Cours 7 Flashcards
Physiologiste et anatomiste allemand du XIXe siècle, Johannes Muller est considéré comme l’un des fondateurs de la physiologie moderne (ce dernier ayant contribué de manière significative à la compréhension de nombreux systèmes physiologiques à travers sa loi des énergies nerveuses spécifiques). À partir de ce que vous avez vu dans le cours portant sur la physiologie, expliquez en quoi consiste cette loi.
La loi des énergies nerveuse spécifiques de Muller est basé sur le fait que pour lui l’être humain n’est pas conscient des objets matériels, mais plutôt des impulsions sensorielles liées à ces objets et transmises à son cerveau. C’est la transmission de ces énergies nerveuses spécifiques qui permet la perception. Dans sa loi des énergies nerveux spécifiques, Muller propose qu’il existe 5 types de nerfs sensoriels et que chaque type de nerfs contient une énergie caractéristiques qui lui est propre. Ainsi, chaque type de nerf se déclenche à partir de différents stimulus. Par exemple, le nerf de la vision va se déclencher à partir de lumière alors que les nerfs de l’audition seront déclencher par les sons. Chaque organe est alors le réceptacle d’un seul type de sensation, ce qu’on appelle la réactivité spécifique de chaque organe. Donc, pour activer un organe, cela prend la stimulation adéquate. De plus, Pour Muller, il y a une primauté du circuit sur le stimulus, dans la mesure où peu importe la force du stmulus, tant que le circuit et le réceptacle ne sont pas prêt à le recevoir, le sens associé ne se déclenchera pas. Bref, pour Muller les 5 sens (l’ouïs, la vue, le gout , l’odorat et le toucher) vont répondre à des énergies qui leur sont spécifique.
Philosophe et psychologue allemand reconnu pour être l’un des fondateurs de la psychologie expérimentale et de la psychophysique, l’influence de la rigueur méthodologique de Gustav Theodor Fechner dans le domaine de la physiologie a grandement contribué à faire progresser nos connaissances. À partir de ce qui fut présenté dans le cours, expliquez en quoi consistent ses travaux et ses découvertes et décrivez son modèle psychophysique. Décrivez son modèle en employant la terminologie appropriée.
Fechner va s’intéresser au concept de seuils qui a été proposé par Weber, mais il va mélanger cette conception avec celle des perceptions conscientes et inconscientes de Leibniz. Ainsi pour Fechner, lorsqu’une sensation n’est pas perçue dans le champs de la conscience, il va appeler ça des sensations négatives. Pour qu’une sensation puisse entrer dans le champs de la conscience, celle-ci doit présenter une intensité minimum afin que le stimulus soit détectable, appelée le seuil absolu. Pour comprendre comment la perception fonctionne au delà du seuil absolu, Fechner a proposer le concept de seuil différentiel, c’est a dire les différences entre différentes intensité de stimulus qui vont provoquer la perception d’un changement au niveau des sensations. Il s’intéresse à l’évolution des perceptions dans le temps. Cette façon de chercher à comprendre le fonctionnement des sens à travers les seuils, ce nomme psychophysique. C’est à travers ses différentes recherches que la loi de Weber-Fechner va naitre. Celle-ci va chercher à décrire la relation entre l’intensité d’un stimulus de nature physique et sa sensation mentale, soit I = K* log (S) qui deviendra delta R / R = K.
Médecin allemand, physiologue et considéré précurseur de la psychologie expérimentale, Ernst Weber est reconnu pour ses contributions significatives au champ de la psychologie de la perception (plus précisément à travers ses travaux orientés dans le domaine de la psychophysique). En expliquant brièvement sa méthode expérimentale, rapportez ses deux contributions et expliquez comment ce dernier a déconstruit la conception de l’époque concernant le sens du toucher. Pour expliquer le “comment”, il vous faudra nommer et expliquer sa méthode ; décrire ce qu’il a apporté comme connaissances concernant le sens du toucher ; puis donner une des explications qui a révolutionné la conception de l’époque concernant le sens du toucher.
Ces deux contributions sont le seuil de discrimination tactile et le seuil de discrimination de poids.
Par les expériences sur les seuil celui-ci en est venu à la conclusion qu’il n’y a pas de correspondance univoque entre ce qui existe physiquement et ce qui est éprouvé psychologiquement. Weber utilise la méthode d’introspection expérimentale. Par celle-ci il s’effrice de connaitre qu’elle est la plus petite distance que peuvent avoir 2 points de contact l’un par rapport à l’autre pour être interprété comme étant une seule stimulation. Si on applique deux points de pression simultanés sur une partie du corps, ceux-ci risque d’être percu comme 2 stimulations séparées, mais si on applique des stimulation de plus en plus rapprochées, il est possible que le cerveau puisse finalement interpréter celles-ci comme n’étant qu’une seule.
Il découvrit que les seuils de sensations du corps sont dus à la disposition anatomique des récepteurs du toucher et que plus les récepteurs vont être nombreux, plus la discrimination va être fine.
Il a déterminé qu’il existait réellement une relation systématique entre une stimulation physique et une sensation psychologique et que celle-ci est relative, car les différences tout juste perceptibles correspondent à une fraction constante d’un stimulus étalon.
Ensuite, Weber a démontré par sa méthode que les sensations tactiles ne se résumaient pas seulement au toucher, mais, qu’il y avait plusieurs sens qui y étaient impliqués. Il parla pour la première fois de baresthésie, soit la sensibilité de la pression, de thermoesthésie, sensation de température, et de nociception, soit la perception de la douleur.
En quoi consiste la loi de Bell-Magendie? Pour bien répondre à cette question, expliquez-la en détail en vous assurant de mobiliser les bons mots-clés.
La loi de Bell-Magendie consiste en la découverte de deux fonctions des nerfs soit sensorielles et motrices. Les nerfs sensoriels pénètrent dans les racines postérieurs (racine dorsale) de la moelle épinière et les nerfs moteurs eux sortent des racines ventrales antérieures. Ainsi, cette loi démontre que les influx nerveux sont à sens unique. Cela à permis de nourrir cette vision des choses voulant qu’il existe différentes structures anatomiques pour supporter les différentes fonctions mentales.
Psychologue américain ayant significativement contribué à l’élaboration de la psychologie en tant que discipline scientifique et à la création de méthodes de recherche rigoureuses en psychologie, Edward Bradford Titchener fut également connu pour avoir été sous la direction de Wilhelm Wundt lors de son parcours académique. Bien que Titchener fût l’étudiant de Wundt, peut-on dire pour autant que leurs visions respectives de la psychologie étaient semblables ? Justifiez votre réponse en nommant leur école de psychologie respective puis décrivez leur approche en les comparant directement.
L’école de psychologie de Wundt est le volontarisme tandis que celle de Tithchener est celle du structuralisme.
Selon le volontarisme, la psychologie a 2 buts : découvrir les éléments fondamentaux de la pensée et découvrir les lois par lesquelles les éléments mentaux s’assemblent en expériences mentales complexes. Pour Wundt, si on veut véritablement comprendre comment s’opère l’esprit humain, alors on doit s’intéresser à la façon dont les personnes se mettent en action et ce de façon personnelle à chaque individu, car les sensations sont perçue grace à notre attention motivée qui est sélective. Ainsi, le volontarisme vise à comprendre l’exercice de la volition.
Titchener lui cherchait également a comprendre le fonctionnement du cerveau en s’intéressant à l’expérience immédiate. Comme son mentor Wunt, il cherchait à comprendre surtout quels sont les mécanismes qui permettent de générer l’expérience mentale et pourquoi cela fonctionne comme ca. Pour les deux, le quoi s’explore à travers une introspection minutieuse qui va cataloguer les éléments mentaux fondamentaux, ce qui va permettre de rendre compte toute l’expérience conciente. Il va chercher à mettre en rapport les mécanismes neurologique et les événements mentaux.
Avec le volontarisme et le structuralisme on cherche à décomposer au maximum l’activité mentale en plusieurs processus pour les étudier de façon isolée, soit une façon déterministe de concevoir l’activité mentale. Là ou Titchener va se distinguer de wunt, c’est que contrairement à lui, qui cherchai à expliquer l’expérience consciente en fonction des processus cognitifs inobservables, il va tenter simplement de décrire l’expérience mentale, d’ou le nom de son approche, le structuralisme. En ce sens Titchener est davantage positiviste. Il va se concentrer uniquement sur les éléments conscients qui vont être observables. Il veut décrire l structure de l’esprit en supposant qu’il existe plusieurs processus élémentaires de la conscience. Autrement dit, l’esprit est la somme des processus mentaux. Au niveau de la méthode, il va également utilisé la méthode d’instrospection expérimentale pour mener ses recherches, mais contrainement à wunt, les participants de Titchener devait décrire leur expérience en décomposant les processus fondamentaux de leur expérience cognitive. Ils cherchent à analyse les perceptions simples et élémentaires et non globale d’un stimulus. Ceci lui permit d’arriver à un modèle qui ressemble à celui de Wunt, mais pas tout à fait identique. Pour lui, l’activité mentale peut se découper en trois processus qu’il va appeler des processus élémentaire de la conscience. Au contraire de Wunt, dont le modèle était basé sur la perception, l’aperception et la synthèse créatrice, pour Titchener les processus sont la perception, dont les éléments sont les sensations, le processus des idées, soit des représentation mentales associer aux sensations qu’on appelle les images et, finalement, cette expérience va aussi générer des émotions, dont les éléments sont les affections. En bref, pour Titchener, si on veut étudier les processus élémentares de la conscience, on doit étudier les éléments qui leur sont associés en mesurant leur attribut. On cherche ici. Isoler le plus possible les composante qui régissent l’univers mental au lieu de, comme Wunt, chercher à comprendre différents mécanisme qui engendrent le comportement. Titchener rejet la théorie tridimensionnelle du sentiment de Wunt, car pour lui les sentiments de peuvent être décrit que par le plaisir et le déplaisir. Il rejet également le modèle de la perception, l’aperception et la synthèse créatrice émis par Wundt, pour épouser le modèle de l’associationnisme traditionnelle proposer par les empirismes. Il va faire de la loi de la contiguité sa première loi de l’association. De plus, pour Wundt les mécanisme liés à l,attention étaient très important alors que pour Titchener ce n’est qu’une dimension parmi les autres.
Titchener va proposer une théorie situationnelle du sens dans la mesure ou les sensations ne ont jamais isolées. Nos sensations dépendent de notre expérience / du contexte.
Psychologue et philosophe américain, William James est l’un des fondateurs d’une école philosophique américaine appelée pragmatisme. C’est d’ailleurs à travers une crise personnelle que ce dernier en serait venu à conceptualiser le pragmatisme. À partir de ce que nous avons vu dans le cours, expliquer comment William James en est venu à cette conceptualisation et quelle est l’influence de celle-ci sur la psychologie américaine. Pour répondre à cette question, vous devez expliquer en quoi consiste le pragmatisme, tout en le comparant aux grandes idées derrière la psychologie américaine.
La conceptualisation du pragmatisme s’est fait après un long processus de réflexion ou celui va essayer de se convaincre du libre-arbitre. Il voulait avoir un impact sur son environnement. Ainsi, le pragmatisme prone que par la science de la psychologie on veut avoir des impacts concrets. Dans le pragmatisme, on va dire que si une idée fonctionne, ca confirme sa validité. James a une hantise du déterminisme, il va s’opposer à la notion d’éléments de pensé que l’on peut combiner avec d’autre pour former des processus encore plus complexes. William James favorisait une conception d’avantage dynamique que le volontarisme et structuralisme et propose le concept de courant de la conscience. Selon ce concept la conscience est individuelle dans la mesure ou elle reflète l,expérience de l’individu à un instant X. Celle-ci est aussi continue, changeante et de ce fait, elle ne peut pas être subdivisée à des fins d’analyse. Pour lui, on ne peut pas avoir deux fois la même idée, car le courant de conscience qui sert de toile de fond à l’idée est lui aussi en changement. De plus, pour James, la conscience est quelque chose de sélectif, le courant de la conscience appliquant un filtre entre ce qui est conscient et ce qui ne l’est pas. Là ou c’est un concept qui va vraiment aller dans la conception même du fonctionnalisme, c’est parce qu’à travers lui il va dire que la conscience est fonctionnelle. Le principe derrière est le principe d’adaptation régis par les instincts et les habitudes qui change en fonction de l’expérience. Les habitudes sont quelque chose que l’on peut modeler avec son libre arbitre.
À partir de ce que nous avons vu dans le cours sur les premières écoles de psychologie, définissez ce qu’est le fonctionnalisme.
C’est une école de pensée basé sur la compréhension du fonctionnement de l’esprit. Pour les fonctionnalistes, les processus mentaux ont une fonction, ils servent à s’adapter à notre environnement. Pour eux, non seulement la fonction même des comportements est très importante, mais la fonction même de la science est capitale. On veut faire de la psychologie une science appliquée et non une science pure. On souhaite qu’à partir de nos découverte, on puisse améliorer la qualité de vie des gens, d’améliorer nos processus d’éducation et surtout les processus industriels. La particularité des fonctionnalistes est de vouloir élargir la recherche en psychologie pour y inclure les recherches sur les animaux, soit psychologie comparée. Les fonctionnalistes s’intéressent autant aux processus mentaux qu’au comportements. Donc, pour eux l’introspection est une façon très valable d’étudier la psyché humaine, mais observer les comportements l’est tout autant. Cette approche est plutôt idiographique, soit une approche qui considère l’individu pour ce qu’il est, pour ses particularité. On accepte qu’on ne peut pas tout généraliser.
Qu’est-ce qu’est la phénoménologie? Est-ce que cette position épistémique est compatible avec le structuralisme? Pour répondre à cette question, décrivez les grandes idées derrière la phénoménologie puis expliquez en quoi les deux approches sont compatibles ou non. Assurez-vous de soutenir votre opinion quant à la compatibilité des deux approches en les comparant directement.
Phémoménologie : c’est l’étude des phénomènes. C’est un courant philosophique qui ne s’intéresse qu’à l’expérience vécue par un sujet qui agit et qui perçoit. Pour les phéno, il n’y a pas de monde commun objectif et neutre dans lequel on choisit d’interagir avec certains objets plutôt que d’autres. Ils adhèrent à l’idée, qu’entant qu’être vivant, ne fait partie de notre monde que ce qu’on perçoit et ce qui fait signe pour soi en terme se pensée ou d’action. L’intentionnalité est le rapport qui existe entre l’objet et l’esprit.
Donc, il n’existe pas vraiment d’objectivité dans la mesure ou le rapport au monde est propre à chacun. Ainsi, La phénoménologie s’intéresse aux phénomènes de l’esprit, soit à l’expérience complète, celle qui est porteuse de sens.
Structuralisme : Dans le structuralisme, on chercher plutôt à décrire la structure de l’esprit en supposant qu’il existe plusieurs processus élémentaires de la conscience.
Ainsi, on cherche à comprendre les processus de façon divisée, au lieu de l’experience globale. Ils cherchent à analyse les perceptions simples et élémentaires et non globale d’un stimulus. L’expérience consciente est donc expliqué en fonction des processus cognitifs observables, soit sa structure. On veut étudier les processus élémentaires de la conscience, en mesurant leurs attributs. On cherche ici à Isoler le plus possible les composantes qui régissent l’univers mental au lieu de, comme les phénoménologistes, chercher à comprendre les mécanismes qui engendrent le comportement.
Les innovations méthodologiques de Wundt en psychologie se démarquent principalement par l’introduction de la méthode expérimentale, ainsi que par l’utilisation de statistiques, devenue par la suite un procédé fondamental pour la psychologie scientifique. Le rayonnement de ses travaux sur la perception a contribué à établir la psychologie comme science empirique. À partir de ce qui fut abordé dans le cours, définissez les termes « sensation », « perception », « aperception » et « synthèse créatrice » tel que Wundt les employait dans sa théorie. Pour bien répondre à cette question, assurez-vous de mettre ces concepts en relation les uns par rapport aux autres.
Sensation : expérience mentale automatique liée à un objet. Elle se produit à chaque fois qu’un organisme est stimulé par son environnement et qu’un influx va se rendre au cerveau. Elles varient selon leur modalités (visuelle, auditives, etc) et au niveau des leurs qualités (intensité, saturation, etc). Chaque sensation va ensuite générer des sentiments liées au sujet. Les sensations et sentiments représentent le processus passif de la perception.
Perception: Un processus passif qui crée ls sentiments et émotions en simultané. Celle-ci dépend de facteurs biologiques comme les stimulations physiques et la composition anatomique de l’individus, mais également de ses expériences antérieures, soit son activité interne. Pour qu’il puisse y avoir perception, il faut que les stimuli apparaissent dans le champ de la perception soit la partie à laquelle l’individu prête attention.
Aperception : C’est un processus dynamique, duquel est dépendant le champ de perception parce que c’est un mécanisme actif et volontaire qui dirige l’attention sur quelque chose plutôt qu’une autre. Ainsi, il existe un rapport bidirectionnelle entre la l’aperception et la perception.
Synthèse créatrice : Ce rapport bidirectionnel fait en sorte que lorsqu’une personne choisit de porter son attention sur quelque chose, cela va créer un réarrangement de l’information qui vient à elle, dans son cerveau. Ce processus va ensuite permettre de générer du nouveau contenu. C’est ce qu’on appelle la synthèse créatrice.
En quoi consiste la psychologie de l’acte de Brentano?
Il dit que c’est plus important d’articuler nos études alentour des processus qui permettent de comprendre le sens de l’action en lui-même. Les actes mentaux sont notre façon d’entrer en contact avec notre monde physique. L’acte est le processus mental qui est lié à des stimulations/objets extérieur. Ces processus mentaux occupent des fonctions, comme par exemple, le jugement, le souvenir, les attentes, les inférences, le doute, l’amour, la haine et l’espoir. Derrière le traitement des informations (l’activité mentale) se cache différents processus qui ont différentes fonctions et puisque l’acte psychique est nécessairement orienté vers un objet, on peut dire que derrière chaque acte mental, il y a une intention/orientation. Ainsi, ce concept d’intentionnalité est le rapport qui existe entre l’objet et l’esprit.
Vous faites un stage en psychologie scolaire. Dans le cadre de votre stage, vous devez évaluer l’intelligence d’un enfant. Vous passez tous les tests nécessaires, et vous rédigez le rapport. Toutefois, votre superviseure vous reproche d’avoir omis certaines informations très pertinentes dans le rapport. Elle vous dit qu’il est primordial de rapporter le périmètre crânien à la naissance de l’enfant. Vous obtempérez sans rouspéter, mais vous vous questionnez sur la pertinence d’une telle information… Vous allez donc lire votre cours d’Histoire critique complété la session dernière, puisque vous savez qu’un auteur en particulier aurait pu influencer une telle pratique. En lisant, vous vous rendez compte que cet auteur ne parlait pas spécifiquement du périmètre de la boîte crânienne pour parler de l’intelligence, mais qu’il abordait d’autres facteurs relativement liés comme les bosses sur le crâne.
Quel grand personnage est à l’origine de l’idée que certains indices du crâne seraient liés à certains traits de personnalités/facultés intellectuelles et comment s’appelait la discipline étant à l’origine de cette idée?
Franz Josephh Gall
La phrénologie
De quel personnage vient l’idée que les criminels sont nés avec des traits physiques distincts qui les différencient du reste de la population ?
Cesare Lombroso
Élabore la thèse du criminel né basé sur la phrénologie
À quel concept /découverte pouvez-vous rattacher Luigi Galvani
L’Électricité animale
Découvert que lorsqu’on applique un courant électrique sur les pattes d’une grenouille, elles se contractaient. L’électricité peut être sécrétée par le cerveau pour ensuite se transmettre dans les muscles et les nerfs à travers les métaux.
Nommez deux domaines de la psychologie auxquels Hugo Münsterberg aurait significativement contribué.
Psychologie industrielle
Psychologie judiciaire
Vous allez au restaurant en compagnie de votre mère. Celle-ci décide de commander la table d’hôte dans laquelle il y a quatre services : entrée chaude, entrée froide, repas principal, dessert. Votre mère commande le chili con carne, et la crème glacée pour dessert. Le premier service se déroule bien, mais à l’arrivée de l’entrée froide, votre mère s’exclame : « je me gèle les dents ! ». Vous lui dites de se calmer, qu’elle n’en perdra pas son dentier… Mais votre mère s’insurge encore lors du repas principal en s’exclamant : « je me brûle la langue ! ». Embarrassé, vous espérez vraiment que le reste du repas se déroule sans vague. Toutefois, votre intuition vous dit qu’elle s’exclamera : « je me gèle les dents ! » lorsqu’elle entamera sa crème glacée. À quel principe de la pensée de Wundt votre intuition fait appel ?
Le principe des contraire : lorsque l’on fait l’expérience d’une sensation, alors quand on fait l’expérience d’une sensation opposé, celle-ci semble beaucoup plus forte. Effet de saillance sur les nouveaux stimuli.