Cours 9 Flashcards
Qu’est-ce que l’imagerie visuelle?
Habileté à recréer le monde visuel dans notre esprit, en l’absence d’un stimulus physique
Composante très importante en mémoire de travail
Utilisée dans le tampon visuel dans la tablette VS
Représentations figuratives
Imagerie mentale imiterait ” la perception visuelle
Préservent les caractéristiques physiques des stimuli qui les génèrent
Distance/ Taille
Relation entre parties
Pourrait donc expliquer
Transformations mentales
Balayage mental
Analyse structurelle
Comment on étudie les rotations mentales?
Buts: Déterminer si imagerie visuelle procède comme la perception, Étudier les limites de l’imagerie visuelle
Matériel: Paires d’images représentant figures 3D de 10 cubes connectés, Structure ressemblant à un “bras” avec trois coudes ” à angle droit
Tâche: Déterminer si deux dessins en perspective proviennent de la même figure 3D,
Variable clé Temps de réaction
❖ Conditions (participants informés avant chaque essai): Rotation sur le plan de l’image ou Rotation en profondeur, Différence angulaire
❖ Hypothèse: Plus grande différence angulaire implique plus grand TR
Quels sont les résultats et inteprétation du test de rotation mentale?
Résultats paires Même: Forte relation linéaire entre la différence angulaire et le temps de réaction, Approx. 45 à 60 degrés par seconde, Pas d’impact du “type de rotation” sur les TR
Paires différentes : 1+ sec. plus lents que la moyenne: Rotation complète , puis ensuite , décision
Robustesse dans la linéarité des résultats
Cohérent avec proposition selon laquelle les participants utilisent une version interne similaire à une rotation externe pour rendre les objets congrus
Processus analogue peut être réalisé à un taux limite maximal de rotation
Degré de similarité entre images 2D statiques n’est pas prise en compte par les participants
Participants performent opérations mentales en 3D analogues interprétation +
Même si on leur montre des images 2D
Soutien pour représentations figuratives depictive
Comment on étudie le balayage mental?
Tâche: Phase 1 ( Étude); Regarder dessins de contours, Réussir à reproduire les dessins
Phase 2 (Test): Entendre nom d’un objet, Imaginer
Condition 1: Objet complet
Condition 2: Focus sur une extrémité spécifiée
Entendre nom de partie Partie est elle sur l’objet
Mesure : Temps de réaction
Hypothèses : Équivalent au traitement visuel
Si on regarde objet complet , TR moyen ne dépendra pas de la position de la partie
Si on doit se concentrer sur une partie ou zoomer ”), TR sera fonction de la distance entre emplacement de l’extrémité et propriété testée (confirmés)
Soutien pour représentations figuratives
Quelles sont 3 critiques de Pylyshyn?
Introspection n’est pas fiable
Participants pourraient dire ce que l’expérimentateur veut entendre
Ne veut pas dire qu’il s’agit d’un phénomène courant
Impénétrabilité cognitive
Humains conscients de peu de processus mentaux
Faire l’expérience de l’image ne signifie pas nécessairement utiliser l’image
Image pourrait être un épiphénomène
Représentation /Processus est non spatial/non visuel
Image produite après le traitement (Simulation Post décision)
Hypothèse de connaissance tacite
Utilise savoir déjà acquis à propos de l’environnement pour accomplir tâche
Mémoire de la structure des objets /du monde réel
Relations entre parties d’objets
Distances entre monuments/ villes
Qu’est-ce que la représentation propositionnelle?
Propriétés des stimuli sont représentées symboliquement comme lorsque mots du langage représentent objets et relations entre objets
Pourrait expliquer le balayage mental
# de propos. utilisées explique temps de réaction
Aucune image nécessaire
Comment on étudie le balayage mental métrique/spatial?
But: Déterminer si l’information spatiale métrique est préservée dans la mémoire de stimuli visuels
Procédure: Paradigme de balayage mental, Se “ promener mentalement ” sur l’image
Variable clé = Temps de réaction
Méthodologie: On demande aux participants de mémoriser et redessiner la carte (à gauche) en se concentrant sur sept endroits clés
Procédure: Les participants doivent s’imaginer la carte complète, Ils entendent un mot dénotant un lieu sur la carte et doivent se concentrer sur ce lieu, 5 secondes plus tard , un autre nom de lieu est diffusé,
Participants doivent balayer la carte et indiquer lorsqu’ils atteignent le 2e lieu, “Point” se déplaçant en ligne droite le plus vite possible
Rationnel: Si l’image mentale de l’île est réellement une copie analogue (ou figurative), cette copie devrait préserver les relations en termes de distance
Hypothèses: aug distance entre deux cibles = aug temps de réaction, Relation linéaire entre distance et TR, Causé par représentation figurative
Quels sont les résultats et interprétations du balayage métrique/spatial?
Résultats: Temps de balayage augmente linéairement vs. distance, Corrélation quasi parfaite entre distance et temps de réaction lorsque les deux objets sont présents
Interprétation: Distances métriques représentées de la même façon que lorsque carte visuellement perçue, soutien pour représentations figuratives en tablette VS
Qu’est-ce que l’analyse structurelle?
Si l’imagerie fonctionne comme la perception visuelle , les mêmes facteurs devraient influencer la facilité à classifier une partie d’un percept ou d’une image
Objets plus gros = Plus détaillés perceptuellement
Comment on étudie l’analyse structurelle?
Tâche: Créer image mentale d’un éléphant ou d’une mouche, Imaginer second animal à côté, Juger si une propriété est appropriée ou non pour le second animal
Mesure: Temps de réaction 2e animal
Variable d’intérêt: Taille relative entre animaux
Prédiction: 1er animal plus gros -> Laisse moins de place au 2e
Donc 2e animal plus petit -> Plus lent à juger
ET
Tâche “inverse”: Créer image mentale d’un éléphant ou d’une mouche, Modifier la taille de l’animal principal en imagerie, Voir un éléphant de la taille d’une mouche, Voir une mouche de la taille d’un éléphant, Juger si une propriété est appropriée ou non pour le second animal
Quels sont les résultats des tests sur l’analyse structurelle?
Résultats: taille relative influence temps nécessaire pour juger de la présence d’une propriété
Si éléphant = 1 er animal, 2e animal (ex.: lapin) prend moins de place -> Jugement plus lent
Si mouche = 1 er animal, 2e animal (ex.: lapin)
prend plus de place -> Jugement plus rapide
Soutien pour représentations figuratives connaiss . tacite n’explique pas l’effet
❖ Résultats: Taille relative influence temps nécessaire pour juger de la présence d’une propriété
❖ Si éléphant = 1er animal, 2e animal (ex.: lapin)
prend plus de place -> Jugement plus rapide
❖ Si mouche = 1er animal, 2e animal (ex.: lapin) prend moins de place -> Jugement plus lent
❖ Soutien pour représentations figuratives une fois de plus
Comment le cerveau résous le problème représentationnel?
Une fois qu’on a vue image +ieurs x ya neurone activé et la on fait faire imaginer et le même neurone est activé
Mais ya pas coorrespondance parfaite, neurone est + activé si perception vis
V1 est activé si on voit dequoi et si on l’imagine mais avec une légère diff
Perception = vision et mémoire de travail
Imagerie = MLT et mémoire de travail
Mesure de l’activation dans le cerveau entier – Présentation + Questions
Aires cérébrales communes pour perception et imagerie (occipital: moins de correspondance)
Quelles sont les 3 similarités entre l’imagerie et la vision lors de lésions cérébrales?
Retrait d’une partie du cortex visuel réduit champ visuel et d’imagerie; Rétrécit le champ visuel
Patients qui ne voient plus les couleurs ne peuvent plus imaginer en couleur
Héminégligence répliquée en imagerie
Quelles sont les 3 différences entre l’imagerie et la vision lors de lésions cérébrales?
Héminégligence en imagerie mais pas en perception
Habileté à dessiner , mais pas de mémoire
Impossibilité de nommer des images d’objets, mais habileté à dessiner de mémoire
Quelle est la Critique la plus récente de Pylyshyn?
Résultats en neuroimagerie ne sont pas clairs
Correspondance entre perception et imagerie n’est pas parfaite
Exemples de phénomènes visuels qui n’apparaisse pas en imagerie mentale:
Ambiguité visuelle non répliquée en imagerie
Réinterprétation impossible en imagerie
Comment on étudie si on peut modifier la courbe sérielle?
Matériel: Listes de 20, 30 ou 40 mots
Procédure: Tâche de rappel libre standard
Buts: Déterminer si nombre de mots dans la liste influence la forme de la courbe de position sérielle
Résultats: Constance dans la forme générale de courbe
Avantage pour 3-4 premiers mots
Section milieu plate
Avantage pour approx. 6 derniers mots
Ajout de mots ne fait qu’ allonger la partie du milieu…
Courbe = Robuste
Comment on étudie l’importance de la répétition pour la MLT?
But: Étudier la relation entre répétition et primauté/récence
Rationnel: Répétition devrait être seulement reliée à performance en MLT
Corrélé avec effet de primauté
Pas avec effet de récence
Procédure: Tâche de rappel libre (20 mots peu reliés), Présentation visuelle 5 secondes par mot, Participants doivent répéter à voix haute, On compte nombre de répétitions pour chaque mot lors d’un essai
Hypothèses: Effet de primauté : Contenu de la MLT
Premiers mots peuvent être répétés plus souvent
Performance élevée pour premiers mots
# de répétitions voix haute) prédit performance de rappel pour les premiers mots (primauté)
Effet de récence : Contenu de la MCT
Pas le temps de répéter , mais performance élevée quand même
# de répétitions voix haute) non reliée à performance pour derniers mots
Quels sont les résultats et interprétations des tests sur l’importance de la répétition sur la MLT?
Probabilité de rappel pour début de la courbe directement liée au nombre de répétitions
Montre que répétition a un effet sur la “force” de la trace en MLT, et donc c’est un processus nécessaire
Pas de relation pour fin de la courbe…
Pas besoin de répéter, les items sont encore en MCT
Répétitions: nécessaire pour maintenir l’effet de primauté
Donc répétition renforce traces mnésiques en MLT
Taux de répétition mesure de force de la trace
Alors , pour rappel, récupération doit venir de MLT
Pas de répétition nécessaire pour effet de récence
Fin de liste mots généralement non répétés
Donc les mots sont déjà disponibles pour rappel
parce qu’ils sont dans la MCT
Différence entre MCT et MLT
Comment on montre l’indépendance de la MLT et MCT par double dissociation?
des expériences ont été effectuées pour tester l’hypothèse selon laquelle la courbe de position sérielle bimodale est le produit des items provenant de deux mécanismes d’enregistrement: à court terme et à long terme .
But: Prouver la relation entre effet de récence et MCT et entre effet de primauté et MLT
Comment on détermine l’effet de délai?
But: Éliminer effet de récence, maintenir effet de primauté
Rationnel : Si effet de récence dû aux mots enregistrés en MCT, alors imposer un délai entre fin de liste et indice de rappel devrait réduire l’effet
Procédure: Tâche de rappel libre (15 mots), 3 conditions: Standard/Avec délai (2)
En demandant aux participants de compter entre fin de la liste et rappel
Non disponibilité , alors items en MCT sont oubliés
Effet de récence + faible (10 sec.) ou absent (30 sec.)
Premiers items sont bien rapportés
Car transférés dans un entrepôt plus permanent (MLT) suite à répétition suffisante
Effet de primauté inchangé
Dissociation entre MCT et MLT
Comment on détermine l’effet de l’espacement?
But: effet de primauté, maintenir effet de récence
Rationnel: Si effet de primauté dû à des ressources de mémorisation supplémentaires (i.e., répétition) pour mots initiaux, alors lire la liste plus lentement
améliorera l’effet
Procédure: Tâche de rappel libre (15 mots), 3 conditions: Standard/Espacé (2)
Présentation plus lente espacement ”) augmente capacité de rappel
Affecte effet de primauté (MLT), mais pas effet de récence (MCT)
Parce que répétition non utilisée pour matériel récent
Reflète seulement capacité courante
Dissociation entre MCT et MLT
Qu’est-ce que la mémoire explicite?
Ce que l’on veut dire par “ mémoire
Capacité de rappel conscient des faits et événements
Affecté en amnésie
Permet comparaison et contraste du matériel remémoré
Supporte l’encodage en termes de relations entre de multiples items/ événements
Représentationnelle
Façon de modéliser le monde externe
Modèle peut être testé : Vrai ou Faux
Qu’est-ce que la mémoire épisodique? (7)
Événements spécifiques
Expérience personnelle unique Autobiographique
Événements concrets
Encodé avec contexte (spécificité de l’encodage)
Acquis immédiatement (ici et maintenant)
Permet «voyage dans le temps mental » (conscience) Info temporelle Relations spatio temporelles
Se souvenir
Qu’est-ce que la mémoire sémantique? (7)
Faits généraux /signification
Non lié à l’expérience (émotions/ sensat)
Connaissance abstraite
extrait du contexte
Acquis progressivement dans de multiples contextes
Permet pas voyage dans temps mental
Savoir
Comment on différencie souvenir de savoir?
But: Montrer une différence dans l’oubli pour
la mémoire épisodique (se souvenir)
la mémoire sémantique (savoir)
Tâche: Étudier 36 mots (2 secondes chacun) pour être testé plus tard
Test: Tâche de reconnaissance, 36 mots vus/36 mots non vus, 2 réponses possibles: Se souvenir vs. Savoir, 2 tests: après 10 minutes/après une semaine
Baisse de discriminabilité plus marquée pour les réponses « Se souvenir » que « Savoir »
Les réponses « Se souvenir » (mémoire épisodique) ont un patron d’oubli différent des réponses « Savoir » (mémoire sémantique)
Indice selon lequel nous avons donc deux types de mémoire explicite séparés avec des caractéristiques différentes (oubli)
Mémoire épisodique devient sémantique avec le temps
Comment on différencie souvenir de savoir chez des vieux?
But: Montrer une différence dans l’évolution de
la mémoire épisodique (se souvenir)
la mémoire sémantique (savoir)
Participants: Personnes moins âgées (58 69 ans), Personnes plus âgées (74 85 ans)
Tâche: 150 événements réels (1952 2001)
Réponses possibles: Se souvenir, Savoir, Ne pas savoir
Résultats: On « se souvient » de moins en moins -> Mémoire épisodique (Dégénérescence)
On « sait » de plus en plus avec l’âge -> Mémoire sémantique
Les deux types de réponse demandés évoluent
différemment dans le temps
Plus de mémoire sémantique
Moins de mémoire épisodique
Un type de réponse est sensible à la dégénérescence de l’hippocampe et du cortex frontal (se souvenir mémoire épisodique)
Autre indice selon lequel nous avons donc deux
types de mémoire explicite séparés avec des caractéristiques différentes (évolution dans le temps)
Comment se fait l’oubli entre syntaxique et sémantique (test)?
But: Étudier la rétention d’information syntaxique et
sémantique
Rationnel: Si seul le sens est encodé , un changement n’affectant pas le sens ne sera pas détecté
Procédure: Écoute d’une histoire courte, Test à propos d’une phrase spécifique (phrase test)
Variables: Nombre de syllabes dans l’histoire entre phrase critique et phrase test (0, 80, 160 syllabes)
Type de changement pour phrase test (identique, formel, passif/actif, sémantique)
Hypothèses
Participants devraient remarquer changements très
spécifiques si testé tout de suite
Si , avec le passage du temps, la mémoire préserve
TOUTE l’information , les participants devraient
Remarquer si sens change ( sémantique
Remarquer si syntaxe change ( formel , actif passif
Pouvoir déterminer si la phrase est identique
Si, avec le passage du temps, la mémoire préserve
surtout l’info sémantique , les participants devraient
Remarquer si sens change ( sémantique
Ne pas pouvoir remarquer si syntaxe change formel , actif passif
Ne pas pouvoir reconnaître une phrase identique
Quels sont les résultats et interprétations de l’oubli entre épisodique et sémantique?
Si phrase critique testée immédiatement, participants sont excellents pour identifier tout type de changement (si changement il y a)
À mesure que le temps passe, exactitude réduite en général mais demeure + élevée pour changements sémantiques
Preuve pour codage (surtout) sémantique en MLT
Sens est préservé
Propriétés de l’oubli en MLT explicite selon Sachs)
Mémoire pour signification du message préservée
jusqu’à un certain point
Mémoire pour forme syntaxique du message
disparaît tranquillement à mesure que le temps passe
Épisodique vs sémantique
Oubli différentiel
Trait. descendant influence mémoire épisodique
Savoir/ Attentes sémantique ) peuvent diriger champ
attentionnel
Mémoire épisodique dépend d’où on porte attention
Info épisodique enrichit mémoire sémantique
Faits avec signification personnelle sont plus faciles à mémoriser
Dissociations neurologiques