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développement de l'enfant > cours8 examen final > Flashcards

cours8 examen final Flashcards

1
Q

la compréhension de soi et le dev affectif

quelle est la def de la conscience de soi et la conscience de soi influence quoi

A

ce qui définit qui je suis, un ensemble d’habiletés, d’attributs, d’attitudes, de valeurs (une représentation mentale du “moi”)

la conscience de soi influence le dev. socio-affectif

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2
Q

concept de soi

au préscolaire, les enfants se décrivent par quels éléments (4) et à 4 ans, à 5 ans

A

PAR DES CARACTÉRISTIQUES OBSERVABLES
- noms,apparence
- possessions
- comportements
- émotions et attitudes habituelles (dès 3 ans 1/2)

à 4 ans : les enfants comprennent le sens des traits (ex : il sait que qqch qui tir sur la queue d’un chien est méchant et il se dit qu’un enfant qui est gentils partagera ses jouets)

dès 5 ans : l’évaluation des enfants sur eux-mêmes correspond à celle de leurs mères (enfant parle d’eux memes de la mm facon que les parents nous decrivent (parle de nous))

c’est le début des caractéristiques psycho MAIS ne parle pas encore de ses traits de perso (lui a pris mes jouets = mechants, mais enfant ne dira pas moi je suis gentils, je suis gêné)

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3
Q

concept de soi

qu’est-ce qui contribue au dev. positif du concept de soi? (2)

A
  1. avoir un attachement sécurisant (c-a-d se décrire positivement à 5 ans)
  2. avoir conversation parents-enfants ÉLABORATIVES
    - parler des causes et conséquences des états internes (émotions, pensées)
    - évoquer quand enfant à réussi à se remettre d’une emotion douloureuse
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4
Q

concept de soi

dès 2 ans, que font les parents lors de conversations et quest ce que cela permet

A

ILS DONNENT DES INFOS
1. à propos des règles, attentes, évaluation de l’enfant
2. et les récits évaluatifs vont imprégner le concept de soi de l’enfant par les valeurs culturelles

cela permet un concept de soi qui persite dans le temps vers 4 ans MAIS à 5 ans ils comprennent que leurs préférences futures vont différer de celles du présent (je vais prob aimer boire du cafe et non du jus de fruits)

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5
Q

explique l’étude des variations culturelles des récits et le concept de soi (famille chinoise et famille irish/americaine)

A

famille chinoise : 5 fois + de récits sur les méfaits et leur impact
famille américaine : minimise méfaits, les attribuant à l’assurance de l’enfant
DONC aspirations diff = obligation sociale vs estime de soi

concept de soi qui émerge diff
- enfants chinois : accent sur appartenance et devoir (j’appartiens à la famille Lee, j’aime faire la vaisselle avce ma mère)
- enfant US : descriptions personnelles (jaime le hockey)

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6
Q

quelle est la def de l’estime de soi et si estime de soi haute, ca fait quoi

A

jugements que l’on porte sur notre propre valeur, et les sentiments liés à ces jugements.
si estime de soi haute = contibue aux initiatives

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7
Q

à l’âge préscolaire, comment les enfants se désignent (estime de soi) (2)

A
  1. par évaluations spécifiques (diff activités) et NON globale (ex : je suis bon au ballon)
  2. enfants distinguent mal les compétences réelles vs désirée (SE SURESTIME!) (pas de diff entre soi actuel et soi idéal)
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8
Q

que doivent faire les parents pour que lenfant developpe une estime de soi stable

A

donner attentes réalistes, scaffolding, encouragement (il est motivé) vs de la critique (il est abattu, honteux)

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9
Q

dev affectif

la compétence émotive regroupe plusieurs habiletés, lesquelles (4) et par quoi est-elle influencer

A

1) La compréhension des émotions
2) L’auto-régulation des émotions
3) Émotions reliées à la conscience de soi
4) Empathie
Le parentage influence la compétence émotive, qui elle, influence les relations avec les pairs et la santé mentale

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10
Q

dev cognitif

quest ce qui fait que la compréhension des émotions augmente(3), et les caractéristiques (5)

A

avec l’amélioration du langage, des représentations mentales, du concept de soi. la compréhension des émotions augmente

  1. Juge les causes des émotions dès 4-5 ans (surtout facteurs externes au début)
  2. Interprète émotion à partir du comportement (décode les signaux des autres, ex : si son ami est triste ou fâché)
  3. Réalise lien entre pensées et émotions
  4. Aide à soulager les autres (ex. câlin)
  5. Mais difficile d’interpréter quand signes
    contradictoires (choisit, focalise sur 1 aspect) (ex : croit faché, mais content, (à cause des bras croisés))
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11
Q

comment les parents peuvent aider la compréhension des émotions (4) et faire ca est associé à quoi chez lenfant (4)

A
  • discussions élaboratives, attachement sécurisant
  • nomme, explique (scaffolding)
  • reconnaît émotions de l’enfant
  • compromis, négotiation lors des conflits

associé à prosocialité, communique emotion à amis/fratrie, associé à relation positive et être aprécier

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12
Q

comment aider l’auto-régulation émotive (4)

A
  1. langage aide bcp
  2. limiter les stimuli sensoriels
  3. se parler, se réconforter
  4. changer de but
    == explosions diminuent
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13
Q

dans l’auto-régulaiton émotive, quest ce que le controle volontaire et quest ce que sa prédit (2)

A

le fait de se controler, ca prédit la coopération, et démontre la capacité de lenfant à porter un «masque émotif»
dans certaines cultures, le masque emotif est + encouragé (pour promouvoir bonnes relations sociales)

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14
Q

chez quels enfants l’auto-régulation est-elle + difficile

A

enfant avec tempérament difficile pcq l’inhibtion et la distraction est ++ difficile = cause anxiété, irritation donc défi de bine s’entendre avec les autres

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15
Q

comment le parent peut aider son enfant avec tempérament difficile et quel est le risque

A

si le parent lui-même gère bien ses emotions et lui donne des suggestions/explications sur des stratégies d’auto-régulation

risque si parents expriments peu d’émotions, nient emotions enfants, gèrent mal leur propre colère = enfant tempérament difficile sont cibles de parentage inefficace (CERCLE VICIEUX)

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16
Q

lors du dev du concept de soi, que est ce que les parents ne doivent pas faire

A

ne doivent pas exagérer les critiques et les éloges pcq on veut ques l’estime de soi soit stable et non en roller coaster

aussi si jugements fréquents, emotions trop intenses pour enfant donc il faut focaliser sur ce qui peut être amélioré, décrire, informer et non juger la valeur de l’enfant (ne pas dire tes un champion, mais wow tu etais tlm concentré quand tu lancais le ballon)

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17
Q

quelle semotions reliés au concept de soi dépend encore des autres (dans le moment où il faut en ressentir)

A

la fierté et la culpabilité

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18
Q

quelle est la différence entre honte et culpabilité

A

culpabilité : quand on se sent mal par rapport à qqchc qu’on a fait ou pas fait (un niveau adequat de culpabilité bien pour ajustement social)
honte : on se reproche nous en tant qu’individu (pas qqch qu’on a fait, juste nous) = mauvais pour enfant pcq cause dépression et agression

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19
Q

comment les enfants montre de l’empathie

A

dhabitude par les mots

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20
Q

quelle sont les 2 types d’empathie et comment le parentage induit empathie chez enfant ou non

A

empathie cognitive : comprendre emotion de l’autre, mène à l’atruisme (tenter de consoler)
empathie emotive : ressentir avec -» risque détresse perosnnelle (ne cherche pas à apaiser l’autre)

Parentage: Attachement sécurisant, sensibilité, modèle souci de l’autre vs style colérique, insensible et punitif

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21
Q

relations avec les pairs

comment les relations avec les pairs se passent

A

occasion unique d’apprendre et les habieltés sociales progressent rapidement

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22
Q

selon Parten, la sociabilité se divise en 4 types de jeux (évolution)

A

1) Jeu solitaire
2) Jeu parallèle (près un de l’autre) (jeu solitaire mais a coté dun ami)
3) Jeu associatif (activités séparées, mais échanges)
et Jeu coopératif (but commun)

Apparaissent dans cet ordre, mais co-existent

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23
Q

selon Parten, la sociabilité se divise en 4 types de jeux (évolution)

A

1) Jeu solitaire
2) Jeu parallèle (près un de l’autre) (jeu solitaire mais a coté dun ami)
3) Jeu associatif (activités séparées, mais échanges)
et Jeu coopératif (but commun)

Apparaissent dans cet ordre, mais co-existent

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24
Q

dhabitude, les enfants jouent quel type de jeu en back and forth et comment évolue le jeu

A

jeu parallèle (utilisé pour se joindre aux autres) et jeu solitaire (pour se reposer)

la qualité du jeu evolue (et non la quantité) et pour chaque type de jeu la maturité cognitive évolue

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25
Q

montre la maturité de chaque jeu et quand faut-il s’inquiéter

A

on s’inquiète si jeu immature, répétitif, sans but

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26
Q

comment est la sociabilité chez les enfants inhibés/anxiété sociale et comment le parent peut aider

A

ils observent longuement avant de s’engager
le parent peut encourager patiemment à aller vers le autres enfants vs suprotéger, cirtiquer, controle excessif de jeu

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27
Q

comment les enfants impulsifs jouent

A

ils font jeu solitaire répétitif

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28
Q

si un enfant préfère jouer seul = mauvais?

A

NON, pas nécessairement , il faut distinguer les enfants impulsifs/anxieux de ceux qui préfèrent jouer seuls (cest positifs et constructif)

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29
Q

quest ce que le jeu apprend aux enfants et la difference fille/gars

A

lorsqu’ils jouent, les enfants comprennent les emotions et arrive à controler leur emotions aussi
ex :
- jeu sociodramatique (filles > gars)
- jeux de bagarre (gars > files)

dans les deux types de jeux, les enfants leur demande de pratiquer le controle de soi et de repondre au emotions nonverbales et verbales des amis

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30
Q

quelles sont les variations culturelles dans la vision du jeu

A

dependament des pays, lenfant est + en groupe ou + autonome, ce qui fait que la sociabilité se manifeste diff

  • si jeu percu par parents comme divertissement = moins encouragement à le faire-semblant (vs ceux qui voit des bénéfices)
  • Jeux de rôle moins encouragé dans villages et tribus, jeu reflète qq scripts quotidiens c. jeu plus inventif
    mais dév. social est aussi bon…
    Hypothèse: Imagination moins importante quand les enfants participent déjà dans le monde des adultes?
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31
Q

comment un enfant voit son premier ami

A
  • Quelqu’un qui t’aime bien, qui joue avec toi, et partage ses jouets MAIS Changent fréquemment
  • Les enfants sont plus encourageants et expressifs émotionnellement envers amis
  • Amis à la maternelle: contribue à l’ajustement social et académique (base sécurisante?)

Qui est meilleur ami? Un an plus tard, 40% ont rementionné le/la même.

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32
Q

quels sont les pré-requis sociaux pour l’école

A

être accepté, se faire des amis -» meilleure participation = meilleurs apprentissages/performance

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33
Q

de quoi dépend les pré-requis sociaux (4)

A
  • Tempérament
  • Qualité parentage
  • Qualité des expériences en classe
  • Éducatrices (pré-scolaire): Chaleur et sensibilié = IMPORTANT
    1. surtout pour enfants au temp. difficile
    2. prédit compétence sociale des enfants, même à la maternelle
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34
Q

quest ce le conflit chez les enfants

A

une occasion d’apprendre
et entre amis = + de désaccords, mais aussi ++ de résolutions.

35
Q

quest ce que la résolution de problème social

A

générer et mettre en pratique stratégies pour résoudre problème et que les deux partis soient satisfaits

36
Q

explique l’évolution de la résolution de problème social (2)

A
  • De 2 à 4 ans, augmentation des émotions positives et des comportement pro-sociaux lors des négociations
  • Persuasion, compromis, stratégies alternatives dès 5 à 7 ans
37
Q

explique la résolution de problèmes sociaux selon Crick et Dodge (6) et les caractéristiques (2)

A
  • grand impact sur la relations avec les pairs
  • cest bien pcq si enfant difficulté avec une etape, possibilité d’apprendre
38
Q

quel est un exemple d’intervention Promoting alternative thinking strategie (PATH) (4) et impact sur quoi (4)

A

Apprendre à…
- comprendre les émotions d’autrui
- planifier actions
- générer stratégies efficaces
- anticiper conséquences
+ activités pour pratiquer; mentorat pour éducateurs
Effets sur coopération, compréhension des émotions, solutions, communication

39
Q

comment l’influence parentale a un impact sur les relations avec les pairs (2, 1-3, 2-3)

A

Directe
- Organise des activités formelles entre pairs
- Modèle: initier contact, bon hôte
- Conseils: comment agir avec autrui

indirecte :

  • Attachement sécurisant
  • Communication sensible et riche émotivement
  • Jouer, même niveau : Jeu de même sexe lié plus fortement aux compétence sociales (jouer avec l’enfant)
40
Q

dev moral

comment émerge le sens moral et quel age (4)

A

Distinguer le bien du mal, accommoder besoins autres

Signes chez les petits
- 3 mois «préfèrent» personnage gentil !
- 1½ an, s’attend à partage juste
- 2 ans, langage: juge propre comportement,
celui des autres
- Début de la moralité à l’âge préscolaire
1. contrôle externe (adultes),
2. puis standards, principes internes

41
Q

quelles sont les 3 théories qui parle d’un aspect du dev moral

A
  • Psychanalytique: aspect émotif
  • Apprentissage social: comment apprend
  • Cognitivo-développementale: raisonnement
42
Q

que dit l’approche psychanalytique sur le dev moral et quest ce quest la vérité (5)

A

la conscience se forme en s’identifiant au parent du mm sexe
selon freud
1. dev moral complété vers 5-6ans (FAUX)
- et lenfant obéit au surmoi afin d’éviter culpabilité
2. enfant motivé par peur de la punition ou de perdre l’amour parental (FAUX)

vérité :
- lenfant obéit au surmoi afin d’éviter culpabilité
- En fait, si amour est conditionnel : associé à de la culpabilité excessive, risque d’être niée (diminue conscience)
- La punition et la menace : associés à un moins bon développement moral chez l’enfant (plus de méfaits, moins de culpabilité suite aux transgressions)

43
Q

quest ce qui facilite le dev moral et explique comment et cest associé à quoi (4)

A

la discipline inductive
- souligner l’impact du geste posé sur l’autre
- faire remarquer la détresse de l’autre
- clarifier que c’est lui qui en est la cause
- expliquer (ajuster niveau difficulté) avec chaleur
- insister

Efficace dès 2 ans
Associé à - de méfaits; + de confessions, + réparations et + prosocialité

44
Q

quest ce que le pouvoir de la discipline inductive(1) et comment (4)

A

Pcq motive enfants à se conformer aux principes moraux et comment ?
- En expliquant comment se conduire, info qui peut être utilisée dans le futur
- En mettant l’accent sur l’impact du geste, encourage l’empathie et les comportements prosociaux
- Offrir des raisons avec requête: peut suivre consigne parce que ça a du sens
- À la longue, enfants créent un script qui peut dissuader des futures transgressions.
c. puni et/ou rejeté: anxiété (un obstacle)

45
Q

quelles sont les contributions de l’enfant qui influence l’efficacité des pratiques parentales (2, 2-2)

A
  • enfant empathique : induction + efficace
  • temparement :
    1. enfant inhibé : stratégies douces suffisent
    2. enfant impulsifs : douces inefficaces (MAIS faut pas avoir recours au pouvoir) plutot miser sur relation positive, fermeté et induction
46
Q

quel est le rôle de la culpabilité (4)

A
  • Freud avait raison au sujet de la culpabilité comme motivation pour les gestes moraux
  • Associée à l’arrêt des méfaits, réparation, prosocialité
  • Induire la culpabilité basée sur l’empathie : influence l’enfant, sans être coercitif
  • il faut Aider enfant gérer sentiment de culpabilité:
    - l’orienter vers la rectification (réparation, amender)
47
Q

théorie de l’apprentissage social

que dit l’apprentissage social sur la culpabilité

A

elle n’est pas le seul déterminant du comportement moral,
il y a aussi du renforcement et du modelage (le comportmeent moral émerge chez l’enfant pcq il imite)

DONC le conditionnement opérant PAS suffisant,
1. enfant observe et imite (modelage)
2. puis est renforcé par son geste

48
Q

quelles sont les caractéristiques de bons modèles (3)

A
  • Chaleur et sensibilité
  • Compétence et pouvoir
  • Cohérence entre ce que adulte dit et fait

avoir eu des modèles prosociaux est lié à la prosocialité (gros impact en bas âge)

49
Q

le désir d’imiter chez lenfant est bien ou non?

A

BIEN pcq à 3 ans prédit comp. et émo. moraux

50
Q

quels sont les effets des punitions (3, 3-5)

A
  1. obéissance à court terme MAIS PAS intériorisation à long terme
  2. problèmeS de santé mentale (enfant, ados. adultes)
  3. effets secondaires indérisables
    - Modèle d’agression (l’adulte regle son prob avec violence donc modele pour enfant de comment regler probleme en general)
    - Entraîne colère, focalise sur propre détresse (≠ sur sa victime)
    - Apprend à éviter l’adulte qui punit
    - Renforcement pour l’adulte ! Pente glissante vers abus
    - Risque de transfert intergénérationnel

Facteurs risque qui augmente risque utiliser punitions : SSE faible, prob. santé mentale, moins éduqués, conflits conjugaux

51
Q

quel est l’âge où les punitions corporelles sont le + utilisés

A

3-5 ans

52
Q

quelles sont les alternatives à la punition (2, 2-3)

A
  1. time out/retrait (temps pour retrouver son calme autant parent que enfant)
  2. retrait de privilèges
    plus efficaces si
    - constance
    - contexte de relation chaleureuse
    - raisons, explications
53
Q

quelles sont les stratégies positives (7)

A
  • Voir une transgression comme occasion d’enseigner
  • Prévenir les occasions d’inconduites
  • Expliquer la raison derrière les règles
  • Inclure l’enfant dans les routines et tâches de la famille
  • Quand enfants obstinés, reconnaître leur émotion et suggérer compromis, résolution de problème
  • Encourager les comportements matures
  • Être sensible aux ressources physiques et émotives de l’enfant (faim? fatigue?)
54
Q

selon une etude, quelle sont les conséquences différentielles des punitions corporelles (conséquences(2) et pourquoi)(2)

A

Afro-américains (c. caucasiens)
- Comp. difficiles ne prédisent pas punition
- PAS relié aux probl. externalisés futurs
PCQ
- Approbation culturelle, contexte chaleureux
- le Sens est diff: «pour mon bien» (c. victime d’agression)

Impact pire si parent froid/rejetant; le fait même s’il désapprouve
MAIS
Discipline positive est beaucoup plus efficace

55
Q

dans la perspective cognitivo-developpementale, quoi dire sur le dev moral (3, 3-3)

A

enfants sont penseurs actifs DONC dès présco = posent jugement moraux basé sur concepts de justice, d’équité
- Tient compte de l’intention dès 3 ans
- Distingue mensonge de vérité dès 4 ans
- Distingue : Impératifs moraux (protéger droits, bien-être) MAIS PAS c. Conventions sociales (bonnes manières) OU c. Choix personnels (droits individuels)
DONC Violation morale = plus grave; même si pas vu, si pas de règle

MAIS
Raisonnement rigide par contre (ex. mentir toujours mal)

56
Q

comment les enfants font la différence entre impératifs moraux et conventions sociales

A

ca vient de leur expérience et de leur sens

57
Q

comment les expériences sociales favorise le sens moral (2) et comment les parents peuvent aider (3)

A
  • Conflits (possessions, droits) = occasions de former idées sur la justice et l’équité
  • Observent comment adultes gèrent offenses, discutent enjeux moraux

Parents:
1. adaptent niveau de langage
2. histoires avec morale
3. encouragent prosocialité

58
Q

quest ce que l’acquisition des stéréotypes de genre

A

Association (objets, activités, rôles, traits, etc.) à l’un ou l’autre des sexes (conforme aux stéréotypes culturels)

59
Q

quand apparait la catégorie du genre

A

une des premières catégories formées, avant mm d’étiqueter correctement propre sexe (vers 2 ans)

60
Q

lors que la catégorie de genre se crée que ce passe-t-il

A

comportement et activités y sont associés (hausse des compt. stéréotypés de 2 à 13 ans,NORMAL, mais pire si enfant +++ stéréotypé pendant présco

61
Q

quelles sont les croyances et comportements stéréotypés au présco (2) et quand est ce que les croyances deviennent fortes et rigides

A
  • Associent jouets, habits, outils, couleurs, etc.
  • Croyances se reflètent dans comportements et traits (préférences jeux, amis; actif/affirmatif c. sensible, obéissante)

Entre 3 et 4 ans: croyances deviennent fortes et rigides
≠ ok pour gars de porter vernis, pour fille de jouer camion
(ne réalisent pas que les caractéristiques associées au genre ne déterminent pas si un individu est M ou F)

62
Q

quelle sont les influences biologiques sur l’acquisition des stéréotypes de genre (2)

A
  1. perspective évolutionniste (cest une fonction adaptative)
    - Hommes: compétition partenaire (dominer)
    - Femmes: soins aux enfants (être sensible)

“Milieu social influence l’intensité, sans éradiquer ces différences d’origine génétiques”

  1. hormones
    - le fait davoir + d’androgènes (testostérone) prénatal
    -» chez animaux = jeu + actif, moins de soins
    -» filles : préférences + masculines
    - moins androgynes prénatal
    - » garcons = choix et compt. + féminins

lié à l’hérédité

63
Q

quelles sont les influences de la famille sur l’acquisition des stéréotypes de genre (5)

A
  • Perçoit bébé différemment, attentes
  • Qualités, habiletés «importantes»
  • Jouets offerts; Jouer (physique c. littéraire); Réactions
  • Type d’interactions (dirige? réfère émotions?)
  • Langage, référer aux rôles distincts
  • Pire pour garçons, pire chez les pères (critique +++ les garcons qui aiment activités stéréotypées féminines)
  • Mieux si parents agissent selon valeurs moins stéréotypées, chez parents même sexe, si fratrie de sexe opposé
64
Q

quelles sont les influences des enseignants sur l’acquisition des stéréotypes de genre (2)

A
  • Filles: davantage encouragées activités structurées
    (obéir, aider c. inventer, s’affirmer, mener) suit ++ le prof
  • Garçons: plus d’attention, d’éloges (pour académique), de désapprobations
    Attentes: «les garçons vont moins bien se conduire»
65
Q

quelles sont les influences des pairs de mm sexe sur l’acquisition des stéréotypes de genre (4)

A
  • Plus jeu avec même sexe, acquisition rôles accentuée
  • Complimenté; Critiqué ou ignoré si non (surtout gars)
  • Style d’influence diffère (force c. persuasion)
    Fille au style affirmatif : reçu avec agressivité
  • crée 2 «sous-cultures»
66
Q

quelles sont les influences de l’environnement social plus large sur l’acquisition des stéréotypes de genre (3)

A
  • Télé, matériel scolaire, jeux ordinateurs…
  • Émissions télé contiennent moins de stéréotypes reliés à la carrière, mais femmes sont encore jolies,victimisées, hommes dominants

Les stéréotypes liés au genre sont très présents dans les dessins animés et le jeux vidéos. Ces médias contribuent aux croyances quant aux rôles et comportements associés aux hommes et aux femmes.

67
Q

quest ce que l’identité de genre et les androgynes

A

image de soi relativement féminine ou masculine
on évalue l’identité de genre selon des traits traiditonnellement féminins ou masculins endossé par les gens.
ex ; affectueux = + feminin, ambitieux = + masculins

ceux qui score élevé aux deux types de caractérisques = androgyne == meilleure estime de soi et meilleure adaptation

68
Q

comment se dev l’identité de genre (2) et quest ce que la constance du genre

A
  • Théorie de l’apprentissage social:
    Acquiert compt. puis les organise en une image de soi
  • Théorie cognitivo-développementale:
    Acquiert constance du genre, qui guide compt.

Constance du genre
(permanence du genre, basée sur la biologie, non altérée par apparences, activités) savoir que le genre ne chnage pas pcq tas une coupe de cheveux, ou tu mets certains habits

69
Q

comment on acquière la constance du genre (3) et quel est l’impact de celle-ci

A

1) Identité du genre (étiqueter propre sexe, celui autrui)
2) Stabilité du genre (stable dans le temps)
3) Cohérence/continuité du genre (pas altéré par apparence, activité)

impact de la constance du genre sur l’idendité de genre = FAIBLE cest pluto à quel point on endosse les stéréotypes qui nous influence

70
Q

quest ce la théorie du genre

A

pour savoir comment pressions sociales et cognition de lenfant affectent les rôles sexuels.
1. tôt, enfants remarquent préférences stéréotypées, les organise en schémas du genre (M ou F) et interprête son monde par ses schémas
2. des qu’on identifie son propre sexe ; selectionne les schémas qui y correspondent et on les applique à soi-même MAIS DIFFÉRENCES INDIVIDUELLE (à quel point le genre est saillant diff chez chaque enfant)

71
Q

explique les différences individuelles de l’utilisaiton du schéma du genre

A

Utiliser schéma du genre : filtre pour traiter info, motive à se conformer, guide compt. stéréotypé

72
Q

quelles les conséquences du traitement de l’info par le schéma du genre (4)

A

dans étude :
- jouets neutres devenaient «fille» ou «garcons»
- on remarque les jouets perdent leur intérêt si désigné à autre genre

aussi
- distorsions de la mémoire pour comp. sexuel incompatible (ex : a vu infirmier, se souvient avoir vu docteur)
- Ajoute propre préférences aux biais stéréotypés, pensant que les autres (filles/gars) aiment (ou pas) les mêmes choses que soi (ex. “Les filles n’aiment pas les huîtres”)

73
Q

enfants transgenres

qest ce que la dysphorie de genre(2) et les thérapies existantes (2)

A

Dysphorie de genre :
- Individus insatisfaits de leur sexe à la naissance et s’identifient fortement à un autre genre
- Ne doit pas être confondu avec les enfants qui affichent un comportement non conforme au genre

  1. Thérapies visant à supprimer le comportement d’identité d’un autre genre donnent de mauvais résultats
  2. Thérapies doivent plutôt viser à permettre aux enfants de suivre leurs penchants identitaires de genre et à aider les parents à protéger leurs enfants de la négativité des autres
74
Q

comment diminuer les stéréotypes(6)

A

les enfants croient que ce sont les pratiques culturelles qui déterminent le genre (à cause d eleur limites cognitives)

Comment éviter rigidité des schémas du genre, qui restreignent activités, apprentissages?

  • Éviter exposer stéréotypes à la maison (ex. repas)
  • Offrir deux types de jouets, couleurs
  • Éviter langage stéréotypé, médias
  • Souligner les exceptions
  • Expliquer que les intérêts (pas sexe) déterminent activités
  • Classe: temps jeu libre mixte
75
Q

quelle sont les catégories de parents de Baumrind (4)

A
76
Q

quelles sont Les 3 dimensions importantes pratiques parentales

A
  • Acceptation, chaleur
    (c. hostilité, rejet)
  • Cadre
    (c. laisser-faire)
  • Soutien de l’autonomie
    (c. contrôlant)
    Différences inter et intra individuelles
77
Q

explique la catégorie de Baumrind du parent démocratique (4) et bienfaits

A
  • chaleur et sensibilité,
  • cadre, requêtes appropriées
  • écoute, respect/soutien autonomie
  • «confronter/raisonner c. dominer»
    Bienfaits nombreux (humeur, auto-régulation, persévérance, coopération, ES, maturité, performance scolaire)
78
Q

explique la catégorie de Baumrind du parent autoritaite (4) et problèmes

A
  • distance, rejet
  • plusieurs demandes,
  • coercition, dominer; contrôle psychologique
  • décide pour l’enfant
    Problèmes variés (ES, anxiété, hostilité, dépendance)
79
Q

explique la catégorie de Baumrind du parent permissif(3) et problème

A
  • chaleur, indulgent
  • peu, pas de requêtes
  • laisse décider, même si pas prêt
    Problèmes d’impulsivité, désobéissance, dépendance, peu de persévérance, de performance scolaire
80
Q

explique la catégorie de Baumrind du parent désengagé(3) et problème

A
  • pas de lien
  • pas de demande
  • indifférent à son autonomie
    Extrême = négligence
    Antisocialité, faible performance scolaire et auto-régulation, tous aspect du dév.
81
Q

quest ce que le controle psychologique

A

Contrôler non pas les comportements, mais le «monde intérieur» de l’enfant (ses émotions, pensés, intérêts)
Ex.: intrusion
manipulation
culpabilisation
acceptation conditionnelle

82
Q

quelle est l’efficacité du style démocratique et que doit-on faire attention avec les enfants inhibés/impulsifs

A

ca aide les enfants difficiles pcq chaleur + controle comportemental + soutien autonomie = bénéfique, fait dévier de trajectoire comportementale problématique ET Style démocratique (préscolaire) associé à la maturité et ajustement (adolescence)

attention
enfants inhibés : faut résister à la surprotection
enfants impulsifs : faut résister à corcition et incohérences

83
Q

donnes les autres évidences de l’efficacité du style démocratique (4)

A
  • Les parents impliqués et chaleureux procurent des modèles de préoccupation bienveillante, de confiance et d’auto-régulation.
  • Il est plus probable que les enfants respectent et internalisent le contrôle qui semble juste et raisonnable (pas arbitraire).
  • Demandes et choix correspondent aux habiletés de responsabilisation de l’enfant: sentiment compétence (facilite l’ES et la maturité sociale).
  • Les aspects de soutien (l’acceptation, l’implication, raisonnement) sont des facteurs de résilience (face au stress et à la pauvreté).
84
Q

quelles sont les différences culturelles dans les pratiques parentales

A
  • Ex. parents Chinois (+ directifs, moins expressifs)
    si contrôle coercitif/psychologique: même effets délétères
  • Ex. pères Hispaniques (+ impliqués, chaleureux)
  • Afro-Américains et faible SSE:
    discipline stricte, attente obéissance immédiate, besoin dans quartier dangereux?

développement de l'enfant (10 decks)

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