Encodage Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que l’encodage?

A

Processus qui transforme un événement ou un fait en une trace mnésique. Consiste en un transfert de l’info traitée vers la MLT afin de permettre une éventuelle récupération

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2
Q

La tâche d’orientation consiste à demander au participant d’effectuer un tx donné sur l’info présentée

A) il s’agit d’un apprentissage incident. Pq?

B) quel est l’objectif de cette tâche

C) par quel test est suivie cette tâche et qu’est-ce qu’évalue ce test

A

A) parce que le participant ne sait pas qu’il sera testé sur cette info

B) vérifier l’effet du type de tx sur la mémoire

C) un test de mémoire où on évalue la quantité d’info que le participant peut récupérer

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3
Q

Quels ont été les trois tâches d’orientation proposées par Hyde et Jenkins pour voir si l’intention de mémoriser est un facteur déterminant pour le rappel

A
  1. Tâche sémantique (le participant doit juger de la qualité plaisante des mots)
  2. Structurale: le participant doit identifier si le mot contient la lettre E
  3. Mémorisation intentionnelle
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4
Q

Hyde et Jenkins proposent trois tâches d’orientation pour évaluer l’effet de l’intention de mémoriser sur la mémorisation:

  1. Tâche sémantique (le participant doit juger de la qualité plaisante des mots)
  2. Structurale: le participant doit identifier si le mot contient la lettre E
  3. Mémorisation intentionnelle

Pour les tâches sémantiques et structurale, un groupe est informé qu’il devra rappeler les mots (conscients) et l’autre ne le sait pas (incident)

Quels sont les conclusions de leur étude (p/r à l’intention)

A

• l’intention n’est pas essentielle pour la mémorisation (le tx sémantique est équivalent à la mémorisation intentionnelle, même si le participant ne sait pas qu’il devra rappeler l’information)

• l’intention peut s’avérer importante (la mémorisation intentionnelle est meilleure que le tx structural et l’intention de mémoriser permet au participant d’utiliser les stratégies de mémorisation qui vont permettre un meilleur rappel)

• le type de tx est plus important pour le rappel que l’intention de rappeler l’information

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5
Q

Dans l’expérience de Hyde et Jenkins, la performance change en fonction de la tâche d’orientation (sémantique, structurale ou intentionnelle) qui est utilisée. Comment l’expliquer?

A

Ces tâches demandent des niveaux de tx différents. Plus le tx est profond, plus la trace mnésique est riche

*structural= tx léger,
phonétique= tx moyen,
sémantique= élevé

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6
Q

Craik et Tulving ont proposé trois tâches d’orientation:

•Structurale (est-ce que le mot est en majuscules)

•Phonétique (est-ce que le mot rime avec […])

• sémantique (est-ce que le mot s’insère dans la phrase […])

Quelles sont les deux parties de cette expérience et qu’est-ce qui est mesuré dans chaque partie

A

Partie 1: apprentissage incident (la question est présentée, le mot à traiter est ensuite présenté, puis le participant doit répondre à la question)
On mesure ici le temps de réponse

Partie 2: tâche de reconnaissance
Une Liste de mots est présentée et le participant doit sélectionner les mots qui ont été traités dans la première partie

On mesure ici le pourcentage de mots correctement reconnus

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7
Q

Vrai ou faux
Le pourcentage de reconnaissance augmente en fonction de la profondeur de tx

A

Vrai

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8
Q

Vrai ou faux
Le temps de latence dans les tâches d’orientation diminue en fonction de la profondeur du tx

A

Faux, il augmente (plus le tx est profond, plus le temps de latence augmente)

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9
Q

Le temps de latence dans les tâches d’orientation augmente en fonction de la profondeur du tx

Pq ce résultat est problématique?

A

Parce qu’il suggère que le taux de rappel peut aussi dépendre de la durée de tx (plus l’item est traité longtemps, plus il est reconnu facilement)

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10
Q

Le temps de latence dans les tâches d’orientation augmente en fonction de la profondeur du tx

ce résultat est problématique Parce qu’il suggère que le taux de rappel peut aussi dépendre de la durée de tx (plus l’item est traité longtemps, plus il est reconnu facilement)
Craik et Tulving ont voulu déterminer laquelle entre la durée et la profondeur du tx était déterminante pour le rappel. Comment ont-ils fait?

A

Ils ont utilisé une tâche d’orientation structurale plus longue à exécuter (ex: le mot a t’il la structure CVCCV)

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11
Q

Le temps de latence dans les tâches d’orientation augmente en fonction de la profondeur du tx

ce résultat est problématique Parce qu’il suggère que le taux de rappel peut aussi dépendre de la durée de tx (plus l’item est traité longtemps, plus il est reconnu facilement)
Craik et Tulving ont voulu déterminer laquelle entre la durée et la profondeur du tx était déterminante pour le rappel.
Ainsi, Ils ont utilisé une tâche d’orientation structurale plus longue à exécuter (ex: le mot a t’il la structure CVCCV)

Quels ont été les résultats?

A

Même si le temps de latence est plus élevé dans la condition structurale, la performance est plus élevée dans la condition sémantique

Le type de tx est donc le facteur déterminant pour la performance

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12
Q

Le niveau de tx détermine quoi?

A

La richesse et la persistance de la trace

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13
Q

Il existe deux types d’autorépétition.

Nomme et décris les

A

• type 1: maintien sans élaboration
(Ce type de tx réfère à l’autorépétition qui permet de garder une info active en MCT)

• type II: élaboration de la trace
Tx permettant de rendre la trace plus riche grâce à l’élaboration
* 2 types d’élaboration (élaboration distinctive et relationnelle)

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14
Q

Vrai ou faux
Le tx sémantique permet de mieux rappeler l’information à cause de l’élaboration (richesse) de la trace mnésique

A

Vrai

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15
Q

L’élaboration consiste à établir des liens entre [1] et [2] de deux façons

  • en reliant la nouvelle info à nos [3]
  • en reliant la nouvelle info au [4] dans lequel elle est présentée
A
  1. La nouvelle information
  2. L’information en MLT
  3. Connaissances générales
  4. Contexte
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16
Q

Vrai ou faux
Lorsque le tx est structural, la trace en mémoire est très élaborée, c-à-d que bcp de liens sont créés entre l’item et son contexte

A

Faux, lorsque le tx est structural, la trace en mémoire est peu élaborée, c-à-d qu’aucun ou très peu de liens sont créés entre l’item et son contexte

17
Q

Lorsque le tx est phonétique, la trace en mémoire est un peu plus [1]. Ex: la forte distance [2] entre le mot pomme et le [3] rhum créé un lien plutôt faible et peu durable en [4]

A
  1. Élaborée
  2. Sémantique
  3. Rhum
  4. MLT
18
Q

Lorsque le tx est sémantique, la trace en mémoire est-elle élaborée? Pq?

A

Oui car plusieurs liens sont créés entre l’item et le contexte

19
Q

Vrai ou faux
Lorsque le tx est sémantique, le mot est difficile à rappeler parce que peu d’indices sont disponibles afin d’aider la récupération (peu d’items lui ont été associés lors de l’encodage)

A

Faux, ce serait vrai si on parlait du tx structural

20
Q

Lorsque le tx est [1], le lien faible entre le contexte et le mot fait du contexte un indice peu efficace pour le [2]

A
  1. Phonétique
  2. Rappel
21
Q

Lorsque le tx est [1], le mot est plus facile à rappeler parce que les éléments du contexte ayant été encodés avec ce mot peuvent aider à la [2]

A
  1. Sémantique
  2. Récupératuon
22
Q

Outre la profondeur de tx, plusieurs facteurs influencent la richesse de la trace en mémoire:

A
  • la compatibilité avec le contexte
  • la complexité du contexte
  • la précision du contexte
23
Q

Dans l’expérience de Craik et Tulving (sur les niveaux de tx), la performance est plus élevée lorsque le participant doit répondre oui que lorsqu’il doit répondre non
Qu’est-ce que cela vient montrer

A

Que le niveau d’élaboration dépend de la compatibilité entre l’item traité et le contexte

24
Q

Pq l’avantage des essais positifs n’apparaît pas dans le tx structural

(I.e pq ne rappelons pas plus d’items qui étaient en majuscules)

A

Car le tx structural permet peu d’élaboration

25
Q

LA COMPATIBILITÉ DU CONTEXTE
• essais positifs (réponse oui)
- la performance est généralement [1] comparativement aux essais négatifs car le [2] est compatible avec l’[3], ce qui lui permet d’être [4] avec cet item. Il en résulte donc une trace [5]

• essais négatifs (réponse «non»)
Performance généralement [6] comparativement aux essais positifs. Le [2] n’est pas compatible avec l’[3]. Il n’est donc pas [4] avec cet item, ce qui produit une trace peu [5]

A
  1. Supérieur
  2. Contexte
  3. Item
  4. Encodé
  5. Élaborée
  6. Inférieure
26
Q

Vrai ou faux
Une traitement sémantique garantit une performance de rappel élevée

A

Faux, lorsque le contexte est incompatible, les liens entre l’item et sont contexte sont faibles et peu durables. Le contexte est donc un indice peu efficace pour le rappel

27
Q

Craik et Tulving ont voulu tester si l’élaboration augmente en fonction de la complexité du contexte.

Voici leur procédure:

  1. Le mot s’insère T’il dans la phrase suivante (3 niveaux de complexité du contexte):

• la … est rouge (complexité faible)
• la … mûre est délicieuse (complexité moyenne)
• le jeune homme a cueilli la grosse… rouge (complexité élevée)

  1. Rappel indicé

Quels sont les résultats?

A

• plus le contexte est complexe, plus la performance est élevée

• cette amélioration n’apparaît que lorsqu’il y a possibilité d’élaboration (condition «oui»)

28
Q

Comment peut être définie la précision du contexte (facteur influençant la richesse de la trace en mémoire)

A

Pertinence du contexte par rapport à l’info qui doit être mémorisée

29
Q

Pour déterminer si la précision du contexte joue dans la mémorisation, des participants doivent dans un premier temps juger de la cohérence d’une phrase puis dans un deuxième temps rappeler les phrases
Quels sont les résultats

A

Dans le groupe imprécis: 22% de rappel correct
Dans le groupe précis: 78% de rappel correct

La richesse de la trace dépend de la précision du contexte par rapport à l’item qui doit être traité

30
Q

Vrai ou faux
Le tx sémantique utilisé dans les tâches d’orientation permet généralement de créer une trace distincte en mémoire parce que le contexte qui est encodé avec l’item lui est propre

A

Vrai
* il s’agit de l’élaboration distinctive

31
Q

L’élaboration distinctive permet de diminuer la confusion entre les items à mémoriser. Pq?

A

Car chacun d’entre eux est encodé avec un contexte distinct

32
Q

Un autre type d’élaboration qui peut se faire lors d’un tx sémantique est l’encodage relationnel.
En quoi consiste t’il?

A

L’encodage relationnel consiste à organiser ou à regrouper les items étudiés autour de certaines catégories définies par un attribut perceptif, associatif ou conceptuel

33
Q

Bower et al a étudié l’effet de l’encodage relationnel sur le rappel
Il a présenté des listes organisées :
- structure conceptuelle (inclusion de classes)
- structure associative (lien basés sur le partage d’attributs divers )
- liste aléatoire

La procédure était la suivante
1. Étude des arborescences pendant une minute
2. Test de rappel
(Chaque liste est étudiée et rappelée 4 fois successives)

Quels sont les résultats/ conclusions observés?

A

La structure améliore nettement le rappel (les listes structurées associatives et conceptuelles sont mieux rappelées que les listes non structurées (aléatoires))

Le tx des liens sémantiques entre les items (l’encodage relationnel) améliore le rappel

34
Q

Une tâche d’orientation vise le maintien du dernier mot débutant par une lettre cible
- la quantité d’autorépétition est manipulée (le nb d’items intervenant entre deux items cibles varie de 0 à 12. Plus il y a d’items intervenant à la suite d’un item cible, plus cet item pourra être autorépété)

A) si l’autorépétition de maintien est un bon pédicteur de la performance, que devrions nous remarquer

B) qu’en est-il dans les faits?

A

A) que les mots qui ont été autorépétés le plus longtemps devraient être mieux rappelés que les mots qui ont été autorépétés moins longtemps

B) le temps qu’un item est autorépété n’influence pas le rappel. La quantité d’autorépétition de maintien n’est pas un bon prédicateur du rappel