologique. Élaborez
La capacité de la MCT est diminuée lorsque les stimuli sont similaires phonologiquement
- interprétation: les participants utilisent la phonologie afin de maintenir une séquence d’items en MCT
Vrai ou faux
A) la capacité de la MCT, en nb d’items, est de 7 (+ ou - 2)
B) pour ce qui est de la durée de la trace, elle correspond à la quantité d’info pouvant être traitée en 5 secondes
C) la représentation de l’info en MCT (format) est basée sur la sémiologie
A) vrai
B) faux, 2 secondes*
C) faux, basée sur la phonologie
La [1] est le module responsable de traiter l’info visuelle non reliée au langage
La [2] est le module responsable de traiter l’info reliée au langage, l’info dite verbale. Elle est subdivisée en 2 composantes: le [3] et la [4]
- Tablette visuo-spatiale
- Boucle phonologique
- Registre phonologique
- Boucle articulatoire
MCT
Qu’est-ce que le registre phonologique?
Composante de la boucle phonologique. C’est l’information entreposée passivement sous forme phonologique. C’est l’entrée de l’information auditive
REGISTRE PHONOLOGIQUE
Qu’advient t’il de l’info entreposée dans le registre phonologique si elle n’est pas recirculée dans la boucle articulatoire
Elle s’efface en environ 2 secondes
Qu’est-ce que la boucle articulatoire?
Composante de la boucle phonologique. Elle maintient l’info active dans le registre phonologique en la recirculant (autorépétition)
Vrai ou faux
La boucle articulatoire est basée sur l’articulation/la prononciation
Vrai
BOUCLE ARTICULATOIRE:
entrée de l’information [1]: code l’information [2] sous forme [3]
- Visuelle
- Visuelle-verbale
- Phonologique
En quoi consiste la suppression articulatoire? Quels sont ses effets?
La suppression articulatoire consiste à répéter à voix haute une syllabe ou un mot pendant une tâche de mémoire. Cela a pour effet de charger la boucle, ce qui la rend inutilisable pour la tâche de mémoire. En d’autres termes, la suppression articulatoire bloque l’autorépétition
La suppression articulatoire bloque l’encodage [1] de l’information [2]. L’information visuelle ne peut donc pas accéder au [3] lorsque le participant fait de la suppression articulatoire
- Phonologique
- Verbale visuelle
- Registre phonologique
Pourquoi est-ce que plus de mots s’effacent du registre phonologique lorsqu’ils sont longs
Car ils n’ont pas le temps d’être autorépétés. Plus il est long de prononcer les mots, moins le participant peut en autorépéter (la capacité de la boucle articulatoire est limitée)
Qu’est-ce que l’effet de similitude phonologique
Survenant dans le registre phonologique, c’est un effet de confusion entre les items (confusion dû à leur similarité phonologique)
Vrai ou faux
Les effets de la suppression articulatoire et de longueur du mot surviennent dans le registre phonologique et l’effet de similitude phonologique survient dans la boucle articulatoire
faux c’est l’inverse
Dans une tâche de rappel sériel, des items similaires ou non phonologiquement sont présentés. Les mots sont soit longs (4 syllabes) ou courts (2 syllabes). Il y a également soit suppression articulatoire ou non
Quels sont les résultats observés (quant au pourcentage de mots correctement rappelés)
Les mots courts dissimilaires et sans suppression articulatoire sont ceux le plus rappelés correctement
Les mots longs similaires et avec suppression articulatoire sont ceux le moins rappelés correctement
Qui suis-je
Composante de ma MCT où l’information est manipulée sous forme visuelle et/ou spatiale (non verbale)
Tablette visuo-spatiale
Quelles sont les deux sous-composantes de la tablette visuo-spatiale?
Le scribe interne et la cache visuelle
A) Quelle est l’empan (capacité) de la tablette visuo-spatiale selon l’expérience de Zhang et Simon
B) quelle est une limite à cette étude
C) comment remédier à cette limite.
D) quels sont alors les résultats?
A) 2 à 3 items
B) la complexité des caractères chinois pourraient être responsable de la faible capacité
C) Développer une tâche équivalente ayant un niveau de difficulté comparable aux tâches pour déterminer la capacité de la boucle phonologique
D) capacité de 7 items plus ou moins 2
Comment se ferait l’autorépétition spatiale
Par déplacement volontaire de l’attention
Afin de tester l’hypothèse du déplacement volontaire de l’attention, un délai est inséré entre la présentation et le rappel d’une tâche de Corsi. Pendant le délai, le participant doit autorépéter les localisations afin de ne pas les oublier
2 conditions pendant le délai:
• le participant est libre d’autorépéter (contrôle)
• l’attention du participant est monopolisée en lui demandant de suivre visuellement une cible à l’écran (suppression attentionnelle)
Quels sont les résultats
La suppression attentionnelle diminue l’empan (l’attention doit donc être impliquée lors de l’autorépétition spatiale)
Vrai ou faux
Les mouvements oculaires n’ont pas de rôle à jouer lors du maintien de l’info spatiale en MCT
Faux, l’autorépétition est basée sur le déplacement des yeux
MODULARITÉ
Vrai ou faux,
Lorsque deux tâches sollicitent les ressources d’un même module, il devrait y avoir interférence.
Vrai
(Ex: suppression articulatoire + rappel sériel verbal = interférence)
Vrai ou faux
Lorsque deux tâches sollicitent les ressources de 2 modules différents, il devrait y avoir interférence
Faux, il ne devrait pas y en avoir
( suppression articulatoire + rappel sériel spatial (Corsi) ≠ interférence)
Vrai ou faux
Lorsque deux tâches sollicitent les ressources de 2 modules différents, il devrait y avoir interférence
Faux, il ne devrait pas y en avoir
( suppression articulatoire + rappel sériel spatial (Corsi) ≠ interférence)
TEST DE LA MODULARITÉ
- Rappel Sériel
• verbal (lettres)
• spatial (Corsi)
- Interférence
• contrôle (sans interférence)
• verbale (suppression articulatoire)
• spatiale (frappe cadencée)
Quels sont les résultats?
L’interférence survient lorsque la tâche interférente et la tâche de mémoire font appel au même module (appuie la vision modulaire de la MCT)
Qui suis-je?
• responsable de la gestion des autres composantes du modèle et de l’intégration de l’info verbale et visuelle
• dirige et régule l’allocation des ressources attentionnelles pour un tx efficace de l’info
• contrôle les processus cognitifs et sélectionne les stratégies nécessaires dans l’atteinte d’un but
Unité de gestion centrale
Baddeley propose la décomposition de l’unité de gestion centrale en 4 fonctions exécutives.
Quelles sont elles?
- effectuer deux tâches simultanément
- alterner entre différentes stratégies
- porter une attention sélective à un stimulus et inhiber les distractions
- activer et manipuler l’info provenant de la MLT
- ces 4 fonctions sont à la base de la cognition
Shallice compare le contrôle et les fonctions exécutives à un superviseur et développe le modèle du système attentionnel superviseur, très utilisé en neuropsy. Quel est toutefois le problème avec ce modèle?
Il y a un problème de circularité: qu’est-ce qui contrôle le système de contrôle?
Quels sont les limites du modèle de Baddeley?
- Principe de parcimonie (plusieurs modules sont-ils vrm nécessaires?)
- Le modèle ne propose aucun mécanisme responsable du tx de l’info audio-spatiale
- Selon le modèle, l’oubli est dû à l’estompage alors que l’interférence joue un rôle important
Qui suis-je?
Baisse du rappel ou de la reconnaissance du contenu en mémoire
Oubli
Il existe deux hypothèses quant à la source de l’oubli. Nomme et définis les
Oubli par estompage: le seul passage du temps provoque l’oubli
Oubli par interférence: interactions entre les items en MCT
Brown-Peterson a élaboré une tâche classique pour démontrer l’estompage. Explique comment fonctionne cette tâche (les étapes)
- 3 items sont présentés pendant deux secondes afin d’être mémorisés
- Le participant doit compter à rebours pendant un délai variant de 1 à 30 secondes (tâche de distraction)
- Après ce délai, le participant doit rappeler les 3 items mémorisés
La démonstration de l’oubli par estompage (tâche de Brown-Peterson) exige deux conditions
Quelles sont elles?
- Élimination de l’autorépétition par une tâche de distraction: afin qu’il y ait estompage, le participant ne doit pas pouvoir autorépéter l’info
- Indépendance entre la tâche de distraction et le matériel en mémoire: afin qu’il n’y ait pas d’interférence, la tâche de distraction doit être différente de la tâche de mémoire
Lors de la tâche de brown-peterson, Reitman (1971) varie la nature de la tâche de distraction:
- détection d’un son de faible intensité: le rappel n’est pas affecté
- identifier la présence de syllabes TO parmi des DO (présentation auditive): diminution de 25% du rappel
Dans la tâche d’origine, le comptage à rebours provoque une diminution de la performance (rappel) d’environ combien de %
65-70%
TÂCHE BROWN-PETERSON (ESTOMPAGE)
Le fait que la performance varie en fonction de la tâche de distraction indique quoi. Y a t’il une autre hypothèse à cette variation?
Qu’il y a interférence. Il se pourrait aussi que l’autorépétition varie selon la tâche de distraction, certaines tâches permettant plus l’autorépétition que d’autres
Selon l’oubli par interférence, l’oubli serait dû à une interaction entre le matériel en mémoire et le nouveau matériel à mémoriser. Il existe deux sortes d’interférences. Nomme et décris les
Interférence rétroactive: le nouveau matériel efface la trace du matériel déjà en mémoire
Interférence proactive: le matériel en mémoire diminue la mémorisation du nouveau matériel
OUBLI PAR INTERFÉRENCE—PRÉDICTIONS
• l’oubli sera affecté par la [1] de matériel en mémoire: plus il y a de matériel en mémoire, plus il y aura d’[2]
• l’oubli sera affecté par la [3] entre le contenu en [4] et le contenu à mémoriser: plus il y a de matériel en mémoire [5] au nouveau matériel, plus il y aura d’[2]
- Quantité
- Interférence
- Similitude
- MCT
- Similaire
La tâche de Brown-Peterson (montrer brièvement trois items à retenir, effectuer un compte à rebours pendant un délai variable et rappeler les items) a aussi été utilisée pour étudier l’interférence. Quels résultats ont été observés?
• LA PERFORMANCE DIMINUE EN FONCTION DE L’ESSAI (performance parfaite pour le premier essai car aucune info en mémoire à ce moment. Plus il y a d’info en mémoire, plus la performance diminue en raison de l’interférence)
• PLUS LA DURÉE DU COMPTE À REBOURS EST LONGUE, PLUS IL PEUT Y AVOIR D’INTERFÉRENCE
INTERFÉRENCE ET SIMILITUDE SÉMANTIQUE
Wickens, Dalezman et Eggmeier ont effectué une tâche de Brown-Peterson où pendant 3 essais les participants doivent rappeler des noms de fruits. Qu’a t’il été remarqué?
Il y a interférence proactive; la performance diminue en fonction du numéro de l’essai. Plus il y a de fruits activés en mémoire, plus les nouveaux fruits sont difficiles à rappeler
INTERFÉRENCE ET SIMILITUDE SÉMANTIQUE
Wickens, Dalezman et Eggmeier ont effectué une tâche de Brown-Peterson où pendant 3 essais les participants doivent rappeler des noms de fruits. Lors d’un 4e essais, il y a changement de catégorie (ex: les participants doivent rappeler des noms de fleurs ou encore de professions)
Qu’ont-ils alors remarqué
Un relâchement de l’interférence proactive. Plus la catégorie est différente de celle utilisée dans les 3 premiers essais, plus la performance s’améliore (en d’autres mots, le degré d’interférence proactive est fonction de la similarité entre l’info déjà en mémoire et la nouvelle info)
ESTOMPAGE OU INTERFÉRENCE?
Waugh et Norman proposent un devis sur mesure pour comparer les deux hypothèses: estompage vs interférence. Ils établissent la tâche de chiffre-sonde. Explique le déroulement de cette tâche (étapes)
- On présente une série de 16 chiffres
- Un son indique la fin de la série (le dernier chiffre avant le son est la sonde)
- Le participant doit indiquer le chiffre qui suivait la première occurrence de la sonde dans la séquence
Voici le déroulement de la tâche de chiffre sonde
- On présente une série de 16 chiffres
- Un son indique la fin de la série (le dernier chiffre avant le son est la sonde)
- Le participant doit indiquer le chiffre qui suivait la première occurrence de la sonde dans la séquence
Comment manipule t’on l’interférence dans cette tâche
On varie le nombre d’items interférant entre la sonde et la réponse
Voici la tâche de chiffre-sonde
- On présente une série de 16 chiffres
- Un son indique la fin de la série (le dernier chiffre avant le son est la sonde)
- Le participant doit indiquer le chiffre qui suivait la première occurrence de la sonde dans la séquence
Dans cette tâche, on manipule l’interférence en variant le nombre d’items interférant entre la sonde et la réponse.
Une autre variable est manipulée. Élaborez
On manipule le temps en variant la vitesse de présentation des items
ESTOMPAGE OU INTERFÉRENCE (TÂCHE DE CHIFFRE-SONDE)
Vrai ou faux
Le nombre d’items interférant entre la sonde et la réponse affecte moins le % de rappel correct que le temps (vitesse de présentation)
Faux, le nb d’items affecte davantage le % de rappel correct que le temps
Quelle est la conclusion de Waugh et Norman sur la cause de l’oubli dans leur tâche de chiffre sonde? Est-elle due à l’estompage ou à l’interférence?
Elle est due à l’interférence rétroactive
L’effet du relâchement de l’interférence lorsqu’on change la catégorie sémantique des items à rappeler suggère quoi?
Que les caractéristiques sémantiques emmagasinées en MLT contribuent à la récupération de l’info en MCT
Le modèle de Tulving propose trois types de MLT. Nomme les
- La mémoire sémantique
- La mémoire épisodique
- La mémoire procédurale
Nomme quelques distinctions entre la MCT et la MLT
MCT:
• moment présent
• capacité limitée à peu d’information
• trace limitée à quelques secondes sans maintien actif
• souvent associée à la conscience
MLT:
• notre passé
• aucune limite connue
• entreposage permanent des connaissances
• concepts, signification des mots, événements marquants
Vrai ou faux sur la MCT vs la MLT
La nature du code diffère entre les deux mémoires. On retrouve un code sémantique pour la MCT et un code phonétique pour la MLT
faux. La MCT a un code phonétique et la MLT un code sémantique
Quelle tâche a été utilisée afin de dissocier la MLT de la MCT. Explique cette tâche
Le rappel libre: des items sont présentés un à la fois et le participant doit les rappeler dans n’importe quel ordre
Vrai ou faux
Dans la tâche de rappel libre, l’effet de récence est associé à une récupération en MLT et l’effet de primauté est associé à une récupération en MCT
Faux, c’est l’inverse
Glanzer et Cunitz ont effectué une tâche de rappel libre où un délai variable (pour faire du calcul mental) est inséré entre la présentation des items et le rappel.
Qu’a t’il été alors observé
La longueur du délai affecte seulement la récence
Baddeley et Hitch ont développé la technique de double tâche composée
D’une tâche de rappel libre et d’une tâche de rappel sériel.
- TÂCHE DE RAPPEL LIBRE:
La performance à cette tâche est évaluée en fonction de la charge mnémonique. A)Qu’est-ce que la charge mnémonique? - TÂCHE DE RAPPEL SÉRIEL
0, 3 ou 6 items à maintenir en mémoire pendant que le participant effectue la tâche de rappel libre
B) Le nombre d’items à maintenir dans cette tâche détermine quoi?
A) c’est la quantité d’information déjà en mémoire
B) le degré de charge mnémonique
Vrai ou faux
A) la charge mnémonique a un effet sur la récence
B) l’effet de primauté n’est pas affecté par la charge mnémonique
C) la charge mnémonique nuit à l’autorépétition de la liste des mots
A) faux
B) faux
C) vrai
Sumby a fait une tâche de rappel libre avec des mots fréquents vs des mots rares. Qu’a t’il alors observé sur l’effet de primauté?
L’effet de primauté est considérablement réduit lors du rappel de mots rares (car mots fréquents sont associés à des connaissances en MLT)
Baddeley et Warrington ont comparé un groupe de patients amnésiques et un groupe contrôle dans une tâche de rappel libre. Qu’a t’il observé sur l’effet de primauté et de récence?
Les deux groupes présentent un effet de récence similaire mais un effet de primauté différent (car l’amnésie est liée à l’incapacité de consolider l’info en MLT)
PRIMAUTÉ
Vrai ou faux
La primauté est liée à l’autorépétition de type II
Vrai
L’autorépétition permet le transfert de l’info de la [1] à la [2]. La [3] serait liée à la récupération en MLT
La récence est [4] lorsque le participant ne peut ni rappeler l’info [5], ni la transférer en [2] par autorépétition
- MCT
- MLT
- Primauté
- Diminuée
- Immédiatement
Quels sont les conséquences sur la mémoire du patient H.M *
- le patient H.M fait de l’amnésie antérograde à la suite d’une intervention chirurgicale pour diminuer l’épilepsie
- HM est capable de retenir de l’info pendant quelques secondes en MCT
- toutefois il ne peut conserver l’info nouvelle en MLT
K.F a subi une lésion aux régions pariéto-occipitales gauches. Quelles furent les conséquences sur sa mémoire
• il présente un déficit important de la MCT verbale, tel qu’indiqué par un empan de 2 items
• toutefois, il semble pouvoir enregistrer l’info en MLT
Quels sont les contre-appuis empiriques quant à la dissociation des systèmes de MCT et de MLT (3 contre-appuis)
- Un effet de récence est observé lors du rappel d’info en MLT (ex du test de rappel des noms des anciens présidents des É-U)
- S’il y a Différences sur le plan de l’encodage (phonologique vs sémantique), Comment faisons nous pour comprendre un texte, apprendre une langue ou se souvenir de visages
- Pourquoi K.F peut-il encoder de l’info en MLT alors que la MCT est essentielle au passage de l’info?
Vrai ou faux
La durabilité de la trace ainsi que le format dépendraient du type de tx qui est effectué au moment de l’encodage
Vrai
Vrai ou faux
La durabilité de la trace ainsi que le format dépendraient du type de tx qui est effectué au moment de l’encodage
Vrai