Cours 3 Flashcards

1
Q

la conscience de soi

A

se réfère à notre capacité d’identifier, comprendre et réfléchir su nos propres pensées, émotions, sensations et comportements. c’est une introspection profonde de nos expériences vécues.

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2
Q

l’intervenant a tendance à prescrire ou orienter les actions de l’aidé, quelle interference cet exemple illustre-t-il?

A

diréctivité

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3
Q

l’intervenant a un désir ardent d’atténuer la souffrance des clients,quelle interference cet exemple illustre-t-il?

A

Hyper-empathie

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4
Q

l’intervenant ressent un malaise en présence d’émotions fortes

A

inconfort émotionnel

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5
Q

l’intervenant a tendence à chercher des solutions hatives

A

impatience

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6
Q

l’intervenant qui appréhende/craint face à la possibilité d’erreurs

A

anxiété de performance

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7
Q

l’intervenant à la quête de valorisation et reconnaissance

A

recherche de validation

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8
Q

l’intervenant qui assume une responsabilité démésurée concernant le progrès du client

A

sur-responsabilité

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9
Q

l’intervenant craint d’engendrer des préjudice, mème involontairement

A

appréhension (Anxiété, crainte vague, difficile à préciser)

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10
Q

l’intervenant qui neglige et sous-estime les préoccupations des clients en particulier lorsqu’elles résonnent avec ses propres problématique

A

déni

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11
Q

l’intervenant a besoin d’affirmation et d’assentiment de la part des clients et des superviseurs

A

quête d’approbation

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12
Q

l’intervenant priorise sa propre réaction et intervention au détriment de la vécu du client.

A

auto-centration

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13
Q

comment peut-t-on développer la compréhension et la conscience de soi ?

A
  • la psychothérapie: comprendre les motivations et saisir les raisons sous-jacentes pour devenir aidant
  • reconnaissance des obstacles : qui peut entraver la capacité à aider l’autre efficacement
    *développement personnel : nourrir sa croissance personnelle et approfondir la compréhension de soi et renforcer sa résilience
  • immersion dans le processus : en vivant soi même la thérapie enrichie notre pratique
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14
Q

quelques exemple d’activité réfléxive

A

yoga, journal, reserver du temps pour l’autoréflexion, la pleine conscience, la néditation, la détente

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15
Q

conscience de soi
perception de soi
representation de soi
les trois concepts interconnectées et contribuent à la manière dont une personne se perçoit et se comporte
la différence entre les trois?

A

les trois se developpent 1 après l’autre 1-2-3
1- developpe la conscience de soi et des autres influencé par son environement, ses experiences sensorielles et relations interpersonnelles
2- la conscience évolueen des pérceptions plus tangibles, il forme des representations mentales fragmentées de lui-même à travers ses actions ses paroles(reste foue)
3- avec letemps ces perceptions individuelles s’unissent pour former un tout cohérent ( sentiment d’identité)

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16
Q

le concept de soi : une exploration multidimentionnelle ( car il englobe des aspects tels que l’apparence, le comportement et les compétences )

A

1-l’individu commence à se décrire consciement à l’age préscolaire
2- une une coherence et constance offert par une combinaison de perceptions croyances et sentiments.
3- polarité : situé sur un continuum allant du positif au négatif( aspects positifs de soi tels que la confiance en soi, l’estime de soi, aspects plus négatifs de soi tels que l’auto-critique, l’insatisfaction personnelle, l’anxiété sociale..)
4- réalisme vs irréalime : disparité possible entre comment on se percoit et comment les autres nous voient.

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17
Q

l’estime de soi : une évaluation personnelle. définition

A

est la reconnaissance et l’ évaluation de sa propre valeur. il est constituée de l’ensemble des jugements et perceptions que l’on porte sur soi, formant une opinion globale sur notre propre valeur en tant q’un individu.

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18
Q

quelle est la relation entre le concept de soi et l’estime de soi ?

A

le concept de soi est l’intersection entre la connaissance que nous avons de nous-même et le Moi idéal que nous aspirons à être, l’écart entre ces deux notions, qu’il soit drand ou petit, influence notre estime de soi.

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19
Q

la perception d’auparavant du contre-transfert

A

se réfère à la manière dont l’intervenant projette, parfois inconsciemment, ses propres sentiments ou expériences sur le client. exemple:
*une émotion inappropriée
*une réaction défensive
*une perte d’objectivité, car des conflits personnels de l’intervenant sont évoqués

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20
Q

la compréhension actuelle du contre-transfert

A

le regard s’est élargi , il n’est pas seulement une réponse aux sentiments du client.il englobe la gamme des émotions de l.intervenant encers le client,incluant sentiments,associations et pensées

21
Q

un intervenant qui un sentiments de culpabilité , qu’est ce que cette manifestation révèle sur lui

A

pararfois liés à ses propres problèmes non résolus
contre- transfert

22
Q

un intervenant qui fait des interpretations érronées , qu’est ce que cette manifestation révèle sur lui

A

dues à ses propres projections
contre- transfert

23
Q

un intervenant qui ressent des impasses avec un client, qui génerent sa frustration, qu’est ce que cette manifestation révèle sur lui

A

contre- transfert

24
Q

un intervenant qui est impatient avec le client , qu’est ce que cette manifestation révèle sur lui

A
25
Q

Quelles sont les implications éthiques d’une protection excessive de la part d’un intervenant envers son client, et quelles conséquences cela peut-il avoir sur la dynamique de la relation d’aide ?

A

la surprotection
ceci peut amener à détouner le client des sujets qui évoquent leur propre douleur, traitant parfois le client comme étant fragile.

26
Q

Quelles sont les implications éthiques d’etre très doux envers son client, c’est quoi la cause?

A

la bénignité excessive
du à une peur de la colère du client

27
Q

comment se proteger de la colère du client

A

on peut créer un atmosphère neutre et sans profondeur

28
Q

quelles sont les implications éthiques d’un rejet de la part d’un intervenant envers son client, et quelles sont les causes, et c’est quoi la solution?

A

rejeter un client:
peut être basé sur une perception du client comme etant trop dependant ou
il pourra s’éloigner au lieu de se rapprocher

29
Q

quelles sont les implications éthiques d’un besoin excessif
d’assurance et de validation de la part de l’intervenant ?

A

besoin de validation (contre- transfert)
l’intervenant se sent décourager ou s’angoisser s’il ne voit pas de résultat positifs rapidement

30
Q

un intervenant qui s’implique émotionnellement dans une relation d’aide, quelle implication ehique et quelles sont les conséquences?

A

s’identifier au client
une perte d’objectivité, trop impliqué s’identifier trop fortement aux probèmes du client, perdre les limites professionnelles

31
Q

un intervenant donne trop de conseils, implication ethique et conséquence?

A

donner des conseils, contre-transfert
cela peut déplacer l’accent de l’aide du client vers l’intervenant

32
Q

un intervenant qui établit une relation amicale avec un client pendant la relation d’aide, l’implication éthique et les conséquences

A

relation sociale avec le client9 contre transfert
peut nuire à la dynamique professionnelle

33
Q

le transfert

A

lorsque la personne dans une relation d’aide, éprouve certaines émotions envers son intervenant non à cause de qui est l’intervenant en lui même, mais à cause de qu’il rappelle de son passé

34
Q

est ce que toutes les émotions ou réactions dans une relation d’Aide sont forcement dues au transfert?

A

non, car il est possible que les réactions sont basées sur le comportement actuel de l’intervenant

35
Q

quelles sont les raisons qui vous poussent à vouloir aider ou être un intervenant?

A

Mes motivations pour vouloir aider et devenir intervenant sont diverses et complexes. Je ressens profondément une vocation à apporter mon soutien aux autres, motivée par mes valeurs morales, religieuses et éthiques. Une personne qui agit comme un modèle inspirant a exercé une influence significative sur moi. Avant tout, mon engagement est guidé par un fort sentiment d’empathie envers ceux qui font face à des difficultés, en particulier les enfants avec lesquels je travaille.

36
Q

quelles sont le motivations ( axées sur autrui) pour aider, devenir intervenant

A

1-l’élan altruiste : l’essentiel c’est le bien etre de l’aidé et n’est pas le bénifique personnel
2- au-delà de l’intérêt personnel:
3- l’empathie née de l’experience
4- au-delà de l’individu , vers l’impact sociétal

37
Q

quelles sont le motivations ( centrées sur soi) pour aider, devenir intervenant

A

1- une mosaique d’experience
2-s’entourer d’ames inspirantes
3-l’intellect au service de l’empathie.
4- croissance personnelle par le miroir de l’autre

38
Q

quelle sont autres motivations à part celles qui sont axées su autrui oi sur soi poue devenir intervenant?

A

1- naviguer avec des difficultés non résolues
2- la quete de validation personnelle
3-le sydrome de sauveur

39
Q

quelles sont les attitudes et qualités personnelles les plus solllicités en relation d’aide?
diapo 26 cours 3

A

empathie, respect et considérstion envers soi et envers les autres , authenticité, capacité d’adaptation, ehique professionnelle , facilité à enter en relation avec l’autre, facilité à faire confiance, affirmation de soi, maitrise émotionnelle, fermeté et bienveillance, jugement professionnel, capacité à confronté l’autre, sens des résponsabilités, persévérence, dynamisme, patience, créativité, autocritique

40
Q

quel est la difference entre les objectifs et valeurs?

A

les objectifs sont des cibles précises souvent mésurables, à atteidre dans un futur déterminé.
les valeurs sont intemporelles et constantes, ancrées dans le présent , elles ne sont pas des destinations, mais des chemins que nous choisissons de suivre tout au long de notre vie.

41
Q

definir les valeurs leur role et leur influencent

A

les valeurs incarnent nos aspirations fondamentales qui guident nos interractions, et refètent nos principes et croyances les plus profondes.
elles guident nos actionset comportement et influencent nos pensées internes et nos intentions.

42
Q

la culture et relaion d’aide

l’acronyme ADDRESSING
*age et inluence générationnelle
*développement et autres handicaps
*religion
*origine ethnique
*statut socio-économique
*orientation sexuelle
* identité des 1ere nations/autocthone
*origine
* genre

A

Les normes culturelles définissent souvent les attentes en matière de comportement, de communication et d’expression des émotions. Les intervenants doivent être sensibles à ces normes pour établir une connexion significative avec leurs clients.
le non respect de ces attentes peut engendrer un malaise difficile à identifier.

43
Q

origine des préjugés

A

socialisation et experiences personnelles , nos interactions

44
Q

l’aptitude de la compétence culturelle

A

L’aptitude culturelle fait référence à la capacité innée ou à la disposition naturelle d’une personne à comprendre, apprécier et s’adapter à des contextes culturels variés. Elle englobe la sensibilité aux différences culturelles, la curiosité à l’égard d’autres cultures et une ouverture d’esprit face à la diversité.

45
Q

au cours du processus d’aide quelles sont les étapes vers une compréhension approfondie de la competence culturelle?

A
  • se trouve l’expérience du client, un moment brut et non filtré
    *cette experience est la réalité du client, souvent teintée d’émotions, de sensations et de perceptions personnelles
  • l’experience devient une entité identifiable: le client la contextualise en fonction de sa propre compréhension culturelle, de ses croyaces et de ses valeurs.
    *la narration du client est une transformation de d’expérience en une version adaptée au partage, influencée par le langage, la culture et l’anticipation de la réception de l’auditeur
  • le thérapeute en tant qu’auditeur, recoit la narration avec sa propre série de filtres culturels de croyance d’experiences passées.
  • le thérapeute avec son expertise clinique trie et analyse l’information pour identifier les élements pertinents.
46
Q

les consequences des préjugés
sur la relationd’aide?

les biais de confirmation

A

1- peut percevoir le client à travers le filtre de ses propres croyances, en accordant plus d’attention aux aspects qui confirment ces croyances et en négligeant ceux qui les contredisent. Cela peut entraîner une compréhension déformée du client et de ses besoins.
2-Les intervention peuvent être orientés de manière sélective pour refléter les croyances du professionnel plutôt que d’être adaptés aux besoins réels du client.
3-peut entraver la capacité du professionnel à comprendre pleinement les expériences et les perspectives du client,
4- des barrières empathique : peuvent créer une distance émotionnelentre le client et l’intervenant limitant la capacité à se connecter et comprendre pleinement l’experience de l’autre.

*les préjugés du thérapeute peuvent influencer la qualité du traitement. Les jugements basés sur des préjugés peuvent affecter les décisions cliniques et la qualité des interventions.

47
Q

les exemples des perceptions de l’intervenant

comment les éviter?

1- conscience de soi : etre conscient de cette tendance humaine peut aider à reconnaitre quand nous comblons les lacunesde l’information et à nous interroger sur la validité de nos interpretations
2- communication ouverte: claire et ouverte, clarifier les malentendus, exprimer des préoccupations peut aider à éviter des suppositions érronées potentielemnt nuisibles.

A

1- principe fugure-fond:
*Focalisation sur le client (figure)Dans une interaction d’aide, le client peut être considéré comme la “figure”. L’intervenant se concentre sur les besoins, les expériences et les préoccupations du client, plaçant ces éléments au premier plan de son attention.

*Arrière-plan contextuel (fond) : L’arrière-plan, ou le “fond”, peut re peut représenter le contexte plus large dans lequel se déroule l’intervention. Cela inclut les circonstances environnementales, sociales et émotionnelles qui entourent la situation du client
2- la loi de fermeture: ex: Les intervenants peuvent être confrontés à des situations où certaines informations sur le client, le problème ou le contexte sont incomplètes. La loi de fermeture suggère que les intervenants peuvent automatiquement essayer de compléter ces lacunes en utilisant leur expérience, leurs connaissances antérieures et leurs hypothèses pour former une image plus complète.

48
Q

comment un client peut nous poser des défis?

A

la nature de ses actes ou ses comportements pourrait potentielemnt provoquer des conflits de valeurs ou créer des inconforts.
ex, un client( abus, agressions)génerer des emotions fortes( répulsion, colère , trisstesse)