I. 4) UTILISATION DES TESTS Flashcards

1
Q

L’utilisation de ces outils (échelles d’évaluation, questionnaires ou tests projectifs) concerne essentiellement les [… …] des [… …] d’une part, et d’autre part, les [… …] ou […] dans le [… …].

A

L’utilisation de ces outils (échelles d’évaluation, questionnaires ou tests projectifs) concerne essentiellement les [pratiques cliniques] des [psychologues cliniciens] d’une part, et d’autre part, les [recherches cliniques] ou [épidémiologiques] dans le [champ clinique].

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2
Q

La méthode des tests est utilisée à des fins d’[…] et de […] de troubles […], […] et/ou [..].

A

La méthode des tests est utilisée à des fins d’[évaluation] et de [dépistage] de troubles [intellectuels], [affectifs] et/ou [psychopathologiques].

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3
Q

Le choix d’un outil intervient donc dans deux situations : celle du [… …] confronté à des besoins d’[…] et/ou de […] de difficultés ou de troubles, et donc à la […] de ses [… …] (le plus souvent dans le cadre d’un [… …]), et celle du [… … …] confronté à la […] de ses [… de …] (le plus souvent dans le cadre d’une [… …]). Le choix des outils découle donc de [… …].

A

Le choix d’un outil intervient donc dans deux situations : celle du [psychologue clinicien] confronté à des besoins d’[évaluation] et/ou de [dépistage] de difficultés ou de troubles, et donc à la [vérification] de ses [hypothèses cliniques] (le plus souvent dans le cadre d’un [bilan psychologique]), et celle du [psychologue clinicien chercheur] confronté à la [vérification] de ses [hypothèses de recherche] (le plus souvent dans le cadre d’une [recherche doctorale]). Le choix des outils découle donc de [plusieurs questionnements].

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4
Q

VRAI OU FAUX ?
L’échelle ou le questionnaire pourra être utilisé comme critère principal ou secondaire dans l’étude de la psychopathologie.

A

VRAI

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5
Q

VRAI OU FAUX ?

L’échelle ou le questionnaire doit être utilisé seul.

A

FAUX

L’échelle ou le questionnaire pourra être utilisé seul ou en complément d’autres outils d’évaluation.

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6
Q

VRAI OU FAUX ?

Le psychologue n’est pas tenu de s’assurer de la capacité d’adhésion et de compréhension du patient.

A

FAUX
Le psychologue devra s’assurer de la capacité d’adhésion et de compréhension du patient, en particulier lors des auto-évaluations (sous forme d’échelles ou de questionnaires).

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7
Q

Il faudra choisir le […] de troubles à évaluer, une symptomatologie très […] (par exemple celle de la […) ou bien un symptôme plus […] (par exemple, l’étude du [… …]). Les échelles seront alors […].
Il faudra décider s’il s’agit d’une évaluation […] ou […].

A

Il faudra choisir le [niveau] de troubles à évaluer, une symptomatologie très [générale] (par exemple celle de la [dépression) ou bien un symptôme plus [spécifique] (par exemple, l’étude du [ralentissement dépressif]). Les échelles seront alors [différentes].
Il faudra décider s’il s’agit d’une évaluation [ponctuelle] ou [longitudinale].

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8
Q

Dans le cas des évaluations longitudinales, il faudra choisir le nombre de […] et l’[… dans le …] entre les évaluations.

A

Dans le cas des évaluations longitudinales, il faudra choisir le nombre de [cotations] et l’[écart dans le temps] entre les évaluations.

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9
Q

Que devra faire le psychologue afin de choisir l’outil le plus adapté à la question posée (clinique ou de recherche) ?

A

Afin de choisir l’outil le plus adapté à la question posée (clinique ou de recherche), le psychologue devra se documenter sur les ouvrages regroupant des outils cliniques traduits et validés en langue française, ou bien il devra traduire et valider lui-même des outils de langue étrangère, ce qui se fait généralement dans le cadre de recherches cliniques.

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10
Q

Les échelles et les questionnaires d’évaluation des troubles peuvent être classés selon plusieurs critères. Lesquels ?

A
  • Leur contenu
  • Leur utilisateur
  • Leur système de cotation
  • La nature de la psychopathologie explorée
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11
Q

Que permet le contenu des échelles et des questionnaires d’évaluation des troubles ?

A

Il permet de relever les caractéristiques de l’état civil d’un patient, ses antécédents personnels et/ou familiaux, sa symptomatologie actuelle (bio-psycho-sociale), son comportement actuel ou passé.

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12
Q

Que faut-il savoir à propos des utilisateurs des échelles et des questionnaires d’évaluation des troubles ?

A

Une échelle ou un questionnaire peut être construit(e) pour être rempli(e) par un patient (en auto-évaluation), ou par un psychologue clinicien, un psychiatre, un médecin généraliste, un infirmier, un membre de la famille (en hétéro-évaluation).

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13
Q

Concernant le système de cotation des utilisateurs des échelles et des questionnaires d’évaluation des troubles, on en distingue deux types. Lesquels ?

A

1) des instruments à cotation dichotomique (oui/non, présent/absent, etc.)
2) des échelles ou questionnaires à cotation graduée.

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14
Q

Comment le procédé de graduation peut-il être élaboré ?

A

Le procédé de graduation peut être élaboré pour choisir entre :

  • une série de formulations décrivant des symptômes d’intensité ou de fréquence croissante,
  • une gamme d’adverbes de quantité ou de fréquence qui aident au repérage de comportements ou de symptômes,
  • des procédés graphiques (exemple, l’Echelle Visuelle Analogique, EVA)
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15
Q

Qu’entend-on par “la nature de la psychopathologie explorée” ?

A

Il existe des échelles d’appréciation globale d’une psychopathologie, des inventaires généraux qui explorent l’ensemble de la psychopathologie du patient, des échelles restreintes à l’exploration de syndromes fonctionnels, des échelles spécifiques explorant un symptôme.

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16
Q

À propos de “la nature de la psychopathologie explorée”. Il existe :

  • des échelles d’[… …] d’une psychopathologie,
  • des [… …] qui explorent l’[…] de la psychopathologie du patient,
  • des échelles restreintes à l’exploration de [… …],
  • des échelles […] explorant un […].
A
  • des échelles d’[appréciation globale] d’une psychopathologie,
  • des [inventaires généraux] qui explorent l’[ensemble] de la psychopathologie du patient,
  • des échelles restreintes à l’exploration de [syndromes fonctionnels],
  • des échelles [spécifiques] explorant un [symptôme].
17
Q

Par ailleurs, on distingue trois principaux niveaux de mesure en psychopathologie. Lesquels ?

A
  1. le niveau syndromique,
  2. le niveau comportemental,
  3. le niveau étiologique.
18
Q

Le niveau syndromique fait référence à l’évaluation d’[… …] […] et […]. Chez l’adulte, la pratique clinique des psychologues met en évidence que le consensus est […] pour des troubles tels que la [dépression] et l’[…]. Chez l’enfant, le consensus est moins évident, comme par exemple pour des entités comme l’[…], l’[…] ou l’[… …]. Chez le sujet âgé, l’étude de la dépression référencée aux classifications de l’adulte présente des limites, du fait des [… …] liées au […].

A

Le niveau syndromique fait référence à l’évaluation d’[entités psychopathologiques] [consensuelles] et [répertoriées]. Chez l’adulte, la pratique clinique des psychologues met en évidence que le consensus est [homogène] pour des troubles tels que la [dépression] et l’[anxiété]. Chez l’enfant, le consensus est moins évident, comme par exemple pour des entités comme l’[hyper-activité], l’[hyper-anxiété] ou l’[autisme infantile]. Chez le sujet âgé, l’étude de la dépression référencée aux classifications de l’adulte présente des limites, du fait des [caractéristiques spécifiques] liées au [vieillissement].

19
Q

VRAI OU FAUX ?
L’évaluation syndromique est toujours source de difficultés lorsque le patient (quel que soit son âge) présente des atteintes neurobiologiques conjointement à un trouble psychopathologique.

A

VRAI

20
Q

Le niveau comportemental correspond à ce qui est […] et repose sur l’étude des […], des […] et des […] du sujet. Il permet de distinguer des comportements […] ([exemple]) et […] ([exemple]).

A

Le niveau comportemental correspond à ce qui est [observable] et repose sur l’étude des [conduites], des [comportements] et des [attitudes] du sujet. Il permet de distinguer des comportements [externalisés] ([exemple : agitation ou ralentissement moteur]) et [internalisés] ([exemple : attitude de repli]).

21
Q

VRAI OU FAUX ?

Bouvard (2005) précise que le niveau comportemental est superposable au niveau syndromique.

A
FAUX
Bouvard (2005) précise que le niveau comportemental n'est pas superposable au niveau syndromique. En effet, s'il est censé être plus « objectif », il manque de spécificités. Par exemple, un même type de comportements peut correspondre à des entités syndromiques différentes. Pour cette raison, les outils cliniques qui privilégient l'étude du niveau comportemental ne peuvent pas être utilisés comme critères diagnostiques, mais seulement comme aide au diagnostic psychiatrique.
22
Q

VRAI OU FAUX ?
Les outils cliniques qui privilégient l’étude du niveau comportemental peuvent être utilisés comme critères diagnostiques.

A

FAUX
Un même type de comportements peut correspondre à des entités syndromiques différentes. Pour cette raison, les outils cliniques qui privilégient l’étude du niveau comportemental ne peuvent pas être utilisés comme critères diagnostiques, mais seulement comme aide au diagnostic psychiatrique

23
Q

Quant au niveau étiologique, il est essentiellement représenté par un seul référentiel théorique, la […], et permet d’inférer, à partir du seul […] du patient, des [… …] sur un [… « … »], [..], qu’on appelle [… …] et qui a été élaboré par […] et ses successeurs.

A

Quant au niveau étiologique, il est essentiellement représenté par un seul référentiel théorique, la [psychanalyse], et permet d’inférer, à partir du seul [discours] du patient, des [hypothèses cliniques] sur un [fonctionnement « mental »], [interne], qu’on appelle [fonctionnement psychique] et qui a été élaboré par [Freud] et ses successeurs.