Cours 5 Flashcards
3 trucs qu’on étudie en pharmacodynamique
- concentration méd au site d’action
- liaison pop récepteur dans un tissu donné
- effets biologiques (thérapeutiques & indésirables)
v ou f
le poison et les produits de santé naturels sont tous deux autant des agents pharmacologiques 1
oui agent pharmaco 1 = modif fonctions bio de l'organisme: - méd - drogues - prod santé naturels - agents bio (AC monoclonaux) - poisons
agents pharmacologiques 2
- neuromédiateurs / neurotransmetteurs
- hormones
- autacoïde ou hormones locales
parmi les agents suivants, lesquels sont des autacoïdes (hormones locales)
a. histamine
b. noradrénaline
c. adrénaline
d. prostanoïdes
e. NO
f. corticostéroïdes
g. GABA
h. acétylcholine
a. oui
b. non => nT
c. non => hormones dans sang
d. oui (prostaglandines & thromboxane)
e. oui
f. non => hormones dans sang
g. non => nT
h. non => nT
donc: a / d / e
3 palliers analgésiques pour le traitement de la douleur
- non-opioïdes
- opioïdes faibles
- opioïdes forts
tramadol & tapentadol sont des:
- non-opioïdes
- opioïdes faibles
- opioïdes forts
- opioïdes faibles
tylenol et advil (acétaminophène et ibuprofène AINS) sont des:
- non-opioïdes
- opioïdes faibles
- opioïdes forts
- non-opioïdes
ex opioïdes forts
- morphine
- méthadone
- hydromorphone
- fentanyl
v ou f
codéine considérée comme un opioïde fort
f => faible mais c’est son métabolite morphine qui a un effet analgésique et c’est un fort
v ou f
si la douleur persiste après l’utilisation d’opioïdes faibles, on peut utiliser des adjuvants et des non-opioïdes pour aider
v
v ou f
tous les opioïdes ont des interactions avec des récepteurs différents qui produise un effet analgésique commun
f
tous agissent en STIMULANT le récepteur µ opioïde
Efficacité (opioïde fort vs faible)
maximum d’analgésie que ça peut amener
Puissance
quantité minimale pour avoir un effet:
ex fentanyl a besoin d’une vrm plus petite dose que hydromorphone et morphine
v ou f
fentanyl est 100x plus puissant que la morphine
& la morphine est 5x plus puissante que l’hydromorphone
f
fentanyl (100x) > hydromorphone (5x) > morphine
0.1 mg vs 2 mg vs 10 mg pour avoir le même effet
corpora non agunt nisi fixata
agents pharmaco n’agissent pas s’ils ne se fixent pas à des protéines (substances réceptives)
dispositif expérimental pharmaco
bain d’organes/de rissus: supeerfusion de tissus avec sol physiologique à des conc données d’un agoniste
& appareil pour mesurer les réponses au fur et à mesure (comment le tissu s’étire et change plus on injecte de subst)
v ou f
Emax = mesure de l’efficacité
Ce 50 = mesure puissance
v
Ce 50 = conc efficace à 50% de l’effet max
** plus Ce est à gauche dans la distribution log, plus on a de puissance
v ou f
dans une courbe conc-réponse semi-logarithmique, le fentanyl et la morphine auraient le même plateau (Emax) mais la morphine aurait un Ce50 plus à gauche
f
oui même Emax pcq ils ont la même efficacité (opioïdes forts) mais ce serait le fentanyl qui serait plus à gauche pcq plus puissant
v ou f interaction agoniste (A) et récepteur (R) est irréversible
f
réversible: pas une liaison covalente
en quel cas l’interaction agoniste (A) et récepteur (R) est soumise à la loi d’action de masse
à l’équilibre
loi d’action de masse
k1 x [A] x [R] = k-1 x [A-R]
constante cinétique d’association x conc agoniste x conc récepteur = constante cinétique de dissociation x conc agoniste lié au récepteur
selon la loi d’action de masse, que produit l’augmentation de la concentration d’agoniste [A] sur le nb de récepteurs occupés
augmente proportionnellement
+[A] = +[A-R]
au contraire, si on a moins d’agoniste libre, on favorise le détachement de l’agoniste du récepteur
v ou f
si on augmente Ka, on augmente la conc d’agoniste [A] et de récepteurs [R] non liés
*Ka = constante association
f => augmente [A-R]
c’est inversement prop à [A] x [R]
résultat d’augmenter Kd (constante de dissociation)
[A] x [R] augmente et [A-R] diminue
l’intensité de l’effet bio en réponse à l,agoniste A est proportionnelle à quoi
nb de récepteurs occupés (+ récepteurs occupés = + effet)
v ou f
si on augmente Rt (nb de récepteurs total) mais pas [A-R], on augmetne l’efficacité
f
+ Rt = - Ea
Ea = aA x Emax x [E-R] / [Rt]
v ou f
Rt est une propriété spécifique au tissu
v
plus ça augmente, plus l’efficacité diminue
activité agoniste (aA)
propriété de l’AGONISTE
=> plus ça augmente, plus l’efficacité augmente.
Quand l’agoniste lie le récepteur, il change la conformation du R d’inactif à R* actif
c’est donc la capacité à l’agoniste de causer le changement de conformation soit à 100% ou partiellement
stimulus qui déclenche la cascade de réponse biologique
R*: le récepteur qui a changé sa conformation après avoir bind avec l’agoniste
=> occasionne la transduction cellulaire & la réponse biologique
agoniste complet
aA = 1 : il passe de R à R* complètement
stabilise R* (récepteur occupé actif)
agoniste partiel
0 < aA < 1 : change R mais pas complètement
stabilisation incomplète de la config active du récepteur
v ou f
noradrénaline est un agoniste pour prot G
v
entraîne le changement de conformation qui détache une sous-unité: Gs,a qui stimule l’adénylate cyclase (AC), produit le 2nd messager (AMPc) et déclenche la signalisation
ATP => AMPc & IPP => activation enzyme PKA
effet d’une activité constitutive sur GPCR
transition spontanée R => R*: entraîne dissociation sous-unités Gs & stimulation AC
(et ensuite prod d’AMPc et IPP)
Emax d’un agoniste complet
élevé: max récepteurs exprimés et signalisation que le tissu peut générer
donne au tissu le max de ce qu’il peut donner comme réponse
Emax d’un agoniste partiel
limité p/r capacités du tissu => récepteurs & signalisation pas exprimés au max
interaction agonisme partiel et agonisme complet
partiel agit comme antagoniste: prend sa place même s’il n’est pas aussi bon
antagoniste neutre => aka “pur”
aA = 0 : pas de changement R=> R*
activité intrinsèque nulle
=> occupe le R mais n’induit pas de transition vers la configuration active
antagonisme pcq il prend la place au site de liaison d,un agoniste complet/partiel
agoniste inverse
aA < 0
tend à stabiliser le R dans sa config inactive
=> peut être inverse complet ou partiel (inactive complètement à 0 ou pas totalement)
=> pour qu’il fonctionne, le R doit être capable de R=> R* spontanément (sans devoir être stimulé par l’agoniste)
=> présente une activité constitutive/basale
v ou f
activité constitutive est à 60% de l’activité max de la voie de signalisation
f
40%
=> même sans agoniste, on a une activité basale ce qui veut dire que le récepteur change spontanément de configuration vers une forme active
v ou f
agoniste inverse stimule l’activité basale
f
l’inhibe, la diminue
interaction agoniste inverse et agoniste complet
agoniste inverse agit comme une antagoniste
3 options thérapeutiques pour pop vulnérables aux troubles de conso d’opioïdes
- abstinence
- tx entretien par buprénorphine-naloxone
- tx entretien pa méthadone
v ou f
méthadone est un agoniste partiel et demi-vie longue
f
complet avec demi-vie plasmatique longue
v ou f
buprénorphine est un agoniste partiel avec longue demi-vie
v
v ou f
naloxone est un antagoniste pur avec longue demi-vie
f
antagoniste pur avec courte demi-vie
équivalence fentanyl, méthadone, morphine et hydromorphone à doses équianalgésiques (pour même effet par voie parentérale)
0.1 mg fentanyl
=> 0.5-1 mg méthadone
=> 2mg hydromorphine
=> 10 mg morphine
différence en terme de PUISSANCE mais même EFFICACITÉ: ce sont tous des agonistes complets, opioïdes forts
équivalence buprénorphine et morphine
25x plus puissant que la morphine:
il en faut 0.4 mg vs 10mg de morphine
v ou f
un agoniste partiel a un Emax moins marqué qu’un agoniste complet
v
ex buprénorphine plafonne pour les effets de dépression respi, sédatif et euphorisant