cours 8 Flashcards
âge de l’avancement en représentation mentale :
2 à 7 ans
représentations mentales (gains énormes) :
- symboles
- jeux symboliques
- langage
avancement en représentation mentale selon Piaget :
Le langage n’est pas l’ingrédient principal du développement cognitif
Il voit plutôt l’ingrédient principal comme l’activité sensorimotrice (expériences, sens) qui mène aux images internes, que l’enfant étiquète ensuite avec des mots
- le langage va permettre une flexibilité au niveau des représentations mentales
le jeu symbolique est un bon exemple de quoi?
bon exemple du développement des représentations mentales
que dit Piaget sur le jeu symbolique :
En faisant semblant, les enfants pratiquent et renforcent leur schèmes représentatifs
avec le temps, le jeu symbolique …
Se détache des conditions de la réalité/vraie vie
- on peut mettre en scènes des événements qui n’auraient pas nécessairement lieu dans la vraie vie
Est moins orienté vers soi
Devient + complexe (combine schèmes) (ex. : jeu sociodramatique)
- au début : fait assemblant de façon assez concrète
- en grandissant : le jeu devient symbolique
jeu sociodramatique :
- rôle pour chaque enfant qui joue
- une histoire derrière le jeu
bienfaits du jeu symbolique :
Plus que simplement refléter les habiletés –> contribue aux habiletés cognitives et sociales
- attention soutenue
- inhibition
- logique, mémoire
- langage, alphabétisation
- créativité
- métacognition (penser aux pensées)
- autorégulation
- prise de perspective
En comparaison à des jeux ou l’ont ne fait pas semblant, lors des jeux sociodramatiques :
- les interactions durent + longtemps
- d’engagement
- d’enfants participent
- de coopération des enfants
amis imaginaires :
Pas un mauvais signe!
Associé à jeu symbolique complexe, sociabilité et prise de perspective
faciliter les jeux symboliques au préscolaire :
- fournir assez d’espace et de matériel
- superviser et encourager le jeu d’enfant sans le contrôler
- offrir une variété de matériel réaliste et de matériel sans fonction évidente
- s’assurer que les enfants aient bcp d’expérience réelles riches, afin d’inspirer leurs jeux de fantaisie
- aider les enfants à résoudre les conflits sociaux de manière constructive
qu’est ce que la compréhension des symboles ?
Comprendre que qqc (ex. : photo, maquette, carte) représente qqc de spécifique du monde réel
représentation dualiste :
Voir l’objet, comme étant à la fois :
- un objet comme tel
- un symbole
Maitrise autour de 3 ans
- avant ça = difficile
relations symbole-monde réel - étude de trouver Snoopy dans la vraie pièce :
Les enfants de 3 ans utilisent la maquette
- pas ceux de 2 ans 1/2
- les + jeunes ne réalisent pas que la maquette peut être à la fois une maison de poupée en soi + un symbole (une représentation de la vraie pièce)
Requiert la représentation dualiste
limites de la pensée préopératoire :
Piaget définit aussi le stade préopératoire parce que les enfants ne comprennent pas encore
Gains en représentations mentales, mais pas en opération (représentations mentales d’actions suivant règles logiques)
Pensée souvent rigide, illogique :
- ne tient compte que d’un aspect à la fois
- est très influencée par les apparences
quelles sont les limites de la pensée préopératoire ?
- biais égocentrique de la pensée
- difficulté avec la conservation
- manque de classification hiérarchique
- biais égocentrique de la pensée :
Se représente le monde, mais tend à favoriser son propre point de vue, pense que les autres ont le même (qu’ils voient, pensent, se sentent de la même manière que lui)
problème de s3 montagnes de Piaget :
- que voit la poupée
- l’enfant choisit la photo qui représente son propre point de vue plutôt que celui de la poupée
= a de la difficulté à comprendre ce que les autres perçoivent
pensée animiste :
Croire que les objets inanimés ont des qualités des êtres vivants : des pensées, émotions, désirs, intentions
Selon Piaget, le biais égocentrique serait responsable de la pensée animiste au recours aux explications liées à la magie
conservation :
Certaines caractéristiques physiques des objets demeurent les mêmes, même quand leur apparence change
- difficulté avec la conservation :
Démontre quelques limites de la pensées préopératoire :
- centration (ne tient compte que d’un aspect à la fois)
- apparence physique prime (distrait, influencé)
- ignore la transformation dynamique entre l’état initial et final
- irréversibilité (ne peut pas refaire la séquence d’étapes mentalement, puis à l’envers) (la réversibilité fait partie de tout opération logique)
tâche de conservation :
- nombre
- masse
- liquide
- poids
- manque de classification hiérarchique :
Problème d’inclusion de classes de Piaget :
- Est ce qu’il y a + de fleur rouges ou de fleurs? Fleurs rouge
- Le rouge est l’aspect saillant, ne réalisent pas que les fleurs bleues et rouges font partie de la même catégorie “fleurs”
- pas de réversibilité (groupe au sous-groupes; sous-groupes au groupe)
Les enfant d’âge préscolaire auraient-ils autant que limites cognitives que ce croyait Piaget?
Non, ils en auraient moins
Piaget a quand même sous-estimé les capacités des enfants
Il y a, au quotidien, plusieurs exemples de raisonnement juste démontrés par ces enfants
que contenaient les tâches utilisées par Piaget?
Trop d’éléments (peut-être juste trop d’informations à gérer pour les enfants)
Des éléments non-familiers
biais égocentrique :
Dès 2 et 3 ans, les enfants sont conscients du point de vue de l’autre –> si les objets sont familiers
Conversations :
- 3 ans : décrivent que des souliers petits pour eux seraient trop grands pour une poupée
- 4 ans : adaptent langage à l’âge de “petits” de 2 ans
animisme :
Le fait de penser que les objets ont les mêmes pensées que nous
- être animés c. inanimés : mêmes bébés distinguent
- 2 1/2 ans : “il aime, veut” pour gens et animaux, mais pas objets
- magie : quand difficile à expliquer (notions flexibles)
- influencé par la culture (mythe, voeux), religion
études récentes sur la conservation :
- succès à 3 ans quand tâche simplifiée (ex. : 3 items c. 6)
- dès 3 à 5 ans : savent que le sucre ne disparait pas (continue d’exister) dans l’eau, même si invisible
catégorisation :
Difficulté aux tâches d’inclusion de Piaget
Mais : mêmes bébés créent des catégories basées sur la fonction
Inférer à partir d’aspects non-observables
catégorisation - expérience : animaux, par enfants Menominee c. Boston :
Les expériences vont avoir un impact sur la façon de catégoriser des enfants, de différentes cultures par exemple
Sait classer objets divers niveaux, hiérarchie :
- niveau de base/intermédiaire
- niveau + général
- sous-catégories
Langage et connaissances : progrès aident
Conserver et lire des livres avec parents aident bcp, surtout quand les parents nomment et expliquent
évaluation du stade préopératoire :
Débuts d’opérations logiques, graduellement
Utilisent de + en + des stratégies mentales (c. perceptuelles)
- ex. : conservation
Progrès avec enseignement
Pas de stade préopératoire?
- traitement information (pas de stade)
- néo-piagétiens : notion de stade, mais flexible
Piaget et l’éducation :
L’apprentissage par la découverte
Être sensible à la disposition des enfants à apprendre :
- suivre leurs intérêts, attendre qu’ils soient prêts
Accepter les différence individuelles
Bcp de garderies s’inspirent de Piaget
théorie socio-culturelle :
Grande importante accordée au langage, qui permet de communiquer avec les membres les + instruits, de participer à des dialogues
Enfants commencent à se parler comme ils parlent aux autres
Le langage :
- complexifie leur pensée
- aide à contrôler propre comportement
comment Piaget nommait le discours privé ?
Piaget le nommait “égocentrique” (j’exprime mes pensées, peu importe s’il y a qqu, si on peut me comprendre)
qu’est ce que le discours privé pour Vigotsky?
Fondation pour tous les processus cognitifs de haut niveau
C’est quand les enfants parlent à haute voix, peu importe des gens autour, peu importe si les autres le comprennent
Graduellement, il devient silencieux (langage interne)
langage privé :
Aide les enfants à penser à leurs processus mentaux et à guider leurs actions
- aide à la clarification, la mémoire, l’attention
quand est utilisé le langage privé ?
Plus utilisé lorsque les tâches ont un niveau de difficulté modérée
- surtout quand la tâche est dans la zone proximal de développement
Les enfants avec des problèmes d’apprentissage et de comportement l’utilisent + longtemps (compensatoire)
que favorise le langage privé?
favorise l’attention, l’engagement, la performance
intersubjectivité :
-2 partis se rejoignent (arrivent à une compréhension commune, partagée)
L’adulte explique de façon à ce que l’enfant comprennent
- l’enfant de son côté met un effort pour comprendre ce que l’adulte dit
Langage aide
échaffaudage (scaffolding) :
Ajuster l’enseignement aux capacités de l’enfant
+ l’enfant est capable, - il aurait besoin de l’aide de l’adulte
Vygostky et l’éducation :
Découverte + qu’indépendant –> éducation assisté
Les enseignants guident l’apprentissage des enfants à l’aide d’explications, de démonstrations
Collaboration des pairs est encouragée
Jeux de rôle = zone proximale de développement
- selon Vygotsky, contexte idéal pour le développement cognitif
- enfant suit idées internes et règles sociales
- riche en langage privé, aide à contrôler actions
- jeu sociodramatique favorise autorégulation émotive et responsabilisation
pourquoi la théorie de Vygotsky a-t-elle été critiquée?
La communication verbale n’est pas la seule façon dont la pensée se développe
Dans les cultures ou la scolarisation occupe une place moins grande, moins d’enseignement et de conversations (+ de modelage)
La théorie en dit peu sur la façon dont les facultés motrices, de perception, d’attention, de mémoire et de résolution de problème contribuent au processus cognitif de haut niveau
quelles sont les fonctions exécutives ?
- inhibition
- flexibilité attentionnel
- mémoire de travail (MT)
- planification
inhibition :
Résister à stimulus/réponse dominante
- capacité d’inhibition au préscolaire prédit la maturité sociale, la performance lecture/mathématiques
Progrès remarquable
flexibilité attentionnelle :
Déplacer son attention selon ce qui est important
mémoire de travail (MT) :
Permet de se fixer des objectifs de + en + complexes, qui nécessitent davantage de concentration
planification :
Préparer une séquence d’actions à l’avance et allouer son attention à chaque étape
reconnaitre :
Stimulus qui nous aide à savoir la bonne réponse
Performent très, très bien
se rappeler :
Difficile
- lié au langage (représentations des choses et des événements)
- utilisent peu les stratégies de mémoire (ex. : répéter, organiser) même si on leur montre comment, car leur MT est limité
mémoire épisodique (événements) :
Contrairement à une liste, pour les faits vécus, les informations sont complexe et reliées entre elles
- quoi, qui, ou, quand, comment
De 3-6 ans : progrès mémoire pour relations entre stimuli
Lier les éléments ensemble lors d’encodage/récupération des informations
événements familiers, répétitifs :
Sous forme de scripts : description générale de ce qui arrive, quand ça arrive
Plus élaborés avec l’âge
Aide à organiser, prédire la vie de tous les jours
Comme des généralités qu’on peut se souvenir
événements uniques (souvenir autobiographique) :
+ élaborés avec l’âge
Souvenirs spécifiques qu’on a
Les enfants de 6 ans vont avoir besoin des souvenirs uniques + élaborés que les enfants de 3 ans par exemple
Mémoire - style élaboré (c. répétitif)
Les adultes posent des questions = aide les enfants à raconter
- favorise le rappel
- histoires + organisées et détaillées
- liens avec autres (histoire commune)
- connaissance de soi : concept de soi + clair et cohérent
- différences :
- sexe. : filles > garçons
- culture : occidentaux > asiatiques
- liées aux conversation avec parents
théorie du chevauchement des stratégies (Siegler) :
- essaie, expérimente une variété de stratégies
- observe à quel point elles fonctionnent
- graduellement, sélectionne celle qui mène à des réponses rapides et justes
- parmi les enfants de tous âges
qu’est ce qui aide la résolution de problème?
- pratique
- raisonnement
- nouveaux défis
- soutien d’adultes
- surtout expérimenter
- faire l’expérience des lacunes des moins bonnes stratégies
théorie de l’esprit (métacognition) :
Ensemble cohérent d’idées à propos des activités mentales (les nôtres et celles des autres)
théorie de l’esprit - 3 ans :
Penser = dans notre tête
- savent que qqu peut penser à qqc sans le voir/toucher
- mais ne réalisent pas que qqu est en train de penser s’il fait qqc (sans indice saillant)
- croient que action est liée aux désirs (pas croyance)
théorie de l’esprit - 4 ans :
Les désirs et les croyances guident nos actions
comprendre les états mentaux des autres :
Jeu de la fausse croyance :
- comprendre que des croyances erronées peuvent guider le comportement de qqu
- plusieurs enfants de 4 ans réussissent
- mais pas capable de voir que le croyance de la marionnette peut être différente de la sienne, sous 4 ans
facteurs contribuant à la théorie de l’esprit :
Langage et raisonnement verbal : permet de réfléchir aux états mentaux
Fonctions exécutives (inhibition surtout)
Interactions sociales :
- “mind-mindedness” de mères
- fratrie (être exposé aux pensées de sa famille, participe)
- variations culturelles
mind-mindedness :
Quand les parents vont exprimer aux enfants leur vécu
- le parent verbalise ce que l’enfant ressent et ce qu’il pense ou ressent lui-même
alphabétisation émergent (a.é.) :
Efforts actifs pour comprendre le sens des symboles écrits, à travers des expériences informelles
- révise graduellement les idées
- voir des mots va aider les enfants, quand les parents leur lisent des livres = va encourager les enfants à commencer à lire des lettres
qu’apportent + d’expériences informelles d’alphabétisation?
+ expériences informations d’alphabétisation = + alphabétisation émergente, habiletés langage et lecture
- faire remarquer, jouer (sons, symboles)
- lectures interactives et activités d’écriture prédisent performance lecture à long-terme
lecture interactives :
- lit un livre et pose des questions
- fait des liens entre les lettres et les symboles
- activités d’écriture
comment un faible SSE affecte le développement de l’alphabétisation?
Faible SSE = moins de livres, moins d’occasions (25h c. 1000h si SSE élevé de s’être fait lire des livres durant la période préscolaire) = écart d’alphabétisation émergente et de lecture durant le primaire
mathématiques précoces :
Connaissances émergent de façon universelle :
- mais soutien des adultes aide : occasions de compter, comparer, parler du concept du nombre
comment un SSE faible affecte les mathématiques précoces?
Les connaissances émergent moins si SSE faible = écart entrée école
- que quelques session de mini jeu de société (4 ans), compter lors “bonds” = grands progrès en sens du nombre
quotient intellectuel (QI) :
Mesure habiletés mentales variées :
- verbales
- non-verbales (visuo-spatiales)
Ne couvre pas toute les habiletés humaines
Scores influencés par facteurs culturels et situationnels
QI, dès 6 ou 7 ans, prédit QI ultérieur et performance académique
aspects cognitifs du HOME (3-6 ans) :
- stimulation cognitive (via jouets, jeux, livres)
- stimulation langagière
- organisation environnement physique
- soutien, affection
- encourage comportements académiques, sociaux
- sorties
- résolution conflit sans utilisation force
score QI malgré SSE faible :
Malgré SSE faible :
- scores HOME élevés, meilleur QI, langage, a.é.
- scores et meilleure lecture, 4 ans plus tard
services de garde :
Garderies de piètre qualité + longues heures = déficits habiletés cognitives et sociales
- troubles extériorisés peuvent persister longtemps
Garderies de bonne qualité = facilite le développement langagier, cognitif et social
- bienfaits plus grands chez les enfants de faible SSE
- bienfaits jusqu’à adolescence
télévision :
Le médie dominant au préscolaire : 1.5h/jour (ÉU)
Temps télé = moins de lecture, performance académique, interactions sociales
Télévision constante (arrière-plan ; pendant repas)
- moins d’attention soutenue, interactions parent-enfant, performance lecture
- influences négatives sur le développement de plusieurs capacités
télévision éducative :
- de télévision quand SSE faible, mais regardent autant de télévision éducative que les enfants de fmailles plus favorisées
- “Sesame Street” = fains en a.é., mathématiques et académiques (primaire) ; lecture, performance, valorise succès (secondaire)
- qualité éducative = rythme lent, une seul trame narrative
- favorise fonctions exécutives, souvenirs, vocabulaires
Ordinateurs, tablettes, téléphones, etc. :
Majorités des enfants au préscolaire les utilisent
Applications d’alphabétisation/mathématiques favorisent les connaissances
Laisser les enfants l’utiliser directement pour accroitre l’intérêt et l’attention
Introduction à la programmation (ex.: construction)
- si soutien adulte, favorise la résolution de problème et la métacognition
- avec pairs, entraide et persévérance
Mais, la plupart du temps = divertissement, jeux
- dans les jeux, il va souvent y avoir des stéréotypes et de la violence
vocabulaire :
- 250 mots à 2 ans
- 10 000 mots à 6 ans
- moyenne de 5 nouveaux mots/jour
mappage rapide :
Lien entre nouveau mot et concept après une rencontre brève
- avant 2 ans, le parent doit répéter souvent un mot pour que l’enfant le retienne
Trouver à quoi un nouveau mot réfère :
Contraste avec mots connus, l’assigne à qqc qu’il connait ps
Suppose s’agit d’un niveau de catégorisation intermédiaire
Biais d’exclusivité mutuelle
Biais de la forme
biais d’exclusivité mutuelle :
Suppose qu’un seul mot réfère à une catégorie distincte, quand objets sont différents
biais de la forme :
Propriété perceptuelle important pour leurs catégories :
- étude : jouent avec nouveaux objets, entendent nouveaux noms –> seulement les objets ayant une forme similaire ont le même nom
quand l’enfant connait un nom et qu’il entend un autre mot :
réfère à une partie (met le biais d’exclusivité mutuelle de côté)
à quel âge apparait la flexibilité pour le vocabulaire?
Dès 3 ans
- un objet, plusieurs noms = flexibilité
analyse syntaxique (syntactic bootstrapping) :
Trouve à quoi un mot réfère en observant comme il est utilisé dans la structure des phrases
- indices sociaux des autres
- explications directes des autres
- invente des mots, métaphores
grammaire - comment combiner les mots en phrases?
Ordre (ex. : sujet, verbe, complément)
- comprend, avant de produire
- au début, produit des phrase avec que quelques verbes familiers
qu’arrive-t-il dans l’enfant sait former des phrases à 3 mots?
Ajouts
- + flexible, + efficace
sur-régularisation :
L’application de règles tout le temps (ne fait pas les exceptions appropriées)
- surtout verbes/temps entendus + rarement
comment se fait l’apprentissage de structures complexes (voix interrogative, passive) en grammaire?
Apprentissage graduel, long
conversation :
Apprendre à communiquer de façon efficace appropriée :
- alterner, maintenir sujet, clarté = pragmatique
Interactions aident
Plus difficile si privé de soutien, de gestes, de réactions (téléphones)
S’adapter à l’interlocuteur
conversation - 2 ans :
Déjà habiletés vers 2 ans, progresse graduellement avec l’âge
conversation - 3 ans :
Peut inférer sens d’un message indirect
comment soutenir l’apprentissage du langage?
Conversations avec partenaire + expérimenté
Rétroaction explicite, constructive (sans critiquer)
Rétroaction indirecte (ne dit pas directement à l’enfant qu’il n’a pas raison, mais corrige la forme)
- restructurer en forme correcte (recasts)
- expansion, élaborer, augmenter la complexité