I. 1) HISTORIQUE DES TESTS EN PSYCHOLOGIE Flashcards
Selon Derogatis et Dellapietra (1994), la création des premiers instruments du dépistage en psychologie remontent à la fin du [..ième siècle].
En [date], Sir [… …] (cousin de [… …]), en Angleterre, construisit le prototype du [… …] à l’occasion de l’Exposition Universelle de Londres : il préconisait la mesure des [… … et …] de chaque individu, et l’étude de leur [… …]. Ses travaux ont préfiguré les [… … …], mais aussi les [… de l’…].
Selon Derogatis et Dellapietra (1994), la création des premiers instruments du dépistage en psychologie remontent à la fin du [19ième siècle].
En [1884], Sir [Francis Galton] (cousin de [Charles Darwin]), en Angleterre, construisit le prototype du [questionnaire psychologique] à l’occasion de l’Exposition Universelle de Londres : il préconisait la mesure des [caractéristiques physiques et mentales] de chaque individu, et l’étude de leur [transmission héréditaire]. Ses travaux ont préfiguré les [tests psychologiques standardisés], mais aussi les [théories de l’eugénisme].
Il faut distinguer les premiers tests d’évaluation des grandes fonctions en psychologie (intelligence, mémoire, perception, attention, etc.), des premiers [… des … des … …] et des premiers [… …].
Il faut distinguer les premiers tests d’évaluation des grandes fonctions en psychologie (intelligence, mémoire, perception, attention, etc.), des premiers [inventaires des symptômes des troubles psychopathologiques] et des premiers [tests projectifs].
Ces premiers tests psychologiques, au sens « d’épreuves standardisées destinées à un [… d’…] », remontent aux travaux […] de psychologie […] de [Qui ?], [Qui ?], [Qui ?].
Ces épreuves étudiaient des caractéristiques […] (par exemple la [… de …]).
Ces premiers tests psychologiques, au sens « d’épreuves standardisées destinées à un [groupe d’individus] », remontent aux travaux [allemands] de psychologie [expérimentale] de [Weber], [Fechner], [Wundt].
Ces épreuves étudiaient des caractéristiques [psychosensorielles] (par exemple la [vitesse de réaction]).
L’évolution va consister, pour les chercheurs, à développer ces mesures périphériques à des mesures plus […].
Par exemple, [Qui ?] ([dates]) utilise, lors de ses recherches sur la […], les précurseurs des tests d’intelligence.
L’évolution va consister, pour les chercheurs, à développer ces mesures périphériques à des mesures plus [générales].
Par exemple, [H. Ebbinghaus] ([1850-1909]) utilise, lors de ses recherches sur la [mémoire], les précurseurs des tests d’intelligence.
Puis [Qui ?] ([dares]) élabore un ensemble de [combien ?] épreuves évaluant la […] et l’[…].
Mais les tests factoriels découlent véritablement des méthodes statistiques développées par [Qui ?] ([1863-1945]) et [Qui ?] ([dates]) qui concernent [l’analyse des …] et [l’analyse …].
Puis [James Mc Keen Cattell] ([1860-1944]) élabore un ensemble de [10] épreuves évaluant la [mémoire] et l’[attention].
Mais les tests factoriels découlent véritablement des méthodes statistiques développées par [Spearman] ([1863-1945]) et [Thurstone] ([1887-1955]) qui concernent, [l’analyse des corrélations] et [l’analyse factorielle].
Ces méthodes statistiques ont joué un rôle déterminant pour valider l’hypothèse de recherche principale concernant l’intelligence : elle serait composée (selon [Qui ?], 1957, [Qui ?], 1964), d’une composante […] et de composantes […].
Ces méthodes statistiques ont joué un rôle déterminant pour valider l’hypothèse de recherche principale concernant l’intelligence : elle serait composée (selon [Oléron], 1957, [Reuchlin], 1964), d’une composante [générale] et de composantes [spécifiques].
En France, on doit la création du premier test d’évaluation de l’intelligence à [Qui et Qui ?] en [date], en raison d’une part des préoccupations du Ministère français de l’Instruction Publique au sujet de [l’… à … aux … en …], et d’autre part, de l’intérêt d’[Qui ?] ([dates]) pour le [… …] des enfants dit « […] » et « […] ».
En France, on doit la création du premier test d’évaluation de l’intelligence à [Binet et Simon] en [1905], en raison d’une part des préoccupations du Ministère français de l’Instruction Publique au sujet de [l’enseignement à procurer aux enfants en difficultés], et d’autre part, de l’intérêt d’[Alfred Binet] ([1857-1911]) pour le [fonctionnement intellectuel] des enfants dit « [normaux] » et « [anormaux] ».
Rejetant le courant de la […] – l’étude du [… des … … d’un …. d’après la … de son …] – et celui de la [… … …], [Qui ?] et [Qui ?] élaborent un test ayant pour objectif de […] les [… … « … »] chez les enfants à partir de [? ans] (et jusqu’à [… …]), à l’aide d’un indice de « [… …] », qui deviendra ensuite ce qu’on appelle « [l’… …] » ([abréviation]).
Rejetant le courant de la [phrénologie] – l’étude du [caractère des facultés dominantes d’un individu d’après la forme de son crâne] – et celui de la [psychologie expérimentale allemande], [Alfred Binet] et [Théodore Simon] élaborent un test ayant pour objectif de [mesurer] les [processus mentaux « supérieurs »] chez les enfants à partir de [3 ans] (et jusqu’à [l’âge adulte]), à l’aide d’un indice de « [niveau intellectuel] », qui deviendra ensuite ce qu’on appelle « [l’Âge Mental] » ([A.M.]).
A peu près à la même époque, aux États-Unis, en [date], le psychiatre d’origine suisse [Qui ?] ([dates]) construisait la première échelle d’évaluation psychiatrique – le « [… des …] » de […] (The [… … …]).
A peu près à la même époque, aux États-Unis, en [1914], le psychiatre d’origine suisse [Adolphe Meyer] ([1866-1950]) construisait la première échelle d’évaluation psychiatrique – le « [Classement des Comportements] » de [Philips] (The [Philipps Behavior ChartKemps]).
En [date], à la fin de la [1ère ?/2ème ? Guerre Mondiale], le premier inventaire des symptômes sous la forme d’un […] – la « [… … …] » - fût développé par [Qui ?], afin de dépister les [… …] des soldats américains qui partaient à la guerre.
Puis [Qui ?] ([date]), en construisant une échelle d’observation psychiatrique, voulut « déterminer empiriquement la […] de la […] des […] ».
En [1918], à la fin de la [1ère Guerre Mondiale], le premier inventaire des symptômes sous la forme d’un [auto-questionnaire] – la « [Personal Data Sheet] » - fût développé par [Robert Woodworth], afin de dépister les [troubles psychopathologiques] des soldats américains qui partaient à la guerre.
Puis [Moor] ([1930]), en construisant une échelle d’observation psychiatrique, voulut « déterminer empiriquement la [structure] de la [symptomatologie] des [psychoses] ».
Parallèlement, en [pays], en [date], le psychiatre [Qui ?], pourvu d’une sensibilité artistique constante tout au long de sa vie, publie son ouvrage [Le …], dans lequel il développe un test de [… d’…] – plus communément connu sous le nom « [… de …] » – qui permet, selon lui, non plus d’étudier les grandes fonctions psychologiques mais le fonctionnement de la […] de […], de […] et de […].
Parallèlement, en [Suisse], en [1921], le psychiatre [Hermann Rorschach], pourvu d’une sensibilité artistique constante tout au long de sa vie, publie son ouvrage [Le Psychodiagnostic], dans lequel il développe un test de [tâches d’encre] – plus communément connu sous le nom «[test de Rorschach]» – qui permet, selon lui, non plus d’étudier les grandes fonctions psychologiques mais le fonctionnement de la [personnalité] de [l’enfant], de [l’adolescent] et de [l’adulte].
Rorschach travaillait sur l’[…], la […] et la [… …], et orientait alors ses recherches sur l’approche thérapeutique de la […], et l’[… …] des peintures des patients […]. Il utilisa des tâches d’encre comme [… d’…] avec les patients et observa que les patients diagnostiqués schizophrènes répondaient […] au « jeu » des tâches d’encre que les autres patients. Cette observation clinique fondamentale lui fit poursuivre ses recherches pour développer son test et le valider empiriquement.
À partir de la fabrication d’une centaine de planches, il en sélectionna les [combien ?] meilleures et les appliqua à [combien ?] patients et sujets dits « […] ». Le […] : Test diagnostique basé sur la […] ([date]) est issu de cette validation empirique, et comprend actuellement [combien ?] tâches d’encre sur des [… …].
Rorschach travaillait sur l’[imagination], la [projection] et la [création artistique], et orientait alors ses recherches sur l’approche thérapeutique de la [schizophrénie], et l’[interprétation psychanalytique] des peintures des patients [schizophrènes]. Il utilisa des tâches d’encre comme [moyen d’investigation] avec les patients et observa que les patients diagnostiqués schizophrènes répondaient [différemment] au « jeu » des tâches d’encre que les autres patients. Cette observation clinique fondamentale lui fit poursuivre ses recherches pour développer son test et le valider empiriquement.
À partir de la fabrication d’une centaine de planches, il en sélectionna les [15] meilleures et les appliqua à [340] patients et sujets dits « [normaux] ». Le [Psychodiagnostic] : Test diagnostique basé sur la [perception] ([1921]) est issu de cette validation empirique, et comprend actuellement [10] tâches d’encre sur des [planches cartonnées].
Quinze ans plus tard, en [date] aux [Pays], [Qui ?] et [Qui ?] publient la première version du TAT dans leur ouvrage commun – [… … …].
Puis en [date], [Qui ?] en utilise les résultats pour asseoir sa théorie de la […] dans son ouvrage [… de la …], et en [date], il publie la version définitive de son test dans son [… d’…].
Quinze ans plus tard, en [1935] aux [Etats-Unis], [Mugan] et [Murray] publient la première version du TAT dans leur ouvrage commun – [Thematic Apperception Test].
Puis en [1938], [Henry Murray] en utilise les résultats pour asseoir sa théorie de la [personnalité] dans son ouvrage [Exploration de la personnalité], et en [1943], il publie la version définitive de son test dans son [Manuel d’application].
Le TAT se compose de [combien ?] planches, des […] d’[…] ou de […], destinées à […] la [… …].
Le TAT se compose de [31] planches, des [reproductions] d’[aquarelles] ou de [dessins], destinées à [stimuler] la [production imaginaire].
Les années 70 voient apparaître de nombreuses critiques concernant les tests projectifs, critiques dues à l’absence de [… … et …].
En France, [Qui ?] ([1970-1971]) s’intéresse à la [… …] du TAT, et essaye d’en dégager une […].
Les années 70 voient apparaître de nombreuses critiques concernant les tests projectifs, critiques dues à l’absence de [méthodologie efficace et objective].
En France, [Vica Shentoub] ([1970-1971]) s’intéresse à la [situation projective] du TAT, et essaye d’en dégager une [méthodologie].