cours 9 Flashcards
fondations du concept de soi :
Conscience de soi (self-awareness) corporelle (bébé) –> psychologique
Concept de soi
concept de soi :
Représentation mental qui définit qui je suis : un ensemble d’habiletés, d’attributs, d’attitudes, de valeurs
la conscience de soi peut avoir une grande influence sur quoi?
Influence grandement le développement socio-affectif
- surtout au niveau de l’initiative = on veut que l’enfant se sent en confiance de faire des nouvelles choses pour qu’il puisse acquérir ces habiletés là
concept de soi au préscolaire :
Se décrivent en se basant surtout sur des caractéristiques observables :
- nom
- apparence
- possessions
- comportements
concept de soi - 3 1/2 ans :
émotions et attitudes habituelles
concept de soi - 4 ans :
comprend sens de termes (traits), mais ne les utilisent pas pour se décrire
- ex. : gentil
concept de soi - 5 ans :
Évaluation correspond à celle de leur mère
- début des caractéristiques psychologiques, mais ne parlent pas de leurs traits de personnalité
qu’est ce qui contribue au développement positif du concept de soi?
Attachement sécurisant (se décrire positivement à 5 ans)
Conversations parent-enfant élaborées
Focaliser sur les états internes de l’enfant
- parler de leurs causes et conséquences
- évoquer quand l’enfant a réussi à se remettre d’une émotion douloureuse à aide l’enfant à se dire lui même des affirmations positives
quelle info donnent les parents au cours de conversations dès 2 ans ?
Info à propos des règles, attentes, évaluation de l’enfant
concept de soi qui persiste dans le temps (vers 4 ans) :
- anticiper les besoins et états futures
- besoins et états futures risque de changer avec le temps
qu’est ce qui contribue aux initiatives ?
Jugements que l’on porte sur notre propre valeur et les sentiments liés à ces jugements
estime de soi - âge préscolaire :
Évaluations spécifiques (différentes activités) = pas globales
Distingues mal sa compétence réelle c. désirée (se surestime)
quoi faire pour aider nos enfants à avoir une bonne estime de soi?
- attentes réalistes, échafaudage, encouragement (motivé)
- c. critique = enfant abattu, honteux
développement cognitif :
Augmente avec l’amélioration du langage, les représentations mentales et le concept de soi
- juge les causes des émotions dès 4-5 ans (surtout facteurs externes au début)
- interprète émotion à partir du comportement
- réalise lien entre pensées et émotions
- aide à soulager les autres
quand les enfants ont-ils de la difficulté à bien interpréter une situation?
quand il y a des signes contradictoires
compréhension des émotions - parents :
- discussion élaborée, attachement sécurisant
- nomme, explique (échafaudage)
- reconnait les émotions de l’enfant
- compromis, négociation lors des conflits
Les parents qui ont des discussions élaborées avec leur enfant les aident à faire des liens à comprendre des causes, à comprendre les propres émotions
compréhension des émotions - compétence émotive, pro-sociabilité:
- communique émotions auprès d’amis/fratrie
- associé à des relations positives + être apprécié
Les enfants qui ont une bonne compétence émotive vont avoir des tendances altruistes, car sont + capables de communiquer leurs émotions aux autres = relations positives
qu’est ce qui aide bcp l’autorégulation émotive?
le langage
stratégie pour alléger l’intensité des émotions :
- limiter stimuli sensoriels
- se parler, se réconforter
- changer de buts
qu’est ce qui diminue à cet âge au niveau des émotions?
Les explosions
autorégulation émotive - contrôle volontaire :
Prédit coopération
Capacité à porter un “masque émotif”
- masque + facile, culture les encouragent (promouvoir bonnes relations sociales)
tempérament difficile :
Enfants qui ont de la misère à inhiber et gérer leurs émotions (sont + fortes)
- inhibition, distraction + difficiles
- anxiété, irritation = défi de bien s’entendre avec les autres
- difficile de s’autoréguler
autorégulation émotive - parentage :
Gérer propres émotions, suggestions/explications stratégies
Risque si parents expriment peu d’émotions + nient les émotions de l’enfant, gèrent mal leur propre colère
- ces enfants sont cibles de parentage inefficace (les enfants qui ont un tempérament difficile risquent + d’avoir un mauvais parentage)
- enseigne aucune stratégie à l’enfant = dénominateur commun
émotions reliées au concept de soi :
Sensibilité accrue aux critiques et éloges, avec développement du concept de soi :
- fierté culpabilité : dépend encore des autres (quand ressentir)
- fierté = bon pour son concept de soi
- culpabilité = mauvais pour son concept de soi
qu’arrive-t-il s’il y a trop de jugements?
Si jugements très fréquences, ces émotions seront trop intenses = ça va être difficile pour l’enfant de gérer toutes ces émotions
- focaliser sur ce qui peut être amélioré, décrire, informer c. juger la valeur de l’enfant
- honte (dépression, agressivité) c. culpabilité (niveau adéquat : ajustement social)
quand provient la honte?
quand l’enfant juge négativement sa propre valeur, se sent mauvais en tant que personne = veulent se cacher
empathie :
utilisent + les mots pour la communiquer
- va comprendre les émotions des autres
- aider à développer l’altruisme
empathie cognitive :
Comprendre l’émotion de l’autre
- mène à l’altruisme (tenter de consoler)
empathie émotive :
Ressentir avec
- risque de détresse personnelle (ne cherche pas à apaiser l’autre)
empathie et sympathie - parentage :
Attachement sécurisant, sensibilité, modèle souci de l’autre c. style colérique, insensible et punitif
pairs =
occasion unique d’apprendre
sociabilité, période préscolaire (Parten) :
- jeu solitaire (seul)
- jeu parallèle (près un de l’autre)
- jeu associatif (activités séparées, mais échanges) et jeu coopératif (but commun)
jeux fonctionnels :
Mouvements simples et répétitifs, avec ou sans objets
- 0-2 ans
jeux constructifs :
Créer ou construire quelque chose
- 3-6 ans
jeux faire-semblant :
Jouer des rôles de tous les jours ou imaginés
- 2-6 ans
enfants inhibés/anxiété sociale :
Observent longuement
- parent : surprotection, critique, contrôle excessif du jeu (c. les encourager patiemment à aller vers les enfants)
On veut plutôt que le parent encourage avec patience l’enfant à aller vers d’autres enfants
- encouragement
- échafaudage
enfants impulsifs :
jeu solitaire, répétitif
enfant qui préfèrent jouer seuls :
Ni anxieux ni impulsifs
- activité positives et constructifs ; sociables
quand ils veulent aller vers d’autres enfants, ils sont capables, mais ils passent moins de temps à le faire
quelles sont les situations ou il faut s’inquiéter par rapport à la sociabilité avec les pairs?
- enfants inhibés/anxieux
- enfants impulsifs
avancement dans le sociabilité avec les pairs - comprend/contrôle émotions, répondre signaux des autres dans :
- jeux sociodramatiques (filles > gars)
- jeux de bagarre (gars > filles)
- gains compétences émotives pour les 2 sexes 1 an + tard
premiers amis :
Qqu qui t’aime bien, qui joue avec toi et partage ses jouets
Changent fréquemment
Les enfants sont + encourageants et expressifs émotionnellement envers les amis
amis à la maternelle :
Contribue à l’ajustement social et académique (base sécurisante)
- il y a des potentielles explications = à cet âge là, les enfant apprennent bcp par le jeu (les enfants s’impliquent +) et avoir un ami est une base pour s’en faire d’autres
être accepté, se faire des amis - ajustement scolaire:
- meilleure participation
- meilleurs apprentissages/performance
- = “pré-requis” sociaux pour entrer à l’école
l’effet du tempérament sur les relations avec les pairs et l’ajustement scolaire :
Le fait d’avoir un tempérament + difficile :
- difficile d’être coopératif avec les autres et d’avoir des amis
- difficulté avec l’ajustement scolaire
l’effet des éducatrices au préscolaire sur les relations avec les pairs et l’ajustement scolaire :
Chaleur et sensibilité = important pour développer des influences sociales
- surtout pour enfants au tempérament difficile
- prédit compétence sociale des enfants, même à la maternelle
qu’est ce qui peut avoir une influence sur la relation avec les pairs et l’ajustement scolaire?
- être accepté/se faire des amis
- tempérament
- qualité parentage
- qualité des expériences en classe
- éducatrice (préscolaire)
conflit :
occasion d’apprendre
conflit entre amis :
plus de désaccords et de résolutions
résolution de problèmes sociaux :
Générer et mettre en pratique des stratégies pour résoudre le problème et que les 2 partis soient satisfaits
quand observe-t-on bcp d’amélioration de la résolution de problèmes sociaux?
Bcp d’amélioration (période préscolaire) :
- 2-4 ans : augmentation des émotions positives et des comportements pro-sociaux lors des négociations
- 5-7 ans : persuasion, compromis, stratégies alternatives
stratégies alternatives :
si une première stratégie n’a pas fonctionné, ils vont être capable d’en trouver une autre
résolution de problèmes sociaux (Crick et Dodge) :
Grand impact sur les relations avec les pairs
- quels indices perçus?
- interprétation juste?
- but de l’enfant aide ou pas à la relation
- stratégies efficaces?
S’apprend
- une théorie par étape comme ça permet aux intervenant de savoir ce que l’enfant a besoin de travailler
quels types d’influences parentales sur les relations avec les pairs?
- directe
- indirecte
influence parentale directe :
- organise des activités formelles entre pairs
- modèle : initier contact, bon hôte
- conseils : comment agir avec autrui
influence indirecte :
Attachement sécurisant
- communication sensible et riche émotivement
Jouer, même niveau (hiérarchie disparait)
moralité =
distinguer le bien du mal, accommoder les besoins des autres
signes de développement moral chez les petits :
- 3 mois : “préfèrent” personnage gentil
- 1 1/2 an : s’attend à partage juste
- 2 ans : langage, juge propre comportement, celui des autres
début de la moralité :
À l’âge préscolaire
- comment par le contrôle externe (adultes)
- puis standards, principes internes
quelles sont les 3 théories qui expliquent comment la moralité se développe chez les enfants?
- perspective psychanalytique
- théorie de l’apprentissage social
- perspective cognitive-développemental
perspective psychanalytique :
La conscience (surmoi) se forme
Freud
moralité - selon Freud :
- développement moral complété vers 5-6 ans
- enfant obéit au Surmoi afin d’éviter lla culpabilité
- motivé par peur de la punition ou de perdre l’amour parental
si amour inconditionnel :
associé à de la culpabilité excessive, risque d’être niée (diminue conscience)
punition et menace :
associée à moins bon développement moral chez l’enfant (+ de méfaits, moins de culpabilité suite aux transgressions)
selon la perspective psychanalytique, qu’est ce qui facilite le développement moral?
La discipline inductive
- associée à - de méfaits, + de confessions, + de réparations et + de pro-sociabilité
discipline inductive :
Après méfait :
- souligner l’impact du geste posé sur l’autre
- faire remarquer la détresse de l’autre
- clarifier que c’est lui qui en est la cause
- expliquer (ajuster niveau de difficulté_ avec chaleur
- insister pour s’assurer que l’enfant a bien écouté
Efficace dès 2 ans
pourquoi la discipline inductive fonctionne-t-elle?
Car elle motive les enfants à se conformer aux principes moraux
- en expliquant comment se conduire = information qui peut être utilisée dans le futur
- en mettant l’accent sur l’impact du geste, encourage l’empathie et les comportements pro-sociaux
- offrir des raisons avec requête : peut suivre consigne parce que ça a du sens
- à la longue, les enfants créent un script qui peut dissuader des futurs transgressions
- c. puni et/ou rejeté : anxiété (obstacle)
perspective psychanalytique - contribution de l’enfant :
Caractéristiques influencent l’efficacité des pratiques parentales
- enfants empathiques : induction + efficace
- tempérament :
- enfants inhibés: stratégies douces suffisent
- enfants impulsifs : douces inefficaces, recours au pouvoir non plus –> relation positive, fermeté et induction
perspective psychanalytique - rôle de la culpabilité:
Freud avait raison au sujet de la culpabilité comme motivation pour les gestes moraux
Associée à l’arrêt des méfaits, réparation, pro-sociabilité
Induire la culpabilité basée sur l’empathie influence l’enfant, sans être coercitif
- aide enfant à gérer ses sentiments de culpabilité : l’orienter vers la rectification
La culpabilité permet à l’enfant de se sentir responsable et d’avoir du regret sur son gest
théorie de l’apprentissage social
La culpabilité ne serait pas le seule déterminant du comportement moral
- modelage (observe, imite)
- renforcement du geste
Se concentre sur comment le fait d’observe les adultes va pousser les enfants à vouloir imiter ces gestes moraux
modèles de la théorie de l’apprentissage social :
Désir d’imiter
Caractéristiques des bons modèles :
- chaleur et sensibilité
- compétence et pouvoir
- cohérence entre ce que l’adulte dit et ce qu’il fait
À 3 ans : le désir d’imiter prédit des comportements et émotions moraux
Avoir eu modèles pro-sociaux est lié à la pro-sociabilité
Impact surtout en base âge
théorie de l’apprentissage social - effets des punitions :
Obéissance c. intériorisation
Problèmes de santé mentale (enfants, ados, adultes)
Effets secondaires indésirables
effets secondaires indésirables des punitions :
- modèle d’agression
- entraine colère, focalise sur propre détresse
- apprend à éviter l’adulte qui punit
- renforcement pour l’adulte, pente glissante vers abus
- risque de transfert intergénérationnel
facteurs de risque d’utiliser les punitions :
- SSE faible
- problème de santé mentale
- moins éduqués
- conflits conjugaux
alternatives aux punitions :
- temps d’arrête (temps pour retrouver son calme)
- retrait de privilèges (on retire un privilège en lien avec ce que l’enfant a fait)
les alternatives sont + efficaces si :
- constance
- contexte de relation chaleureuse
- raisons, explications
alternatives + efficaces :
- relation positive
- stratégies positives
stratégies positives :
- Voir une transgression comme occasion d’enseigner
- Prévenir les occasions d’inconduites
- Expliquer la raison derrière les règles
- Inclure l’enfant dans les routines et tâches de la famille
- Quand enfants obstinés, reconnaître leur émotion et suggérer compromis (résolution de problèmes)
- Encourager les comportements matures
- Être sensible aux ressources physiques et émotives de l’enfant (faim ? fatigue ?).
que donne les stratégies positives ?
respect, coopération, proximité = engagement relation
que sont les enfants selon la perspective cognitive-développementale?
enfants = penseurs actifs (règles sociales)
à partir de quand les enfants posent-ils des jugements moraux basés sur les concepts de justice, d’équité?
Dès le préscolaire, les enfants posent des jugements moraux
- 3 ans : tient compte de l’intention
- 4 ans : distingue mensonge de vérité
- distingue impératifs moraux (protéger droits, bien-être)
- c. conventions sociales (bonnes manières)
- c. choix personnels
Raisonnement rigide
- pas de nuance
impératifs moraux :
Comprennent que si on viole un impératif moral, c’est bcp + grave que si on viole des conventions sociales ou des choix personnes
- même si personne nous voit
violation morale :
+ grave, même si pas vue, même si pas de règle
expériences sociales et sens moral :
Cognition, langage contribuent
Expériences sociales aussi :
- conflits (possessions, droits) = occasions de former des idées sur la justice et l’équité
- observent comment les adultes gèrent leur offenses, discutent d’enjeux moraux
parents et sens moral :
- adaptent niveau de langage
- histoire avec morale
- parle d’injustice
- encouragement pro-sociabilité
stéréotypes sexuels (genre typing) :
Association (objets, activités, rôles, traits, etc.) à l’un ou l’autre des sexe (conforme aux stéréotypes culturels)
genre :
Une des premières catégories formées, avant même d’étiqueter correctement propre sexe (vers 2 ans)
dès que les catégories sont créées :
- des comportements et activités y sont associés
- hausse comportements stéréotypés de 2-13 ans
croyances et comportements provenant de stéréotypes sexuels - préscolaire :
- associent jouets, habits, outils, couleurs, etc.
- croyances se reflètent dans comportements et traits (préférences jeux, amis, actif/affirmatif c. sensible, obéissante)
croyances et comportements provenant de stéréotypes sexuels - entre 3-4 ans :
- croyances deviennent fortes et rigides
- ne réalisent pas que les caractéristiques associées au genre ne déterminent pas si un individu est M ou F
influences biologiques des rôles sexuées - cultures :
différences sexuées parmi plusieurs cultures et espèces de mammifères
influences biologiques des rôles sexués - perspectives évolutionniste :
Fonction adaptative :
- hommes = compétition partenaire (dominer)
- femmes = soins aux enfants (être sensible)
quelles sont les influences biologiques des rôles sexués?
- culture
- fonction adaptative
- hormones
- milieu social
- hérédité, stress maternel, produits, chimiques industriels
influences biologiques des rôles sexués - milieu social :
le milieu social influence l’intensité, sans éradiquer ces différences d’origine génétiques
influences biologiques des rôles sexués - hormones :
Plus d’androgène prénatal :
- animaux = jeu + actif, - de sons
- filles = préférences + masculines
Moins d’androgène prénatal :
- garçons : choix et comportements + féminins
influences environnementales des rôles sexués :
- famille
- enseignants
- pairs même sexe
- environnement social large
influence de la famille sur les rôles sexués:
Les habiletés que les parents vont vouloir enseigner à leurs enfants vont changer en fonction du sexe
= moins fort chez les parents de même sexe
- perçoit bébé différemment, attentes
- qualités, habiletés “importantes”
- jouets offerts, jouer (physique/compétition c. coopération/beauté), réactions
- type d’interactions (actif c. dirige et réfère émotions)
- langage, référer aux rôles distincts
- pire pour garçons, pire chez les pères
- mieux si parents agissent selon valeurs moins stéréotypées, chez parents même sexe, si fratrie du sexe opposé
influence des enseignants sur les rôles sexués :
Filles : davantage encouragées vers des activités structurées (obéir, aider c. inventer, s’affirmer, mener)
Garçons : + d’attention, d’éloges (pour académique), de désapprobations
- attentes : “les garçons vont - bien se conduire”
influence de pairs de même sexe sur les rôles sexués :
En moyenne
- 4 ans : 3:1 de temps
- 6 ans : 11:1
+jeu avec même sexe, + acquisition des rôles accentuée
Complimenté c. critiqué ou ignoré (surtout garçon)
Style d’influence diffère (force-gars .c persuasion- fille)
- fille au style affirmatif = reçu avec agressivité
2 “sous-cultures”
influence de l’environnement social large sur les rôles sexués :
Télévision, matériel scolaire, jeux ordinateurs, etc.
Émissions contiennent moins de stéréotypes sexuels reliés à la carrière, mais femmes sont encore jolies, victimisées, hommes dominant
Les stéréotypes sexuels très présents dans les dessins animés et les jeux vidéos
Contribuent aux croyances quant aux rôles et comportements associés aux hommes et aux femmes
identité sexuée :
image de soi relativement féminine ou masculine (endosse traits, caractéristiques)
comment évalué l’identité sexuée?
On l’évalue en endossant des traits
- traditionnellement féminins (ex. : affectueuse)
- traditionnellement masculins (ex. : ambitieux)
androgynie :
scores élevés aux 2 types de caractéristiques
identité masculine ou androgyne :
- meilleur estime de soi
- meilleure adaptation
quelles sont les 2 théories sur la façon dont l’identité sexuée se développe?
- théorie de l’apprentissage social
- théorie cognitive-développemental
identité sexuée - théorie de l’apprentissage de soi :
acquiert comportements, puis les organise en une image de soi
identité sexuée - théorie cognitive-développementale :
acquiert constance du genre, qui guide les comportements
constance du genre :
Permanence du genre, basée sur la biologie, non altérée par les apparences, les activités
- le fait de comprendre que notre genre reste le même, c’est biologique
acquisition de la constance du genre :
- identité du genre (étiqueter propre sexe, celui d’autrui)
- stabilité du genre (stable dans le temps)
- cohérence/continuité du genre (pas altéré par apparence, activité)
impact de la constance du genre sur l’identité sexuée :
faible
impact endossement stéréotypes sur l’identité sexuée :
fort
conséquences du traitement de l’information par le schéma du genre - étude (4-5 ans) :
- jouets neutres : “fille”, “garçon”, non-classés
- jouets perdaient leur attrait si autre genre, surtout les + attrayants
que croient les enfants à l’âge préscolaire sur les stéréotypes de genre?
Ils croient que ce sont les pratiques culturelles qui déterminent le genre (limites cognitives)
Comment éviter la rigidité des schémas du genre, qui restreignent les activités, l’apprentissage
- éviter d’exposer les stéréotypes à la maison (ex. : repas)
- offrir 2 types de jouets, couleurs
- éviter le langage stéréotypé, médias
- souligner les exceptions
- expliquer que les intérêts (pas sexe) déterminent les activités
- classe : temps de jeu libre mixte
être un “bon” parent :
attitudes, pratiques, climat
4 styles de pratiques parentales - catégories de Baumrind :
- démocratique
- autoritaire
- permissif
- désengagé
trois aspects importants des styles de pratiques parentales :
- acceptation, chaleur (c. hostilité, rejet)
- cadre (c. laisser faire)
- soutien de l’autonomie (c. contrôlant)
démocratique :
- chaleur et sensibilité
- cadre, requêtes appropriées
- écoute, respect/soutien autonomie
Le meilleur (répond aux 3 besoins) - les enfants vont avoir de nombreux bienfaits au niveau de l'humeur, des compétences scolaires, etc.
autoritaire :
- distance, rejet
- plusieurs demandes
- coercition, dominer, contrôle psychologique
contrôle psychologique =
Contrôler non pas les comportements, mais le “monde intérieur” de l’enfant (ses émotions, pensées, intérêts)
- contrôler les émotions de l’enfant = mauvaise
- ex. : intrusion, manipulation, culpabilisation, acceptation condtionnelle
permissif :
- chaleur, indulgent
- peu, pas de requêtes
- laisse décider, même si pas prêt
désengagé :
- pas de lien
- pas de demande
- indifférent à son autonomie
- extrême = négligence
sens de la corrélation :
influence des enfants “difficiles”
efficacité du style démocratique :
chaleur + contrôle comportemental + soutien = bénéfique, fait dévier de trajectoire comportementale problématique
Style associé à la maturité et l’ajustement (adolescence)
enfants impulsifs :
résister à la coercition et incohérene
enfants inhibés :
résister à la surprotecion