cours 8 Flashcards

1
Q

la confrontation

A

*des techniques d’intervention
*La confrontation est une approche utilisée pour aider la personne concernée à prendre conscience de ses comportements, pensées ou besoins, et éventuellement les reconsidérer.
*amener l’individu à se remettre en question

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2
Q

le but de la confrontation et l’interpretation

A
  • l’aidant et le client travaillent ensemble à la construction du sens.
  • Manière directe d’essayer de faciliter la compréhension du comportement, de la pensée ou des sentiments des clients.
  • les clients peuvent voir les problèmes d’une nouvelle manière, découvrant un nouveau sens, une nouvelle raison ou une nouvelle explication pour les comportements, les pensées ou les sentiments
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3
Q

c’est quoi une action inefficace ?

A

*c’est un comportement de l’aidé qui semble inefficace ou nuisible pour lui-même ou pour les autres.
*c’est ce qu’il fait qui aggrave sa vie
* c’est ce qu’il fait qui le maintient dans l’impasse, aggrave ses problèmes.
* ce qu’il fait qui entrave sa croissance et empêche des solutions saines.
* ce qu’il fait qui nuit à sasanté ou endommage ses relations.

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4
Q

quels sont les renforcements les plus courants d’un comportement inefficace
Refoulement
Projection :

A

1- évitement manifeste: éviter les gens, les lieux, les situations et les événements.
2-évitement expérientiel : Éviter les pensées et sentiments indésirables
3- Se sentir bien, 4- Satisfaire vos besoins, 5- Attirer l’attention 6- Bien paraître, 7- Avoir l’impression d’avoir raison,8-Avoir l’impression d’obtenir ce que vous méritez 9-Trouver un sens

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5
Q

comment explorer l’éfficacité d’un comportement ?

A

nous identifions principalement ses bénéfices (résultats souhaités par le client) et examinons de manière compatissante les avantages de ces éléments par rapport à leurs inconvénients.

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6
Q

comment dégager les bénéfices d’un comportement ?

A

on peut poser des questions comme :
1- Que se passe-t-il (ou immédiatement après) lorsque vous faites cela ?
2-Vous sentez-vous bien ou mieux d’une certaine manière
3-Parvenez-vous à échapper ou à éviter quelque chose que vous ne voulez pas
4- Obtenez-vous ou avez-vous accès à quelque chose que vous voulez ? Vos besoins sont-ils satisfaits d’une manière ou d’une autre ?

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7
Q

comment faire pour déterminer les coûts d’un comportement

A

exemple de questions à poser:
1- Que perdez-vous ou manquez-vous à cause de ce comportement ?
2-À quelles pensées, sentiments, souvenirs difficiles cela donne-t-il lieu?

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8
Q

Qu’avez-vous essayé ?
l’objectif de cette question

A

Il s’agit de reconnaître les stratégies qu’une personne a utilisées pour éviter
ou se débarrasser des pensées et des sentiments non désirés.

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9
Q

Comment cela a-t-il fonctionné ?
l’objectif derrière cette question

A

explorer l’efficacité de ces stratégies à court et à long terme.
L’idée est d’aider le client à reconnaître que, bien que certaines stratégies
puissent offrir un soulagement temporaire, elles ne sont souvent pas
efficaces sur le long terme.

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10
Q

Quel en a été le coût ?
pouquoi on pose cette question

A

l’accent est mis sur les coûts ou les conséquences négatives associés à
l’utilisation de ces stratégies. L’objectif est d’aider le client à comprendre les
conséquences non désirées de ces comportements d’évitement

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11
Q

Le modèle S-O-R-C

A

*situation
*organisme: Il fait référence à l’état interne de la personne au moment du comportement. Cela inclut tout, des besoins physiques aux émotions et
aux pensées.
*réponse : est le comportement lui-même, en tenant compte de l’état interne de l’organisme.
*conséquence :Ce sont les événements ou les stimuli qui suivent le comportement

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12
Q

Pour confronter une personne à son problème ou à sa difficulté, l’intervenant doit être capable de:

A

1- Cerner avec précision l’objet de la confrontation.
2- Choisir le moment propice pour confronter l’autre.
3- Amener la personne à reconnaître son problème.
4- Contrer les résistances de la personne.
5-Chercher avec elle des amorces de solutions.

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13
Q

comment Cerner avec précision l’objet de la confrontation?

mettre des lunettes/ shémas de pensée

A

1- Relever les contradictions: ce qu’il dit incohérent comment il agit ou réagit.
2-Recadrer les perceptions: ajuster comment il perçoit une situation ou ses propres actions.
3-Souligner les modes de pensée limitatifs ou les pensées polluantes
(Pensées parasites) qui entraver le progrès ou le bien-être d’une personne.
4-Relever les mécanismes de défense, les résistances, les excuses.
5-Souligner les forces non utilisées: Mettre en lumière les capacités.
6-L’immédiateté: Se concentrer sur le moment présent lors d’une interaction,
en abordant ce qui se passe actuellement.

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14
Q

comment procéder à des contradictions pour cerner l’objet de la confrontation?

formuler
« Vous dites________, mais vous dites aussi_______. »
« Vous dites_______, mais votre non-verbal semble dire _____. »
« J’entends _____ , mais j’entends aussi
« D’une part_______, mais d’autre part___

A

on jxtapose deux choses pour faire prendre conscience au client de leur contradiction
* 2 declarations
*mot/ different/action
* deux actions opposées
*deux sentiments opposés
*comportement n’est pas aligné valeur
* perception de soi un ecart avec les évenements réels
*le soi idéal9 ce qu’il veut) différent du soi réel(ce qu’il est réelement)
*la perception de l’aidant est differente de celle de l’aidé

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15
Q

Pensées Parasites ?

A

Les pensées parasites sont des pensées indésirables, intrusives et souvent répétitives qui surgissent dans l’esprit.
ells accaparent notre esprit.Vident notre
énergie.Mènent à des sentiments d’incompétence, d’échec et
d’auto-dévalorisation

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16
Q

quel impact des pensées parasitessur la personne?

A

Ces pensées nous paralysent, découragent et mènent à
l’autodépréciation. elles peuvent souvent être associées à des préoccupations excessives, des soucis ou des pensées obsessionnelles.

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17
Q

comment combatre les pensées parasites?

A

L’auto-observation permet de reconnaître ces pensées
et d’adopter des stratégies pour les combattre

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18
Q

Pensées Limitatives
Distorsions Cognitives de Beck
1-Le tout-ou-rien
2- La généralisation à outrance:
3-Le filtre:
4-Le rejet du positif
5-Les conclusions hâtives
6-L’exagération (la dramatisation) et la minimisation
7-le raisonnements émotifs
8-les “dois” et les “devrais”:
9-L’étiquetage
10-La personnalisation

A

sont des croyances ou des idées qui restreignent notre perception de nous-mêmes, de nos capacités ou de nos possibilités.sont auto-imposées et peuvent créer des barrières psychologiques qui limitent notre croissance personnelle. elles peuvent découler de croyances auto-dépréciatives, de peurs irrationnelles ou de perceptions négatives de soi.
Elles peuvent entraver la prise de risques, l’exploration de nouvelles opportunités et le développement personnel.

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19
Q

quelles sont les croyances et les pensées qui peuvent entraver le progrès et le bien-être d’une personne?

A

Le besoin d’être aimé
le sésir de réussite
Le rapport aux autres
Les imprévus
Le malheur
Le passé
l’inquiétude
Les difficultés de la vie :
.Les solutions aux problèmes souffrance

20
Q

deninition: les mécanismes de défense, les résistances, les excuses

A

sont des Stratégies psychologiques souvent inconscientes utilisées pour
tenter de s’adapter à des situations émotives trop difficiles ou trop
envahisante.
Ils peuvent se présenter comme des résistances ou des réactions
défensives face à une situation ou un sujet précis.

21
Q

l’impact des mécanismes de défence, les résistances, les excuses

A

peuvent entraver le processus d’aide, car ils empêchent une communication ouverte et honnête.

22
Q

des exemples de comportements liés à la ressistance

A

1- Nier la réalité. Refuser de parler.
Minimiser un problème.
Manifester de l’agressivité.
Éviter ou changer le sujet de la conversation.
Se justifier et trouver des excuses.
Négocier. Rationaliser.
Rejeter la responsabilité sur les autres.
Déplacer ses sentiments vers un sujet moins menaçant.
Énoncer toute une série d’erreurs qu’il se. reproche d’avoir commises.
Séduire ou valoriser l’aidant pour dévier du sujet. Remettre à plus tard.
Interrompre l’échange.
Manquer un rendez-vous.
Ne plus donner signe de vie.

23
Q

comment inciter les clients à prendre leurs responsabilités en changeant de
langage ?
( les croyances ou les pensées négatives)

A

Les aidant.e.s peuvent déterminer si les clients assument leurs responsabilités en écoutant leur langage.
Utiliser doucement et rarement
vous » et « tout le monde » → « je »
« ne peut pas » → « ne veut pas »
« ne devrait pas » → « je choisis de »
“C’est juste arrivé” → “J’ai pris une décision qui a conduit à cela.”
“Je ne peux pas m’en empêcher” → “Je choisis de réagir de cette façon.”
“C’est la faute de quelqu’un d’autre” → “J’ai joué un rôle dans cette situation.”
“Je n’avais pas le choix” → “J’ai fait un choix basé sur mes priorités du moment.”
“Je ne savais pas” → “Je n’ai pas cherché à savoir.”
“Tout le monde le fait” → “J’ai décidé de le faire moi aussi.”
“Je ne peux pas” → “Je choisis de ne pas essayer.”

24
Q

comment on peut remettre en question l’aidé par le biais de questions
(croyances et pensées négatives)

A

vraiment ?
Ah oui ?
Hmmm?
Tu es certain ?
encourager le client à réflechir à ce qu’il disent

25
Q

comment peut utiliser la confrontation? on parle de la manière

**Forcer la confrontation risque de
renforcer la résistance, de faire reculer la personne et de briser le lien de
confiance établi

A
  • il faut le faire de manière à ce que le client puisse recevoir la confrontation et se sentir soutenus plutôt qu’attaqué
  • les confrontations doivent être lancées avec prudence ,douceur, respect, réflexion, empathique et de manière hypothéthique
  • suivi de reflets sur les sentiments
  • ne pas porter de jugement
26
Q

comment choisir Le moment
propice pour faire la confrontation?

A

*Avant de recourir à une confrontation, il est essentiel de bâtir une complicité
avec la personne aidée
*Le choix du moment dépend de la
réceptivité de la personne face à ses
difficultés et de sa volonté de les
résoudre

27
Q

le role de la Synchronisation
(timing) pou faire la confrontation

A

Les confrontations sont plus efficaces
s’ils sont utilisés lorsque le
comportement vient tout juste de se
produire. Essayez d’agir assez rapidement, à condition d’avoir suffisamment de données

28
Q

l’impact du transfert et les projections lorsqu’on veut utiliser la confrontation

A

*puisque la plupart d’entre nous très sensibles aux confrontations en raison de leurs expériences passées avec le pouvoir
*nous pouvons réagir en nous blessant ou en nous mettant en colère,
*nous devrons être conscients des projections

29
Q

pourquoi on observer
les réactions du client en utilisant la confrontation ?

Observer les réactions du client
Observez le comportement non verbal
demander aux clients comment ils ont réagi à la confrontation et questionner l’aidé en profondeur

A

les clients peuvent réagir fortement
aux confrontations.Les aidants ne doivent pas être surpris, ils doivent aider les clients à exprimer et à surmonter leurs émotions.

30
Q

Si vous pensez que votre confrontation était juste, mais que votre client le nie
ou l’écarte, qu’est ce que vous devrez faire?

A

vous devrez peut-être vous retirer jusqu’à ce que le client puisse
gérer la confrontation ou jusqu’à l’obtention de plus de preuves de vos
observations.

31
Q

L’interprétation

A

L’interprétation vise à offrir une nouvelle perspective à l’aidé sur ses
comportements, émotions et problèmes. Elle engage l’aidant à proposer une signification possible d’un sentiment, d’une motivation ou d’un comportement de l’aidé, avec pour but de l’aider à mieux comprendre sa situation.

32
Q

L’interprétation comme étape de compréhension

A

Lorsqu’une personne demande de l’aide, elle présente souvent une première
version ou une première lecture de son problème. L’interprétation intervient
pour approfondir et éclaircir cette compréhension, notamment en
confrontant les points de vue de l’aidant et de l’aidé.

33
Q

pour une interpretation :

A

*il est crucial de prendre en compte la relation entre l’aidant et l’aidé,
*il est recommandé de présenter cette interprétation sous une forme
interrogative, pour s’assurer de son exactitude et de sa pertinence

34
Q

la comprehension du passé et l’interpretation

A

Bien que comprendre le passé d’une personne puisse off rir des insights
précieux, il est crucial d’aborder l’interprétation avec sensibilité et prudence. Chacun a sa propre histoire
d’attachement et de trauma, et la généralisation peut être préjudiciable.

35
Q

L’impact de l’attachement sun la personne

A

Les styles d’attachement formés dans la petite enfance influencent notre façon de nouer des relations tout au long de notre vie. Ces modèles peuvent refléter la confiance, la peur, l’évitement ou
l’anxiété dans les interactions

36
Q

Agir selon le passé : nos actions et nos réponses.

A

nos réactions actuelles peuvent être influencées par des expériences traumatisantes ou des
attachements insécures antérieurs. Par exemple, une personne ayant vécu un trauma dans le passé peut avoir
une réponse disproportionnée à un déclencheur apparemment mineur dans le présent.

37
Q

Les signaux du passé : réactions émotionnelles et réponses

A

Des réactions émotionnelles comme les larmes ou le silence après un compliment peuvent être le signe d’un trauma ou d’un attachement insécure. Ces réponses sont souvent le résultat
d’expériences passées qui refont surface.

38
Q

La nécessité de comprendre l’histoire :

A

Pour véritablement saisir la complexité des comportements et des
réactions d’un individu, il est essentiel de se familiariser avec son histoire d’attachement et les éventuels traumas
qu’il a pu subir

39
Q

Comprendre l’impact des étapes de
développement :

A

Chaque étape du développement a ses particularités et ses défis. La connaissance de ces étapes permet aux
intervenant.es de mieux répondre aux besoins de l’enfant et l’adolescent. Favorise une approche proactive plutôt que réactive face aux comportements et aux défis des adolescents.

40
Q

les 3 sortes de l’ntérprétation

A

1- L’interprétation à partir d’une intuition
2-

41
Q

l’interprétation à partir d’une intuition

A

est le fuit d’un mélange d’observation,
d’expérience personnelle de l’aidant et d’intuition propre. c’est une réaction spontanée qui se manifeste souvent sous forme d’une réaction ou d’une pensée spontanée en réponse à ce que l’aidant observe ou entend du client.

42
Q

Interprétation à l’aide du recadrage

A

Le recadrage consiste à aider une personne à voir sa situation sous un angle différent, ce qui peut changer sa perception et son ressenti face à un problème, Cette forme d’interprétation offre une confrontation douce qui invite la personne à considérer une perspective alternative.

43
Q

Interprétation à l’aide de la focalisation

Comment expliques-tu le fait que… ? »
« Verrais-tu un lien entre le fait que… et le fait que… ? »
« Je me demande s’il n’y aurait pas quelque chose en dessous de votre
difficulté à dire non. Pourriez-vous essayer de voir quoi ? »

A

*Aide à clarifier des sentiments ou des idées qui pourraient autrement être flous ou confus
*inviter la personne à participer activement à la réflexion.
*metter l’accent sur des détails spécifiques qui pourraient être négligés dans une discussion plus générale.

44
Q

à quoi nous deverons faire attention en utilisant l’interpretation intuitive?
l’interpretation à l’aide du recadrage?

A

1-Approche prudente : Bien que l’intuition puisse offrir une perspective
précieuse, il est essentiel de l’approcher avec sensibilité et d’être ouvert à la
possibilité que l’interprétation puisse ne pas être exacte
2-Attention à la validité : Il est crucial que l’aidant s’assure que le recadrage proposé soit pertinent et valide
pour la personne. Une mauvaise interprétation pourrait être contre-productive

45
Q

Intégrer les la confrontation et l’intérpretation de la phase d’introspection

A

suivant quatres étapes :
Étape 1 : Préparer le terrain: empathie, reflexion sur les sentiments , un bon lien, sentiment de sécurité.
Étape 2 : Conceptualiser le client: ce qui a causé et de ce qui maintient les problèmes.
Étape 3 : S’engager dans un processus : Fde collaboration pour faciliter la prise de conscience: aire preuve de douceur et d’empathie, curiosité, collaboration, observer les réactions+modifications, Il peut être nécessaire de commenter les
comportements non verbaux et de poser des questions
explicites sur les réactions du client
Étape 4 : Revenir à l’exploration et au suivi :Les confrontation, les interprétations ou les déclarations
d’immédiateté déclenchent rarement des idées
nouvelles et durables de façon immédiate.
Étape 5 : Demander au client ce qu’il comprend actuellement

46
Q

Difficultés de l’aidant à l’étape de l’introspection:

dans l’étape 4 :Les confrontation, les interprétations ou les déclarations d’immédiateté déclenchent rarement des idées
nouvelles et durables de façon immédiate

A

1-Passer prématurément à l’introspection
2-Oublier que tous les clients n’ont pas besoin ou ne veulent pas d’introspection
3-Prendre trop de
responsabilités pour développer
l’introspection
4-Avoir peur de l’introspection
5- Ne pas conceptualiser le
client de manière adéquate
6- Malentendus/Ruptures