Hyperuricémies Flashcards

1
Q

Caractéristiques acide urique

A

Formé d’un noyau pyrimidine et d’un noya imidazole
Est chez l’H le stade ultime du catabolisme des purines
Peu soluble dans l’eau -> formation d’urate est favorisé car a une meilleure solubilité
Urate : présent dans le sg sous forme libres majoritairement

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2
Q

Conséquence clinique hyperuricémie

A

Goutte

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3
Q

Conséquence clinique hypouricémie

A

Asymptomatique

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4
Q

Répartition acide urique dans l’organise

A

Majoritaire dans les liquides extracellulaires: 20% du pool total de l’organisme se retrouve dans le plasma à l’état libre sous la forme surtout d’urate avec une faible proportion liée aux protéines plasmatiques
Ce pool : 1200mg chez l’H et 600 mg chez la F
Renouvellement journalier à la hauteur de 60% provenant exclusivement de la purinosynthèse de novo

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5
Q

Les 3 origines des bases puriques chez l’H

A

Origine exogène (10%) :
Acides nucléiques de l’alimentation –> dégradés en nucléotides par nucléases –> dégradés en nucléosides par les nucléotidases –> dégradés en bases puriques par les nucléosidases

Origine endogène (90%) :

  • Dégradation des acides nucléiques endogènes lors de la lyse cellulaire ou du renouvellement cellulaire
  • Purinosynthèse de novo au niv du foie à partir de C02 et de certains AA
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6
Q

Modalités du métabolisme de l’acide urique

A

IMP : plaque tournante du métabolise de l’acide urique à l’origine soit de la synthèse de l’AMP et du GMP qui entrent soit dans la synthèse d’acide nucléique soit dans la production direct d’acide urique

Régulation : surtout au niveau des premières étapes de la purinosynthèse

Substrats limitants : PRPP et L-glutamine

Rétrocontrôle négatif exercé par le taux de nucléotide sur le PRPP synthétase et l’amidotransférase

L’acide urique est dégradé en allantoïne chez certaines espèces animales possédant une uricase.

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7
Q

Voie d’élimination de l’acide urique

A

Elimination rénale : 4 mécanismes

  • Filtration glomérulaire
  • Réabsorption tubulaire : par le transporteur URAT1 du pole apical des cellules du TCP. Couplée à l’élimination d’un autre anion par un co-transporteur Na+ - anion
  • Sécrétion tubulaire
  • Réabsorption post sécrétoire

Uricolyse : 20-25% de l’acide urique est déversé dans l’intestin par les sécrétions digestives. Les bactéries intestinales qui comportent l’uricase dégradent l’acide urique en allantoïne éliminée dans les fécès.

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8
Q

Part de l’acide urique filtré retrouvé dans les urines

A

10%

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9
Q

Au début de grossesse : évolution de l’uricémie

A

Baisse de l’uricémie due à l’hémodilution et une augmentation de la clairance rénale

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10
Q

Au troisième trimestre : évolution de l’uricémie

A

Remontée de l’uricémie due à une augmentation de la réabsorption tubulaire et de la production d’acide urique par le foetus

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11
Q

Souffrance foetale à partir de quelle valeur d’uricémie ?

A

> 300 micromol/L

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12
Q

Mort foetale à partir de quelle valeur d’uricémie ?

A

> 600 micromol/L

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13
Q

Voie d’élimination de l’acide urique

A

Elimination rénale : 4 mécanismes

  • Filtration glomérulaire
  • Réabsorption tubulaire : par le transporteur URAT1 du pole apical des cellules du TCP. Couplée à l’élimination d’un autre anion par un co-transporteur Na+ - anion
  • Sécrétion tubulaire
  • Réabsorption post sécrétoire

Uricolyse : 20-25% de l’acide urique est déversé dans l’intestin par les sécrétions digestives. Les bactéries intestinales qui comportent l’uricase dégradent l’acide urique en allantoïne éliminée dans les fécès.

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14
Q

Origine du défaut d’élimination urinaire de l’acide urique

A

Origine primitive :

  • Idiopathique
  • Troubles héréditaires portant sur l’excrétion urinaire de l’acide urique (néphropathies hyperuricémiantes familiales)

Origine secondaire :

  • Médicaments :
    Diurétiques thiazidiques, de l’anse (furosémide) : cause la plus fréquente –> hypovolémie et DEC
    Salicylés à faible dose : diminution de la sécrétion tubulaire. A forte dose ils sont hypouricémiants car favorisent l’excrétion urinaire de l’acide urique
    IS (ciclosporine) : baisse clairance rénale de l’acide urique
  • IRC –> baisse filtration glomérulaire
  • Pathologies chroniques
    DEC, hyperinsulinisme, acidocétose, hyperlactacidémies, hypothyroïdie, sarcoïdose, obésité, hyperparathyroïdie, saturnisme, alcoolisme aigu
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15
Q

Au début de grossesse : évolution de l’uricémie

A

Baisse de l’uricémie due à l’hémodilution et une augmentation de la clairance rénale

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16
Q

Au troisième trimestre : évolution de l’uricémie

A

Remontée de l’uricémie due à une augmentation de la réabsorption tubulaire et de la production d’acide urique par le foetus

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17
Q

Souffrance foetale à partir de quelle valeur d’uricémie ?

A

> 300 micromol/L

18
Q

Mort foetale à partir de quelle valeur d’uricémie ?

A

> 600 micromol/L

19
Q

Défaut d’élimination urinaire de l’acide urique (75-90% des hyperuricémies) : valeur et mécanisme d’action

A

Valeur : Uraturie normale ou < 2.4mmol/L
Patient hyposécréteur

Mécanisme :
Baisse de la filtration glomérulaire
Augmentation de la réabsorption tubulaire
Baisse de la sécrétion tubulaire

20
Q

Origine du défaut d’élimination urinaire de l’acide urique

A

Origine primitive :

  • Idiopathique
  • Troubles héréditaires portant sur l’excrétion urinaire de l’acide urique (néphropathies hyperuricémiantes familiales)

Origine secondaire :

  • Médicaments :
    Diurétiques thiazidiques, de l’anse (furosémide) : cause la plus fréquente –> hypovolémie et DEC
    Salicylés à faible dose : diminution de la sécrétion tubulaire. A forte dose ils sont hypouricémiants car favorisent l’excrétion urinaire de l’acide urique
    IS (ciclosporine) : baisse clairance rénale de l’acide urique
  • IRC –> baisse filtration glomérulaire
  • Pathologies chroniques
21
Q

Goutte chronique, signes cliniques

A

Signes cliniques Articulaires (au bout de 10-20ans) :

Arthropathies chroniques uratiques : poussées & rémission. Raideurs, douleurs à la mobilisation, tuméfactions –> invalidité du patient si pas de ttt
Radio : encoches épiphysaires, images lacunaires de grande taille

Tophus : nodules uratiques chroniques au niveau sous-cutané juxta-articulaire (coude doigts, pied…) -> visibles à l’oeil nu, couleur chamois, durs, indolores

Signes cliniques Rénaux

Lithiase rénale : précipitation d’acide urique dans les voies urinaires car hyperuraturie, hyperacidité
Colique néphrétique chez les sujets hypersécréteurs. Svt associée à un Sd métabolique -> exploration par un bilan lipidique et glycémique

Nephropathie goutteuse : précipitation d’acide urique dans le parenchyme rénal
Rare. Que pour goutte sévère et négligées
Peut entrainer une IRC aggravée par les AINS
- néphropathie glomérulaire : précipitation des cristaux dans le glomérule + hématurie, cylindres hématiques et protéinurie
- néphropathie interstitielle chronique : avec protéinurie, leucocyturie, absence d’hématurie et HTA

+ résistance à l’insuline et complications CV

22
Q

Origine de la Production excessive d’acide urique

A

Origine primitive :

Elimination excessive des purines en acide urique (rare) : Hommes +++, –> lésions neurologiques –> mort

Origine idiopathique (la + fréquente) : goutte primitive commune avec une origine métabolique indéterminée. Déficit total ou partiel de la HGRT faisant partie du métabolisme de l’acide urique.
Excès d’apport alimentaire associé
Hyperuricémie modérée < 700 micromol/L

Origine secondaire

Apport alimentaire excessif

Renouvellement et lyse cellulaire importante : cancers, psoriasis, anémie hémolytique chronique, Sd myélo et lymphoprolifératifs

Médicaments : warfarine, acide nicotinique, chimiothérapie

Troubles du métabolisme glucidiqur : déficit G6P, Fructose 1-P-aldolase

23
Q

Goutte : définition, épidémio, terrain typique

A

Définition :

Arthropathie
Evolue en poussées
Sensible aux ttt hypouricémiants
Précipitation de cristaux d’urate de sodium dans : articulations en 1er, rein et tissus sous-cutanés à long terme

Epidémio

Touche 1% des H dans pays industrialisés
Pic entre 50 et 60ans
Forte prédisposition familiale (30%)

Terrain typique

Surpoids –> alimentation trop calorique et riche en protéines animales
+++ boissons alcoolisées

24
Q

Physiopathologie goutte

A

Infiltration de cristaux d’urate dans la cavité synoviale

Cristaux se recouvrent d’IgG –> complexe Ag-Ac active la voie classique du complément alors que les cristaux seul activent la voie alterne du complément

IgG et C3 : provoquent l’oponisation des cristaux –> activation de la cascade complémentaire –> production de C3a et C5a (anaphylatoxines vasodilatatrices) et complexe C567 qui est chimiotactique pour les polynucléaires

Cristaux activent le facteur Hageman :

  • -> formation fibrine (chimiotactique)
  • -> production kinines (propriétés algogènes et vasodilatatrices)

Puis production de cytokines (TNF lapha, INF1, 6, 8) -> attirent les polynucléaires par chimiotactisme -> activent les polynucléaires

Cela entraine :

  • phagocytose des cristaux par cellules de l’immunité innée
  • libération des enzymes lysosomales par les polynucléaires dans la cavité synoviale –> production de radicaux libres, Pg, leucotriènes B4 -> amplification processus inflammatoire
25
Accès aigu de la goutte influencé par ...?
Un excès alimentaire ou alcoolique Maladie intercurrente : sepsis, arthrite, chirurgie, déshydratation, traumatisme Introduction à un nouveau médicament : hyperuricémiant, allopurinol
26
Accès aigu de la goutte, signes cliniques
Monoarthrite inflammatoire du gros orteil (T° la plus basse du corps, favorisant la formation des microcristaux d'urate) Débute au niveau des membres inf : localisation métatarso-phalangienne, cheville, puis genoux Prodromes : Signes locaux : gêne, crampes muculaires Signes généraux : nervosité, insomnie, TD, fièvre, malaises Phase de début : Douleur pulsatile, intense, brutale, nocturne (cytokines relarguées la nuit) Sd inflammatoire local Reveils nocturnes ``` Phase d'état : Douleurs atroces exacerbées à la moindre tentative de manipulation : articulation douloureuse, impotente, raide, rouge, gonflée, chaude, avec synovite et épanchement articulaire Fièvre 38°C Insomnie possible Malaise général ```
27
Goutte chronique, signes cliniques
Articulaires (au bout de 10-20ans) : Arthropathies chroniques uratiques Tophus Lithiase rénale
28
Accès aigu de la goutte influencé par ...?
Un excès alimentaire ou alcoolique Maladie intercurrente : sepsis, arthrite, chirurgie, déshydratation, traumatisme Introduction à un nouveau médicament : hyperuricémiant, allopurinol
29
Accès aigu de la goutte, signes cliniques
Monoarthrite inflammatoire du gros orteil (T° la plus basse du corps, favorisant la formation des microcristaux d'urate) Débute au niveau des membres inf : localisation métatarso-phalangienne, cheville, puis genoux Prodromes : Signes locaux : gêne, crampes muculaires Signes généraux : nervosité, insomnie, TD, fièvre, malaises Phase de début : Douleur pulsatile, intense, brutale, nocturne (cytokines relarguées la nuit) Sd inflammatoire local Reveils nocturnes ``` Phase d'état : Douleurs atroces exacerbées à la moindre tentative de manipulation : articulation douloureuse, impotente, raide, rouge, gonflée, chaude, avec synovite et épanchement articulaire Fièvre 38°C Insomnie possible Malaise général ```
30
Goutte chronique, signes cliniques
Signes cliniques Articulaires (au bout de 10-20ans) : Arthropathies chroniques uratiques : poussées & rémission. Raideurs, douleurs à la mobilisation, tuméfactions --> invalidité du patient si pas de ttt Radio : encoches épiphysaires, images lacunaires de grande taille Tophus : nodules uratiques chroniques au niveau sous-cutané juxta-articulaire (coude doigts, pied...) -> visibles à l'oeil nu, couleur chamois, durs, indolores Signes cliniques Rénaux Lithiase rénale : précipitation d'acide urique dans les voies urinaires car hyperuraturie, hyperacidité Colique néphrétique chez les sujets hypersécréteurs. Svt associée à un Sd métabolique -> exploration par un bilan lipidique et glycémique Néphropathie goutteuse : précipitation d'acide urique dans le parenchyme rénal Rare. Que pour goutte sévère et négligées Peut entrainer une IRC aggravée par les AINS - néphropathie glomérulaire : précipitation des cristaux dans le glomérule + hématurie, cylindres hématiques et protéinurie - néphropathie interstitielle chronique : avec protéinurie, leucocyturie, absence d'hématurie et HTA + résistance à l'insuline et complications CV
31
Diagnostic biologique goutte
Uricémie : Normale chez 30% des patients (--> dosage à refaire à distance de la crise) Uricémie > 416micromol/L chez l'H --> hyperuricémie Uricémie > 357micromol/L chez la F --> hyperuricémie Mais il faut association à des symptomes typiques pour être en préssence d'une crise de goutte Sd inflammatoire non spécifique : Hyperleucocytose, VS et CRP augmentés Ponction articulaire : Permet diagnostic de certitude due à la présence de microcristaux d'urate de sodium monohydratés dans le liquide synovial inflammatoire et stérile Uraturie des 24h : Intérêt diagnostique et thérapeutique : permet de savoir si le patient est hyper ou hyposécréteur Détermination de la protéinurie + ECBU : Permet évaluation de la fonction rénale Détermination du pH urinaire : Pour la surveillance de l'alcalinisation des urines
32
CI des uricosuriques quand uraturie > ?
Uraturie > 700mg/24h
33
Diagnostic paraclinique goutte
Radiographie de l'articulation impliquée : Bilatérale et comparative, normale ou signes d'arthropathies chroniques Test diagnostic de sédation de la crise --> sédation en moins de 48h après la prescription de colchicine
34
Les 3 critères pour confirmer le diagnostic
Critères de ROME Critères de NEW YORK Critères (préliminaires) de l'ACR
35
Critères de ROME : 2 nécessaires parmi ...
Uricémie > 70mg/L Tophus Cristaux d'urate dans le liquide synovial ATCD de fluxion des articulations brèves
36
Critères de ROME : 2 nécessaires parmi ...
Au moins 2 accès de monoarthrite d'un membre Au moins 2 accès de monoarthrite du gros orteil Tophus Colchicinosensibilité
37
Critères (préliminaires) de l'ACR :
``` Présence de cristaux d'urate dans le liquide synovial et/ou Un tophus fait de cristaux d'urate prouvés et/ou Présence de 6/12 items cliniques/biologiques/radiologiques parmi : - Inflammation maximale à J1 - Plusieurs attaques d'arthrite - Présentation monoarticulaire - Rougeur - Douleur ou gonflement 1ère MTP - Monoarthrite 1ère MTP - Monoarthrite d'un tarse - Suspicion de tophus - Hyperuricémie - Gonflement asymétrique - Géodes sous-chondrales, sans érosion - Culture bactériologique négative ```
38
Diagnostic différentiel de la goutte
Arthrite septique : fièvre, frissons en faveur. Conirmé par culture du liquide synovial (liquide inflammatoire trouble) Arthrite microcristalline : - Chondrocalcinose : dépôt dans les tissus articulaires de microcristaux calciques de type pyrophosphate dihydraté + négativité des examens bactériologiques systématiques. Mise en évidence dans le liquide synovial de cristaux de PPCD et par radiographie de dépôts dans les cartilages articulaires - Rhumatisme apatique : dépôt de cristaux d'apatite dans les tendons et bourses séreuses. Peut être asympto. Découverte radiologique Rhumatismes inflammatoires : - Sd de Fiessinger Leroy Reiter - PAR - Arthrites réactionnelles - Sarcoïdose - Spondylarthropathies - Arthrite du psoriasis
39
TTT crise de goutte
A initier le plus tôt possible - Colchicine + Opium 1ère intention : poison du fuseau et anti-mitotique donc inhibe la mobilité et l'activité des PLL donc effet AI + inhibe aussi la production des sélectines. Associée à l'opium car ses principaux EI sont les TD. - AINS VO: Ibuprofène, diclofénac, kétoprofène - Prednisolone VO : dernière intention si échec ou CI colchicine et AINS Possible d'associer AINS et Colchicine Ne pas associer l'aspirine : interfère avec l'élimination urinaire de l'acide urique.
40
TTT de fond : hyperuricémie chronique et prévention de la récidive des accès goutteux
TTT à vie. Si accès goutteux récidivant (au moins 2fois par ans) et /ou si présence de complications liées à la goutte Si absence d'ATCD d'accès goutteux ou de complications : que RHD et TTT des comorbidités TTT méd + RHD dans CRAM
41
Allopurinol VO | Febuxostat VO
Inhibiteurs de l'uricosynthèse : inhibiteurs sélectifs et puissants de la xanthine oxydase Ne doit pas être instauré avant la guérison complète de la crise de goutte. Associé pdt 3 à 6 mois à la colchicine pour éviter la resurvenue d'accès goutteux due à la mobilisation des cristaux d'acide urique libérés par le ttt de fond
42
Probénécide VO
Uricosurique : inhibiteurs de la réabsorption tubulaire des urates par action enzymatique réversible Pour patient ne présentant ni IR, ni lithiase, ni hyperuraturie CI : si uraturie > 700 mg/24h Association possible avec les inhibiteurs de l'uricosynthèse