Cours sur rédaction rapport Flashcards

1
Q

Modalités rédactionnelles (responsabilité lors des rapports (7))

A
  1. Rapports doivent être complets au sens de ce qu’exige les lois et règlements.
  2. Contenu doit être organisé et présenté en sections bien identifiées et facilement repérables.
  3. Informations doivent être exactes
  4. Informations doivent être pertinentes, c-à-d répondre aux critères de nécessité et de légitimité auxquels se réfère le législateur lorsqu’il est question de collecte de renseignements personnelles
  5. Informations doivent être contemporaines (témoigner d’un délai de rédaction court)
  6. Présentation doit être concise, témoignant notamment du souci d’éviter de surcharger le dossier d’informations du type aide-mémoire
  7. Contenu doit être interprété
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2
Q

RÉDACTION RAPPORT : Enjeu de lecteurs multiples

A
  • adressé rédaction vers patient/ client
  • MAIS doit être ajustée au mandataire de l’évaluation (rapport demandé par organisme de santé, un avocat, une commission scolaire, etc.()
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3
Q

RÉDACTION RAPPORT : Enjeu de longueur

A

Adapter au contexte de référence :
1-3 pages courts
longueur préférée : 2-4
2-10 pages : standard
10-50 pages exhaustif

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4
Q

Vrai ou faux : écrire des rapports plus courts n’améliore PAS la clarté ou l’utilité clinique du rapport

A

Vrai = se centrer sur le fait de répondre à la question posée et offrir de nouvelles connaissances sur la personne

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5
Q

RÉDACTION RAPPORT ; enjeux du Style

A
  • liste à puces, tableaux
  • utiliser sous-sections
  • souligner et mettre en gras faits importants
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6
Q

RÉDACTION RAPPORT enjeux du langage :

A
  • simple, phrase courts, limiter phrases de forme passive (3ème personne, sujet ne fait pas l’action)
  • viser un niveau de lecture de secondaire 2/3
  • décrire les cprtmts avec des descriptions de la vie de tous les jours
  • éviter le jargon ou les acronymes
  • si des termes techniques sont employés, inclure une description des termes

EN GROS : une idée par paragraphe, ajouter une phrase de transition entre les paragraphes, regrouper les idées

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7
Q

Avant de débuter rédaction

A

Centré sur le motif de consultation pour répondre à la question.

IDENTIFIER
1. Supporting arguments
2. Key messages
3. Main recommendations

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8
Q

Guide de rédaction des rapports OPQ (3 points)

A
  1. Écrire avec empathie ( mon propos s’adresse-t-il à la personne cliente. Toujours sauf exception ET est-ce que cet aspect a été abordé avec la personne cliente ? comment la personne cliente a-t-elle réagit, comment m’y référer ? sera-t-elle surprise ?)
  2. Présenter outils psychométriques brièvement (sans les justifier). Les réponses aux tests et la présentation exhaustive des résultats ne sont pas nécessaires (= données brutes), interprétation est suffisante.
  3. Rapport autoportant : permet de saisir la rigueur du travail, ce qui est essentiel à la compréhension du processus, des conclusions, des recommandations, sans justifier tout ce qui est rapporté.
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9
Q

Éléments du rapport neuropsy (sections)

A
  1. données nominatives (nom, prénom, date naissance, employeur…)
  2. date ouverture de dossier, date rapport, date interventions
  3. motif consultation en indiquant qui fait la référence
  4. cadre de l’intervention (rythme et lieu des rencontres, contexte particulier, autorisations, etc.)
  5. méthodologie utilisée (entrevue dirigée, mise en situation et autres);
  6. contexte situationnel du problème, incluant les antécédents et les consultations antérieures (historique centré sur le problème)
  7. observations ou impressions (en cliniques, sx, cprtmts, attitudes observés, rapportés ou déduits…)
  8. Épreuves d’évaluation utilisées, s’Il y a lieu, (description des outils utilisés, participation du client, résultats obtenus, interprétation du rendement…);
  9. Synthèse de la compréhension de la situation;
  10. Conclusions (résultat de l’exercice);
  11. Recommandations (plan d’intervention).
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10
Q

Éléments du rapport neuropsy

A
  1. Identification de la personne cliente
  2. motif de consultation
  3. modalités d’évaluation
  4. présentation du client et de sa problématique
  5. observations comportementales
  6. tests et questionnaires administrés
  7. Résultats
  8. conclusion
  9. recommandations
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11
Q
  1. Motif de consultation
A
  1. But spécifique de l’évaluation
    - dx différentiel (p. ex. début de démence vs dépression)
    - contexte (p. ex. retour au travail après un traumatisme crânien)
    - intervention (p. ex. élaboration d’un plan d’intervention)
  2. Préciser qui demande l’Évaluation (p.ex. médecin)
  3. 1-2 phrase
  4. peut être accompagné d’informations générales principales (p. ex. dire que victime accident, coma, anxiété…)
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12
Q

Ex de motif de consultation

A

Mme DJ est âgée de 48 ans et consulte en raison de difficultés de concentration et d’organisation qui persisteraient malgré la prise de médication psychostimulante. L’objectif de l’évaluation neuropsychologique est d’explorer si ses difficultés s’expliquent par un tb du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) de déterminer des forces et faiblesses cognitives et de fournir des recommandations.

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13
Q
  1. Modalités d’évaluation
A

Consultation de documents
- bulletins scolaires
- dossier médical
- rapport psychiatrique

Entretien téléphonique et entrevue
- avec client, proche

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14
Q
  1. Présentation du client et de sa problématique (3 éléments principaux)
A

Tiré de l’anamnèse, dossier médical, plaintes du patient, observations des proches, etc. (préciser source, patients, proches, dossier médical)

Plaintes :
- spontanées, lorsque questionnées, rapportées par les proches ?
- cognitives (inattention, désorganisation), physiques (douleurs nausées, étourdissements) et émotionnelles (sx anxio-dépressifs p. ex.)

Événements principaux (dates, lieu accident, hospitalisations…), les problématiques et les difficultés rencontrées par le client et leurs impacts sur le fonctionnement au quotidien dans les différentes sphères de vie (professionnel, social, etc.)

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15
Q

Est-il possible de faire une section sur les plaintes ?

A

Oui.
P. ex. un paragraphe sur les difficultés de concentration et d’organisation, un sur les problèmes de concentration, un sur le plan des difficultés d’organisation

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16
Q
  1. Présentation de la problématique et du contexte (3 grandes catégories)
A
  1. histoire personnelle (développemental, scolaire et professionnelle, CENTRÉE SUR LA PROBLÉMATIQUE)
  2. Évaluations, suivi antérieurs, antécédents médicaux, antécédents familiaux PERTINENTS (rapports médicaux, IRM, EEG, traitements, etc.), psychothérapies, évaluation neuropsychologique
  3. Habitudes de vie et vie familiale/ sociale
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17
Q
  1. Observations comportementales
    (et pourquoi ?)
A
  • Description objective et factuelle du client en entrevue.

Cela permet d’Évaluer la validité des résultats obtenus aux tests.
- il est possible que la performance du client sous-estime son potentiel comme il avait un rhume, p. ex.
- en lien avec la problématique, p. ex. TDAH: distractibilité, inattention

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18
Q

Ex. observations en cours d’évaluation

A

Mme DJ est évaluée alors que la médication psychostimulante n’aurait pas été prise. Elle est ponctuelle et offre une excellente collaboration tout au long de l’évaluation. La cliente est attentive et fournit un effort soutenu. Quelques signes de fatigue sont observés en fin de séance (p. ex. bâillements). Elle a tendance à prioriser l’exactitude de ses réponses au détriment de la vitesse et à vérifier ses réponses. Mme est calme et aucune agitation psychomotrice n’est noter pendant l’évaluation

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19
Q
  1. tests et questionnaires administrés

4 éléments

A
  1. liste précise et complète
  2. nom des tests, sous-tests, édition (ex WAIS-IV)
  3. Versions parallèles
  4. Normes utilisées
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20
Q
  1. Résultats (6 règles)
A

-1. Scores peuvent être présentés pour comparer performance du client aux normes (p. ex. rang centile, scores, pondérés)

  1. résultats sont présentés en précisant les fonctions cognitives (plutôt que seulement nommer ou décrire les tests)
  2. profil cognitif complet : fonctions déficitaires et forces
  3. analyse en comparaison avec lui-même : forces et faiblesses personnelles
  4. si l’administration des tests ont été adaptées (p. ex. présenter les choix de réponses aux Matrices dans le champ spatial non négligé), le rapporter explicitement et interpréter avec prudence les résultats
  5. l’ordre de présentation et des fonctions est flexible, selon la problématique, les tests utilisées, etc.
21
Q

Résultat adéquat ou déficitaire ? (2)

A
  1. Déterminer le niveau antérieur supposé du client
    (niveau scolaire, niveau professionnel, socioculturel)
  2. Comparaison normes (performance isolée (fatigue, motivation) vs déficitaire (extrêmement faible) = jugement clinique)
22
Q

Vrai ou faux : un score peut être déficitaire

A

FAUX seulement une fonction cognitive.

23
Q

Vrai ou faux : L’interprétation et le descripteur du score sont différents

A

VRAI

24
Q

Vrai ou faux : un score faible signifie qu’il y a un trouble neuropsychologique.

A

Faux, pour conclure à un trouble il faut considérer le contexte (p. ex. fonctionnement prémorbide, niveau scolarité, erreur de mesure du test)

25
Q

Ordre suggéré présentation des résultats

A
  1. Aspects psychoaffectifs (p. ex. BDI) et comportementaux (p. ex. CAARS)
  2. Fonctionnement intellectuel
    - profil homogène ou hétérogène
    - score des échelles : compréhension verbal, raisonnement perceptif MdT, vitesse de traitement de l’information
    - écart significatifs et rares entre les échelles ?
    - Échelle globale du quotient intellectuelle ÉGQI)/ Indice d’aptitudes général (IAG)/ scores aux échelles
  3. Vitesse de traitement de l’information
  4. Fonctions verbales et langagières
    - vocabulaire, connaissances générales, abstraction verbale
  5. Fonctions visuoperceptuelles, visuospatiales, visuomotrices et visuoconstructives
    - p. ex. raisonnement logique non verbal, rotation mentale, praxie de construction
  6. Fonctions attentionnelles
    - attention sélective, divisée, soutenue
  7. Fonctions exécutives
    - p. ex. inhibition, flexibilité mentale, organisation/ planification et MdT
  8. Mémoire à long terme et apprentissage
    - mémoire épisodique, sémantique, etc.
    - processus d’encodage, de consolidation et de récupération
    - matériel verbal, non verbal
26
Q

Rapport : fonctionnement intellectuel, éléments clés

A

PARAGRAPHE 1
1. Profil intellectuel homogène ou hétérogène ?
2. Présentation des 4 indices.
3. Présentation des écarts entre les indices.
4. Mentionner si variabilité dans un indice est inhabituelle (intra indice).

PARAGRAPHE 2
Si écart rare répond aux cx pour GAI, présentation GAI

27
Q

Rapport : Vitesse de traitement, éléments clés

A
  • rapporter résultats repérage symbole et code
    (« ou le rythme auquel les opérations mentales sont exécutées »)
  • le cas échéant : rapporter une tendance à prioriser l’exactitude des réponses au détriment de la rapidité ou vice versa
  • possible de mentionner si cela a affecté d’autres tâches comportant tps limite et référer à la section

-

28
Q

Définition : Fonctions perceptuelles visuospatiales, visuoconstructives

A

Les fonctions perceptuelles et visuospatiales réfèrent aux capacités de percevoir et reconnaitre les objets, ou à les percevoir adéquatement dans l’espace (p. ex. déterminer leur orientation). Les fonctions visuo constructives réfèrent à la capacité à réaliser un dessin ou à construire un objet.

29
Q

Rapport fonctions perceptuelles, visuospatiales et visuoconstructives

A
  • définition
  • rapporter résultats casse-tête visuel («tâche d’assemblage mental de formes visuelles abstraites à l’intérieur de limites de temps» «manipuler mentalement l’information VISUOSPATIALE (ou rotation mentale)).
  • rapporter résultat matrices « suite logique d’une série d’image» « RAISONNEMENT LOGIQUE NON VERBAL»
  • rapporter résultats blocs « habiletés visuoconstructives », « assembler des blocs pour reproduire un modèle à l’intérieur du temps »
  • conclusion
30
Q

Fonctions langagières et verbales

A
  1. Langage réceptif oral : rapporter si comprend les consignes et les questions
  2. Langage expressif oral :
    - s’exprime bien ?
    - résultats vocabulaire (tâche définition mots)
    - résultats connaissance & similitude (tâches connaissances générales et capacité à établir des liens entre les concepts (ou abstraction verbale))
    - résultats fluence verbale ( «générer le plus de mots commençant par une lettre ou faisant partie d’une catégorie en moins d’une minute» «accès lexical (accès au dictionnaire mental des mots » «fluence verbal »)
31
Q

Fonctions attentionnelles définition

A

Fonctions attentionnelles réfèrent à l’attention sélective (lorsqu’on doit porter attention à une information particulière en ignorant des stimuli distracteurs), l’attention divisée (lorsqu’on doit diviser son attention entre plusieurs tâches à effectuer en même temps) et l’attention soutenue (lorsqu’on doit maintenir son attention sur une tâche pendant une longue période)

32
Q

Fonctions attentionnelles

A
  1. Définition

ATTENTION SÉLECTIVE
2. modalité visuelle
- telephone search, recherche de symbole (« trouver symbole particulier parmi des distracteurs »

  1. modalité auditive
    - elevator counting with distraction (« compter certains son parmi différentes tonalités »

ATTENTION DIVISÉE
4. Telephone search while counting (« réaliser une tâche de recherche de symbole tout en comptant de sons»)

ATTENTION SOUTENUE
Modalité auditive
5. Elevator counting
(« doit compter le nombre de sons dans différentes séries »)

33
Q

Fonctions exécutives définition

A

Les fonctions exécutives entrent en jeu dans une action orientée vers un but. Elles servent à coordonner efficacement les autres fonctions cognitives

34
Q

définitions : inhibition, flexibilité mentale, organisation et planification et MdeT

A

Inhibition : capacité à résister aux distractions ou à freiner une réponse attendue, ou un commentaire qui vous traverse l’esprit; on la compare souvent à un frein ou à un filtre.

Flexibilité mentale : capacité à s’adapter à la nouveauté et aux changements.

Organisation et planification : capacité à établir des priorités, utiliser des stratégies efficaces, à anticiper et à prévoir les étapes d’une tâche.

Mémoire de travail : capacité à maintenir et à traiter mentalement l’information dans le moment présent. P. ex. vous l’utilisez pour raisonner, effectuer des calculs mentaux ou comprendre des consignes multiples.

35
Q

Rapport inhibition

A
  • Stroop, condition 3
    « lorsque Mme doit nommer la couleur de l’encre plutôt que de lire le mot, «nb erreur» (et préciser si corrigée ou non) et sa vitesse se situe »

Résultats à la condition 3 : Error analysis, total errors

Résultat à la condition 3 : complexion times

36
Q

rapport Flexibilité mentale

A
  • Stroop condition 4
    « lors d’une tâche où Mme doit alterner entre la dénomination de couleurs et la lecture de mots, sa vitesse est X (centile) de même que son nombre d’erreur (X centile), (préciser si erreur corrigé ou non »

Résultat condition 4 : inhibition/ switching (complexion times)
Résultat condition 4 : inhibition/ switching (error analysis, total errors)

  • Condition 3 category switching Fluence

« de façon similaire, lorsque la cliente doit nommer le plus de mots en alternant entre 2 catégories (p. ex. légumes et musique), son résultat se situe X.

Résultat condition 3 category switching total, switching accuracy - Fluence verbale D-KEFS

37
Q

rapport organisation et planification

A
  • tour, d-kef
    « dans une tâche de planification où X doit construire des tours en utilisant le moins de mouvements possible, sa performance est X. »
    Résutlat Total Achivement Score Tower

« sa précision en termes de nombre de mouvements est X à la moyenne »
Résultat Move accuracy ratio - tower

« Concernant le respect des règles à cette tâche X % des autres personnes ont obtenus un nombre équivalent ou plus élevé de bris de règles que celui commis par la personne »
Total rule violation - rang centile cummulé.

« Le temps requis avant son premier mouvement est X à la moyenne (rang centile).»
Résultat Mean First-Move Time- Tower

38
Q

Que peut vouloir dire le Mean First-Move Time ?

A

Inhabituellement rapide ou lent peut refléter des dysfonctions exécutives.
moyenne = 4,6 pour l’échantillon normatif

Rapide : essai erreur, impulsivité
Lent : problème activation, tendance obsessive, dépression, fatigue, pas d’efforts

39
Q

Rapport MdT

A
  • Empan direct
    « lorsque X doit répéter des séries de chiffre, elle obtient un score de X et son empan est de X. »
  • Empan inverse ou croissant
    « Lorsque X doit rappeler des séries de chiffre en ordre inverse ou croissant, ses résultats sont X ».
  • Arithmétique
    « Lorsque X doit faire des tâches de calculs mentaux avec limites de temps, sa performance se situe X ».
40
Q

Mémoire à long terme : apprentissage et mémoire épisodique définition

A

La mémoire épisodique correspond aux informations mémorisées avec leur contexte de temps et de lieu. Elle comporte 3 processus, l’encodage, la consolidation et la récupération. Une information est d’abord encodée ou enregistrée dans notre cerveau; pour être ensuite consolidée (stockée) en MLT; enfin vous devez la récupérer.

41
Q

MLT rapport

A

CVLT
« lors de l’apprentissage d’une liste de mots répétées à cinq reprises, la performance de X est X (centile) ».
Résultats à Trials 1-5 Free Recall Total Correct

« le nb de mots évoqués au rappel d’une seconde liste de mots se situe X par rapport à la moyenne (centile) »
Résultats à List B Free Recall Correct- CVLT II

« Ses rappels de mots après un court et long délais sont respectivement X moyenne et X moyenne (centile et centile) »
Résultats Short & Long Delay Free Recall Correct - CVLT II »

« Enfin, lorsqu’elle doit reconnaitre des mots de la première liste parmi d’autres mots, sa performance est X (centile) »
Résultats à Long-Delay Yes/No Recognition Hits - CVLT-II

42
Q

Pourquoi la conclusion est importante ?

A

C’est souvent la seule partie du rapport qui est lue.

43
Q

Que faut-il inclure dans la conclusion ?

A

La réponse à la question principale (motif de consultation)

44
Q

La conclusion doit être

A
  1. brève et adaptée aux personnes qui liront le rapport (neurologue, psychiatre, orthophoniste, ergothérapeute)
  2. mais surtout : le client et ses proches
45
Q

La conclusion c’est

A

une INTÉGRATION synthétique des résultats (fonctionnement intellectuel, forces et faiblesses cognitive relativement à la norme et à la personne).

Il faut établir des relations ente les résultats, les comportements observés, les éléments de l’anamnèse recueillis et les questionnaires menant vers impressions diagnostiques

46
Q

Qu’est-ce que la conclusion permet de faire également ?

A

De se prononcer sur l’impact des déficits sur la vie quotidienne (handicaps p. ex.)
- p. ex. retour au travail, aux études, au domicile, vie familiale, loisirs

et donc de faire le PRONOSTIC (déficit temporaire ? permanent ?

47
Q

vrai ou faux il existe un seul modèle unique de conclusion

A

Faux. La conclusion doit être adapté au concept et guidée par les objectifs de l’évaluation.

48
Q

Conclusion 5 étapes

A
  1. retour sur motif de consultation et objectifs d’évaluation
  2. observations comportementales centrales
  3. fonctionnement intellectuel
  4. forces, faiblesses cognitives
  5. impression diagnostique, dx
49
Q

quel mot toujours utilisé lorsqu’on rapporte un descripteur par rapport à un résultat à un test

A

SCORE : pour que la personne sache que ce n’est pas la fonction mais bien UN résultat à UN test