II. LES TESTS COGNITIFS Flashcards
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Le test de Binet et Simon et la notion d’âge Mental
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Le test de Binet et Simon ([dates]) est un test qui mesurait les [… … « … » ] chez les enfants à partir de [? ans] jusqu’à [… …], au moyen de [… de … …], qui deviendra ensuite [« … … »].
Le test est constitué de [? items], classés par [… …]. Chaque niveau comporte [? items]
Les épreuves sont […] et reprennent des [… de la … … ou de la … …] et des [… de … …].
Le test de Binet et Simon ([1905-1911]) est un test qui mesurait les [processus mentaux « supérieurs » ] chez les enfants à partir de [3 ans] jusqu’à [l’âge adulte], au moyen de [l’indice de niveau intellectuel], qui deviendra ensuite [« l’Âge Mental »].
Le test est constitué de [54 items], classés par [niveau d’âge]. Chaque niveau comporte [5 items]
Les épreuves sont [variées] et reprennent des [situations de la vie quotidienne ou de la vie sociale] et des [problèmes de type scolaire].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Le test de Binet et Simon et la notion d’âge Mental
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Le niveau intellectuel d’un enfant correspond donc à un [… de …] pour lequel l’enfant a réussi [… des … à … …]. En comparant [… …] ([abréviation]) et [… …] ([abréviation]) du sujet, on peut estimer [son … et/ou son … …] : c’est le principe connu sous le terme d’[« … … de … »].
Le niveau intellectuel d’un enfant correspond donc à un [âge de développement] pour lequel l’enfant a réussi [l’ensemble des épreuves à l’exception d’une]. En comparant [l’Âge Mental] ([A.M.]) et [l’Âge Réel] ([A.R].) du sujet, on peut estimer [son avance et/ou son retard intellectuel] : c’est le principe connu sous le terme d’[« Echelle Métrique de l’intelligence »].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Le test de Binet et Simon et la notion d’âge Mental
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VRAI OU FAUX ?
A. La notion d’intelligence globale a peu évolué depuis Binet et Simon.
B. Le test Binet-Simon connaîtra peu de succès et sera peu utilisé.
C. Au début du 20ème siècle, on conçoit l’intelligence comme une notion très large, une « intelligence globale », multiforme.
D. L’intelligence étant unidimensionnelle, sa mesure peut aisément être réduite à une variable quantitative mathématique et/ou physique.
A. FAUX ! La notion d’intelligence globale a beaucoup évolué, pour devenir un concept de psychologie cognitive et développementale défini au sein d’un modèle multifactoriel de l’intelligence.
B. FAUX ! Le test Binet-Simon connaîtra un succès considérable et sera traduit et utilisé dans différents pays, avec des conséquences non négligeables – tant sur l’éducation que la pédagogie ou la psychologie du développement.
C. VRAI
D. FAUX ! L’intelligence n’étant pas unidimensionnelle, sa mesure ne peut donc pas être réduite à une variable quantitative mathématique et/ou physique.
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Le test de Binet et Simon et la notion d’âge Mental
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L’intelligence n’étant pas […], sa mesure ne peut donc pas être réduite à une [… … … et/ou …]. Ainsi « l’Âge Mental » défini par Binet et Simon permet simplement […] l’intelligence et [… un …]. Ce refus de quantifier l’intelligence de façon […] tient sans doute à la [… …] des auteurs. Binet et Simon insistaient déjà sur le caractère […] des épreuves et soulignaient que la qualité du résultat dépend de la [… de …].
L’intelligence n’étant pas [unidimensionnelle], sa mesure ne peut donc pas être réduite à une [variable quantitative mathématique et/ou physique]. Ainsi « l’Âge Mental » défini par Binet et Simon permet simplement [d’apprécier] l’intelligence et [d’effectuer un classement]. Ce refus de quantifier l’intelligence de façon [fixiste] tient sans doute à la [formation clinique] des auteurs. Binet et Simon insistaient déjà sur le caractère [clinique] des épreuves et soulignaient que la qualité du résultat dépend de la [compétence de l’utilisateur].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Le test de Binet et Simon et la notion d’âge Mental
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Le test de Binet et Simon, et la notion d’Age Mental
Pour Binet, quatre processus sont à l’œuvre dans le fonctionnement intellectuel. Lesquels ?
- la compréhension,
- l’invention,
- la direction,
- la censure.
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Stanford Revision, la N.E.M.I. et le Q.I.
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Aux USA, en [date], Terman ([dates]) publie la [… …], une version adaptée du test […].
Terman modifie l’indice « d’Âge Mental », qui devient alors un [« … … »] ([abréviation]).
Terman ([dates]) propose une [… de …], de sorte qu’on puisse [… des … … …], ce que le Binet-Simon ne pouvait pas faire.
Aux USA, en [1916], Terman ([1877-1956]) publie la [Stanford Revision], une version adaptée du test [Binet-Simon]. Terman modifie l’indice « d’Âge Mental », qui devient alors un [« Quotient Intellectuel »] ([Q.I.]).
Terman ([1877-1956]) propose une [modification de l’indice], de sorte qu’on puisse [comparer des sujets d’âges différents], ce que le Binet-Simon ne pouvait pas faire.
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Stanford Revision, la N.E.M.I. et le Q.I.
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Ainsi, le Q.I. correspond au [… …] ([…/…]) défini par [Qui ?] ([dates]) en [année], et multiplié par [combien ?] par [Qui ?].
Ainsi, le Q.I. correspond au [Quotient Mental] ([A.M./A.R.]) défini par [William Stern] ([1871-1938]) en [1912], et multiplié par [100] par [Terman].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Stanford Revision, la N.E.M.I. et le Q.I.
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Cette modification de l’indice de « l’Âge Mental » par Terman n’était pas justifiée par des [… … …] comme pour Binet et Simon. L’élaboration du Q.I. par Terman a été motivée par des questions de [… … et …]. Les tests d’intelligence constituent pour Terman une méthode pour démontrer [… d’un … … …, … …, « … » et …].
De plus, lorsque les USA rentrent en guerre en 1917, le président de [l’…] ([… … …]), R.M. Yerkes (1876-1956), soutient la [… de …] destinés à déterminer [la … … des …].
Comme souvent, l’utilisation des tests dans l’armée américaine a eu des répercussions directes sur le [… …]. A la fin de la guerre, des entreprises, des écoles et des universités américaines utilisent les tests de l’armée pour faire une […].
Cette modification de l’indice de « l’Âge Mental » par Terman n’était pas justifiée par des [considérations d’épistémologie clinique] comme pour Binet et Simon. L’élaboration du Q.I. par Terman a été motivée par des questions de [discriminations raciales et sociales]. Les tests d’intelligence constituent pour Terman une méthode pour démontrer [l’existence d’un lien entre race, classe sociale, « vices » et intelligence].
De plus, lorsque les USA rentrent en guerre en 1917, le président de [l’A.P.A.] ([American Psychological Association]) R.M. Yerkes (1876-1956) soutient la [construction de tests] destinés à déterminer [la meilleure affectation des soldats]. Comment souvent, l’utilisation des tests dans l’armée américaine a eu des répercussions directes sur le [monde civil]. A la fin de la guerre, des entreprises, des écoles et des universités américaines utilisent les tests de l’armée pour faire une [sélection].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Stanford Revision, la N.E.M.I. et le Q.I.
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VRAI OU FAUX ?
L’abus des tests trouve son paroxysme dans la loi devenue tristement célèbre appelée [« … … … »] (votée en [année]), et qui limitait, voire interdisait l’entrée aux USA des [… de … …] sous prétexte d’une [… …] !
L’abus des tests trouve son paroxysme dans la loi devenue tristement célèbre appelée [« Immigration Restriction Act »] (votée en [1924]), et qui limitait, voire interdisait l’entrée aux USA des [représentants de certaines nationalités] sous prétexte d’une [intelligence inférieure] ! (fait prétendument établi ultérieurement par les résultats des tests d’intelligence dans l’armée).
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NB. Tout psychologue clinicien devrait garder à l’esprit ces risques d’utilisation abusive de la notion de Q.I. par des personnes non formées et non averties. Il est encore assez fréquent, dans une équipe soignante, que certains professionnels réagissent à cette notion de façon discriminatoire. Nous préconisons que le psychologue clinicien, dans ce cas, ne doit pas hésiter à taire les performances du sujet et à orienter ses propositions vers une évaluation plus qualitative.
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Stanford Revision, la N.E.M.I. et le Q.I.
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En [année], Terman propose une nouvelle révision, le [« …-… »], qui étend les épreuves aux deux [… …], [… et …].
En [1937], Terman propose une nouvelle révision, le [« Terman-Merrill »], qui étend les épreuves aux deux [extrémités d’âge], [précoce et adulte].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Stanford Revision, la N.E.M.I. et le Q.I.
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Enfin, en [année], en [pays], [Qui ?] réalise un nouvel […] du [«Terman-…»], nommé [«… …»], qui sera utilisé dans le [… …].
Enfin, en [1949], en [France], [René Zazzo] réalise un nouvel [étalonnage] du [«Terman-Merrill»], nommé [«Révision Zazzo»], qui sera utilisé dans le [milieu scolaire].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Stanford Revision, la … et le Q.I.
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Puis, en [année], [Qui, Qui et Qui ?] publient la [Nouvelle … … de …] – la [… …] – qui comporte [?] items pour [?] niveaux ([? ans à ? ans et plus]). Elle combine les épreuves du test […-…] avec certaines du […-…] ([… des … … …]), et certaines du […] (une partie du […]).
Puis, en [1966], [Zazzo R., Gilly M. et Verba-Rad M.] publient la [Nouvelle Echelle Métrique de l’Intelligence] – la [N.E.M.I. Zazzo] – qui comporte [74] items pour [13] niveaux ([3 ans à 14 ans et plus]). Elle combine les épreuves du test [Binet-Simon] avec certaines du [Terman-Merrill] ([répétition des chiffres à l’envers]), et certaines du [Weschsler] (une partie du [vocabulaire]).
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Stanford Revision, la … et le Q.I.
CONCLUSION
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Le test Binet-Simon (1911) et ses dérivés, le […-…] ([Auteurs, année]) et la [NEMI] ([Auteur, année]) sont très liés aux [… …].
On a songé très tôt, parallèlement au Binet-Simon, à compléter la mesure de l’intelligence globale par la mesure d’une intelligence […], […], [… …].
C’est [Qui ?] aux [pays] en [1939], qui propose la première échelle qui investigue les [… …] de l’intelligence, en faisant part égale aux [… … et …]. Elle est connue sous le nom de […-…]. Puis en [année], [Qui ?] publie [… de … de la … …], [l’…], fondée sur les [… de …] de l’intelligence de la [… …].
Le test Binet-Simon (1911) et ses dérivés, le [Terman-Merrill] ([Terman et Merrill, 1937]) et la [N.E.M.I.] ([Zazzo, 1966]) sont très liés aux [acquisitions scolaires].
On a songé très tôt, parallèlement au Binet-Simon, à compléter la mesure de l’intelligence globale par la mesure d’une intelligence [concrète], [pratique], [non verbale].
C’est [D. Wechsler] aux [USA] en [1939], qui propose la première échelle qui investigue les [différentes composantes] de l’intelligence, en faisant part égale aux [épreuves verbales et non-verbales]. Elle est connue sous le nom de [Wechsler-Bellevue]. Puis en [1967], [François Longeot] publie [l’Echelle de développement de la Pensée Logique], [l’E.P.L.], fondée sur les [stades de développement] de l’intelligence de la [théorie piagétienne].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Stanford Revision, la N.E.M.I. et le Q.I.
CONCLUSION
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VRAI OU FAUX ?
L’E.P.L. (L’échelle de développement de la Pensée Logique) de François Longeot est la plus connue des échelles basées sur les propositions de Piaget.
VRAI
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Nous allons donc décrire cette échelle, puis nous poursuivrons avec les échelles de Wechsler, qui ont connu de nombreux développements, toujours actuels (dernière version, 2006).
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Contenu de l’E.P.L. (échelle de développement de la Pensée Logique)
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Cette échelle, étalonnée pour des enfants de [? à ? ans], vise à l’évaluation de la [… du …] acquis par le sujet.
Longeot a repris [combien ?] des expériences de […]. Les [… …] et les [… de …] sont rigoureusement définies, et ont été […] avec un [… … et … de la région …].
Cette échelle, étalonnée pour des enfants de [9 à 15 ans], vise à l’évaluation de la [forme du raisonnement] acquis par le sujet.
Longeot a repris [cinq] des expériences de [Piaget]. Les [conditions d’application] et les [modalités de correction] sont rigoureusement définies, et ont été [standardisées] avec un [groupe d’enfants et d’adolescents de la région parisienne].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Contenu de l’E.P.L.
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L’échelle se compose de 5 épreuves de raisonnement. Lesquelles ?
- l’épreuve de conservation du poids, du volume et de la dissociation poids-volume
- L’épreuve de permutation
- L’épreuve de quantification des probabilités
- L’épreuve d’oscillation du pendule
- L’épreuve des courbes mécaniques
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Contenu de l’E.P.L.
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Décrivez l’épreuve de conservation du poids, du volume et de la dissociation poids-volume.
L’enfant doit comparer la montée de deux niveaux lorsqu’on introduit une boule de pâte à modeler dans deux bocaux différents. Puis il doit désigner le bocal pour lequel le niveau sera le plus haut si on introduit une boule de pâte à modeler dans un bocal et une boule de métal dans l’autre. L’enfant doit répondre sans ambiguïté : « ça montera pareil parce que les deux boules ont la même grosseur ».
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Contenu de l’E.P.L.
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Décrivez l’épreuve de permutation.
L’enfant doit mettre en œuvre des opérations combinatoires. On lui présente 2, 3, 4, 5, puis 6 jetons de couleurs différentes. Il doit prévoir le nombre de lignes différentes qu’il est possible de faire avec la quantité de jetons, en justifiant sa réponse.
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Contenu de l’E.P.L.
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Décrivez l’épreuve de quantification des probabilités.
Elle fait référence aux notions de proportion et de probabilité. On présente à l’enfant deux classes de jetons jaunes : l’une possède des croix sur une face, l’autre des jetons complètement jaunes. Ainsi, lorsque les jetons sont tournés du côté jaune, deux tas sont formés. L’enfant doit alors désigner celui qui est le plus avantageux, c’est-à-dire le tas dans lequel on a le plus de chances de prendre un jeton avec une croix du premier coup.
Huit problèmes sont ainsi présentés à l’enfant.
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Contenu de l’E.P.L.
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Décrivez l’épreuve d’oscillation du pendule.
Elle fait appel à la logique des propositions. En manipulant le dispositif, l’enfant doit trouver quel facteur parmi 4 (poids, longueur du fil, hauteur de lancement, poussée) modifie la fréquence d’oscillations du pendule. L’enfant doit pouvoir conclure, à partir d’une suite d’expérimentations spontanées et cohérentes, que seule la longueur du fil modifie les battements du pendule. L’expérience est cohérente si l’enfant ne fait varier qu’un seul facteur et maintient volontairement les autres constants.
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Contenu de l’E.P.L.
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Décrivez l’épreuve des courbes mécaniques.
Il s’agit de coordonner deux systèmes de référence distincts dans la représentation de l’espace.
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Passation et cotation de l’E.P.L.
Le Manuel de l’E.P.L. de Longeot
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Le Manuel de l’E.P.L. de Longeot ([dates]) est le texte de référence qui précise la […] nécessaire à la [… et à la …] de l’E.P.L.
L’examen débute par la passation de l’épreuve de […]. S’il y a eu échec à l’une des deux épreuves [« … …-… »] ou [« … du … »], l’examinateur fait passer l’épreuve [« … du … »]. Puis l’épreuve des […] est présentée, et, dans l’ordre, les [… …], la [… des …] et le […].
Le Manuel de l’E.P.L. de Longeot ([1967-1974]) est le texte de référence qui précise la [méthodologie] nécessaire à la [validation et à la passation] de l’E.P.L. L’examen débute par la passation de l’épreuve de [conservation]. S’il y a eu échec à l’une des deux épreuves [« dissociation poids-volume »] ou [« conservation du volume »], l’examinateur fait passer l’épreuve [« conservation du poids »]. Puis l’épreuve des [permutations] est présentée, et, dans l’ordre, les [courbes mécaniques], la [quantification des probabilités] et le [pendule].
LES TESTS D'INTELLIGENCE Passation et cotation de l'E.P.L. Le Manuel de l'E.P.L. de Longeot \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ Que permet la notation des résultats sur une feuille de notation ?
La notation des résultats sur une feuille de notation permet de récapituler les notes brutes obtenues aux différents items, puis de les transformer en notes pondérées.
LES TESTS D'INTELLIGENCE Passation et cotation de l'E.P.L. Le Manuel de l'E.P.L. de Longeot \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ Que permet la feuille de dépouillement ?
La feuille de dépouillement permet de repérer le niveau de raisonnement du sujet dans chaque épreuve. La réussite à la moitié au moins des problèmes d’un Stade Piagétien indique que ce stade est atteint.
LES TESTS D'INTELLIGENCE Passation et cotation de l'E.P.L. Le Manuel de l'E.P.L. de Longeot \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ Après avoir effectué le total des [... ...], on obtient un résultat total compris entre [? et ?], qui permet de situer le [... de ...] du sujet en fonction des [... ...], qui définissent le [développement de l'enfant « ... »].
Après avoir effectué le total des [notes pondérées], on obtient un résultat total compris entre [0 et 28], qui permet de situer le [niveau de raisonnement] du sujet en fonction des [Stades Piagétiens], qui définissent le [développement de l’enfant « normal »].
LES TESTS D'INTELLIGENCE Passation et cotation de l'E.P.L. Le Manuel de l'E.P.L. de Longeot \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ Quels sont les stades Piagétiens qui servent à situer le niveau de raisonnement du sujet dans l'E.P.L. de Longeot ?
⁃ stade préopératoire, ⁃ stade concret A, ⁃ stade concret B, ⁃ stade intermédiaire (ou préformel), ⁃ stade formel A, ⁃ stade formel B.
LES TESTS D'INTELLIGENCE Passation et cotation de l'E.P.L. Le Manuel de l'E.P.L. de Longeot \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ VRAI OU FAUX ? On considère que le stade est atteint lorsque la totalité des problèmes d'un Stade Piagétien est réussi.
FAUX ! La réussite À LA MOITIÉ AU MOINS des problèmes d’un Stade Piagétien indique que ce stade est atteint.
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Interprétation de l’E.P.L. de Longeot
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L’interprétation des scores à cette échelle permet d’évaluer les [… de …] du sujet, c’est-à-dire les [… … … …].
L’interprétation des scores à cette échelle permet d’évaluer les [structures de raisonnement] du sujet, c’est-à-dire les [stratégies logiques qu’il emploie].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Interprétation de l’E.P.L. de Longeot
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[…] ([année] ) a identifié dans un premier temps deux syndromes (les […]) chez des sujets dont l’efficience intellectuelle est […], voire […] ([Q.I. >ou
[Gibello] ([1984] ) a identifié dans un premier temps deux syndromes (les [D.C.N.]) chez des sujets dont l’efficience intellectuelle est [normale], voire [supérieure] ([Q.I. > 81]).
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Interprétation de l’E.P.L. de Longeot
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Dans la population de référence ayant servi à étalonner l’E.P.L., il existe un [… « … » de […] (dont la moyenne est de [?] avec un écart type de [?]).
Ces [… …] correspondent au [… d’un … à …], et sont désignés par Gibello (1984) sous le nom de [« … … … »] - [abréviation].
Dans la population de référence ayant servi à étalonner l’E.P.L., il existe un [nombre « normal » de [décalages] (dont la moyenne est de [4] avec un écart type de [2,8]).
Ces [décalages normaux] correspondent au [passage d’un stade à l’autre], et sont désignés par Gibello (1984) sous le nom de [« Dysharmonies Cognitives Normales »] - [D.C.N.]
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Interprétation de l’E.P.L. de Longeot
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Lorsque l’ampleur des décalages est très importante ([?] écarts et plus), elle indique une [… … du …], qui caractérise un troisième syndrome appelé par l’auteur [« … … … »] - [abréviation]
Lorsque l’ampleur des décalages est très importante ([7] écarts et plus), elle indique une [hétérogénéité anormale du raisonnement], qui caractérise un troisième syndrome appelé par l’auteur [« Dysharmonies Cognitives Pathologiques »] - [D.C.P.]
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Interprétation de l’E.P.L. de Longeot
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Enfin, il existe un quatrième syndrome, des [« … … du … »] - [abréviation], caractérisés par un [… … et … dans le … … du …].
Enfin, il existe un quatrième syndrome, des [« Retards d’Organisation du Raisonnement »] - [R.O.R.], caractérisés par un [retard massif et homogène dans le niveau global du raisonnement].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Interprétation de l’E.P.L. de Longeot
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Gibello (1984) précise que le retard homogène de la pensée est dépisté chez des sujets ayant quel niveau de raisonnement ?
◦ un niveau de raisonnement sensori-moteur après 5 ans
◦ un niveau de raisonnement préopératoire après 9 ans
◦ un niveau de raisonnement concret A après 13 ans
◦ un niveau de raisonnement concret B après 15 ans
LES TESTS D'INTELLIGENCE Avantages et Limites de l'E.P.L. \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ VRAI OU FAUX ? Les ROR sont parfaitement décelables avec les épreuves de Wechsler.
FAUX !
Les ROR ne sont pas décelables avec les épreuves de Wechsler car ces épreuves n’ont pas été conçues dans ce but. C’est justement pour cette raison que Gibello (1984) propose que des études complémentaires soient effectuées sur les corrélations entre le niveau intellectuel (Q.I.) et le niveau d’organisation du raisonnement. L’identification des deux syndromes, DCN et ROR, constitue un argument en faveur de la complémentarité des tests cognitifs.
LES TESTS D'INTELLIGENCE Avantages et Limites de l'E.P.L. \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ VRAI OU FAUX ? L'identification des deux syndromes, DCN et ROR, constitue un argument en faveur de la complémentarité des tests cognitifs.
VRAI
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Avantages et Limites de l’E.P.L.
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Mais, bien quelle soit intéressante pour évaluer la forme du raisonnement, cette échelle est loin d’être aussi utilisée que la W.I.S.C., pour plusieurs raisons :
◦ Les épreuves sont [… …] et [… …] que celles de la W.I.S.C.
◦ La théorie piagétienne repose sur une [« … … »], c’est-à-dire une [… de la … se … …, en fonction de la … de … du sujet sur […], … … … de …]. Cette théorie ne prend absolument pas en compte la notion d’[… …] et de [… …].
◦ Enfin, la théorie piagétienne stipule une [… des … de la …]. Or la [… de la …] du stade formel semble être spécifique à la [… …], car il existe de grandes [… …] au niveau des [… …].
Mais, bien quelle soit intéressante pour évaluer la forme du raisonnement, cette échelle est loin d’être aussi utilisée que la W.I.S.C., pour plusieurs raisons :
◦ Les épreuves sont [moins variées] et [moins riches] que celles de la W.I.S.C.
◦ La théorie piagétienne repose sur une [« épistémologie endogène »], c’est-à-dire une [construction de la logique] se développant progressivement, en fonction de la mentalisation de l’action du sujet sur l’environnement], sans aucune [intervention de l’environnement]. Cette théorie ne prend absolument pas en compte la notion d’[apprentissage scolaire] et de [remédiation cognitive].
◦ Enfin, la théorie piagétienne stipule une [universalité] des [structures de la pensée]. Or la [structure de la pensée] du stade formel semble être spécifique à la [société occidentale], car il existe de grandes [différences interculturelles] au niveau des [épreuves formelles].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S
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Comme Binet, le psychologue américain [Qui ?] a théorisé l’intelligence comme une [… …] qui peut se manifester sous [… …]. Selon lui, l’intelligence serait la [… des …] d’un sujet à [… … un … …], à [… …] et à [… … en … … son …]. Il élabore donc une échelle, tout autant […] que […], en reprenant et en adaptant des épreuves utilisées auparavant pour la mesure de l’intelligence […] (notamment le test des [… de …], [année], réétalonné par [Qui ?], [année]).
Comme Binet, le psychologue américain [David Wechsler] a théorisé l’intelligence comme une [entité globale] qui peut se manifester sous [plusieurs formes]. Selon lui, l’intelligence serait la [somme des compétences] d’un sujet à [agir dans un but déterminé], à [penser rationnellement] et à [entrer efficacement en relation avec son environnement]. Il élabore donc une échelle, tout autant [verbale] que [pratique], en reprenant et en adaptant des épreuves utilisées auparavant pour la mesure de l’intelligence [pratique] (notamment le test des [cubes de Kohs], [1920], réétalonné par [G. Arthur], [1933]).
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S
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On l’a vu, Wechsler contestait la notion [«… …»]. Il utilise donc des [… …] et propose un type d’évaluation en […-…] (basé sur la […] et […-…]) et en [… …].
On l’a vu, Wechsler contestait la notion [«d’Âge Mental»]. Il utilise donc des [techniques statistiques] et propose un type d’évaluation en [écarts-réduits] (basé sur la [moyenne] et [l’écart-type]) et en [classes normalisées].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S
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Wechsler propose une évaluation en trois temps. Lesquels ?
- le fonctionnement intellectuel global, le Q.I.,
- l’intelligence verbale – le Q.I.V.,
- l’intelligence pratique – le Q.I.P.
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S
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Le Q.I. de Wechsler n’a donc plus rien à voir avec le Q.I. calculé à partir de [« … … »] de […].
Le Q.I. standard est calculé par […] avec la […] de sujets de [… …]. Ainsi, les Q.I. ont une moyenne de [?] et un écart-type de [?].
Un Q.I. de [?] représente donc une [… …].
Des Q.I. de [? et ?] se situent respectivement à [?] écart-type en dessous et au dessus de la […].
Des Q.I. de [? et ?] se situent respectivement à [?] écarts-types en dessous et au dessus de la […].
Environ [?%] des sujets obtiennent des Q.I. compris entre [? et ?].
[?%] des sujets obtiennent des Q.I. compris entre [? et ?].
[?%] obtiennent des Q.I. entre [? et ?] (à [?] écarts-types de la moyenne).
Le Q.I. de Wechsler n’a donc plus rien à voir avec le Q.I. calculé à partir de [« l’Âge Mental »] de [Binet]. Le Q.I. standard est calculé par [comparaison] avec la [performance] de sujets de [même âge]. Ainsi, les Q.I. ont une moyenne de [100] et un écart-type de [15].
Un Q.I. de [100] représente donc une [performance moyenne].
Des Q.I. de [84 et 115] se situent respectivement à [1] écart-type en dessous et au dessus de la [moyenne].
Des Q.I. de [70 et 130] se situent respectivement à [2] écarts-types en dessous et au dessus de la [moyenne].
Environ [60%] des sujets obtiennent des Q.I. compris entre [85 et 115].
[95%] des sujets obtiennent des Q.I. compris entre [70 et 130].
[99%] obtiennent des Q.I. entre [55 et 145] (à [3] écarts-types de la moyenne).
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S
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De plus, Wechsler propose une [… …] (des notes standard) pour chacun des subtests de l’échelle. Ainsi, les notes standards obtenues aux différents subtests ont une moyenne de [?] et un écart-type de [?].
Cette méthode d’évaluation est commune à toutes les échelles de Wechsler et présente trois avantages :
1. elle permet de comparer les [… …] et les [… …] d’un sujet ;
2. elle permet de comparer les […] d’un enfant avec sa [… de …] (en fonction de son [… …]) ;
3. elle permet de comparer les […] d’un enfant avec des [… … …].
De plus, Wechsler propose une [évaluation spécifique] (des notes standard) pour chacun des subtests de l’échelle. Ainsi, les notes standards obtenues aux différents subtests ont une moyenne de [10] et un écart-type de [3].
Cette méthode d’évaluation est commune à toutes les échelles de Wechsler et présente trois avantages :
1. elle permet de comparer les [performances verbales] et les [performances pratiques] d’un sujet ;
2. elle permet de comparer les [scores] d’un enfant avec sa [population de référence] (en fonction de son [âge réel]) ;
3. elle permet de comparer les [scores] d’un enfant avec des [enfants d’âges différents].
LES TESTS D'INTELLIGENCE La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ Dans une perspective [...], Wechsler a conçu trois catégories d'échelles pour évaluer : ⁃ l'intelligence de [...] ⁃ l'intelligence des [... ... ...] ⁃ l'intelligence des [... ... ...]
Dans une perspective [développementale], Wechsler a conçu trois catégories d’échelles pour évaluer :
⁃ l’intelligence de [l’adulte]
⁃ l’intelligence des [enfants d’âge scolaire]
⁃ l’intelligence des [enfants d’âge pré-scolaire]
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S
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Précisez qu’elles sont les échelles qui correspondent aux trois catégories conçues par Wechsler pour évaluer les intelligences de l’adulte et de l’enfant.
◦ l’intelligence de l’adulte : la Wechsler-Bellevue (adaptation française, 1954) et sa dérivée actuelle, la W.A.I.S. – Wechsler Adulte Intelligence Scale (adaptation française, 1968) et la W.A.I.S-R (adaptation française, 1989).
◦ l’intelligence des enfants d’âge scolaire : la W.I.S.C. – Wechsler Intelligence Scale for Children (1949-1958) et ses dérivées, W.I.S.C.-R (1982), W.I.S.C. III (1991) et W.I.S.C. IV (2006).
◦ l’intelligence des enfants d’âge pré-scolaire : la W.P.P.S.I. – Wechsler Preschool ans Primary Scale of Intelligence (1967-1972) et sa dérivée la W.P.P.S.I.-R (1989, adaptation française 1995).
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S
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L’échelle de Wechsler-Bellevue mesure donc [… …]. Elle a été très utilisée dans les années [?] dans les milieux hospitaliers pour évaluer la [… …] des adultes souffrant de [… …].
L’échelle de Wechsler-Bellevue mesure donc [l’intelligence adulte]. Elle a été très utilisée dans les années [50] dans les milieux hospitaliers pour évaluer la [détérioration intellectuelle] des adultes souffrant de [pathologies somatiques].
LES TESTS D'INTELLIGENCE La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ La W.A.I.S., publiée en français en [année], puis sa révision, la W.A.I.S.-R en [année], s'applique à des sujets âgés de [? à ? ans]. L'échelle comporte [?] sous-tests répartis en deux catégories : 1. [?] épreuves [...], 2. [?] épreuves de [... ... ...].
La W.A.I.S., publiée en français en [1968], puis sa révision, la W.A.I.S.-R en [1989], s’applique à des sujets âgés de [13 à 64 ans]. L’échelle comporte [11] sous-tests répartis en deux catégories :
1. [6] épreuves [verbales], 2. [5 épreuves de [performance non verbales].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S
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Quelles sont les épreuves verbales de la W.A.I.S. ?
Les épreuves verbales de la W.A.I.S. sont :
1. Information : épreuve de connaissances générales. 2. Compréhension : épreuve de raisonnement sur des situations de la vie pratique et sociale. 3. Mémoire immédiate des chiffres. 4. Similitudes : trouver la ressemblance essentielle entre deux termes. 5. Raisonnement arithmétique. 6. Vocabulaire.
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La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S
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Quelles sont les épreuves non verbales de la W.A.I.S. ?
Les épreuves non verbales sont :
1. Classement d'images : dans l'ordre de succession temporelle. 2. Complément d'images : désigner la partie manquante dans une image. 3. Cubes : ceux de Kohs, avec des problèmes différents. 4. Assemblage d'objets : puzzles. 5. Code : associer des chiffres et des symboles.
LES TESTS D'INTELLIGENCE La Wechsler-Bellevue et la W.A.I.S \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ VRAI OU FAUX ? Cette structure des épreuves verbales et non-verbales se retrouve dans toutes les échelles de Wechsler construites ultérieurement.
VRAI
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Développement de la W.A.I.S. et application de la W.I.S.C.
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En [année], devant le succès de son échelle pour les adultes, Wechsler publie une version pour les [… … …], la W.I.S.C., applicable de [? à ? ans].
En [année], elle est adaptée et étalonnée pour une [… … …].
Révisée en [année], elle prend le nom de [W.I.S.C.-?.]
En [1949], devant le succès de son échelle pour les adultes, Wechsler publie une version pour les [enfants d’âge scolaire], la W.I.S.C., applicable de [5 à 15 ans].
En [1958], elle est adaptée et étalonnée pour une [population d’enfants français].
Révisée en [1981], elle prend le nom de [W.I.S.C.-R.]
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Développement de la W.A.I.S. et application de la W.I.S.C.
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La W.I.S.C.-R permet d’évaluer l’intelligence des enfants âgés de [? ans et ? mois] à [? ans et ? mois révolus].
En [année], une nouvelle version de la W.I.S.C.-R a été publiée sous le nom de [W.I.S.C. ?] pour évaluer l’intelligence des enfants âgés de [? ans à ? ans, ? mois et ? jours].
La W.I.S.C.-R permet d’évaluer l’intelligence des enfants âgés de [6 ans et 4 mois] à [16 ans et 8 mois révolus].
En [1995], une nouvelle version de la W.I.S.C.-R a été publiée sous le nom de [W.I.S.C. III] pour évaluer l’intelligence des enfants âgés de [6 ans à 16 ans, 11 mois et 30 jours].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Développement de la W.A.I.S. et application de la W.I.S.C.
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Expliquez les raisons de l’évolution de la W.I.S.C.-R en W.I.S.C. III.
Cette évolution de l’étendue du test est directement liée à celle du test pour les enfants d’âge préscolaire (la W.P.P.S.I, Wechsler Preschool and Primary Scale of Intelligence, 1967, une troisième version des échelles de Wechsler pour les enfants de 4 à 6 ans et 6 mois). En effet, les premières tranches d’âge de la W.I.S.C. III chevauchent celles de la W.P.P.S.I.-R (R pour revisited 1989), et les dernières, celles de la W.A.I.S-R. Ainsi, l’examinateur peut choisir, pour ces âges limites, l’instrument le plus adéquat.
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Développement de la W.A.I.S. et application de la W.I.S.C.
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VRAI OU FAUX ?
a) En général, il est plus judicieux d’utiliser la W.P.P.S.I.-R pour un enfant entre 6 ans et 7 ans 3 mois dont les aptitudes sont au-dessus de la moyenne.
b) Parallèlement, la W.I.S.C. III est plus adaptée que la W.A.I.S-R pour des sujets âgés de 16 ans qui ont des aptitudes plutôt élevées.
c) Inversement, il est recommandé d’utiliser la W.I.S.C. III pour des enfants de 6 ans dont les aptitudes sont au-dessus de la moyenne.
d) De même, il est plus adéquat de choisir la W.A.I.S-R lorsque les aptitudes d’un sujet de 16 ans sont au-dessus de la moyenne.
a) FAUX !
En général, il est plus judicieux d’utiliser la W.P.P.S.I.-R pour un enfant entre 6 ans et 7 ans 3 mois dont les aptitudes sont EN-DESSOUS de la moyenne.
b) FAUX !
Parallèlement, la W.I.S.C. III est plus adaptée que la W.A.I.S-R pour des sujets âgés de 16 ans qui ont des aptitudes plutôt FAIBLES.
c) VRAI
d) VRAI
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Développement de la W.A.I.S. et application de la W.I.S.C.
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Concernant la W.P.P.S.I., une nouvelle version, la [W.P.P.S.I. ?] a été étalonnée et publiée en [année] pour une [… …] au [pays], en deux versions :
1. l’une pour les enfants de [? ans et ? mois] à [? ans et ? mois],
2. la seconde pour les enfants de [? ans] à [? ans et ? mois].
Concernant la W.P.P.S.I., une nouvelle version, la [W.P.P.S.I. III] a été étalonnée et publiée en [2002] pour une [population spécifique] au [Canada], en deux versions :
1. l'une pour les enfants de [2 ans et 6 mois] à [3 ans et 11 mois], 2. la seconde pour les enfants de [4 ans] à [7 ans et 3 mois].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Développement de la W.A.I.S. et application de la W.I.S.C.
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VRAI OU FAUX ?
La W.P.P.S.I. III n’est que peu utilisée en France.
VRAI
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Comparaison et nouveautés de la W.I.S.C. III (1954-1991)
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En France, la W.I.S.C-R [n’est plus/est toujours] utilisée actuellement.
Les psychologues cliniciens travaillant en institution peuvent en effet être amenés à consulter le dossier d’un enfant ayant été évalué auparavant avec la W.I.S.C-R. Le psychologue doit alors se souvenir que le Q.I. évalué avec des normes anciennes est généralement plus [élevé/bas] que celui évalué avec les normes actuelles. Ceci peut donner l’impression que la W.I.S.C. III est plus [sévère/indulgente] que la W.I.S.C-R. Ce décalage pose des problèmes particuliers pour les sujets dont les notes sont dans des [… …]. En effet, un sujet dont le Q.I. est de 80 à la W.I.S.C-R est en fait [surévalué/sous-évalué], car le Q.I. qu’il obtiendrait à la W.I.S.C. III serait [moindre/plus élevé]. Par conséquent, la note obtenue à la W.I.S.C-R, en apparence [supérieure/inférieure], peut donner lieu à des [… …]. Le psychologue doit donc rester très vigilant quant à la [… …].
En France, la W.I.S.C-R [est toujours] utilisée actuellement.
Les psychologues cliniciens travaillant en institution peuvent en effet être amenés à consulter le dossier d’un enfant ayant été évalué auparavant avec la W.I.S.C-R. Le psychologue doit alors se souvenir que le Q.I. évalué avec des normes anciennes est généralement plus [élevé] que celui évalué avec les normes actuelles. Ceci peut donner l’impression que la W.I.S.C. III est plus [sévère] que la W.I.S.C-R. Ce décalage pose des problèmes particuliers pour les sujets dont les notes sont dans des [zones extrêmes]. En effet, un sujet dont le Q.I. est de 80 à la W.I.S.C-R est en fait [surévalué], car le Q.I. qu’il obtiendrait à la W.I.S.C. III serait [moindre]. Par conséquent, la note obtenue à la W.I.S.C-R, en apparence [supérieure], peut donner lieu à des [prévisions erronées]. Le psychologue doit donc rester très vigilant quant à la [norme utilisée].
LES TESTS D’INTELLIGENCE
Développement de la W.A.I.S. et application de la W.I.S.C.
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En [année], [Qui ?] a montré qu’il existait un facteur supplémentaire d’[…/…] ([« … … … »]), représenté par les subtests [« …, … et … des … »]. Les auteurs ont donc rajouté dans la W.I.S.C. III un nouveau subtest, optionnel, qu’on nomme [« … »]. L’ajout de cette nouvelle épreuve a fait émerger [? … …] dans la version française ([?] pour la version américaine).
Ainsi, on identifie un [… de … …] ([abréviation usuelle]), un … … … ([abréviation usuelle]) et un [… de … de …] ([abréviation usuelle]).
Enfin, la W.I.S.C. III comprend également des changements au niveau du […] ([modernisation …, …, …]) et des [… …].
En [1979], [Kaufman] a montré qu’il existait un facteur supplémentaire d’[attention/concentration] ([« Freedom from Distractibility »]), représenté par les subtests [« Code, Arithmétique et Mémoire des chiffres »]. Les auteurs ont donc rajouté dans la W.I.S.C. III un nouveau subtest, optionnel, qu’on nomme [« Symboles »]. L’ajout de cette nouvelle épreuve a fait émerger [3 indices factoriels] dans la version française ([4] pour la version américaine).
Ainsi, on identifie un [Indice de Compréhension Verbale] ([ICV]), un Indice d’organisation Perceptive (IOP) et un [Indice de Vitesse de Traitement] ([IVT]).
Enfin, la W.I.S.C. III comprend également des changements au niveau du [matériel] ([modernisation culturelle, graphique, visuelle]) et des [procédures d’administration].