M2 (Cédérick) Flashcards
Quelles sont les 3 étapes du traitement des échantillons
- Pré-analytique : avant que le spécimen commence à être analysé au laboratoire
- Analytique : au laboratoire, quel germe, antibiogramme, quel test sérologique
- Post-analytique : laboratoire retourne réponse au clinicien ce qui oriente choix du traitement
Expliquer l’étape pré-analytique
- Test demandé par le professionnel de la santé
- Échantillon prélevé et acheminé au laboratoire
- Réception de l’échantillon au laboratoire de microbiologie
Expliquer l’étape analytique
- Étalement de l’échantillon sur une lame microscopique : coloration de gram
- Étalement de l’échantillon sur des gloses (milieux nutritifs pour les bactéries)
- Géloses sont mises dans des incubateurs à 37 degrés C (examinées le lendemain)(procédures et analyses faites au laboratoire)
Quelles sont les 3 principales géloses
- Gélose sang de mouton
- Gélose chocolat
- Gélose MacConkey
Quelles sont les différentes atmosphères d’incubation
Pour satisfaire les exigences des bactéries, certaines géloses sont incubées
- Étuve à air ambiant (21% O2)
- Étuve à CO2
- Tente anaérobie
Tente anaérobie permet
la survie et la croissance des bactéries anaérobies strictes
Expliquer l’étape post-analytique
- Rapporter les résultats
- Transmettre les résultats
- Interpréter résultats (ex : choix d’antibios)
Exemples d’analyses
- Hémolyse
- Coagulase
- Catalase
Quand le médecin doit-il prescrire des hémocultures
- Patient qui présente fièvre avec signes d’atteinte systémique sévères (atteinte état général, frissons solennels, TA basse)
- Lorsque certains diagnostics graves sont évoqués (endocardite, méningite)
Dépend du clinicien
Nombre d’hémoculture généralement prescrit
généralement 2
Infirmière prélève 4 bouteilles (1 anaérobie, 1 aérobie pour chaque)
Va voir les images des étapes du prélèvement d’hémocultures
Étape 2 : attendre que ca seche
Etape 3 : Nettoyer bouchon
Pourquoi une bouteille aérobie et une anaérobie?
Volume de sang idéal par hémoculture
- 20 mL
Ration bouillon/sang par bouteille est environ 10 mL
10 mL + 10 mL = meilleur recouvrement de bactéries (anaérobies (augmentation légère), meilleure croissance de certaines bactéries aérobies dans les bouteilles anaérobies**)
Pourquoi prélever 2 hémocultures (40 ml de sang) ?
La probabilité de trouver la bactérie dans le sang dépend du volume de sang cultivé
- Plus volume est grand, plus la probabilité est haute
- Risque coût-bénéfice devient moins intéressant après 40 mL
- Facteur le plus important pour trouver des bactéries dans le sang si elles sont présentes !!!
Quand prescrire plus de 2 hémocultures?
- Endocardite aigue : 3 hémocultures
2h avant de débuter trx - Endocardite subaiguë (peu virulent, patient non instable) : 3 hémocultures < 24h avant début trx
Prélever 2 autres hémocultures si première série est négative après 24h
*Chaque hémocultures correspond au prélèvement d’une bouteille aérobie et anaérobie
Pourquoi prélever en 2 temps?
- Évaluer la contamination cutanée
- évaluer caractère continu de la bactériémie
Expliquer le traitement des hémocultures au laboratoire
- Dès la réception au laboratoire, bouteilles d’hémocultures sont déposées dans un appareil qui maintient T à 37 et qui brasse les bouteilles de façon continue
- L’appareil détecte présence de croissance bactérienne grâce aux métabolites générés par les bactéries dans la bouteille (habituellement ça devient + en 48h)
- Technicienne effectue coloration gram sur liquide bouteille hémoculture + et ensemence milieux de culture (gélose) ce qui permettra d’identifier bactérie impliquée et procéder à un antibiogramme
est-ce important de savoir quelle(s) bouteille(s) est (sont) +?
Pas vraiment
- Un s. épidermis dans les 2 bouteilles d’une hémoculture n’est pas plus significatif que s’il était retrouvé dans une seule bouteille (contaminant probable)
- Même si on retrouve un BGN seulement dans la bouteille anaérobie, probabilité demeure élevée que ça sera une bactérie aérobie
Interprétation des résultats d’hémoculture (bactériémie ou contaminant), quels sont les indices analysés par le médecin
- Bactérie rapportée est-elle reconnue comme un pathogène ou un colonisant de la peau?
- Nb hémoculture + (pas le nombre de bouteilles)? 1/2 vs 2/2
- Après combien d’heures d’incubation, appareil a-t-il détecté croissance bactérienne
- Lien entre site infection et germe identifié est-il plausible?
Est-ce un contaminant?
S. aureus
S pneumoniae
S. pyogenes
S. coagulase neg
S. viridans
L. monocytogenes
Bacillus spp.
E. coli
Candida albicans
Interprétation des résultats de gram d’hémocultures (bactéries selon gram)
Cocci gram + en amas : Staphylococcus
Cocci gram + en chaînettes : streptococcus, enterococcus, pneumonocoque
Cocci gram + en paires : pneumocoques
Cocci gram - en paires : neisseria, moraxella
Bâtonnets gram - : e.coli, k. pneumoniae, pseudomonas, bactericides fragilis
Coccobacille gram - : Haemophilus influenzae
Bâtonnets gram + : listeria monocytogenes, clostridium spp., corynebacterium spp., bacillus spp.
Après combien d’heures d’incubation, l’appareil a-t-il détecté la croissance bactérienne et les agents infectieux qui échappent aux normes
En présence d’une bactériémie, la majorité des hémocultures seront + en moins de 24h
Les bouteilles d’hémocultures sont incubées un maximum de 5 jours avant de conclure qu’elles sont
- Agents infectieux significatifs qui pourraient croitre après 24 heures : Bactéries anaérobies, les levures, certaines bactéries aérobies fastidieuses (ex.: HACEK)
Donner un exemple de lien plausible et peu plausible entre le site de l’infection et le germe identifié
Plausible : Neisseria meningitidis dans l’hémoculture d’un patient hospitalisé pour méningite
Peu plausible : Streptococcus viridans dans l’hémoculture d’un enfant hospitalisé pour une méningite (cause pas de méningite)
À quoi sont attribuables les infections de cathéter (veineux ou artériel)? Qu’est ce qui permet de l’évoquer?
Peuvent être attribuables à des bactéries de la flore normale de la peau (CoNS, corynebacterium, bacillus)
Présence de 2/2 hémocultures + à un germe de la flore normale de la peau devrait évoquer une infection de cathéter vasculaire
Décrire la bactériémie communautaire
Infection acquise dans la communauté si :
- Survient < 48h après arrivée à l’hôpitale : patient admis il y a 48h pour pneumonie. Hémocultures prélevées à l’arrivée à l’hôpital montrent présence de streptococcus pneumoniae
Décrire la bactériémie nosocomiale
- Survient > 48h après arrivée à l’hôpital
ET - Attribuable à une condition infectieuse qui n’était pas présente à l’arrivée à l’hôpital
- Ex : accidenté de la route entubé aux soins intensifs depuis 5 jours qui développe une pneumonie. Hémocultures et sécrétions trachéales prélevées il y a 48h montre du Staph aureus
Quels sont les 2 types d’examen de laboratoire qui peuvent être réalisés sur un échantillon urinaire
- Analyse d’urine (laboratoire de biochimie)
- Culture d’urine (laboratoire de microbiologie)
Principes importants de la culture d’urine (stérile ou non)
L’urètre distale n’est pas stérile
L’urine est normalement stérile
Comment faire la différence entre la croissance de bactéries qui proviennent de l’urètre et celles qui proviennent de la vessie?
- Technique de prélèvement par mi-jet
- Culture quantitative de bactéries (> 10 à la 8 ufc/L)
Expliquer le pré-analytique pour la culture d’urine
- Indication culture d’urine est une étape cruciale
- Clinicien doit questionner le patient pour savoir s’il a des symptômes ou non
- Présence de bactérie dans les urines sans symptômes associés nécessite très rarement un traitement
Expliquer la technique de prélèvement par mi-jet pour la femme
Écarter le plus possible les genoux, lorsqu’assis sur la toilette
Avec les mains préalablement nettoyées, dégager le méat urinaire
Nettoyer la région vulvaire en commençant au dessus du méat urinaire
Débuter la miction dans la toilette
Par la suite, transférer le pot stérile sous le jet urinaire
Terminer la miction dans la toilette
Expliquer la technique de prélèvement par mi-jet pour l’homme
Rétracter le prépuce (si non circoncis)
Avec mains préalablement nettoyer, nettoyer région du méat urinaire
Débuter miction toilette
Transférer pot stérile sous jet urinaire
Terminer miction dans la toilette
Quelle est la différence entre le prélèvement d’urine pour le TANN neisseria gonorrhoeae et chlamydia trachomatis et la culture d’urine?
Gono/chlam : début de jet (femme endocol aussi)
Pour culture d’urine : mi-jet
Quelle quantité de bactérurie est significative?
- Décompte bactérien > 10 à la 8 uff/l (>10 a la 5 uff/mL ) traditionnellement jugé significatif
- Infections des voies urinaires sont parfois associées à un décompte plus faible (jusqu’à 10 à la 5 ufc/l)
- Culture mi-jet est rapportée comme une ABSENCE DE CROISSANCE SIGNIFICATIVE s’il y a un faible décompte urinaire
- Une culture d’urine positive pas automatiquement un épisode d’infection urinaire ***
Quel est l’intervalle temps-réponse pour la culture d’urine
48-72h pour antibiogramme (culture avant), parfois traitement empirique
Comment expliquer l’inflammation avec culture d’urine négative?
- Culture faite après le début des antibiotiques
- Inflammation peut venir d’ailleurs que l’urine (urètre, prostate?)
- Inflammation est causée par un m-o qui est non cultivable
Principaux agents responsables des infections urinaires
E. coli
Proteus mirabilis
Klebsiella pneumoniae
Enterococcus spp.
Staphylococcus saprophyticus
*Habituellement 1 en cause, mais pas rare qu’on en voit 3-4
Quels sont les symptômes d’une infection urinaire basse
Brûlements mictionnels (dysurie)
Hématurie macroscopique
Urgence mictionnelle
Quels sont les symptômes d’une infection urinaire haute
- Idem a urinaire basse
- Douleur loge lombaire
- Fièvre
- Leucocytose (augmentation du nombre de globules blancs)
Qu’est-ce qu’on recherche par une culture de gorge (lorsqu’un médecin prescrit une culture de gorge sans autre précision)
Strep B hémolytique A,C,G (culture aérobie)
Qu’est-ce qu’on regarde à l’examination de la gorge
- Rechercher une inflammation des amygdales
- Rechercher des pétéchies
- Rechercher des sécrétions purulentes/exsudat
Expliquer la technique de culture de gorge
à l’aide d’un bâtonnet, abaisser la langue
Frotter les amygdales avec une culturette
Identifier l’échantillon
Compléter requête de laboratoire
Rôle du laboratoire dans la culture de gorge
- Enregistrement de la demande d’analyse
- Ensemencement de la gélose au sang de mouton
- Incubation 24h
Examen de la GS
Absence de colonies B-hémolytiques : négatif
Présence de colonies B-hémolytique : typage de lancefield -> a, b ou c (basée sur des tests d’agglutination avec des sérums dirigés contre un antigène,)
Vrai ou faux : La gorge n’est pas un milieu stérile
Vrai
Pourquoi indiquer si le patient est allergique à la pénicilline sur la requête
Pas de résistance à cet antibiotique = pas d’antibiogramme d’emblée
Possibilité de cephalexin/cefadroxil si allergie non sévère
Besoin d’un antibiogramme pour l’azithromycin/clindamycine - sera fait s’il est indiqué que patient est allergique à la pénicilline
Classer en ordre de sensibilité la culture, dépistage rapide et TAAN pour pharyngite
taan > culture > test dépistage rapide
Que permet de détecter la culture
streptococcus a, c , g
Que permet de détecter le test de dépistage rapide
Les SGA uniquement
Que permet de détecter le TAAN
détecte uniquement SGA
Temps pour résultats culture, test rapide, tain
culture : 24 à 48h
dépistage rapide : 1h si fait sur place
taan : résultat rapide dépendaient du TAAN utilisé
Quel est la seule analyse pour la pharyngite où un antibiogramme est possible
Culture
l’antibiogramme est fait sur demande seulement (si pt allergie à la pénicilline)
Classer en ordre de coût la culture, le taan et le tes rapide
taan > dépistage rapide > culture
Qu’est-ce qu’on dose dans la sérologie ASO et quand est-ce que c’est perceptible
les anticorps antistreptolysines
Suite à une infection pharyngée par le SGA, il y aura production d’Ac sont détectables 7-14 jours après le début des symptômes
Quelle est l’utilité de la sérologie ASO
Utile pour supporter le diagnostic de RAA, une complication immunologique de la pharyngite à s. pyogenes
*ne pas faire si suspicion d’infection aigue à s. pyogenes
Quelles sont les 3 étapes de la culture de plaie de surface
- Nettoyer la plaie
- Peser sur les tissus au pourtour
- Prélever sécrétions purulentes
Qu’est-ce qu’on fait sur la culture de plaie de surface
Coloration de gram
On fait quel type de culture pour une plaie de surface
culture aérobie seulement !
Vrai ou faux : la culture de plaie de surface est souvent contaminée par bactéries de la flore normale cutanée, si oui lesquels?
Vrai : CoNS, bacillus, corynebacterium
Absence ou présence polynucléaires sur culture plaie de surface dans le gram
Absence
Absence ou présence cellules squameuses sur culture plaie de surface dans le gram
Rare
Absence ou présence bactéries sur culture plaie de surface dans le gram
Présence
Qualité d’un prélèvement de plaie se mesure par
Présence de polynucléaires
Absence de cellules squameuses
Exemples culture de pus profond
- Prélèvement fait en salle d’opération ou par un chirurgien
- Prélèvement fait en radiologie d’intervention
Qu’est-ce qui est nécessaire pour une culture de pus profond?
Idéalement une seringue contenant du pus ou un morceau de tissu prélevé en profondeur
Quel type de culture peut être fait pour la culture de pus profond
aérobie OU anaérobie
Que faisons nous sur la culture de pus profond
Coloration de gram
Aerobie et anaerobie
vrai ou faux : le risque de contamination est théoriquement moindre pour une culture de pus profond que superficiel
VRAI
Absence ou présence polynucléaires sur culture pus profond dans le gram
Présence
Absence ou présence bactéries sur culture pus profond dans le gram
Présence
Nommez les liquides biologiques normalement stériles (LBNS) (5)
- Liquide articulaire
- Liquide péricardique
- Liquide péritonéal
- Liquide pleural
- Liquide céphalo-rachidien (LCR)
Puisqu’ils sont normalement stériles, à la coloration de gram dans les LBNS que voyons nous anormalement
Présence de neutrophiles
Quantité abondante de bactéries (réponse rapide)
***Sensibilité faible à modérée (pas necessairement au gram)
Culture des LBNS, caractéristiques
Aérobie, anaérobie
Même dans des bouteilles d’hémocultures
On rapporte tout
Sur quoi repose le diagnostic de Clostridiodes difficile
Selles non formées
Basée sur la recherche de toxines
- Test rapide EIA
- Recherche du gène de la toxine par TAAN (capacité à sécréter la toxine)
Expliquer la technique EIA
Ag GDH : +, toxine + : test positif
Ag GDH : +, toxine - : indéterminé –> TAAN
Ag GDH : -, toxine - : test négatif
Quel est le test plus sensible entre TAAN et test rapide EIA
TAAN
Particularités de la recherche du gène des toxines de C. diff (TAAN)
Détecte le gène de la toxine et non la toxine libre
Trop sensible?
Risque de traiter des porteurs sains de souches toxinogènes
De + en + de laboratoires utilisent cette méthode
Algorithme diagnostique souvent nécessaire
Sensibilité, spécificité, substance détectée pour GDH
Élevée, faible, ag commun pour c. diff (toxigénique ou non)
Sensibilité, spécificité, substance détectée pour EIA toxine A/B
faible à modéré, faible à modéré, toxine libre de c. diff
Sensibilité, spécificité, substance détectée pour TAAN
élevée, faible à modérée, gène de la toxine c. diff
Décrire la recherche de pseudomembranes (c diff.)
Examen assez rapide : gastro-entérologue va voir avec un colonoscope
Examen très spécifique : diagnostic différentiel est très limité
Examen peu sensible : la plupart des patients n’auront PAS de pseudomembranes, associé à formes + sévères
Autres agents infectieux pouvant causer la diarrhée
Bactéries entéropathogènes (voyage, poulet mal cuit, contact avec animaux, hamburger saignant
- Salmonella spp.
- Shigella spp.
- Yersinia enterocolitica
- E. coli
-Campylobacter spp.
Virus
- Norovirus (diarrhée épidémique)
- Rotavirus (enfants surtout)
Parasite
- Gardiase surtout au QC
Pratiques de base pour la prévention d’infections (4)
1.Hygiène des mains
2.Hygiène respiratoire
-tousser dans son coude
-porter masque si sx respiratoires
3.EPI lors de situations particulières
-gants/blouses/protection du visage
4.Utilisation et disposition adéquate des objets tranchants
Quand pratiquons nous l’hygiène des mains
- Avant de toucher au patient
- Avant une intervention aseptique
- Après un risque de contact avec liquide biologique
- Après tout contact avec patient et son environnement
Lequel choisir entre solution hydroalcoolique vs eau/savon
Normalement solution hydroalcoolique
Si mains souillées de liquides possiblement eau et savon
Avant de manger : eau et savon
c. diff : eau et savon
quels sont les EPI
- gants
- jaquette
- masque de procédure ou n95
- protection oculaire-visière
Quelles sont les 3 voies de transmission et de quoi dépendent-elles
- Contact direct ou indirect (indirect = poignée de porte)
- Goutelettes
- Voie aérienne
Dépendent des caractéristiques de transmission d’un m-o
Colonisation SARM où
narine, aisselle, aine
risque de transmission par contact direct et indirect
Exemples transmission par contact et procédures à suivre
SARM, ERV, C. diff
Pratiques de bases + précautions additionnelles nécessaires (gants et jaquettes)
Transmission par gouttelettes
aux yeux, narines, bouche
Ex : influenza (aussi par contact)
Précautions additionnelles nécessaires : masque + protection oculaire + 2m
Transmission aérienne
Rougeole, COVID, TB, VZV > 2m
Précautions additionnelles contacts sont aussi souvent nécessaires
Masque N-95
Quand portons nous la protection oculaire
Si risque de toux, éclaboussures, projection gouttelettes sang
Chambre à pression négative
Si risque de transmission aérienne
Via filtre HEPA
Mécanismes d’actions des antibiotiques
- Paroi cellulaire (synthèse peptidoglycan) : b-lactam, vancomycin, glycopeptide, etc
- Synthèse protéique : aminoglycoside, clindamycin, macrolides
- Membrane cytoplasmique : polymyxin B, daptomycin
- Synthèse AN : fluoroquinolones, etc
- Voies métaboliques : sulfonamides, etc
B-lactamines, qui sont-elles et fonctionnement
pénicilline G,V, ampicilline, amoxicillin, méthicilline s’attaque à mb de peptidoglycan
Quel est le mécanisme précis des b-lactames
Les bêta lactamines, en se fixant aux protéines de liaison des pénicillines (PLP) ou pénicilline binding protéine (PBP) inhibent la synthèse du peptidoglycane, composant essentiel de la paroi bactérienne bris des transpeptidation (pbb effectue la transpeptidation normalement)
Pénicilline : classe, catégorie, voies d’administration
B-lactamines, péniciline,Orale (V), intraveineuse (G), intramusculaire (benzathine)
Spectre pénicilline
Strep b hémolytiques : tous, ABCG
S. pneumoniae : la majorité
Strep groupe viridans : majorité
Strep anaérobies : la majorité
Treponema pallidum : tous
Bactéries anaérobies de la flore ORL : plusieurs
Spectre ampicilline
Comme pénicilline
Ajouts :
Enterococcus faecalis
Listeria monocytogenes
Certaines entérobactéries (e. coli, salmonelle, shigella, proteus mirabilis)
Haeomophilus influenzae non producteur de B lactamase
Retrait :trepenoma palidum (syphilis)
Bactéries productrices de b-lactamases (5)
Staph aureus (pas SARM)
35% haemophilus influenzae
La plupart des moraxella catarrhales
Tous les klebsiella pneumoniae
Environ 30% E. coli
2 solutions pour les bactéries productrices de b-lactamase
- Antibiotique qui résistent aux b-lactamases
- cloxacilline/oxacillin/méthicilline
- céfazoline - Inhibiteurs de b-lacatamse
- acide clavulanique
- tazobactam
Spectre Pipéracilline/tazobactam
Comme l’amoxicillin
Ajouts
S. aureus (non SARM) : produit pénicillinase
E. coli, k. pneumoniae, p. mirabilis : produisent b-lactamases
plusieurs entérobactéries
Haeomophilus influenza : produisent b-lactamases
Moraxella catarrhalis : produisent b-lactamases
Pseudomonas aeruginosa
Anaérobies (b. fragilis, clostridium sp autre que cd) : produisent b-lactamases
Qu’est-ce que la pipéracilline/tazobactam
Pénicilline avec inhibiteur de b-lactamases
Effets secondaires des b-lactamines
Allergie (fièvre et/ou éruption)
Néphrite interstitielle
GI (diarrhée, nausée, colite c. diff)
Surinfection candida spp.