Lectures Flashcards

1
Q

Quels sont les 5 types de phobies?

A
  1. animal
  2. environnement naturel
  3. sang-injection-accident
  4. situationnel
  5. autre
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2
Q

Quelles conséquences peuvent apporter les phobies spécifiques?

A
  • effets négatifs sur le fonctionnement familial (ils s’empêchent de faire de chose pour la personne)
  • diminution des résultats scolaires (difficultés de concentration, d’attention, de mémorisation)
  • risque plus élevé de troubles anxieux ou dépressifs à l’âge adulte
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3
Q

Comment pouvons-nous expliquer la trajectoire développementale de la peur?

A

Les peurs sont transitoires et spécifiques à l’âge. Les très jeunes enfants ont peur des stimuli immédiats et concrets, vers la fin de l’enfance les peurs sont de plus en plus liées à l’anticipation, et donc, plus abstraites.

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4
Q

Quels éléments permettent de distinguer la peur normale de la phobie spécifique?

A

l’intensité, la durée et l’interférence avec le fonctionnement

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5
Q

Explique les modèles théoriques proposés pour expliquer le développement des phobies spécifiques

A

Théorie de l’apprentissage social (conditionnement classique direct aversif, modelage, transmission d’information négative)

Théorie de la préparation acquise (l’association entre stimuli et réponse de peur s’expliquerait par le fait que certaines peurs ont des fonctions adaptatives)

Modèle multifactoriel du développement des peurs (voir p.41)

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6
Q

Quel serait le traitement de choix des phobies spécifiques?

A

exposition in vivo

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7
Q

Nomme les principales techniques d’intervention cognitivo-comportementale dans le traitement des phobies spécifiques

A
  • éducation psychologique (psychoéducation)
  • tension appliquée (serre-desserre)
  • restructuration cognitive (voir les choses de manière réaliste)
  • exposition in vivo graduée
  • exposition en imagination
  • imagerie émotive (histoire)
  • traitement en une séance (exposition in vivo, modelage, restructuration cognitive, renforcement)
    (p.47-57)
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8
Q

Quel est l’élément central du TAG?

A

Les inquiétudes excessives à propos de plusieurs événements ou activités (enchaînement de pensées, à prédominance verbale, concernant des événements négatifs futurs)

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9
Q

L’enfant soufrant d’un TAG a une ___________________________________ et doute de ___________________________________.

A

L’enfant soufrant d’un TAG a une IMAGE NÉGATIVE DE LUI-MÊME et doute de SA CAPACITÉ À FAIRE FACE À DES SITUATIONS DIFFICILES.

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10
Q

Quelles sont les conséquences du TAG?

A
  • faible estime de soi
  • altération de la performance scolaire
  • difficulté dans les relations sociales (moins d’amis)
  • absentéisme scolaire
  • difficultés sur le plan des relations familiales
  • prédit la présence d’idéation suicidaire à l’âge de 7 à 14 ans
  • lien avec la consommation d’alcool
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11
Q

Explique les modèles théoriques proposés pour expliquer le développement du TAG

A
  • conditionnement direct ou vicariant (événements stressants ou aversifs à l’enfance / voit les impacts positifs de l’expression des inquiétudes des parents)
  • modelage (appris avec parents anxieux qui évitent)
  • traitement de l’information (biais cognitifs et difficulté des fonctions exécutives expliqueraient les inquiétudes)
  • théorie de Borkovec (enchaînement verbal de la pensée ne laissant pas la place aux images mentales)
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12
Q

Quelles vulnérabilités cognitives sont fortement liées aux inquiétudes et aux symptômes du TAG?

A
  • intolérance à l’incertitude
  • attitude négative face au problème
  • recours à des stratégies d’évitement cognitif ou de recherche de réconfort
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13
Q

Nomme les principales techniques d’intervention cognitivo-comportementale dans le traitement du TAG

A
  • éducation sur l’inquiétude et l’anxiété (p.83)
  • planification d’une période réservée aux inquiétudes et au stress (p.84)
  • exposition graduelle aux incertitudes et à la nouveauté (p.85)
  • prévention de la réponse (p.87)
  • exposition cognitive à l’inquiétude (p.89)
  • restructuration cognitive (p.90)
  • entraînement à la résolution de problèmes (p.93)
  • relaxation musculaire progressive (p. 96)
  • travail en collaboration avec les parents
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14
Q

Quelles stratégies pouvons-nous donner aux parents en lien avec les enfants qui ont un TAG?

A
  • instaurer des périodes d’attention positive avec l’enfant
  • diminuer graduellement les réponses aux demandes de réconfort de l’enfant
  • renforcer les comportements d’approche à la nouveauté
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15
Q

Comment pouvons-nous distinguer ce qu’est de la psychothérapie de ce qui ne l’est pas?

A

Selon l’OPQ, la distinction repose sur la présence d’objectifs thérapeutiques visant ce qui organise et régule le fonctionnement psychologique et mental des personnes.

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16
Q

Qui peut pratiquer la psychothérapie?

A
  • les membres du Collège des médecins du Québec et de l’Ordre des psychologues du Québec
  • les détenteurs de permis de psychothérapeutes membres d’un ordre professionnel du domaine de la santé mentale et des relations humaines
  • détenteurs de permis de psychothérapeutes non éligibles à un ordre professionnel, mais qui ont bénéficié de la clause des droits acquis.
17
Q

Qu’est-ce que la psychothérapie?

A

Pour qu’il s’agisse de psychothérapie, les trois éléments suivants doivent être présents simultanément :
1. la nature de l’intervention (vise ce qui organise et régule le fonctionnement psychologique et mental)
2. son objet (trouble mental, perturbation comportementale, éléments qui entraînent de la souffrance ou de la détresse psychologique)
3. sa finalité / objectif (changer ce qui organise et régule le fonctionnement psychologique et mental de la personne)

18
Q

Comment distinguer une restructuration cognitive qui fait recours à de la psychothérapie?

A

Ne relève pas de la psychothérapie si sa finalité se limite à cerner des pensées automatiques ou à recadrer des opinions ou des jugements reposant, par exemple, sur des éléments culturels ou sociétaux. Par contre, de la restructuration cognitive qui vise à remettre en question des croyances plus fondamentales serait de la psychothérapie.

19
Q

Les réactions anxieuses de l’enfant sont considérées comme normales dans la mesure où elles _____________________________________________ et où elles ___________________________________________.

A

se résorbent dans un temps relativement court
ne nuisent pas à son fonctionnement

20
Q

Quelles sont les conséquences de l’anxiété de séparation?

A
  • difficulté de concentration à l’école
  • refus d’aller à l’école qui peut entraîner des difficultés scolaires, des retards d’apprentissage et un isolement social
  • difficulté considérable sur le plan relationnel
  • tensions importantes dans la famille (en raison du refus de l’enfant de faire des choses)
21
Q

Explique les modèles théoriques proposés pour expliquer le développement de l’anxiété de séparation

A
  • modèle psychopathologique développementale de Vasey et Dadds (facteurs de risque, de protection, de maintien et d’amélioration)
  • théorie de l’attachement (attachement ambivalent)
22
Q

Nomme les principales techniques d’intervention cognitivo-comportementale dans le traitement de l’anxiété de séparation

A
  • éducation psychologique (p.171)
  • relaxation (p.172)
  • restructuration cognitive (p.174)
  • exposition (p.179)
  • donner des conseils aux parents (p.183)
23
Q

Quels conseils peuvent donner les intervenants pour aider les parents d’enfant avec de l’anxiété de séparation?

A
  • favoriser l’expression de l’anxiété chez son enfant et être à l’écoute
  • encourager le jeune à expliquer un peu plus ce qu’il pense (au lieu d’entrer dans la rassurance, demander à l’enfant ce qu’il craint, ce qu’il anticipe, et échanger avec lui pour voir les choses de manière rationnelle)
  • encourager et renforcer les comportements que l’on veut voir apparaître dans le répertoire de l’enfant (renforcer les efforts)
  • favoriser l’autonomie du jeune
  • possible de mettre en place un système de récompense
24
Q

Avant de conseiller des stratégies ou des techniques particulières pour aider les enfants présentant une anxiété de séparation, il est important d’être à l’affût des ____________________________.

A

facteurs de maintien associés au problème

25
Q

Quels sont les troubles anxieux les plus fréquents à l’enfance et l’adolescence?

A

l’anxiété de séparation, le trouble d’anxiété généralisée, la phobie spécifique et le trouble d’anxiété sociale

26
Q

Quels troubles sont régulièrement associées à l’anxiété?

A

le trouble du spectre de l’autisme, le trouble d’opposition, les troubles du langage et le trouble obsessionnel-compulsif

27
Q

Les troubles anxieux ont une caractéristique commune, laquelle?

A

une peur excessive par rapport à un objet ou à une situation

28
Q

Avant l’âge de 6 ans, les jeunes présenteraient davantage de peurs liées à _____________________ (p. ex. se faire attaquer par un monstre), alors qu’un préadolescent pourrait plutôt craindre ___________________________________ (p. ex. ne pas être capable d’accomplir une tâche). À l’adolescence, l’inquiétudes quant aux _______________________________ (p. ex. être exclu d’un groupe de pairs) s’ajouterait, coïncidant avec l’avènement du trouble d’anxiété sociale.

A

Avant l’âge de 6 ans, les jeunes présenteraient davantage de peurs liées à L’INTÉGRITÉ PHYSIQUE (p. ex. se faire attaquer par un monstre), alors qu’un préadolescent pourrait plutôt craindre UN DÉFICIT QUANT À SES HABILETÉS PERSONNELLES (p. ex. ne pas être capable d’accomplir une tâche). À l’adolescence, l’inquiétudes quant aux INTERACTIONS SOCIALES (p. ex. être exclu d’un groupe de pairs) s’ajouterait, coïncidant avec l’avènement du trouble d’anxiété sociale.

29
Q

Quelles sont les conséquences de l’anxiété chez les jeunes?

A
  • répercussions sur le rendement scolaire ou la capacité à se concentrer
  • difficulté scolaire
  • absentéisme
  • plus grand risque de décrochage scolaire à l’adolescence
  • possibilités d’emploi réduites à l’âge adulte
  • moins de compétences sociales
  • plus de négativité dans les relations interpersonnelles
  • plus de solitude
  • plus de victimisation
  • risquent davantage de développer des problèmes liés à l’usage d’alcool, de tabac ou de drogues
  • risque accru de dépression et de suicide
30
Q

Quels sont les facteurs de risque de l’anxiété?

A
  • tempérament anxieux
  • inhibition comportementale
  • timidité
  • spécificités biologiques, neurologiques et endocriniennes (niveau élevé de cortisol et d’alpha-amylase salivaire, accélération cardiaque, asymétrie thalamique)
  • pratiques parentales (punition, surprotection, comportements intrusifs, négativité, rejet, critique)
  • attachement insécurisant
  • modelage des cognitions et des comportements anxieux par les parents
  • événements de vie
  • environnement
  • réseaux sociaux
31
Q

Nomme un exemple de facteur de maintien de l’anxiété

A

Évitement

32
Q

Quels sont les facteurs de protection de l’anxiété?

A
  • présence d’un parent non anxieux
  • capacité d’adaptation du jeune
  • présence de modèles non anxieux
33
Q

Quels sont les facteurs d’amélioration de l’anxiété?

A

Les stratégies d’intervention

34
Q
A
35
Q
A