Cours 10 - La neuropsychologie de l'adulte âgé Flashcards

1
Q

Vrai ou faux, le poids de nos propre pensé qu’on a sur notre santé cognitive?

A

On tolère encore bcp les discrimination liés à l’âge. ( ce n’est plus tolérer d’être sexiste ou raciste, mais les personnes agés ce n’est pas encore le cas) et pourtant c’est une condition qui vas toucher tout le monde plus tard. Le fait d’intériorisé le fait qu’on est moins bon ou que l’on sert à rien, j’intériorise cette représentation là. Quand on a ce type de pensé, nos propres capacités cognitives sont affecté car on assimile qu’on est pas bon.
INtériorisation des stéréotypes âgisme on une influence sur la neuropsychologie de la personne âgé.
Le poids de nos propre pensé qu’on a sur notre santé cognitive

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2
Q

Par quoi est caractérisé le vieillissement cognitif?

A

Le vieillissement cognitif est caractérisé par des changements dans les capacités cognitives liées aux modifications neurophysiologiques qui s’opèrent avec l’avancée en âge

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3
Q

Sur quoi portait les travaux de la cognition et les sujets âgés pendant les dernières décennies?

A

Pendant des décennies, les travaux portant sur la cognition chez les sujets âgés ont insisté sur le déclin des capacités cognitives, et surtout mnésiques, trouvant un écho dans les plaintes spontanées des sujets âgés et dans les craintes suscitées par la médiatisation de la maladie d’Alzheimer.

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4
Q

Que montre les études récentes sur le vieillissement?

A
  • Les études récentes montrent que le vieillissement est caractérisé par une double variabilité :
    1. Une variabilité entre les individus
    2. Une variabilité selon les diverses fonctions cognitives étudiées
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5
Q

Que démontre le graphiques des modifications cognitives de Park et al.2002?

A

Hétérogénéité, pas personne de pareille dans son développement. Certaines personnes qui vieillisse bien et d’autres que non
Toute les fcts cognitives ne sont pas respecter, certaines sont affecté par l’âge et d’autres que non
Personne jeunes ou âgé, on leur fait passer des test, on observe que quand on étudie la Mémoire à long terme on voit que la capacité est moins bonne chez les personnes de 80 ans, mais aussi à 40 ans si on compare au gens de 20 ans. normal de décline petit à petit
La vitesse de traitement de l’information est meilleure quand on est jeune que quand on est vieux.

La mémoire sémantique est comme un livre qu’on écrit et que l’on oublie pas. Quand on vieillit on perd se fait pas la non pratique et non à cause du temps

1 - Vitesse de processus
2- Mémoire de travail
3- Long-term memory
4- World knowledge

Variabilité importante selon les domaines cognitifs, ce n’est pas toute les mémoires qui sont affecté (procédurale, sémantique sont préservé)

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6
Q

Quel est la mémoire qui est le plus sensible aux effets délétères du vieillissement?

A

– La mémoire épisodique est la plus sensible aux effets délétères du vieillissement

la mémoire de travail l’est à un degré moindre

– La mémoire procédurale, la mémoire sémantique et la mémoire perceptive sont relativement préservées.

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7
Q

Donner deux fait intéressant sur la mémoire épisodique?

A

1 - Au niveau de l’être humain la première mémoire que l’on développe c’est la mem procédurale. permet de commencer ces apprentissages, ensuite il va développer la mémoire perceptive, la mémoire sémantiqe… Après l’amnésie infantile il pourra alors avoir sa mémoire épisodique

2- Ce type de mémoire n’existe pas chez certaines espèces

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8
Q

Quel est le type de mémoire le plus robuste?

A

La mémoire procédurale

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9
Q

Que propose la conception des niveaux de traitement de la mémoire épisodique? (Craik & Lockhart,1972)

A

La conception des niveaux de traitement (Craik & Lockhart,1972) propose que la persistance de la trace mnésique est fonction de la profondeur de traitement:
– Les niveaux de traitement profond sont associés à des traces mnésiques plus élaborées et plus résistantes dans le temps

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10
Q

Quel est l’allusion aux livre fait par le professeur durant le cours au sujet de l’Alzheimer?

A

l’intégrité du livre est tjr la même, dans l’Alzheimer, c’est comme si la bibliothèque est en feux, certains livres sont brulé et on ne peut pas les récupérés. Dans vieillissement normal ils faut prendre le temps de chercher et de trouver le livre

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11
Q

Vrai ou faux, la difficulté est au niveau du stockage de l’information

A

Faux, le stockage est le même, c’est vrm au niveau de la récupération qu’il y a de la difficulté. Le vieillissement touche le processus de récupération.

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12
Q

Qu’es ce que l’effet de contexte?

A

Meilleur je vais être pour récupérer l’information par exemple, si je met la personne au même endroit ou elle a appris les choses. Il y a un effet de contexte

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13
Q

Pourquoi on dit que la personne âgé devient stratégique?

A

Les personnes âgés deviennent stratégiques, ils utilisent leur ressources seulement quand c’est nécessaire, si je demande à une personne âgés de me dire ce qu’elle a mangé la semaine passé elle ne saura pas aussi bien qu’un jeune. Toutefois si il s’agit d’un évènements particulier, alors dans ce contexte là, il y a un contexte symbolique,

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14
Q

Vrai ou faux, les personne plus âgés ont des stratégies de regroupement sémantique, les jeunes non.

A

Faux, Les personne plus jeunes ont des stratégies de regroupement sémantique, les personnes âgés non. Très associés à l’utilisation dans nos apprentissage au niveau académique.

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15
Q

Comment est l’encodage de la mémoire épisodique chez les PA?
(2 éléments principaux)

A

1 - Les sujets âgés ont des difficultés à utiliser spontanément des stratégies de traitement sémantique au moment de l’encodage

– Dans une tâche où la consigne est de mémoriser des séries de mots appartenant à différentes catégories sémantiques et dont les mots sont présentés dans le désordre, les sujets jeunes regroupent les mots par catégorie sémantique dès le premier rappel, tandis que les sujets âgés le font moins spontanément.
– Les tests de reconnaissance avec distracteurs sémantiques entraînent plus de fausses reconnaissances chez les sujets âgés que chez les jeunes.

1.1 - Hypothèse d’un encodage insuffisamment précis et distinctif

2- Les sujets âgés éprouvent des difficultés à encoder ces informations contextuelles et ne peuvent pas s’en servir comme indices de récupération.

– Ils ont des difficultés à restituer non seulement les informations cibles mais encore plus le contexte dans lequel elles étaient présentées.

2.1 - Hypothèse d’un déficit d’encodage du contexte
- Les sujets jeunes encodent les items cibles et les informations associées à ces items (la voix de l’examinateur, la couleur de l’encre, ou le graphisme selon le mode de présentation, orale ou écrite), de façon automatique. Ils pourront s’appuyer sur ces éléments qui forment le contexte pour récupérer les items
cibles.

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16
Q

Vrai ou faux, les tests de reconnaissance avec distracteurs sémantiques entraînent plus de fausses reconnaissances chez les sujets âgés que chez les jeunes.

A

Vrai

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17
Q

Sur quoi ce concentre les PA lors de test de souvenir de mots dit verbalement.

A

Se focalise sur le contenue et non le contexte.
Exemple : si je passe un test mais que je change la voix de la personne qui lis les mots, mais que je dis à la personne de ses ouvenir seulement du mots. (une personne jeune se souvient du sexe de la personne qui dit le mots) alors qu,un personne plus âgés vas s’être concentré sur la tache de mémorisation du mot

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18
Q

Les sujets âgés ont des difficultés à utiliser spontanément des stratégies de traitement sémantique au moment de l’encodage.
Expliquer et nommer l’hypothèse.

A

– Dans une tâche où la consigne est de mémoriser des séries de mots appartenant à différentes catégories sémantiques et dont les mots sont présentés dans le désordre, les sujets jeunes regroupent les mots par catégorie sémantique dès le premier rappel, tandis que les sujets âgés le font moins spontanément.
– Les tests de reconnaissance avec distracteurs sémantiques entraînent plus de fausses reconnaissances chez les sujets âgés que chez les jeunes.

1.1 - Hypothèse d’un encodage insuffisamment précis et distinctif

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19
Q

Les sujets âgés éprouvent des difficultés à encoder ces informations contextuelles et ne peuvent pas s’en servir comme indices de récupération.
Expliquer ce que cela provoque et nommer l’hypothèse

A

– Ils ont des difficultés à restituer non seulement les informations cibles mais encore plus le contexte dans lequel elles étaient présentées.

  • Hypothèse d’un déficit d’encodage du contexte
  • Les sujets jeunes encodent les items cibles et les informations associées à ces items (la voix de l’examinateur, la couleur de l’encre, ou le graphisme selon le mode de présentation, orale ou écrite), de façon automatique. Ils pourront s’appuyer sur ces éléments qui forment le contexte pour récupérer les items
    cibles.
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20
Q

Qu’est ce qui est possible grâce à la consolidation de l’information encodée?

A

Le stockage, ou maintien des informations en mémoire, est possible grâce à la consolidation de l’information encodée.

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21
Q

Comment est-ce que on peut évaluer les capacités de stockage?

A

– Les capacités de stockage peuvent être évaluées en calculant un taux d’oubli
entre deux sessions de récupération d’informations.

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22
Q

Vrai ou faux? Les études qui portent sur le stockage montrent généralement une différence au niveau du taux d’oubli en fonction de l’âge lorsque le délai est court.

A

Faux, Les études portant sur le stockage ne montrent généralement pas de différence de taux d’oubli en fonction de l’âge lorsque le délai est court.

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23
Q

À partir d’un délai d’environ combien de temps les informations encodées en mémoire sont oubliées plus rapidement chez les sujets âgés.

A
  • A partir d’un délai d’environ 24 heures, les informations encodées en mémoire
    sont oubliées plus rapidement chez les sujets âgés que chez les sujets jeunes
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24
Q

Qu’est-ce que les études du sommeil ont démontré dans le cadre du stockage en mémoire épisodique?

A

De nombreuses études ont montré l’importance du sommeil dans la consolidation des informations épisodiques et plus particulièrement le sommeil lent profond.

Or, le vieillissement s’accompagne de modifications importantes du sommeil, notamment une réduction du sommeil lent profond, ce qui pourrait contribuer à diminuer l’efficacité des processus de consolidation chez les sujets âgés.
– Par exemple, plus la nuit est occupée par du sommeil lent profond, plus les performances de rappel le lendemain sont élevées (Malle et al., 2015).

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25
Q

Quel type de sommeil intervient également dans la consolidation mais plutôt sur les aspects spatiaux du souvenir et des détails contextuels.

A

– Le sommeil paradoxal

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26
Q

Vrai ou faux, plus la nuit est occupée par du sommeil lent profond, plus les performances de rappel le lendemain sont élevées

A

Vrai

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27
Q

Selon quoi varient les diminution des performances chez les sujets âgés par rapport aux jeunes, en situation de récupération?

A

Varient selon les modes de rappel:
– Le rappel libre entraîne le plus de difficultés chez les sujets âgés
– Le rappel indicé entraîne un peu moins de difficultés
– Pour la reconnaissance, leurs performances sont souvent équivalentes à celles des jeunes.

 Hypothèse d’un déclin des mécanismes de récupération

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28
Q

Vrai ou faux, Plus le support environnemental est faible, c’est-à-dire qu’il y peu d’aide externe, moins bonne sera la performance

A

VRai

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29
Q

Quel est le type de rappel qui entraîne plus de difficultés chez les sujets âgés?

A

Les rappels libres.

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30
Q

Vrai ou faux? Dans le cadre de la reconnaissance, les performances d’une personne jeune ou âgée sont très différente

A

faux, Pour la reconnaissance, leurs performances sont souvent équivalentes à celles des jeunes.

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31
Q

Vrai ou faux ? On a émis l’hypothèse d’un déclin des mécanismes de récupération lorsque l’on vieillit

A

Vrai

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32
Q

La reconnaissance serait supportée par 2 types de processus de nature différente, lesquels?

A

1 - Des processus automatiques assimilables au sentiment de familiarité
* L’information est récupérée mais pas son contexte spatio-temporel. Le sujet « sait » que l’item faisait partie de la liste d’étude mais ne se souvient pas des détails du contexte d’encodage.

2 – Des processus contrôlés
* L’information et son contexte d’encodage sont récupérées. Le sujet a le sentiment de « se souvenir » et pas seulement de « savoir ».

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33
Q

Qu’est ce que des processus automatiques assimilables au sentiment de familiarité dans la mémoire épisodique au niveau de la récupération?

A

L’information est récupérée mais pas son contexte spatio-temporel. Le sujet « sait » que l’item faisait partie de la liste d’étude mais ne se souvient pas des détails du contexte d’encodage.

Sentiment de déjà vue, pas basé sur un processus qui est conscient ou contrôlé. Automatique. J’ai l’impression de l’avoir déjà vue. Aide a retrouver plus vite l’information. Aussi bon chez les jeunes que chez les personnes âgés

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34
Q

Qu’est-ce que des processus contrôlés dans la mémoire épisodique au niveau de la récupération?

A

L’information et son contexte d’encodage sont récupérées. Le sujet a le sentiment de « se souvenir » et pas seulement de « savoir ».

Demande plus d’énergie, plus couteux. Est ce que j’ai déjà vue cette information selon le contexte, est ce que c’est un homme qui me l’a dit, est ce qu’il était souligné en jaune

Jeunes meilleures que les personnes âgés

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35
Q

Comment est-ce que l’on peut faire cette distinction entre les 2 types de récupération dans la mémoire épisodique?

A

Cette distinction entre les deux types de récupération peut se faire à l’aide du paradigme Remember/Know, initialement proposé par Tulving, qui permet d’étudier la conscience associée à la récupération de l’information.

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36
Q

Qu’est-ce que le paradigme de Remember/Know?

A

Initialement proposé par Tulving, permet d’étudier la conscience associée à la récupération de l’information.

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37
Q

Dans le vieillissement normal, quel type de réponse diminue avec l’âge?
(entre je me souviens et je sais)

A
  • Dans le vieillissement normal, les réponses « je me souviens » diminuent avec l’âge, contrairement aux réponses « je sais », qui sont soit stables, soit en augmentation avec l’âge, permettant ainsi de compenser la diminution des premières.
38
Q

Quel type de mémoire permet de relever les réponses « je me souviens » dans le paradigme Remember/Know?

A

– Les réponses « je me souviens » relèvent de la mémoire épisodique (reconstruction consciente de l’événement)

39
Q

Que permet de relever les réponses « je sais » dans le paradigme Remember/Know?

A

– Les réponses « je sais » relèvent plutôt de la mémoire sémantique (sentiment de familiarité)

40
Q

Vrai ou faux, Les effets de l’âge affectent ainsi les processus de récupération automatique mais pas les processus de récupération contrôlés.

A

Faux, Les effets de l’âge affectent ainsi les processus de récupération contrôlée, mais pas les processus de récupération automatiques.

41
Q

Nommez, une des tache les plus couramment utilisées pour évaluer la mémoire de travail.

A

La mesure de l’empan est l’une des tâches les plus couramment utilisées pour évaluer la mémoire de travail (par exemple, l’empan de chiffre).

42
Q

Qu’est ce que l’on sait sur l’empan endroit?

A
  • L’empan endroit des adultes âgés est comparable à celui des jeunes
    – Préservation de la boucle phonologique et du calepin visuospatial avec l’âge
43
Q

Qu’est-ce que l’on sait sur l’empan envers ou l’empan alphabétique?

A
  • L’empan envers ou l’empan alphabétique sont sensibles aux effets de l’âge:
  • Diminution des capacités de l’administrateur central avec l’âge (les difficultés se situeraient au niveau de la manipulation d’informations et non pas du stockage)
    L’empan mnésiques ne bouge pas en vieillissant.
44
Q

Vrai ou faux, L’empan mnésiques ne bouge pas en vieillissant.

A

Vrai

45
Q

Quel type de mémoire résiste particulièrement bien aux effets de l’âge?

A

La mémoire sémantique résiste particulièrement bien aux effets de l’âge

46
Q

Nommez 3 raisons pour lesquelles on dit que la mémoire sémantique résiste particulièrement bien aux effets de l’âge.

A

1 – L’intégrité des représentations sémantiques est avérée par des très bonnes performances aux tests de vocabulaire, de connaissances générales, de similitudes sémantiques, de définition de proverbes.

2 – A des tâches d’amorçage sémantique telles que les tâches de décision lexicale où certains items sont des mots précédés d’autres mots reliés sémantiquement, l’activation de la représentation sémantique du mot suivant étant plus courte s’il est relié sémantiquement au mot précédent, les sujets âgés présentaient des effets d’amorçage équivalents à ceux des sujets jeunes.

3 – Néanmoins la fluence verbale diminue avec l’âge, mais cela n’est pas systématique et la réduction de la production est expliquée par un fonctionnement exécutif moins efficace.

47
Q

Comment sont les performances au test de vocabulaire des connaissances générales, de similitudes sémantiques, de définition, de proverbe dans la mémoire sémantique pour une personne âgée

A

– L’intégrité des représentations sémantiques est avérée par des très bonnes performances aux tests de vocabulaire, de connaissances générales, de similitudes sémantiques, de définition de proverbes.

48
Q

Comment sont les effets d’amorçage chez les sujets âgés si on les compare aux sujets jeunes?

A

A des tâches d’amorçage sémantique telles que les tâches de décision lexicale où certains items sont des mots précédés d’autres mots reliés sémantiquement, l’activation de la représentation sémantique du mot suivant étant plus courte s’il est relié sémantiquement au mot précédent, les sujets âgés présentaient des effets d’amorçage équivalents à ceux des sujets jeunes.

49
Q

Vrai ou faux ? La fluence verbale diminue avec l’âge

A

Vrai, La fluence verbale diminue avec l’âge, mais cela n’est pas systématique et la réduction de la production est expliquée par un fonctionnement exécutif moins efficace.

50
Q

Est ce qu’il y a un effet d’âge sur la mémoire perceptive ou le système des représentations perceptives (SRP)?

A

Non, il y a pas d’effet de l’âge sur les effets d’amorçage perceptif

– Les sujets âgés sont aussi rapides que les jeunes pour identifier des dessins dégradés lorsqu’ils ont vu les dessins dans leur intégralité auparavant

51
Q

Vrai ou faux, les sujets âgés sont moins rapides que les jeunes pour identifier des dessins dégradés lorsqu’ils ont vu les dessins dans leur intégralité auparavant

A

Faux, Les sujets âgés sont aussi rapides que les jeunes pour identifier des dessins dégradés lorsqu’ils ont vu les dessins dans leur intégralité auparavant
SRP

52
Q

Est ce qu’il y a un effet d’âge sur la mémoire procédurale?

A

Pas d’effet de l’âge sur la mémoire procédurale

– Néanmoins, les sujets âgés présentent un ralentissement de la dynamique de l’apprentissage, parvenant plus tard que les jeunes à la « phase procédurale » qui signe l’automatisation de la procédure et constitue la dernière étape de l’apprentissage.

  • Les effets de l’âge se manifestent donc lors de l’apprentissage des procédures, et ce d’autant plus qu’elles impliquent d’autres processus cognitifs (mémoire de travail, fonctions exécutives, …), une phase qu’il faut bien distinguer de la mémoire procédurale, qui elle, résiste aux effets de l’âge.
52
Q

Que provoque le ralentissement de la phase procédurale dans la dynamique d’apprentissage

A

Néanmoins, les sujets âgés présentent un ralentissement de la dynamique de l’apprentissage, parvenant plus tard que les jeunes à la « phase procédurale » qui signe l’automatisation de la procédure et constitue la dernière étape de l’apprentissage.

53
Q

Si il n’y a pas d’effet d’âge sur la mémoire procédurale, sur quoi est-ce que cela se manifestent alors?

A
  • Les effets de l’âge se manifestent donc lors de l’apprentissage des procédures, et ce d’autant plus qu’elles impliquent d’autres processus cognitifs (mémoire de travail, fonctions exécutives, …), une phase qu’il faut bien distinguer de la mémoire procédurale, qui elle, résiste aux effets de l’âge.
54
Q

Est ce qu’il existe une altération majeure au langage?

A

Il n’existe pas d’altération majeure du langage liée au vieillissement et si un déclin modeste est observé, il affecte essentiellement les capacités de production alors que les capacités de compréhension restent préservées.

55
Q

Au niveau du langage, quelles sont les capacités qui sont le mieux préservées et ceux qui sont le plus affectés?

A

il affecte essentiellement les capacités de PRODUCTION alors que les capacités de COMPRÉHENSION restent préservées.

56
Q

Comment on explique dans le vieillissement normal le manque de mots, l’incapacité à produire le bon mot au bon moment ou l’avoir sur le bout de la langue?

A
  • Dans le domaine de la production, le manque du mot, l’incapacité à produire le bon
    mot au bon moment, « l’avoir sur le bout de la langue » sont des expériences dont la
    survenue s’accroît avec l’âge.

– Il affecte surtout les mots de basse fréquence et plus particulièrement les noms
propres.

Ce phénomène serait la conséquence d’un défaut d’activation de la représentation phonologique d’un mot correctement sélectionné

57
Q

Vrai ou faux? Dans le vieillissement normal et dans le cadre du langage, une atteinte est d’abord portée sur les mots de basse fréquence et plus particulièrement les noms
propres.

A

Vrai, Il affecte surtout les mots de basse fréquence et plus particulièrement les noms
propres.

58
Q

Comment se modifient les fonctions exécutives et attentionnelles dans le vieillissement normal

A

Le déclin des fonctions exécutives est une caractéristique du vieillissement normal.

– La flexibilité, la mise à jour et l’inhibition sont sensibles aux effets de l’âge.

59
Q

Les perturbations liées à l’âge ont été classiquement attribuées au
ralentissement cognitif ou aux déficits attentionnels mais, plus récemment,
qu’est ce qui a été avancé?

A

C’est un déclin du contrôle exécutif qui a été avancé.

60
Q

Qu’est ce que le vieillissement cognitif

A
  • Ralentissement de la vitesse de traitement
  • Pas expliquer par un trouble de l’attention ( moins de ressources attentionnelle, plus sensible à l’interférence)
  • Arrive pas a inhiber le bruit environnant,
  • Il y a aussi un effet exécutifs, diminutions des performances dans les processus
61
Q

Quelles sont les 2 approches qui cherchent à expliquer les modifications cognitives au cours du vieillissement normal?

A

– Selon l’ approche globale, un petit nombre de facteurs généraux expliquent l’ensemble des effets du vieillissement.

– Selon l’ approche neuropsychologique, les effets du vieillissement sont dus à la détérioration de certains processus spécifiques au sein de la fonction concernée et/ou des structures anatomiques qui les sous-tendent.

62
Q

Qu’est-ce que l’approche globale? Selon le vieillissement cognitif

A

– Selon l’ approche globale, un petit nombre de facteurs généraux expliquent l’ensemble des effets du vieillissement.

63
Q

Qu’est-ce que l’approche neuropsychologique dans les modèles du vieillissement cognitif?

A

Selon l’ approche neuropsychologique, les effets du vieillissement sont dus à la détérioration de certains processus spécifiques au sein de la fonction concernée et/ou des structures anatomiques qui les sous-tendent.

64
Q

Nommez un lien entre les 2 approches du vieillissement cognitif (globale et neuropsychologique)

A

Il existe indéniablement des liens entre les deux approches, par exemple entre l’hypothèse globale qui privilégie le déficit des capacités d’inhibition ou de la mémoire de travail et l’hypothèse neuropsychologique « frontale ».

65
Q

Est-ce que les 2 approches du vieillissement cognitif normal sont complémentaires? (globale et neuropsychologique)

A

Au total, les deux approches sont complémentaires, aucune des deux ne
permettant à elle seule, de rendre compte de l’ensemble des phénomènes
observés au cours du vieillissement

66
Q

Selon l’approche globale, qu’est-ce qu’explique un facteur général?

A

Selon l’approche globale, un facteur général expliquerait l’ensemble des effets du vieillissement, qu’il s’agisse de la mémoire ou des autres fonctions cognitives.

67
Q

Nommer 3 hypothèse selon le modèle de l’approche globale?

A

A. L’hypothèse d’une diminution de la vitesse de traitement de l’information

B. L’ hypothèse d’une diminution des capacités de la mémoire de travail avec l’âge

C. L’hypothèse d’une diminution des capacités d’inhibition des informations non pertinentes

68
Q

Selon l’approche globale, comment on explique l’hypothèse d’une diminution de la vitesse de traitement de l’information?

A

Deux mécanismes distincts seraient responsables de la relation entre la vitesse et la cognition:

– D’une part, les opérations cognitives sont exécutées trop lentement pour être achevées en un temps limité, et moins de traitement cognitif équivaut généralement à un moins bon niveau de performance.

– D’autre part, le ralentissement réduit la quantité d’informations disponibles simultanément, nécessaires à un traitement cognitif de plus haut niveau. Les produits d’une première étape de traitement risquent alors d’être perdus au moment où les traitements ultérieurs sont accomplis.

69
Q

Selon l’approche globale, comment on explique l’hypothèse de la diminution des capacités de la mémoire de travail?

A

Certaines études montrent ainsi que des mesures de mémoire de travail sont de bons prédicteurs des performances dans des tâches de rappel de phrases ou de textes, mais ce résultat a été controversé.

70
Q

Selon l’approche globale, comment on explique l’hypothèse d’une diminution des capacités d’inhibition des informations
non pertinentes?

A

La conséquence serait une surcharge de la mémoire de travail à l’origine de difficultés cognitives chez les personnes âgées : celles-ci auraient tendance à traiter toutes les informations plutôt que de sélectionner les plus appropriées

71
Q

Quelle est la spécificité de l’approche neuropsychologique dans les modèles du vieillissement cognitif?

A

La spécificité de cette approche est de permettre de comprendre comment le vieillissement normal peut s’accompagner de l’atteinte sélective de certains systèmes (ou de certains processus au sein des systèmes).

72
Q

Quel est l’idée central selon l’approche neuropsychologique dans les modèles du vieillissement cognitif?

A

L’idée centrale est que l’atteinte sélective de certaines structures cérébrales est responsable du déclin de performances.

73
Q

Vers quoi a orienté l’analyse du fonctionnement de la mémoire épisodique chez des sujets âgés?

A

L’analyse du fonctionnement de la mémoire épisodique chez des sujets âgés a plutôt orienté les recherches vers une comparaison avec les patients avec un syndrome frontal.

74
Q

Pourquoi est-ce que l’on compare des personnes avec des syndromes frontal et des personnes ayant un vieillissement cognitif? Selon l’approche neuropsychologique.

A

Ces patients n’ont pas de véritable syndrome amnésique, ils éprouvent des difficultés de même nature que celles notées chez les sujets âgés normaux, même s’il existe des différences quantitatives:
1 - Difficultés dans l’organisation du matériel
2 - Stratégies spontanées d’encodage et de récupération insuffisamment efficaces
3 - Difficultés d’inhibition et sensibilité aux interférences
4 - Problèmes de jugement temporel
5 - Amnésie de la source et risque accru de faux souvenirs

75
Q

Nommez 5 difficultés de même nature entre les syndromes amnésiques du syndrome frontal et du vieillissement normal

A

1 - Difficultés dans l’organisation du matériel
2 - Stratégies spontanées d’encodage et de récupération insuffisamment efficaces
3 - Difficultés d’inhibition et sensibilité aux interférences
4 - Problèmes de jugement temporel
5 - Amnésie de la source et risque accru de faux souvenirs

76
Q

Nommer un argument supplémentaire à l’appui de l’hypothèse selon laquelle la mémoire épisodique chez des sujets âgés a des ressemblances avec un syndrome frontal.

A

Un argument supplémentaire à l’appui de cette hypothèse est que les différences entre les performances de groupes de sujets jeunes et de sujets âgés s’expliquent au moins en partie par les différences de performances aux tests de fonctions exécutives

77
Q

Est-ce que l’on peut dire que la plupart des individus ont un vieillissement homogène au niveau des performances à age égal?

A

Non, L’existence d’une importante variabilité interindividuelle des performances, à âge égal, a souvent été signalée dans la littérature et cette variabilité augmente avec l’âge.

78
Q

Apparemment, la variabilité interindividuelle des performances à âge égal augmenterai dans certains domaines cognitifs, identifier lesquels.

A

– Plus précisément, différentes études suggèrent qu’elle augmente dans certains domaines cognitifs, dont la mémoire, et davantage chez les sujets de bas niveau culturel.

79
Q

Vrai ou faux, Certains sujets âgés bénéficieraient d’un vieillissement « normal » voire « réussi » tandis que d’autres seraient plus sensibles au déclin cognitif.

A

Vrai, malheureusement nous ne somme pas tous égaux

80
Q

Plusieurs caractéristiques semblent déterminantes dans l’apparition de ces différences interindividuelles, nommer une variable importante.

A

L’éducation

81
Q

En quoi est-ce que l’éducation est une variable déterminante dans l’apparition des différences interindividuelles?

A

1 – L’influence de cette variable sur les systèmes mnésiques n’est pas homogène, la mémoire épisodique, la mémoire de travail et la mémoire sémantique y étant plus sensibles que les effets d’amorçage et la mémoire procédurale.

2 – De plus, le niveau d’éducation des sujets peut moduler l’influence de l’âge sur la mémoire.
Plus le niveau d’éducation est bas, plus les effets délétères de l’âge sur l’apprentissage d’une liste de mots et sur la capacité d’inhiber les mauvaises réponses sera important.

3 – Plusieurs auteurs ont montré que des sujets en bonne santé, avec un haut niveau d’éducation, actifs sur le plan intellectuel et bien intégrés socialement avaient plus de chances d’échapper à la détérioration intellectuelle et au déclin de la mémoire.

82
Q

Vrai ou faux, plus le niveau d’éducation est bas, plus les effets nuisible de l’âge sur l’apprentissage d’une liste de mots et sur la capacité d’inhiber les mauvaises réponses sera important.

A

Vrai

83
Q

Comment faire pour avoir plus de chance d’échapper à la détérioration intellectuelle et au déclin de la mémoire?

A

Plusieurs auteurs ont montré que des sujets en bonne santé, avec un haut niveau d’éducation, actifs sur le plan intellectuel et bien intégrés socialement avaient plus de chances d’échapper à la détérioration intellectuelle et au déclin de la mémoire.

84
Q

Dans quel sens est ce qu’elle en utilise la notion de vieillissement réussie?

A

La notion de « vieillissement réussi » (successful aging) est volontiers employée pour qualifier ce qui se passe chez les personnes âgées dont le fonctionnement cognitif est remarquablement préservé.

– Ce terme s’oppose au vieillissement habituel ou normal, et au vieillissement pathologique.

85
Q

Un vrai ou faux ? Le vieillissement réussit s’oppose au vieillissement habituel ou normal.

A

Vrai

86
Q

Les études des facteurs prédictifs d’un vieillissement réussi ont souligné l’importance de 5 éléments, lesquels?

A
  • du niveau d’éducation
  • de la bonne santé
  • d’une nutrition de bonne qualité
  • de l’exercice physique et intellectuel
  • du maintien des liens sociaux
87
Q

Qu’est ce que la réserve cognitive?

A

La réserve cognitive a été proposée pour expliquer l’écart observé chez certains individus entre le degré de leur atteinte cérébrale et son expression sur le plan cognitif.

Vas pouvoir compenser beaucoup plus longtemps, mais fini quand meme par perdre ces réserve aussi

88
Q

Par quoi serait modulé la réserve cognitives?

A

Elle serait modulée par des facteurs environnementaux tels que le niveau d’éducation, la pratique d’activités cognitivement stimulantes, la pratique régulière d’activités physiques au cours de la vie.

89
Q

Les résultats de l’étude SHARE (Survey on Health, Ageing and Retirement in Europe) ont montré que le fait faire quoi était favorables à la constitution de la réserve cognitive?

A

Le fait de rester en activité, ainsi que la pratique d’une activité non professionnelle ou d’activités physiques sont favorables à la constitution de la réserve cognitive

90
Q

FINININININIIIIIIIIIIII

A

YEAHHHHHHHHHHHHHHHHHHH