Cours 3 : génétique mendelienne Flashcards
Lignées pures :
a. Définition
b. Processus de formation de lignées pures par Mendel
a. Population dont les individus donnent des descendants identiques à eux-mêmes en ce qui concerne le caractère considéré
b. Autofécondation (autopollinisation) de plantes hermaphrodites(possède les organes mâles et femelles).
- Mendel a créé 14 lignées pures : 2 possibilité de lignées pures pour chacun des 7 traits observés .
Type de croisement permis par le contrôle de la pollinisation
Croisements réciproques avec chacune de ses 7 paires de lignées pures : paire de croisements où une femelle de phénotype X est croisée avec un mâle de phénotype Y et une femelle de phénotype Y est croisée avec un mâle de phénotype X.
Première génération filiale :
a. Création
b. Observations
c. Conclusion
a. Croisements réciproques de lignées pures impliquant un seul caractère à la fois :
b. 100% des plantes étaient identiques pour « l’apparence du caractère »
c.
- Trait dominant : trait qui demeure à la suite de l’hybridation.
- Trait récessif : trait qui devient latent ou disparaît à l’hybridation.
2e génération filiale :
a. Création
b. Observations
c. Explications (2)
- Réflexions
a. Autofécondation des plants de F1
b. Observations :
Ratio 3 : 1 = Un phénotype parental est complètement absent de la génération F1 mais ce phénotype réapparait chez ¼ des plantes de la F2.
c. Explications :
1. Un facteur héréditaire est transmis par l’intermédiaire des gamètes.
- Les plantes de la F1 possèdent sans doute une copie du facteur récessif.
Réflexions :
- Les plantes de la F1 possèdent 2 copies du gène observé : une copie du caractère dominant et celle du caractère récessif
- Les plantes parentales (lignées pures) doivent être BB (mauves) et bb (blanche).
3e génération filiale :
a. Création
b. Permet quoi
c. Résultat
d. Conclusion
a. Autofécondation des plants de F2.
b. L’analyse des phénotypes de la F3 permet de mieux comprendre le lien phénotype/génotype.
c. Prenons comme exemple la grandeur des plants :
- 1:4 des plants de la F2 qui ne produiront que des grands plants à la F3
- 1:2: des plants de la F2 qui produiront de grands plants et des plants nains à la F3 selon le ratio 3:1
- 1:4: Les plants de la F2 qui ne produiront que des plants nains à la F3.
d. Donc, ratio du génotype est différent de celui du phénotype En effet, au niveau du génotype des individus de la F2, il s’agit d’un rapport 1 homozygote récessif : 2 hétérozygotes : 1 homozygote dominant.
Première loi de Mendel
a. Quoi?
b. explication mathématique
c. Test permettant de vérifier l’hypothèse
d. Explication biologique
a. La loi de ségrégation stipule qu’il y a séparation des deux allèles de chaque caractère héréditaire au cours de la formation des gamètes. Chaque allèle se retrouvent dans des gamètes différents.
b. L’échiquier de Punnett permet d’illustrer que l’association d’un seul allèle de chaque parent permet d’obtenir les bons ratio phénotypique et génotypique
c. Croisement test :
Sert à déterminer le génotype inconnu d’un individu en le croisant avec un individu homozygote récessif
Résultats possibles :
1- si ratio 1 : 0 = Le génotype inconnu est homozygote dominant.
2- si ratio 1:1 = Le génotype inconnu est hétérozygote.
d. La méiose permet d’explique cette loi : la méiose I permet la séparation des chromosomes homologues = ségrégation des allèles
2e loi de Mendel
a. Quoi?
b. Preuve
c. Explications
a. Loi de l’assortiment indépendant : les allèles de diverses paires se répartissent dans les gamètes indépendamment les uns des autres.
b. La loi de la ségrégation avec deux caractères:
F1 :
- Phénotype : identiques à un seul des 2 parents (celui avec les caractères dominants)
- Génotype : AaBb
F2 :
Le rapport 9:3:3:1 est le résultat de la combinaison aléatoire de deux rapports 3:1 indépendants.
c. Explications :
Des gènes situés sur des paires différentes de chromosomes subissent un
assortiment indépendant lors de la formation des gamètes (méiose)
Relation entre nombre de caractères de phénotypes et de génotype
a. Calcul du nombre de phénotypes et génotypes possibles
b. Calcul des probabilités ( règle du produit et de la somme)
a. n caractères = 2 à la n phénotypes = 3 à la n génotypes
b. Calcul des probabilités :
- Règle du produit: la probabilité que deux événements indépendants se produisent simultanément : ET = multiplication
b. Règle de la somme: la probabilité que se produise l’un ou l’autre de deux événements (qui s’excluent mutuellement) : OU = addition
Lignage
a. Définition
b. Conclusions tirées sur l’héritage d’un caractère dominant et récessif
c. Explications
a. Méthode pour étudier la
transmission d’un caractère
selon l’historique de
générations humaines.
b.
Caractère dominant: ne peut pas sauter de génération
Caractère récessif : peut sauter une génération
c. Le gène d’un caractère récessif peut être dans le génotype d’un individu sans apparaitre dans son phénotype si l’individu est hétérozygote. Ce n’est pas le cas du caractère dominant.