Les pièges / résistances lors de l'entretien Flashcards
Faut-il convaincre la prs en entretien? Justifier
Non, convaincre quelqu’un va rendre cette personne encore plus distante et ne va pas l’aider à venir participer avec le psy. Quand on se sent attaqué, on a tendance à se défendre et ca ne fonctionne pas tjr très bien.
Il faut trouver des choses pour pouvoir faire venir la personne. On doit utiliser d’autres méthodes que convaincre et insister et renforcer la résistance. Il faut explorer ce qu’ils ressentent et pk ils le ressentent.
Quels sont les problèmes possibles rencontrés en tant que psy?
Proposer des solutions de manière trop précoces, ne pas être utile si les gens ne sont pas encore prêt à entendre. Vouloir à tt prix proposer des solutions pour boucler un problème n’est pas la bonne solution
Le fait de réagir et intervenir trop peu ou trop lors des moments d’émotions. Il faudrait laisser venir les émotions, les verbaliser, les accueillir, reflet etc.
Prêter attention au rythme dans l’échange; si on réagit trop rapidement ou trop lentement par rapport au rythme de la personne. Couper la parole, couper un moment de silence trop vite. Si qqun parle rapidement, aller au rythme rapide de la personne pr le ramener via notre rythme de voix et notre flux de parole à ralentir.
Qu’est-ce qu’une réactance?
C’est une forme d’oppisition au processus thérapeutique, exprimée par le consultant de manière assez directe. Elle est verbalisée Et le patient refuse des propositions faites par le psy.
Pourquoi peut avoir lieu une réactance?
sI le psy fait une proposition pour laquelle c’est un peut tôt pr le patient à entendre, peut créer ce genre de réaction. Le fait de nommer la problématique, peut engendrer une réalité qui ne peut plus permettre à la personne d’être ds le déni. Il faut verbaliser, mais tjr réfléchir au bon moment.
Que faire face à une réactance?
On peut essayer de comprendre pourquoi cette opposition. Pourquoi cette émotion de colère par exemple face à une proposition, comprendre la vision du patient, d’où elle vient etc.
Qu’est-ce qu’une résistance?
C’est une opposition qui n’est pas verbalisée. Elle est intériorisée. Elle correspond aux facteurs psychologiques et comportementaux qui ralentissent la mise en place ou le déroulement du processus thérapeutique. Elle peut survenir chez le patient, ou le psy ou les 2
ex: des parents qui viennent pr suspicion de déficit intellectuel: au moment de trouver une date pr passer le test, aucune date ne convient–> résistance à entrer ds l’examen
Quel est le risque avec la résistance?
Comme une résistance n’est pas verbalisée, elle est intériorisée, elle peut donc rester latente et donc ne pas être aborder.
Comment peut-on réagir en tant que psy face à la résistance d’un patient?
être ds une attitude non jugeant pour que le patient le perçoive.
Dans le cas où un parent est inquiet, a peur d’être juger pr son enfant, on peut la rassurer, normaliser que l’enfant vit une phase comme d’autres enfants le vivent.
Il faudrait valider les émotions “ je vs sens inquiète par rapport à cette démarche?” “ est-ce que vous craignez de ce que je peux penser de vous?” Dans les cas où on sent la résistance chez le patient
Comment peuvent intervenir une résistance chez le psy?
Un psy peut marquer une résistance parfois, liée à des stéréotypes qu’il a, ou lié à son propre vécu personnel, ou professionnel (avec d’autres parents d’ancienne consultation = antécédant d’interaction avec patient)–> engendre des émotions négatives, lié à l’impression qu’il a d’un patient par rapport à son apparence etc., lié à une peur du patient, à une peur de ne pas être à la hauteur, lié à un aspect sensoriel chez le patient qui ne passe pas, self-efficacy = on ne se sent pas compétent face à une culture, une situation.
Quelles sont les conséquences à une résistance chez le psy?
La résistance chez le psy, fait qu’il ne créera pas de rapport collaboratif avec son patient. Il ne va donc pas pouvoir avancer ds le processus d’examen qui comment par une collaboration, une alliance afin de conceptualiser les problèmes rencontrés par le patient et d’établir par la suite une méthode d’évsaluation et une évaluation de la démarche via la présentation des résultats obtenus.
Toutes ces étapes de l’examen ne sont pas possible si il y a une résistance des 2 côtés finalement.
Qu’est-ce qui peut engendre une résistance chez les parents?
Une pathologie parentale
Un désavantage socio-économique (emploi, éducation),
L’historique des parents de leurs échecs passés ou sur leurs défaites passées.
Les émotions négatives liées à l’historique de 10000 défaites
L’histoire des parents à propose de leur historique des défaites
Comment peut se manifester la résistance chez les parents?
la résistance chez les parents se manifestent via le comportement comme par exemple:
je ne veux pas, je ne peux pas–> faire tâche à domicile qu’il ne font pas au quotidien alors que cela va ds le sens du changement.
A quoi correspond l’historique des 10000 défaites?
L’historique des défaites est liés aux moments difficiles ds le quotidien des parents qui à force de vivre ces situations peuvent se demander comment et même si c’est réellement possible de changer.
La défaites peut également être liée aux thérapeutes qu’ils ont vu précédemment, avant d’arriver chez nous.
Cette historiques des défaites va engendrer des émotions négatives et tout un vécu chez le parent qui peut conduire à une résistance parentale, / un évitement.
D’où peut venir une résistance du praticien?
Des antécédents d’interactions avec les parents qui peut provoquer des émotions négatives et engendrer une résistance du psy.
Les caractéristiques du psy tels que nos attributions, nos orientations théoriques qui peuvent engendrer une résistance.
la démographie sociale via la formation et la supervision réalisés qui devrait diminuer le risque de résistances chez les psy.
Le sexe du psy, est-ce qu’il a des stéréotypes ou non envers ses patients qui s’activent?
Quelles peuvent être les conséquences de la résistance/ évitement chez le psy?
En cas de résistance, il peut soit:
récompenser et renforcer inadéquatement un cpt chez le patient.
Eviter d’aborder un sujet qui devrait l’être
Blâmer le patient alors que l’on devrait avoir une position non-jugeante