Cours 9, partie A Flashcards
Quelle est la définition générale de la validité ? (les 2 points de 1ere diapo).
-La validité est le degré avec lequel un test mesure ce qu’il prétend mesurer, et cela seulement.
-Plusieurs instruments de mesure ne permettent pas d’observer directement le concept qu’on cherche étudier, alors il est nécessaire de procéder au processus de validation.
La validité ne concerne pas … (1/2)
-Ne concerne pas l’instrument de mesure lui-même (alors, c’est pas l’instrument qui est valide), mais plutôt l’interprétation des résultats associés à ses items.
-Le processus de validation est une façon de déterminer le niveau de certitude qu’on peut avoir, en s’appuyant aux indices obtenus.
La validité ne concerne pas … (2/2)
-Ne concerne pas l’instrument de mesure lui-même (alors, c’est pas l’instrument qui est valide), mais plutôt le contexte de son utilisation (clientèle spécifique et conditions en générale).
-On doit dire qu’on a démontré des preuves de validité avec telle clientèle et avec telles conditions. La validité d’un instrument psychométrique est liée au contexte dans lequel le processus de l’accumulation de preuves a été effectué.
-L’évaluation de la validité est un processus continu d’accumulation de preuves ou d’évidences.
Dans la validité, il faut arrêter de considérer quoi ? Pourquoi ?
Le nom du test comme une preuve ou évidence de ce que le test mesure. Ex: le test de dépression de Beck ne mesure pas la dépression mais la variance de la dépression.
Car un test n’est jamais 100% valide, la validité n’est pas une affaire de “tout ou rien” (valide ou pas valide), mais plutôt une question de DEGRÉ, selon les indices de validité vérifiés.
Comment on étudie le degré de validité des instruments psychométriques ?
-Il existe de multiples méthodes statistiques (et quelques uns non strictement statistiques).
-En ce qui concerne les preuves/évidences, actuellement les Standards (2014) commencent à exiger cinq sources de preuves. Des preuves de validité basées sur : le contenu du test, les processus de réponse, la structure interne, les relations avec d’autres variables, les conséquences du test.
Quelles sont les trois sources de preuves de validité les plus fondamentaux ?
-Indices de contenu
-Indices des relations avec d’autres variables (pragmatique)
-Indices de structure interne (construit)
Qui suis-je : La réponse des gens n’est pas dû au hasard, il répond au test avec une tendance à être plus en accord selon les items. Il a un patron/type de réponse.
Processus de réponse
Donne la définition de la validité de contenu.
En psychométrie, la validité de contenu (aussi connue comme validité logique) doit faire référence à toutes les facettes d’un concept donné.
Par exemple, une échelle de dépression peut manquer de validité de contenu si elle n’évalue que la dimension affective (anesthésie affective) de la dépression et ne prend pas en compte la dimension conative (ou comportementale). On vient perdre tout une dimension de la dépression.
La validité de contenu nécessite quoi ?
Nécessite le recours à des experts reconnus en la matière pour évaluer si les items du test évaluent un contenu défini.
Les experts sont des personnes qui ont une connaissance reconnue du concept à mesurer et préférablement qui ont aussi une expertise dans l’élaboration d’instrument de mesure. Les juges-experts sont normalement invités à se prononcer sur le contenu de chaque énoncé, soit : clarté, représentativité, exhaustivité, dimensionnalité et pertinence.
Donne une définition de :
-Représentativité
-Exhaustivité
-Dimensionnalité
-Pertinence
-Les questions/contenu représente la théorie, la combinaison linéaire de ces 2 items est semblable.
-Tous les éléments de la variance du phénomène voulu est exploré.
-À combien de dimensions je m’attendais à avoir dans le test (ex: Big five = 5)
-Est-ce que c’est pertinent de demander ça, de cette façon, est-ce que la personne se sentira à l’aise.
La validité de contenu est la plus souvent abordée dans quoi ?
Dans les tests académiques et professionnels, où les items du test doivent refléter les connaissances réellement requises pour un domaine.
La validité de contenu fait référence à quoi dans un contexte clinique.
À la correspondance entre les items (contenus) du test et le contenu des symptômes d’une maladie (par exemple).
La validité de contenu fait référence à quoi ?
Ce type de validité fait référence à la manière dont un instrument évalue tous les aspects théoriques du concept qu’il est censé mesurer.
-Alors, présenter aux évaluateurs (juges experts) une synthèse solide de la théorie du trait latent pourrait bien les aider à mieux évaluer le contenu des items, selon nos propres bases théoriques.
La validité de contenu est supposée pouvoir évaluer quoi ?
Dans quelle mesure un instrument couvre toutes les parties pertinentes du concept qu’il vise à mesurer.
Une méthode bien connue et encore utilisée pour mesurer la validité de contenu a été développée par qui ? En quoi elle consiste ?
Lawshe (1975). Il s’agit essentiellement d’une méthode permettant d’évaluer l’accord entre les évaluateurs.
Lawshe (1975) a proposé que chacun des experts réponde à la question suivante (dans un contexte de connaissance, par exemple), pour chaque item : “La connaissance mesurée par cet item est-elle “essentielle”, “utile, mais pas essentielle” ou “pas nécessaire” (aux objectifs spécifiques du test) ?”