I. 2) PRINCIPES PSYCHOMÉTRIQUES GÉNÉRAUX Flashcards
Delay et Pichot (1965) propose l’une des définitions les plus générales et les plus consensuelles de la méthode psychométrique. Citez-la.
« On appelle méthode psychométrique l’ensemble des procédés aboutissant à une description quantitative des lois psychologiques ».
VRAI OU FAUX ?
La méthode psychométrique et la méthode des tests sont une seule et même chose.
FAUX !
La méthode psychométrique est d’un emploi très général en psychologie expérimentale, et la méthode des tests n’en n’est qu’une partie, bien que les deux expressions – « méthode psychométrique et méthode des tests » – soient, par abus de langage, souvent confondues.
Delay et Pichot (1965) précisent que le test psychométrique est une [… … …], qui va servir de […] à un comportement. Ce comportement est évalué par [… …], avec celui d’autres sujets placés dans la [… …]. Cette évaluation permet donc de classer le sujet, soit […], soit […].
Delay et Pichot (1965) précisent que le test psychométrique est une [situation expérimentale standardisée], qui va servir de [stimulus] à un comportement. Ce comportement est évalué par [comparaison statistique], avec celui d’autres sujets placés dans la [même situation]. Cette évaluation permet donc de classer le sujet, soit [quantitativement], soit [typologiquement].
Qu’entend-on par “stimulus quelconque” ?
le “stimulus quelconque” peut être une série de questions, de tâches d’encre, d’images, une consigne de tâche, etc.
La définition de Delay et Pichot (1965) souligne le fait que, pour qu’un stimulus quelconque devienne réellement un test, il devra être obligatoirement […], c’est-à-dire rigoureusement […] à […] pour tous les […] auxquels on le présentera, cette passation se faisant elle-même dans des conditions […].
La […] est donc l’un des deux critères nécessaires de transformation d’un stimulus « ordinaire » en […] de test ou d’échelle.
La définition de Delay et Pichot (1965) souligne le fait que, pour qu’un stimulus quelconque devienne réellement un test, il devra être obligatoirement [standardisé], c’est-à-dire rigoureusement [identique] à [lui-même] pour tous les [sujets] auxquels on le présentera, cette passation se faisant elle-même dans des conditions [invariables].
La [standardisation] est donc l’un des deux critères nécessaires de transformation d’un stimulus « ordinaire » en [item] de test ou d’échelle.
L’autre point important à souligner dans la méthode des tests est qu’il est nécessaire que [… … …], observant la [… …], la notent de manière […].
L’autre point important à souligner dans la méthode des tests est qu’il est nécessaire que [deux observateurs différents], observant la [même réponse], la notent de manière [univoque].
En psychologie, la mesure dans les tests est en réalité un […], c’est-à-dire, un […] sur une échelle. Cette échelle est elle-même constituée par l’[… des …] d’un [… de … de …]. Le résultat d’un test permettra, de cette façon, de […] la [… du …] examiné par rapport aux [… …] du [… d’…]. Les épreuves qui ne sont pas construites en référence à un [… …] ne constituent pas un test.
L’[…] est donc le second critère indispensable à la transformation d’un stimulus « ordinaire » en […] de test ou d’échelle.
En psychologie, la mesure dans les tests est en réalité un [étalonnage], c’est-à-dire, un [repérage] sur une échelle. Cette échelle est elle-même constituée par l’[analyse des résultats] d’un [groupe de sujets de référence]. Le résultat d’un test permettra, de cette façon, de [repérer] la [position du sujet] examiné par rapport aux [autres sujets] du [groupe d’étalonnage]. Les épreuves qui ne sont pas construites en référence à un [étalonnage explicite] ne constituent pas un test.
L’[étalonnage] est donc le second critère indispensable à la transformation d’un stimulus « ordinaire » en [item] de test ou d’échelle.
VRAI OU FAUX ?
Les méthodes psychométriques peuvent permettre de découvrir « toutes les lois de la vie psychologique » car toutes les méthodes s’inspirent d’un seul et même fondement théorique.
FAUX !
Delay et Pichot (1965) précisent bien que, même si les méthodes psychométriques pouvaient permettre de découvrir « les lois de la vie psychologique », en réalité, leurs fondements théoriques sont aussi divers que les méthodes elles-mêmes (il existe à l’heure actuelle plus de 2000 instruments, créés, produits, validés et publiés).
Un test a donc une valeur […] de comportements d’un sujet dans diverses situations de la vie. Il fournit également des informations précises sur le […] d’un sujet et apporte des résultats […] permettant une [… de …] entre les comportements.
Un test a donc une valeur [prédictive] de comportements d’un sujet dans diverses situations de la vie. Il fournit également des informations précises sur le [psychisme] d’un sujet et apporte des résultats [quantitatifs] permettant une [finesse de discrimination] entre les comportements.
Pour être un instrument de mesure scientifique, un test doit posséder les qualités métrologiques d’un [… … de …].
Pour pouvoir être utilisé scientifiquement, un test doit donc être […], […], […] et […].
Pour être un instrument de mesure scientifique, un test doit posséder les qualités métrologiques d’un [bon instrument de mesure].
Pour pouvoir être utilisé scientifiquement, un test doit donc être [fidèle], [sensible], [valide] et [généralisable].
Mais les principes théoriques qui sous-tendent l’évaluation psychologique sont […] de ceux qui président aux autres formes de mesures scientifiques. En effet, en psychologie clinique, l’objet des mesures est toujours une [… …] (par exemple, [l’…, la …, le …], etc.), à l’opposé des mesures en sciences physiques, par exemple, qui concernent des [… …] (le […], la […], etc.). En quantifiant ces [… …], les mesures se font sur des échelles dont les [marges d’erreurs] sont plus grandes. Les mesures en psychologie clinique sont donc simplement [… …], sans être pour autant [… …].
Mais les principes théoriques qui sous-tendent l’évaluation psychologique sont [différents] de ceux qui président aux autres formes de mesures scientifiques. En effet, en psychologie clinique, l’objet des mesures est toujours une [construction hypothétique] (par exemple, [l’anxiété, la dépression, le stress], etc.), à l’opposé des mesures en sciences physiques, par exemple, qui concernent des [entités tangibles] (le [poids], la [distance], etc.). En quantifiant ces [constructions hypothétiques], les mesures se font sur des échelles dont les [marges d’erreurs] sont plus grandes. Les mesures en psychologie clinique sont donc simplement [moins précises], sans être pour autant [moins scientifiques].
La […] et l’[…] sont donc les deux grands principes psychométriques qui permettent, d’une part de [… un … … en un … de …], et d’autre part, de [… un … ou une …].
La [standardisation] et l[‘étalonnage] sont donc les deux grands principes psychométriques qui permettent, d’une part de [transformer un stimulus quelconque en un item de test], et d’autre part, de [construire un test ou une échelle].
Dans un objectif de validation scientifique d’un test, que doit-on vérifier systématiquement dans le cadre de recherches en psychologie clinique avant de pouvoir l’utiliser dans le cadre des pratiques cliniques professionnelles ?
On doit vérifier les qualités métrologiques, qualités intrinsèques du test ou de l’échelle
Quels sont les deux critères indispensables à la transformation d’un stimulus « ordinaire » en item de test ou d’échelle ?
la standardisation et l’étalonnage