histo 3 MC Flashcards
Il n’y a PAS de plaque motrice dans le myocarde et PAS de cellules satéllites
VRAI il l’a dit trois fois (ducoup les MC n’est pas régénérable car ya pas de cellules satélite et les cellules cardiaques sontt sortie du cycle cellulaire)
stries scalariformes.
ou disque intercalaires
En microscopie optique, la strie scalariforme apparait comme une ligne épaisse, alors qu’en microscopie électronique elle présente l’aspect d’un escalier
Jonctions puissantes entre les cardiomyocytes résistent aux forces engendrées.
double fonction :
- « nez de la marche » : situé au niveau des disques Z et dans la continuité des myofibrilles, il transmet la force : structure très riche en desmosomes !
- « marche » : trop courte pour transmettre efficacement la force, elle permet la transmission des PA d’un cardiomyocyte à l’autre via des gap-jonctions.
cardiomyocyte contractile (6)
Les fibres sont de type oxydative lente,
infatigable.
- Aspect strié
- Forme : cylindre bifurqué : forme de « X ou de Y ».
- Lame basale autour de la fibre
- Noyau unique, central
- Nombreux organites autour du noyau
- Le sarcoplasme est en position centrale
diades
Les diades sont localisées au niveau des disques Z (et non au niveau des jonctions A – I) : dans le myocarde, la vitesse de contraction est moins importante que le rythme.
Organisation du muscle cardiaque
- Les FMC sont logées dans un endomysium, très richement vascularisé
- Elles sont organisées en 3 couches séparées par l’équivalent du périmysium :
- externe : « filets » communs aux 2 ventricules
- moyenne : propres à chaque ventricule : « fibres arciformes »
- profonde : à l’origine des trabécules, muscles papillaires et septum interventriculaire, issues de l’extrémité des 2 autres.
cellule myoendocrine (7)
- Petites cellules fusiformes
- Sarcoplasme développé avec un compartiment endomembranaire sécréteur
- MYOPLASME RUDIMENTAIRE
- PAS de tubules T
- Localisée dans l’oreillette droite, où se déverse le sang des veines caves
A LA CONFLUENCE DES 2 VEINES CAVES - Production endocrine du peptide atrial natriurétique (PAN) : hormone peptidique sécrétée en cas de distension de l’oreillette, sous l’effet d’une trop forte pression sanguine. Dans ce cas, l’hormone est libérée et agit au niveau rénal : le sodium et beaucoup d’eau sont éliminés dans les urines (lien iso-osmotique de l’eau et du sodium). Le volume sanguin diminue (perte d’eau) ce qui diminue la pression sanguine.
les cellules myoendicrines évitent au muscle cardiaque de dépasser ses capacités de puissance (et ainsi de s’épuiser : infarctus).
cellules cardionectrice
Responsables, de l’automatisme cardiaque, ces fibres sont caractérisées par un potentiel de repos membranaire instable : dès que la dépolarisation dépasse la valeur du potentiel d’activation des VOC, il y a création d’un PA.
Un tissu conjonctif dense sépare les colonnes de cellules contractiles de la partie cardionectrice. La partie cardionectrice s’étend à l’interface endocarde/myocarde.
Elles sont isolées des cellules contractiles, sauf au niveau de certaines zones ce qui permet de leur transmettre le potentiel d’action (qui entraine leur contraction)
Au niveau des nœuds, les cellules sont petites, fusiformes, avec un myoplasme
rudimentaire.
Au niveau du faisceau de Hiss et surtout du réseau de Purkinje, leur morphologie
se rapproche progressivement de celle des cardiomyocytes contractiles, sans myoplasme.
Les stries scalariformes apparaissent à la jonction cellules de Purkinje cardiomyocytes contractiles
effet du snc sur le myocarde
Le système nerveux autonome (SNA) ne provoque pas les contractions, mais peut moduler le rythme sinusal (les seules afférences nerveuses qui parviennent au tissu myocardique sont dans le nœud sinusal).
deux étapes du tissu nodal
Responsables, de l’automatisme cardiaque, ces fibres sont caractérisées par un potentiel de repos membranaire instable : dès que la dépolarisation dépasse la valeur du potentiel d’activation des VOC, il y a création d’un PA. Isolées électriquement des cardiomyocytes, sauf au niveau de régions spécifiques.
Etage supra-ventriculaire : elles forment les nœuds :
- Nœud sinusal, anciennement nœud de Keith et Flack (au niveau de la jonction entre la veine cave supérieure
et l’oreillette droite): il transmet le potentiel d’action aux cellules auriculaires (de l’oreillette) via des GAP
junctions - Nœud atrio-ventriculaire ou auriculo-ventriculaire (anciennement Aschoff Tawara) : Le potentiel est
transmis ensuite à ce nœud qui le transmet au faisceau de His.
Etage ventriculaire :
- Faisceau de His : il finit par se diviser en deux branches en lien avec le réseau de Purkinje.
- Réseau de Purkinje : il est au contact des cardiomyocytes ventriculaires qu’il stimule pour les contracter
evolution morpho cellules endomyocrines
Au niveau des nœuds, les cellules sont petites, fusiformes, avec un myoplasme
rudimentaire. Au niveau du faisceau de Hiss et surtout du réseau de Purkinje, leur morphologie se rapproche progressivement de celle des cardiomyocytes contractiles, sans myoplasme.
Les cardiomyocytes peuvent être fusiformes ou bifurqués.
oui