Cours 9 - La neuropsychologie de l'enfant Flashcards

1
Q

Vrai ou faux ? La Neuropsychologie de l’enfant est une discipline récente?

A

Les premiers manuels en français consacrés à la neuropsychologie de l’enfant sont parus seulement au début des années 2000

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2
Q

Quand on parle de neuropsychologie de l’enfant, il faut faire différence entre 2 choses, lesquelles?

A

Il est important quand on parle de neuropsychologie de l’enfant de faire la différence entre les troubles acquis des grandes fonctions cognitives et ceux qui sont neurodéveloppementaux.

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3
Q

Quels sont les principaux troubles neurodéveloppementaux qui occasionnent des atteintes cognitives?

A

Les principaux troubles neurodéveloppementaux qui occasionnent des atteintes cognitives sont l’autisme et le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité.

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4
Q

Nommez 7 troubles neurodéveloppementaux de l’enfant et de l’adolescent

A
  1. les troubles du langage oral et dysphasies
  2. les troubles praxiques et visuospatiaux
  3. le syndrome des fonctions non verbales
  4. les troubles du spectre de l’autisme
  5. le syndrome dysexécutif
  6. le syndrome Gilles de la Tourette
  7. le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité
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5
Q

Nommez 2 troubles spécifiques des apprentissages chez l’enfant et l’adolescent.

A
  1. Les troubles spécifiques du langage écrit (dyslexie et dysorthographie)
  2. Les troubles spécifiques du calcul et la dyscalculie
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6
Q

Nommé 9 troubles neuropsychiatriques de l’enfant et de l’adolescent.

A
  1. Les troubles déficitaires de l’attention complexes avec ou sans hyperactivité
  2. Les problèmes de comportement
  3. Les troubles disruptifs du contrôle des impulsions et des conduites (DSM-5)
  4. Les troubles dépressifs
  5. Les troubles anxieux
  6. Les troubles obsessionnels compulsifs
  7. Les troubles liés à des traumatismes ou à des facteurs de stress
  8. Les troubles du spectre de la schizophrénie et autres troubles psychotiques
  9. Les autres troubles du développement (syndrome d’alcoolisation fœtale, neurofibromatose ou syndrome de Turner)
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7
Q

Quelle est la problématique autour de la pathologisation des enfants qui ne suivent pas le rythme scolaire?

A

En raison du manque de ressources, on tend parfois à pathologiser des enfants qui ne suivent pas le rythme scolaire, en leur attribuant un “trouble” alors qu’il pourrait s’agir simplement de leur propre rythme de développement.

Chaque enfant évolue différemment. Par exemple, un enfant devient “propre” lorsqu’il est prêt à contrôler ses sphincters, pas selon un âge prédéfini. Notre système scolaire impose des normes d’âge et de classe qui ne prennent pas en compte ces variations individuelles. Un enfant peut avoir besoin de plus de temps pour apprendre à lire, sans pour autant avoir un trouble d’apprentissage permanent.

Les normes scolaires sont utiles mais ne conviennent pas à tous. Il peut être nécessaire de refaire des évaluations pour déterminer si les difficultés d’un enfant sont temporaires ou persistantes. Plutôt que de diagnostiquer un enfant comme dyscalculique, dysgraphique ou dyslexique, il est parfois plus juste de lui laisser le temps de se développer.

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8
Q

Quels sont les objectifs particuliers de la neuropsychologie de l’enfant et qu’est ce que cette démarche implique?

A

Les objectifs particuliers de la neuropsychologie de l’enfant sont d’élaborer des modèles spécifiques et de mettre au point des évaluations et des prises en charge
adaptées à l’enfant lors de difficultés diverses.

Cette démarche implique de décrire les aspects développementaux des relations cerveau-cognition, c’est-à-dire comment s’édifient l’appareil cognitif et les structures cérébrales ainsi que leurs relations complexes.

Plus précisément, pour comprendre comment l’enfant acquiert une fonction particulière, il faut en identifier les différentes étapes, déterminer leur chronologie d’apparition ainsi que les contraintes cérébrales dans lesquelles elles se construisent.

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9
Q

Sur quoi insiste Lussier et al.?

A

Lussier et al. (2017) insistent sur les risques inhérents à la transposition des données de la neuropsychologie adulte à celle de l’enfant.

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10
Q

Les cerveaux chez l’enfant est hautement interconnecté que se produit-il durant le cours du développement?

A

Le cerveau chez l’enfant hautement interconnecté et c’est seulement dans le cours du développement que les réseaux neuronaux se spécialisent de façon croissante et deviennent ainsi relativement modulaires.

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11
Q

Vrai ou faux, Les modèles de la neuropsychologie de l’enfant postulent qu’en cas de développement atypique, elles sont souvent sous-tendues par des processus cognitifs et neuronaux différents.

A

Vrai, même lorsque les performances sont dans la normale.

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12
Q

Vrai ou faux, Les troubles neurodéveloppementaux doivent être compris comme renvoyant aux composantes endommagées d’un système modulaire inné

A

Faux, Les troubles neurodéveloppementaux doivent être compris dans le contexte dynamique du développement plutôt qu’appréhendés comme renvoyant aux composantes endommagées d’un système modulaire inné

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13
Q

Chez l’enfant, l’étude des lésions acquises et de leurs conséquences sur la cognition
soulève un certain nombre de difficultés, lesquels?

A

Chez l’enfant, l’étude des lésions acquises et de leurs conséquences sur la cognition soulève un certain nombre de difficultés. Notamment, les lésions pré- et périnatales (liées par exemple aux anoxies de la naissance et à la prématurité) et celles dues aux encéphalites bactériennes sont les plus fréquentes et occasionnent des dommages diffus et/ou étendus

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14
Q

Pourquoi l’interprétation des données est plus complexe chez l’enfant que chez l’adulte?

A

L’interprétation des données est plus complexe chez l’enfant car la lésion survient dans un contexte de grandes capacités de plasticité cérébrale et de récupération fonctionnelle

D’une part, la formulation d’hypothèses sur le niveau d’acquisition fonctionnelle antérieure de l’enfant est confrontée au problème de la variabilité interindividuelle « des rythmes et des niveaux de développement atteints ».

D’autre part, les lésions cérébrales précoces ont des conséquences comportementales qui peuvent n’apparaître que longtemps après leur survenue.

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15
Q

Qu’est-ce que l’aphasie acquise chez l’enfant? Selon l’étude de cas de Patterson et al (1989)

A

N.I. est une jeune patiente chez qui une hémisphérectomie gauche avait été pratiquée à l’âge de 15 ans, deux années après l’installation des crises d’épilepsie.
* Après l’opération, N.I. est décrite comme aphasique, ses performances en lecture sont très faibles et ressemblent à celles de patients adultes qui présentent une dyslexie profonde (acquise).
* Elle reconnaît parfaitement les lettres, mais les dénomme avec difficulté et ne peut réaliser des tâches phonologiques.
* Elle discrimine bien les mots fréquents et les non-mots mais ses performances de décision lexicale chutent pour des mots moins fréquents.
* Dans des épreuves d’appariement mot-image, compréhension des mots préservée seulement pour les plus familiers et concrets

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16
Q

Qui est N.I?

A

N.I. est une jeune patiente chez qui une hémisphérectomie gauche avait été pratiquée à l’âge de 15 ans, deux années après l’installation des crises d’épilepsie.

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17
Q

Comment est décrite N.I. après l’opération?

A
  • Après l’opération, N.I. est décrite comme aphasique, ses performances en lecture sont très faibles et ressemblent à celles de patients adultes qui présentent une dyslexie profonde (acquise).
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18
Q

Est ce que N.I reconnait les lettres?

A

Elle reconnaît parfaitement les lettres, mais les dénomme avec difficulté et ne peut réaliser des tâches phonologiques.

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19
Q

Est ce que N.I peut discriminer les mots fréquents et les non mots tout en ayant de bonne performances de décision lexicale?

A

Elle discrimine bien les mots fréquents et les non-mots mais ses performances de décision lexicale chutent pour des mots moins fréquents.

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20
Q

Quel mots comprend NI dans des épreuves d’appariement mot image?

A

Dans des épreuves d’appariement mot-image, compréhension des mots préservée seulement pour les plus familiers et concrets

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21
Q

Qu’est ce l’hémisphérectomie?

A

L’hémisphérectomie est une opération chirurgicale où un hémisphère cérébral (une moitié du cerveau) est enlevé ou désactivé.

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22
Q

Qu’est ce que l’Étude de cas de Vargha Khadem et al (1985)?

A

Anna est une patiente qui a subi une hémisphérectomie gauche à l’âge de 10 ans et montre des capacités langagières remarquablement préservées.

  • L’atteinte neurologique (AVC gauche) est prénatale et s’est manifestée à l’âge de six mois.

Ce n’est pas tant l’âge auquel intervient l’hémisphérectomie qui compte, que l’âge de début des lésions cérébrales (dans l’épilepsie, l’âge de début des crises) et « le temps laissé à la réorganisation du langage dans l’hémisphère droit ». Plus ce temps est long, meilleures seraient la réorganisation anatomo-fonctionnelle et les performances.

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23
Q

Qui est Anna?

A

Anna est une patiente qui a subi une hémisphérectomie gauche à l’âge de 10 ans et montre des capacités langagières remarquablement préservées.

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24
Q

A quel âge c’est présenté l’atteinte neurologique (avc gauche) de Anna?

A
  • L’atteinte neurologique (AVC gauche) est prénatale et s’est manifestée à l’âge de six mois.
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25
Q

Vrai ou faux C’est l’âge auquel intervient l’hémisphérectomie qui compte.

A

Faux, ce n’est pas tant l’âge auquel intervient l’hémisphérectomie qui compte, que l’âge de début des lésions cérébrales (dans l’épilepsie, l’âge de début des crises) et « le temps laissé à la réorganisation du langage dans l’hémisphère droit ». Plus ce temps est long, meilleures seraient la réorganisation anatomo-fonctionnelle et les performances.

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26
Q

Vrai ou faux, ce n’est pas tant l’âge auquel intervient l’hémisphérectomie qui compte, que l’âge de début des lésions cérébrales (dans l’épilepsie, l’âge de début des crises) et « le temps laissé à la réorganisation du langage dans l’hémisphère droit ». Plus ce temps est court, meilleures seraient la réorganisation anatomo-fonctionnelle et les performances.

A

Faux, Plus ce temps est long, meilleures seraient la réorganisation anatomo-fonctionnelle et les performances.

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27
Q

Qu’est-ce que les troubles développementaux du langage?

A

De nombreux troubles neuropsychologiques surviennent dans le cours du développement « sans cause apparente » et peuvent perturber les acquisitions scolaires et les apprentissages fondamentaux.

– La plupart se définissent par un écart aux normes de développement cognitif, qu’il concerne le langage (dysphasie, dyslexie, dysorthographie…) ou d’autres domaines cognitifs (dyscalculie, trouble attentionnel…).

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28
Q

Sur quoi est basé le diagnostic d’un trouble développemental du langage?

A

– Le diagnostic est basé sur la mise en évidence d’un déficit durable des performances dans un domaine particulier.

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29
Q

À quoi n’est pas liée la perturbation dans les troubles développementaux du langage?

A

– La perturbation n’est pas liée à un déficit sensoriel primaire (par exemple de l’acuité visuelle), à une insuffisance intellectuelle, à une lésion cérébrale acquise au cours de l’enfance, ni à des carences affectives ou éducatives graves.

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30
Q

Pourquoi est-ce que les enfants sont identifiés comme dys?

A

– Les enfants qui sont identifiés comme « dys » le sont parce que leur profil développemental apparaît normal, ou presque, dans tous les domaines sauf dans le domaine de dysfonctionnement considéré.

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31
Q

Qu’est-ce que la dyslexie développementale?

A

Par exemple, la dyslexie développementale se définit comme un trouble sévère et durable de l’apprentissage de la lecture, pour lequel aucune cause particulière ne peut être mise en évidence.

L’enfant a été normalement scolarisé, dans un milieu socioculturel propice à ces apprentissages, ne présente ni retard mental, ni déficit sensoriel, et a un trouble durable du langage écrit, avec un retard de lecture d’au moins 18 mois par rapport à l’âge scolaire.

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32
Q

Dans la DSM 5, les troubles de développementaux du langage sont classées dans quelles catégories?

A

Dans le DSM-5, les troubles développementaux du langage sont classée dans la catégorie des « troubles spécifiques des apprentissages »

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33
Q

Que regroupe la catégorie des troubles développementaux du langage dans le DSM-5?

A

Cette catégorie regroupe les troubles spécifiques et durables de développement:
1. du langage oral ou « dysphasies »
2. du geste et/ou des fonctions visuospatiales ou « dyspraxies ou troubles de l’acquisition de la coordination »
3. du langage écrit ou « dyslexies et dysorthographies »
4. des activités numériques ou « dyscalculies »
5. des processus attentionnels et des fonctions exécutives ou « TDAH »

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34
Q

Quels sont les 5 troubles spécifiques et durables de développement?

A
  1. du langage oral ou « dysphasies »
  2. du geste et/ou des fonctions visuospatiales ou « dyspraxies ou troubles de l’acquisition de la coordination »
  3. du langage écrit ou « dyslexies et dysorthographies »
  4. des activités numériques ou « dyscalculies »
  5. des processus attentionnels et des fonctions exécutives ou « TDAH »
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35
Q

Vrai ou faux? À partir de maintenant, les psys et les neuropsy ont le pouvoir de mettre des diagnostics

A

C’est vrai, il y a maintenant une reconnaissance des compétences. Un patient n’est pas obligatoirement obligé d’aller voir un médecin.

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36
Q

Vrai ou faux ? On née avec un stock déterminé de neurones, de neurogenèse

A

Vrai

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37
Q

Qu’est ce que l’efficacité neuronale?

A

On nait avec un stock prédéterminer et toute notre vie on en perd. On entretient de l’arbre dendritique, comment nos neurones s’interconnecte. Plus le neurone peut véhiculé d’information. Évacuation de tout les neurones qui ne servent à rien. IRM chez l’enfant, l’enfant apprend la couleur rouge, quel sont les neurones qui s’allume pour la couleur rouge, mais s’active de même pour tout les couleurs, mais quand on est grand on voit seulement ceux pour la lumière rouge, il a alors efficacité neuronale : active le bon neurone. Il veut dépenser le moins possible d’Énergie. Essaie d’activer le moins de neurone possible. Le neurone mature, il agrandit son arbre. Dépend d’un individu à l’autre.

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38
Q

Au niveau des troubles des fonctions cognitives chez l’enfant au niveau du langage Est ce qu’il y a des troubles liés à la compréhension?

A

Ce n’est pas parce qu’un enfant à un trouble du langage qu’il n’est pas capable de parler, dans une neurodéveloppementale ca a rapport avec quelque chose qu’on a jamais pu faire.

Ce n’est pas la compréhension qui est altéré
Pas de trouble liés à la compréhension, juste à s’exprimer.

39
Q

Vrai ou faux, plus on est vieux plus on a de chances de s’adapter si il y a un problème

A

Faux, plus on es jeune, plus il y a de la plasticité. Donc plus on a de chance de réapprendre

40
Q

Que provoque le fait qu’il n’y a pas suffisamment de ressources pour les systèmes de l’éducation?

A

Pas suffisamment de ressources pour le système de l’éducation donc on pathologise pour avoir davantage de ressource, toutefois il se considère alors comme un enfant pathologiser, ou comme un patient. Et plus je me sens malade, alors plus je le suis

Faute : dans le système éducatif qui manque de budget. Ne peut pas offrir à tous une facon d’apprendre adapter à son propre développement.

Différence inter individuel très importante.

41
Q

Pourquoi l’appellation de syndrome amnésique de l’enfant est préférable à celle d’amnésie développementale ?

A

L’appellation de syndrome amnésique de l’enfant est préférable à celle d’amnésie développementale car la présence de lésions cérébrales est clairement documentée dans la plupart des observations publiées.

42
Q

Qu’est ce que les études de cas de Vargha-Khadem et al. (1997)?

A
  • 3 enfants dont les lésions étaient survenues à la naissance chez deux d’entre eux ont en commun d’avoir développé un syndrome amnésique en relation avec des lésions précoces de la formation hippocampique.
  • Découverte vers l’âge de 5 ans par les parents et les enseignants, du syndrome amnésique alors que les lésions étaient néonatales dans 2 des cas.
43
Q

Qu’est ce que les études de cas de Vargha-Khadem et al ont démontrés a propos des syndrome amnésique de l’enfant?

A

Les parents se sont alors étonnés de l’incapacité de leur enfant à retrouver son chemin dans un environnement familier ainsi que d’une désorientation temporelle et de la nécessité d’un rappel fréquent des rendez-vous.

  • De plus, ces enfants étaient incapables de faire des récits détaillés des activités de la journée et des vacances.

Les déficits de la mémoire épisodique constatés dans la vie courante, comme dans les examens neuropsychologiques, constituent le cœur du syndrome amnésique de l’enfant.

Les autres éléments notables du syndrome amnésique sont les capacités préservées chez ces enfants qui concernent l’efficience intellectuelle, les compétences langagières (langage oral et écrit) et les connaissances
générales sur le monde.

  • Le point le plus remarquable dans ces descriptions est la possibilité, pour ces enfants, d’acquérir de nouvelles connaissances sémantiques alors que leur mémoire épisodique était très déficitaire.
44
Q

Qu’est ce qui constitue le cœur du syndrome amnésique de l’enfant?

A

Les déficits de la mémoire épisodique constatés dans la vie courante, comme dans les examens neuropsychologiques, constituent le cœur du syndrome amnésique de l’enfant.

45
Q

Mémoire épisodique

A

Hippocampe

46
Q

Mémoire sémantique

A

Lobe temporal

47
Q

Vrai ou faux, les enfants souffrant de syndrome amnésique sont capable de faire des récits détaillés des activités de la journée et des vacances?

A

Faux, ces enfants étaient incapables de faire des récits détaillés des activités de la journée et des vacances.

48
Q

Nommer des éléments notable du syndrome amnésique de l’enfant?

A

Les autres éléments notables du syndrome amnésique sont les capacités préservées chez ces enfants qui concernent :
1- l’efficience intellectuelle
2- les compétences langagières (langage oral et écrit)
3- les connaissances générales sur le monde.

49
Q

Quel est le point le plus remarquable pour les enfants souffrant du syndrome amnésique?

A
  • Le point le plus remarquable dans ces descriptions est la possibilité, pour ces enfants, d’acquérir de nouvelles connaissances sémantiques alors que leur mémoire épisodique était très déficitaire.
50
Q

Qu’est ce qui jouent un rôle fondamental dans le développement cognitif?

A

La perception visuelle et l’orientation de l’attention dans l’espace visuel jouent un rôle fondamental dans le développement cognitif.

51
Q

Vrai ou faux, les liens entre les difficultés de perception visuelle ou les troubles de l’attention visuospatiale et le risque de retard scolaire ou la survenue de véritables difficultés d’apprentissage de la lecture sont pourtant maintenant établis

A

Vrai

52
Q

Pourquoi il est normal qu’un enfant soit en colère si on lui retire son Ipad suite à une longue période d’utilisation?

A

Exemple : enfant qui a des difficulté, il est difficile à gérer ( Quand on enleve la tablette…) normal si il reste 3 heures devant sa tablette, difficile de se dissocier de ce qu’il voit, de la stimulation de la tv ou du ipad. Manque de maturation du cerveau, tout ce qu’il voit il la traite. Donc si on coupe la tablette il est en sous stimulation. Son comportement reflète alors son comportement de frustration, c’Est un comportement normal. il faut revoir le fonctionnement à la maison. Échec des pratiques éducative ou se remettre en question

53
Q

Pourquoi un enfant avec un troubles visuo-attentionnels peut avoir des difficultés à lire?

A

Au niveau visuel, c’est surtout au niveau de lire, activité automatique, on espace les lignes dans les livres pour enfant pour les aiders à garder leur attention sur la même ligne. Pas de difficulté à ne pas lire ce que l’on ne peut pas.
POur un enfant ce n’est pas qu’il n’est pas capble de lire selon les modèle grapheme ou l’autre mais le problème est que lui n’arrive pas à se concentrer sur les lettres ou les mots qu’il lit.

54
Q

Nommer 2 test pour l’évaluation des troubles visuo-attentionnels?

A

1- La batterie du TEA-Ch (pour Test of Everyday Attention Children, Manly et al., 2006) procure une évaluation standardisée de l’attention (sélective focalisée, soutenue et divisée) et des fonctions exécutives (mémoire de travail, inhibition, flexibilité) et comporte une version parallèle pour le re-test.

2- Le Test de barrage des nounours (Laurent-Vannier et al., 2003), analogue au Test de barrage des cloches présent dans toute évaluation de l’attention visuospatiale chez l’adulte, il permet la mise en évidence et la mesure de troubles d’héminégligence chez l’enfant dès 2 ans.

55
Q

Qu’est ce que le test de la batterie du TEA-Ch (pour Test of Everyday Attention Children, Manly et al., 2006)?

A

1- La batterie du TEA-Ch (pour Test of Everyday Attention Children, Manly et al., 2006) procure une évaluation standardisée de l’attention (sélective focalisée, soutenue et divisée) et des fonctions exécutives (mémoire de travail, inhibition, flexibilité) et comporte une version parallèle pour le re-test.

56
Q

Qu’est ce que le Test de barrage des nounours (Laurent-Vannier et al., 2003)?

A

Le Test de barrage des nounours (Laurent-Vannier et al., 2003), analogue au Test de barrage des cloches présent dans toute évaluation de l’attention visuospatiale chez l’adulte, il permet la mise en évidence et la mesure de troubles d’héminégligence chez l’enfant dès 2 ans.

57
Q

Vrai ou faux, si la maturation du cortex frontal est particulièrement tardive, une atteinte précoce peut occasionner un dysfonctionnement exécutif.

A

VRai Même si la maturation du cortex frontal est particulièrement tardive, une atteinte précoce peut occasionner un dysfonctionnement exécutif.

58
Q

Quels troubles sont étudiés dans le contexte de lésions consécutives à un traumatisme crânien, en lien avec l’épilepsie ou encore dans le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité.

A

Les troubles des fonctions exécutives

59
Q

Quel sont les 3 catégories de difficultés cognitives qui sont distinguées dans les troubles des fonctions exécutives, selon les modèles de référence pour le fonctionnement exécutif?

A

Les difficultés:
* de planification
* de flexibilité mentale
* d’inhibition

60
Q

Nommer 2 test pour évaluer les troubles des fonctions exécutives?

A

1- La BADS-children (Emslie et al. , 2003) a été élaborée pour solliciter ces différentes composantes des fonctions exécutives dans des situations qui miment celles de la vie quotidienne de l’enfant et en privilégiant l’aspect ludique.

2- Dans le test du ZOO issu de la BADS-C (Allain et al. 2018), l’enfant doit tracer un trajet sur un plan de zoo dans le but de visiter six lieux sur les douze possibles en respectant des règles (restrictions sur le nombre de fois que
certains chemins peuvent être empruntés et points de départ et d’arrivée déterminés). L’enfant doit prévoir l’ordre dans lequel il va se rendre dans les différents lieux pour limiter les erreurs.

61
Q

Qu’est ce que La BADS-children (Emslie et al. , 2003)

A

La BADS-children (Emslie et al. , 2003) a été élaborée pour solliciter ces différentes composantes des fonctions exécutives dans des situations qui miment celles de la vie quotidienne de l’enfant et en privilégiant l’aspect ludique.

62
Q

Qu’est ce que le test du zoo issu de la BADS-C?

A

Dans le test du ZOO issu de la BADS-C (Allain et al. 2018), l’enfant doit tracer un trajet sur un plan de zoo dans le but de visiter six lieux sur les douze possibles en respectant des règles (restrictions sur le nombre de fois que
certains chemins peuvent être empruntés et points de départ et d’arrivée déterminés). L’enfant doit prévoir l’ordre dans lequel il va se rendre dans les différents lieux pour limiter les erreurs.

63
Q

Qu’est ce que la dyscalculie développementale?

A

– La dyscalculie développementale (ou « trouble spécifique des apprentissages avec déficit de calcul », selon le DSM-5) se définit comme un trouble de l’apprentissage de l’arithmétique (calcul et traitement des nombres) qui apparaît chez un enfant ayant une intelligence normale et qui a bénéficié d’une scolarité appropriée ainsi que d’un contexte social équilibré, sans trouble sensoriel pouvant expliquer le trouble d’acquisition.

64
Q

Ou est ce que l’on peut rencontrer une dyscalculie développementale, associée ou non à d’autres troubles cognitifs (du langage, du traitement de l’espace, de l’attention…)?

A

Dans différentes pathologies d’origine génétique comme :
- le syndrome de Williams
- le syndrome de l’X fragile
- le syndrome de Turner

65
Q

Quel test est ce que l’on utilise pour évaluer la dyscalculie développementale?

A

La Batterie pour l’évaluation du traitement des nombres et du calcul chez l’enfant de von Aster (Zareki-R: Dellatolas et von Aster, 2006, pour la version française) est un outil de dépistage conçu à partir de la batterie adulte EC301.

66
Q

La Batterie pour l’évaluation du traitement des nombres et du calcul chez l’enfant de von Aster (Zareki-R: Dellatolas et von Aster, 2006, pour la version française) est un outil de dépistage conçu à partir de la batterie adulte EC301. Quel est son objectif?

A
  • L’objectif est d’établir un « profil mathématique » chez l’enfant de 6 à 11 ans et demi.
67
Q

La Batterie pour l’évaluation du traitement des nombres et du calcul chez l’enfant de von Aster (Zareki-R: Dellatolas et von Aster, 2006, pour la version française) est un outil de dépistage conçu à partir de la batterie adulte EC301. Nommer des exemples d’épreuves effectués dans le cadre de ce test?

A
  • Un ensemble d’épreuves permet de couvrir tout le champ de la capacité à utiliser les nombres et à effectuer des calculs élémentaires :
    1 - dénombrement
    2 - comptage oral
    3 - dictée
    4 - lecture de nombres
    5 - calcul mental
    6 - positionnement de nombres sur une échelle
    7 - mémorisation et répétition orale de chiffres
    8 - comparaison de deux nombres à l’oral et à l’écrit
    9 - estimation de quantités
    10 - problèmes arithmétiques présentés oralement.
68
Q

Qu’est ce que la dyspraxie développementale?

A

La dyspraxie est un trouble de la conceptualisation, de la planification et de la coordination volontaire des séquences de gestes orientées vers un but.

Comme pour les autres troubles neurodéveloppementaux, le diagnostic doit exclure l’existence de troubles moteurs ou sensoriels élémentaires, de déficience intellectuelle, de troubles de la relation ou communication, d’une lésion cérébrale, ou de carence éducative.

69
Q

Sur quoi repose l’évaluation de la dyspraxie développementale?

A

– L’évaluation repose sur des tests des praxies gestuelles motrices (imitation de séquences de mouvements), idéomotrices (imitation de postures digitales ou manuelles), idéatoires (manipulation d’objets) et constructives (reproduction de modèles avec cubes, reproduction graphique de figures).

70
Q

Qu’est ce que l’Épilepsie?

A

L’épilepsie recouvre plusieurs formes mais qui ont toutes un même mécanisme sous-jacent, qu’elles soient associées ou non à des lésions structurales : une anomalie du fonctionnement d’une population de neurones (décharge épileptique) provoque une crise épileptique.

71
Q

Quels sont les 3 formes d’épilepsie que l’on peut observer chez l’enfant?

A

– On distingue classiquement 3 principales formes d’épilepsie chez l’enfant :
* L’épilepsie symptomatique, qui se définit par la présence de lésions mises en évidence par la neuro-imagerie (accident vasculaire cérébral, tumeur, dysplasie corticale…)

  • La forme cryptogénique, où une lésion peut être suspectée sur la base de la présence de troubles cognitifs et autres manifestations cliniques mais n’est pas objectivée
  • L’épilepsie idiopathique, qui concerne plus d’un tiers des épilepsies de l’enfant puis disparaît à l’adolescence, serait d’origine génétique

– Les troubles cognitifs les plus fréquents intéressent la mémoire

72
Q

Qu’est ce que l’épilepsie symptomatique?

A
  • L’épilepsie symptomatique, qui se définit par la présence de lésions mises en évidence par la neuro-imagerie (accident vasculaire cérébral, tumeur, dysplasie corticale…)
73
Q

Qu’est que la forme cryptogénique de l’épilepsie?

A

La forme cryptogénique, où une lésion peut être suspectée sur la base de la présence de troubles cognitifs et autres manifestations cliniques mais n’est pas objectivée

74
Q

Qu’est ce que l’épilepsie idiopathique?

A
  • L’épilepsie idiopathique, qui concerne plus d’un tiers des épilepsies de l’enfant puis disparaît à l’adolescence, serait d’origine génétique
75
Q

Vrai ou faux, les troubles cognitifs les plus fréquents intéressent la mémoire

A

Vrai

76
Q

Quand apparaissent les trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH et TDA, ou bien « TDA/H ») ?

A

– Les premiers signes cliniques apparaissent aux environs de la 4e année, mais c’est au début de la scolarité que les comportements « perturbateurs » deviennent patents.

77
Q

Quels sont les 3 principaux sous-types de TDA/H étaient distingués dans le DSM-IV?
( plus l’ajout du DSM-5)

A
  1. Un tableau clinique où prédominent l’impulsivité et l’hyperactivité
  2. Un tableau où le trouble de l’attention est prédominant
  3. Un tableau mixte avec hyperactivité et inattention

– auxquels le DSM-5 (APA, 2013) ajoute une « présentation inattentive restrictive ».

78
Q

En quoi L’approche neuropsychologique se révèle indispensable?

A

L’approche neuropsychologique se révèle indispensable pour rechercher d’une part, un déficit de l’attention et son éventuel retentissement sur d’autres fonctions cognitives, en particulier sur la mémoire et, d’autre part, l’association à des troubles des apprentissages, en particulier du langage écrit.

79
Q

vrai ou faux 5 % des enfants chez qui le diagnostic de TDA/H est établi ont des troubles spécifiques de l’apprentissage associés, parmi lesquels près d’un sur six souffre d’une dyslexie-dysorthographie.

A

FAUX, 30 % des enfants chez qui le diagnostic de TDA/H est établi ont des troubles spécifiques de l’apprentissage associés, parmi lesquels près d’un sur quatre souffre d’une dyslexie-dysorthographie.

80
Q

Comment se définit l’autisme et les troubles du spectre de l’autisme?

A

D’un point de vue clinique, l’autisme se définit par la présence chez l’enfant de signes, plus ou moins nombreux, se rattachant selon le DSM-5 (2013) à :
1. « restriction des comportements sociaux »
2. « restriction de la communication »
3. « comportements répétitifs et intérêts restreints ».

81
Q

Pourquoi est ce qu’il faut parle du spectre de l’autisme et non de l’autisme?

A

– Laurent Mottron (2009) souligne la grande hétérogénéité des profils cliniques que recouvre ce diagnostic, et qui se manifeste sur plusieurs dimensions, en particulier le niveau intellectuel et le degré d’autonomie atteints par ces personnes.

Il faut donc parler de « spectre de l’autisme », plutôt que d’autisme

82
Q

Quels sont les 5 sous types que l’on doit distinguer

A

5 sous-types qui selon l’auteur relèveraient d’une continuité :
1 - autisme de bas niveau
2 - autisme de haut niveau
3 - syndrome d’Asperger
4 - autisme savant
5 - « trouble envahissant du développement non spécifié ».

83
Q

Vrai ou faux, Aucune classification n’est consensuelle et le DSM-5 ne distingue plus l’autisme de haut niveau du syndrome d’Asperger.

A

Vrai

84
Q

Des revues ou méta-analyses récentes permettent aujourd’hui de préciser les profils de perturbation cognitive dans l’autisme, qu’est que ces revues concerne?

A
  • Les fonctions exécutives (Lai et al., 2017)
  • La mémoire de travail (Wang et al., 2017)
  • La mémoire autobiographique (Wantzen et al., 2016)
  • La théorie de l’esprit (Wantzen et al., 2018)
85
Q

Qu’est ce qui est maintenant au centre de la neuropsychologie des TSA

A

Les particularités des traitements perceptifs, notamment dans la modalité visuelle, sont maintenant au centre de la neuropsychologie des TSA

86
Q

Qu’est ce que le syndrome de Turner?

A

Le syndrome de Turner concerne les filles uniquement et s’accompagne de troubles cognitifs modérés.
– Une maladie endocrinienne rare de la croissance, d’origine chromosomique, caractérisée par une monosomie partielle ou totale au niveau de la paire de chromosomes sexuels (caryotype X).

87
Q

Qu’est ce que le syndrome de l’X fragile?

A
  • Le syndrome de l’X fragile, chez les garçons, est caractérisé par un retard mental et des troubles d’hyperactivité et d’attention.

– Une maladie rare, génétique et héréditaire, la première cause de retard mental héréditaire et la deuxième cause de déficience intellectuelle après la trisomie 21

88
Q

Qu’est ce que le syndrome de Williams?

A

Le syndrome de Williams est une maladie génétique rare. Le retard mental est associé généralement à des troubles langagiers importants.

– Les enfants atteints du syndrome de Williams présentent une dissociation marquée entre langage et niveau cognitif : ils atteignent généralement une maîtrise du langage bien meilleure que celle attendue compte tenu de leur niveau de développement cognitif (la plupart présentent un net retard mental, avec des QI entre 40 et 50).

89
Q

Qu’est ce qui est indispensable au neuropsychologue pédiatrique pour établir la distinction entre “retard” (délai d’apparition de l’acquisition d’une habileté cognitive) et “trouble neurodéveloppemental” (où l’organisation des étapes d’acquisition est perturbée). » ?

A

– Pour Lussier et al. (2017), « La connaissance du développement normal et pathologique

90
Q

Que permet la NEPSY?

A

Parmi les outils pour l’évaluation, la place particulière de la NEPSY, qui permet un bilan complet du développement neuropsychologique de l’enfant de 3 à 12 ans.

– Cet outil couvre l’ensemble de la sphère cognitive et permet d’aborder un large spectre de perturbations :
1. les difficultés d’apprentissage,
2. les déficits attentionnels,
3. le retard mental
4. les conséquences neuropsychologiques acquises après un traumatisme crânien, une lésion ou une maladie du cerveau, ou présentes dans les syndromes génétiques

91
Q

Que couvre le NEPSY?

A

– Cet outil couvre l’ensemble de la sphère cognitive et permet d’aborder un large spectre de perturbations :
1. les difficultés d’apprentissage,
2. les déficits attentionnels,
3. le retard mental
4. les conséquences neuropsychologiques acquises après un traumatisme crânien, une lésion ou une maladie du cerveau, ou présentes dans les syndromes génétiques

92
Q

Que vise la prise en charge des troubles neuropsychologiques de l’enfant?

A

Une prise en charge vise un changement, et lorsqu’elle s’adresse à un enfant, c’est dans un contexte où l’architecture fonctionnelle et les réseaux neuronaux qui la sous-tendent sont en cours d’édification et où ces composantes « bougent », probablement en interaction.

93
Q

Nommer une limite des modèles de prise en charge des troubles neuropsychologiques de l’enfant

A

Malheureusement, la plupart des modèles de cette architecture ne prennent pas en compte la dynamique développementale des fonctions cognitives.

94
Q
A