Cours 4: mémoire Flashcards

1
Q

Décrire l’exp sur la localisation des engramme mnésique (traces mnésiques) auniveau des aires associatives du cortex cérébrale et ses résultats/conclusion.

A

Rat dans un labyrinthe qui apprend à retrouver son chemin avec récompense. Lésions dans les diffs aires associatives avant la période d’apprentissage = prend + de temps, semble interférer avec la capacité à apprendre. Après la période d’Apprentissage= destruction des processus mnésique, mais capable de réapprendre (va compenser avec d’autres processus cognitifs ex : vison, audition, toucher). Prend plus de temps à réapprendre. Donc après lésions : plus long, fait des erreurs, puis apprend à retrouver son chemin très rapidement. Conclusion = corrélation entre la sévérité des déficits (apprentissage et mémorisation) et la taille de la lésion, absence de corrélation avec le lieu de la lésion. Les aires corticales associatives contribuent de façon équivalente à apprentissage et mémoire.

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2
Q

Quels sont les 2 problèmes de l’exp sur la localsaition des engrammes mnésiques au niveau des aires associatives du cortex cérébrale.

A

1) taille lésions
2) les rats pouvaient utiliser diff sens pour résoudre le labyrinthe, soit odorat, vue. Perte d’un type de mémoire pouvait être compensé par un autre. Aussi les aires corticales ne contribuent pas également, mais la mémoire est distribuée

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3
Q

Est ce que les aires corticales contribuent de façon égale? et la mémoire?

A

les aires corticales ne contribuent pas également. la mémoire tant qu’a elle est distribué

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4
Q

décrire la diff fondamentale entre la mémoire et les aires corticales

A

Il y a une diff fondamentale entre les 2. Il y a un encodage distribué et un non équivalent.

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5
Q

nommer le diff sys mnémoniques.

A

1) mémoire déclarative = explicite = consciente

2) mémoire non déclarative= implicite=non conscient

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6
Q

Quel est la théorie de Donald Hebb a publie dans The Orgnization of Behaviour?

A

théorie de l’engramme qui comprend 3 postulat encore actuel qui explique comment une trace mnésique peut se créer à travers le cerveau. les 3 postulats sont le modèle de l’apprentissage hebbien, l’assemblée cellulaire et la séquence en phase.

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7
Q

Décrire le modèle de l’apprentissage hebbien.

A

Processus réfère à la synapse hebbien et se base sur un processus de potentiation long terme. Les connexions entre les N augmente en efficacité en fct du degré des corrélations entre l’activité pré et post-synaptique. « Quand l’A d’une C A est assez près pour exciter une C B et joue un rôle répété et persistent dans le déclanchement de potentiels d’Action de la B, des processus métaboliques prendront place dans les C, ce qui augmentera l’Efficacité de A pour déclencher le N B ». -Plus des N s’Activent de manière simultanée, plus ils vont devenir meilleure à s’activé de manière simultanée et plus ils vont se connectés ensemble avec des connexions fortes qui permettent cette activation simultanée. Tout est interrelié dans le cerveau. Ce processus réfère à la règle de Hebb et permet entre autres des algorithmes de base qui ajuste leurs poids dans les réseaux de N mathématiques pour prédire les outputs en fct des inputs.

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8
Q

Décrire l’assemblée cellulaire.

A

à cause de l’apprentissage Hebbien, la représentation d’un objet (représentation du monde ext) correspond à la totalité de l’Activité cérébrale produite par cet objet. Création d’une trace mnésique est l’ensemble des activités produites quand on perçoit l’objet en question. Hebb imagine que les N étaient +/- tous interconnectés. Quand 2 N s’activent simultanément, comme les paires de N d’une assemblée cellulaire, la force de leur connexion augmente. Ensuite, une activation partielle par le stimulus suffit à activer toute l’assemblée cellulaire donc la base de l’engramme. La destruction partielle des connexions d’une assemblée cellulaire ne détruira pas le patron d’Activation neuronal. Bref, même si on enlève un N ou connexion, les reste des N qui est associé à une trace mnésique vont s’activé. De plus, + on voit un objet, + il va y avoir une trace mnésique forte qui va se créer et + les N vont connectés et se déclenchés

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9
Q

Décrire la séquence en phase.

A

l’Activation séquentielle d’assemblées cellulaire représentent une multitude de chose. Un stimulation particulière répétée fréquemment mène au développement lent d’une assemblée cellulaire (structure comprenant des C d’un peu partout dans le cortex). Étant capable d’agir rapidement comme un sys rapproché facilitant l’activation de d’autres sys interreliés, chq assemblée est activée par l’assemblée ou par une nouvelle exp sensorielle (souvent les 2 en même temps).

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10
Q

Qu’est-ce que les 3 postulats de Hebb apporte?

A

La théorie est une forme de connexionnisme qui forme un pt de départ fondamental pour comprendre comment le cerveau arrive à encoder et à se rappeler l’info. L’assemblée qu’on active va influencer la prochaine qui va s’Activer (ex : neige me fait penser à Noel, noël à cadeau…).

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11
Q

Décrire la mémoire non-déclarative implicite (non conscient).

A

elle contient l’ensemble des manifestations inconscientes de la mémoire. C’est autant ce type de mémoire qui permet de se brosser les dents, faire du vélo… On apprend après plusieurs répétitions avant d’intégrer une action.

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12
Q

Qu’est-ce que l’amorçage?

A

amélioration de l’identification ou du traitement d’un stimulus donné (qui est associé) suite à son observation préalable. La présentation d’un stimulus améliore son traitement ultérieur. Bref, la perception et le traitement d’un stimulus améliore son traitement ultérieur. Le mot active certains N donc plus facile à être réactivé par la suite.

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13
Q

Décrire les diff types d’amorçage.

A

direct ou indirect. Le priming direct rassemble le priming perceptuel (complétion de mots) ou conceptuel (mot lié conceptuellement qui rappel le mot). Le priming indirect est sémantique où un mot mène à un autre lié conceptuellement (ex : enveloppe nous amène à penser à papeterie).

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14
Q

Qu’est que MS et HM permettent d’expliquer?

A

Ils démontrent que les fctionnements cérébraux sont distincts pour les diffs types de mémoire. Ceci s’Explique par la répétition suppression. MS lui manquant V1 et les aires extrastriés à D, on ne retrouvait pas d’amorçage visuel, mais une mémoire déclarative. HM lui manquant les lobes médians temporaux, soit il n’Avait pas de mémoire déclarative, mais il y avait présence d’amorçage

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15
Q

Qu’est-ce que la suppression liée à la répétition?

A

théorie de l’affûtage. On observe une diminution dans l’Activité neuronale associée à un stimulus lorsque celui-ci est répété et ce tout dépendant du chevauchement dans les représentations neuronales. La répétition neuronale plus similaire diminue l’activité dans le cortex (ici le fusiforme gyrus). Pour le priming conceptuel, on sait que dans l’amnésie (affecte les lobes temporaux médians), la mémoire explicite est déficitaire, mais l’amorçage perceptuel et conceptuel sont conservés. Dans la maladie d’Alzheimer (affecte les lobes temporaux médians, les cortex temporaux latéraux et préfrontal), la mémoire explicite est déficitaire et l’amorçage conceptuel l’Est aussi. Cependant, l’amorçage perceptuel est tout de mémoire préversé. Ceci suggère que les cortex temporo-latéral et préfrontal sont impliqués dans l’amorçage conceptuel. L’amorçage perceptuel va plus dépendre des aires perceptuelles. Lorsqu’on voit un nouvel objet, il y a une plus grande activation donc une moins grande pour ceux qui ne sont pas nouveau, car a déjà été activé.

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16
Q

Décrire l’exp dans laquelle il y a une tâche de conditionnement classique où l’on conditionne un clignement des yeux (provoqué par un jet d’air =SI) au fait d’entendre un son (SC).

A

. On compare 2 types de conditionnements : a) simultané qui dépend principalement du cervelet et b) avec trace (intervalle entre le SC et le SI) qui dépend du cervelet + hippocampe. Résultats= conditionnnement avec déali est préservé chez les amnésiques (lobes médians temporaux), mais pas le condi avec trace. Les participants répond à des ? concernant la relation temporelle entre les diffs types de stimulus dans un ordre fixe. Quand ils obtenait moins de 12/17 = classé comme inconscient du lien entre SC et SI. Pour le conditionnement instantannée, tous sont capable de conditionné à la perception du son avec le clignement de yeux. Pour le conditionnement avec délai, les amnésique n’arrivent pas à se faire conditionné car il oublie conditionnement à la perception du son avec le clignement des yeux.

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17
Q

Décrire la mémoire procédurale.

A

diverse habiletés motrices, cognitives et perceptuelles. Ce type de mémoire permet l’encodage et le stockage des procédures qui sous-entendent les habiletés. Dur de verbaliser car s’exprime dans l’action. C’est par la pratique que se rassemble les apprentissages qu’ils ont appris tout le long de leur vie.

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18
Q

Décrire l’exp d’apprentissage procédural de nature cognitive où on apprend à prédire les conditions météorologiques en fct de la combinaison de 4 cartes .

A

. On voit une amélioration de la performance des individus normaux et amnésiques, mais pas ceux atteint par la parkinson, car cette maladie est liée à un problème avec la substance noire qui se projette vers le striatum alors que l’amnésie est associée au lobe temporal médian. Toutefois, si on test la formation de mémoires déclaratives et plus procédurales = l’inverse se passe. Il y a donc des structures diffs qui sous-entendent les divers types de mémoire.

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19
Q

décrire les noyaux centraux/ ganglions de la base/noyaux de la base.

A

impliqués dans la mémoire implicite, soit joue un rôle dans la mémoire procédurale dans la rétention de commandes motrices en formant une boucle motrice. Le boucle motrice permet de faire des association entre les rép et les stimuli perçus. Donc le parkinson (effecte sub noire) et le chorée d’huntington (affecte le striatum) mènent à des problèmes moteurs mais aussi mnésiques (mémoire proédurale). On est capable de prédire l’erreur de la prédiction de la récompense (quand on fait une action suite à un stimulus = on fait une erreur de prédiction de la réaction = vient activé quand on fait une erreur) et modification des diffs connexions synpatiques en ce sens (création d’engrammes).

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20
Q

Décrire la mémoire explicite.

A

comprend la mémoire épisodique (évènements) et sémantique (faits).

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21
Q

Décrire la mémoire épisodique, la rminescence et la familiarité.

A

mémoire des évènements qu’un individu a personnellement vécu dans un contexte spatial et temporel. Réminescence (souvenir)= réfère aux mémoires des évènements passés qui incluent des association spécifiques et les détails contextuels. Familarité= impression d’Avoir déjà vécu un évènement dans la passé sans que les associations spécifiques et les détails contextusl aux souvenirs (impression de déjà vue).

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22
Q

Décrire la mémoire sémantique

A

connaisance conceptuelle. Connaisances générales sur les objets, sens des mots, faits et les gens sans liens avec un contexte spatiel et temporel.

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23
Q

Qu’Est-ce que l’amnésie et quelles sont les causes?

A

perte de mémoire et/ou aptitude à apprendre. Soit rétrograde (perte de souvenirs avant le traumatisme) et antrérograde (incapacité de créer de nouveaux souvenirs). Cause= traumatisme crânien, alcoolisme chronique, tumeurs cérébrales, maladies dénératives, AVC.

24
Q

Quelle est la loi de Ribot?

A

il existe un gradient temporal dans l’amnésie rétrograde, de telle manière que les souvenirs récents sont plus sujets à l’amnésie que les souvenirs plus anciens.

25
Q

Décrire le cas de HM.

A

épileptique, a subi une ablation bilatérale du lobe temporal médian  amygdalectomie et ablation des 2/3 de l’hippocampe. Suite à son opération, il a une amnésie antérograde (pas de MTL), une amnésie rétrograde (de quelques jours avant son opération) et une mémoire déclarative déficitaire (épisodique et sémantique). Il a une mémoire procédurale presque normal (s’améliore aux test sans se souvenir du test) et mémoire de travail normal, mais dès qu’il est interrompu HM oublie ce qui lui a été demandé. Il est capable de faire une boucle phonologique, mais dès qu’on l’interrompt, il oublie ce qu’il était en train de faire.

26
Q

Décrire le lobe temporal médian.

A

sous l’os temporal. Partie médiane du lobe temporal est formée par le néocortex temporal, qui est un lieu possible pour le stockage de l’info à long terme. Il y a l’hippocampe (dans le néocortex) qui est impliqué dans la mémoire déclarative (structure clé). autres structures clés sont dans la région ventrale de l’hippocampe dans le sillon rhinal = cortex entorhinal, cortex périrhinal et cortex parahippocampique.

27
Q

que savons nous sur la formation hippocampique?

A

la formation hippocampique sous-entend des tâches de mémoire déclarative qui nécessite le traitement des relations entre un évènement et son contexte d’Encodage (réminiscence).

28
Q

Que savons nous sur les autres régions du lobes temporal médian?

A

les autres régions du lobe temporal médian sous-entend la performance de tâches qui évaluent la familiarité du stimulus.

29
Q

Quel est le lien entre la formation hippocampique et les autres régions du lobe temporal médian?

A

Cela est consistant avec la connectivité hiérarchique de cette région : l’info des aires associatives corticales entre dans les lobes temporaux médians par les cortex perirhinal et parahippocampique, qui projettent dans le cortex entorhinal qui en retour projettent dans la formation hippocampique.

30
Q

Décrire la représentation complète dans l’hippocampe.

A

meilleur intégration des aspects perceptuelles/sensorielle= meilleure trace mnésique. Cette connectivité suggère que la capacité représentationnel du cortex périrhinal et parahippocampique sont très lié à l’Entrée de l’info sensorielle + générale. La familarité étant sous-entendu par un traitement sensoriel générale du stimulus.

31
Q

Les computations de l’hippocampes se représentent de l’info temporelle et spatiale permettent quoi?

A

Permet à la fois de créer des codes uniques des nouveaux stimuli, mais encode également des régularités spatio-temporelle. Va coder des régularités spatio-temporelle dans l’hippocampe = va créer un code associé à comment le cortex traite de l’info= permet de mieux s’en rappeler.

32
Q

Qu’est-ce que la consolidation mnésique?

A

L’info provient des aires sensorielles du néocortex et sont transmissent vers le lobe temporal médian pour y être transformée dans l’hippocampe = encodage. Puisque c’est très malléable, on y retrouve ensuite des changements important dans l’hippocampe = consolidation synaptique. Ensuite, des sys de consolidation intervienne au cours desquels les assemblées sont progressivement transférées dans les diff régions du néocortex= consolidation mnésique. Ceci prend un certain temps. Le sommeil joue une grand rôle pour cela. Avant la consolidation mnésique, le rappel des souvenirs est sous-entendu par la représentation hippocampique = indexe hippocampique. après la consolidation mnésique, l’hippocampe se représente tout de même l’info encodé précédemment de manière unique et stable à travers le temps et ce même si le rappel ne nécessite plus l’hippocampe pour avoir lieu. Après consolidation de la mémoire (min 24h) = pu besoin des indices hippocampiques pour se rappeler des souvenirs, mais on sait que l’hippocampe garde un code unique quand même.

33
Q

Comment le modèle de consolidation mnésique expliquent les principaux effets des lésions?

A

1) explique avec parcimonie pourquoi une petite lésion corticale n’affecte que peu ou pas la mémoire alors qu’une lésion de même taille au niveau de l’hippocampe peut se créer une amnésie sévère. 2) explique pourquoi une lésion corticale peut causer des troubles de mémoire spécifiques (catégories, modaltés, etc.) alors qu’une lésion de l’hippocampe affecte toutes les modalités et les catégories. 3) explique pourquoi une lésion du lobe temporal médian produit une amnésie antérograde habituellement combinée avec une amnésie rétrograde pour les évènements relativement récents pas encore d’indices hippocampiques.

34
Q

Qu’est-ce que la réactivation spontané?

A

Ensuite, pour permetttre l’ajustement entre les N (plsticité neuronale et création d’assemblées), la répétition des activations neuronales sont nécessaires. En ce sens, plusieurs études en IRMf rapportent la présence de réactivation spontanées des représentation mnésiques à l’éveille et durant le sommeil et que celles-si jouent un rôle important avec la consolidation de la mémoire. D’Ailleurs, il a été démontré que l’hippocampe rejoue l’info apprise préalablement durant ses états de sommeil, tout en favorisant les infos les plus vulnérables (propices à être oubliés) et que les réactivations prédisent aussi l’amélioration dans la performance au rappel. Ceci suit la théorie de Hebb + modèle de consolidation, il y a des réactivations dans l’hippocampe qui sont dirigés par l’hippocampe de l’Action cérébrale lié à une tâche. Plusieurs les souvenirs sont plus durs à se rappeler, plus il était réactivé. Donc on priorise l’Activation des souvenirs les + diff à apprendre et à se rappeler.

35
Q

Qu’est-ce que la protection contre els interférences en mémoire?

A

l’interférence entre 2 souvenirs dépend de la similarité des représentation (des assemblés cellulaires semblables ou pas). Nos exp se superposent parfois, malgré tout, nous nous sommes en mesure de rappeler de l’info de façon individuelle. Nous sommes en mesure d’individualiser nos diff souvenirs.

36
Q

Quels sont les deux mécanisme nécessaire à la singularisation d’un souvenir?

A

Un mécanisme excitateur de la représentation en mémoire et un mécanisme inhibiteur empêchant les interférences dans les représentations. BREF, mécanisme inhibiteur ET excitateur de la représentation sont nécessaire pour singularise une assemblée cellulaire en mémoire déclarative dans l’hippocampe.

37
Q

Décrire le mécanisme excitateur de la singularisation d’un souvenir.

A

Il s’agit d’un est sous-entendu par l’hippocampe directement, où le signal bold prédit les mesures béhaviorales d’interférences mnémoniques. Dans l’hippocampe, les représentation en mémoire sont dépendante du contexte et sont séparées en fct de leur relations superposées (mécanisme excitateur). Utilisation des représentation contextuelles pour minimiser les superpositions encodage des régularités spatio-temporelles

38
Q

Décrire le mécanisme inhibiteur de la singularisation d’un souvenir.

A

pour empêcher les interférences. Lorsque l’on réduit la concentration de BAGA (principale inhibiteur du SN) néocorticales en utilisant des stimulations transcrâniennes par courant direct (tDCS), les interférences des souvenirs joue un rôle important dans l’inhibition des N qui contiennent des infos qui sont potentiellement en compétition ce qui vient réduire les chances d’interprétation.

39
Q

Quels sont les autres rôles de l’hippocampe?

A

l’apprentissage statique, l’apprentissage par renforcement et la mémoire spatiale

40
Q

Qu’est que l’apprentissage statique de l’hippocampe?

A

On suggère que l’hippocampe joue un rôle important pour l’extraction rapide dans les structures temporelles de notre environnement. Ce type d’apprentissage statique est typiquement recréée dans des exp en faisant varier la probabilité des transitions entre des items adjacents dans une séquence continue. Utiliser ses stat et les extraire de notre environnement nécessite des relations complexes de plus haut niveau qui semblent représentées dans l’hippocampe.

41
Q

Quels sont les résultats d’une exp où des sujets ont été exposé à des séquences en créant des communautés de stimuli avant et pendant une séance d’IRMf ?

A

Les séquences d’apparition des stimuli de la communauté orange a donc tjr + de chance de donner place à un stimulus de la même communauté dans les séquences temporelles. Il a été possible de déduire que la corrélation entre la représentation dans l’hippocampe pour 2 stimuli d’une même communauté est + importante. Les pts de changements sont + corrélés avec les pts d’une même communauté = encodage au sein de l’hippocampe des régularités que l’on retrouve dans l’environnement qui dét les probabilités de retrouver ces pts.

42
Q

Qu’Est-ce que l’Apprentissage par renforcement?

A

pour prendre des décision on se basent sur des associations. Ces association se basent sur les propriétés des objets de notre environnement (catégorisation des sons qui interagissent avec l’environnement). dans une étude, il a été démontré que l’Apprentissage par renforcement était supporté par les conjonctions stat de représentation fait par l’hippocampe (une chose dissociable de propriétés d’objet représenté dans le cortex directement). Il y a donc des interconnections entre les sys leurs tâches spécifiques vont servir comme support pour les autres structures.

43
Q

Décrire l’exp sur la mémoire spatiale, soit un rat placé dans une piscine remplie d’un liquide opaque avec une plateforme.

A

Au début le rat cherche la plateforme et puis après plusieurs essis, il va directement sur celle-ci. les rats avec des lésions hippocampiques bilatérales n’apprennent jamais. Certaines N de l’hippocampe pourraient rendre compte de ces diff de performance. C de lieu= encode les emplacement.

44
Q

Qu’est-ce que les C de lieu?

A

nb N de l’hippocampes répondent sélectivement quand l’animal se trouve dans un endroit donné de son environnement. quand l’animal. ces C forment le sys de référence relatif

45
Q

Qu’est-ce que les C de grille

A

il existe des C de grille dans le cortex entorhinal des rongeurs. Plusieurs ‘hot-spot’ disposés suivant un patron hexagonal. Comme le cortex entorhinal est une afférence de l’hipppocampe, on pense que c’Est en combinant plusieurs ‘champs de rép’ de C de grille que le cerveau construit une C de lieu. Par EX, on suit une grille triangulaire. Ceci permet l’encodage de régularité spatio-temporelle et de contexte. À chq fois qu’on arrive au pt de la grille, les C vont s’activé donc un pt de repère pour se positioner. On est capables de créer des contextes d’encodage.

46
Q

Quel est la contribution du lobe frontal et le rôle de l’attention? et quel est les résultats de l’exp en lien ?

A

le paradigme de mémoire subséquente… Résultats= L’activité frontale est habituellement bilatérale pour les stimuli visuels et à G pour les stimuli verbaux. Les mots rappelé ont une + grande activation dans le cortex frontal que ceux oubliés augmentation du traitement lorsque le cortex frontal est activé  attention dans le cortex frontal. fort lien entre la mémoire et l’attention et ce autant pour l’encodage de nouveaux souvenirs que pour leur rappel. L’encodage est supporté par le cortex préfrontal latérale G et est sous-entendu par des mécanismes attentionnnels généraux qui sont affecté par la présence d’une seconde tâche divisant l’attention. Ces mécanisme sont supportés par l’idée que le cortex préfrontal latéral contribue premièrement à l’encodage en permettant un contrôle sur l’info encodée. Ainsi, c’Est l’Attention perceptuelle à l’environnement ext qui influence principalement l’encodage des nouveaux souvenirs.

47
Q

Qu’est-ce qui est sous-entendu par la MCT et qu’Est ce que ça permet?

A

la mémoire et l’Attention. Ce qui permet la maintenance et la manipulation de l’info juste après la perception sensorielle (espace de travail). La MCT rassemble plusieurs banques de stockage avec diff capacités et rassemblant diff types d’info. Contrôle exécutif MCT qui peut passer à la MTL si encodage change de catégorie de mémoire.

48
Q

Quelles sont les caractéristiques de la MCT?

A

Elle dépend de l’Attention portée aux éléments de la mémoire sensorielle. Duré=quelque seconde à quelque min. limitée à 7 +/- 2 items (mémoire verbale). Mesure habituellement par une tâche d’empan. Grande sensibilité à l’interférence car on est facilement déconcentrable par les distracteurs. Elle dépend de l’attention portée aux éléments en mémoire sensorielle. Oubli massif dans les sec qui suivent la présentation si pas la possibilité de répéter les items ou de faire un traitement profond. Auto-répétition est essentiel au rappel. Boucle phonologique dans certains cas comme numéro de tél. suivant la capacité de cette boucle de l’info en mémoire, les info sont en compétition pour être sélectionnées et être maintenus. Ce type de mémoire implique plusieurs sous-régions du cortex préfrontal.

49
Q

Qu’Est-ce que l’effet de primauté et de récence?

A

Effet de primauté = tendance à se rappeler les premiers éléments d’une liste, présence des items du début en MTL.
Effet de récence = tendance à se rappeler les derniers items d’une liste, présence des derniers items en MCT.

50
Q

Que permet les interactions entre les souvenirs exécutifs et perceptuels?

A

le contrôle exécutif définissant la MCT.

51
Q

Quels sont les localisations des corrélats neuronaux des diffs types de mémoires de MCT?

A

pour la MCT verbale, le cortex préfrontal ventrolatéral G (broca) joue une rôle dans l’Attribution de séquence de phonèmes à des fins d’articulation et l’Aire périsylvienne G permet une représentation phonologique et l’association entre les représentation acoustique du langage et l’articulation qui en découle.

52
Q

On a plus de facilité à se rappeler d’un souvenir quand?

A

quand des émotions ont été ressenti durant le moment.

53
Q

Il a été démontré qu’autant d’activation des perceptions (arousal) que leur valence (plaisant ou déplaisant) était suffisant pour provoquer une augmentation des traces mnésiques, pourquoi?

A

des mots évoquant des changements d’Activation, mais pas de valence = mieux rappelé que des mots évoquant aucun changement d’Activation ou de valence. On retrouve des effets similaires pour la valence. De plus, les potentiels reliés aux évènements (ERP) suggère que l’Activation est plus rapidement traité que la valence. Ceci supporte 2 processus indép ayant des effets diff sur la mémoire. En effet, dans plusieurs paradigme diff, des stimuli évoquant une forte activation sont mieux mémorisés, même lorsque l’attention est divisée on ne retrouve pas cet effet pour la valence.

54
Q

En général, que permettent l’Effet d’activation et la valence sur la mémoire?

A

Permet une augmentation sélective des traces mnésiques. Plusieurs études attribuent cette augmentation à l’engagement de l’amygdale, des individus avec des dommages à l’amygdale ne démontre pas cet effet. Les individus ont tendance à mémoriser des évènements – plus facilement que des évènements +.

55
Q

les émotions positives et négatives sont associés avec des diffs formes de traitement. différencier les émotions positives et négatives.

A

Les affects + supportent notre habileté à connecter des info à ce que nous savons déjà (activation relationnelles et familiarité), tandis que les affects – mènent à une réduction du traitement relationnel et rend possible un encodage plus spécifique de l’info. L’activation vient amplifier la force de ces formes de souvenirs. L’activation dans l’environnement va activé plus ton attention que ton attention soit diviser ou non pour l’arousal. Valence + et - = conséquence diff, diff type de mémorisation. Arousal arrive avant la valence.