Cours 2 : Historique et concepts & neuropsychologie fonctionnelle Flashcards

1
Q

À quoi s’intéresse la psychologie cognitive ?

A

Elle s’intéresse aux processus mentaux qui s’opèrent entre la présentation d’un stimulus et la réponse comportementale.

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2
Q

Qu’est-ce qu’était auparavant la «boîte noire » ? En d’autres mots qu’elles étaient les fonctions de cette boîte ?

A

Auparavant, la boîte noire n’avait qu’une fonction (ex : penser, communiquer, planifier, mémoriser, parler = 1 fonction)

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3
Q

Qu’est devenue la « boîte noire » dans les années 70-80 ? En d’autres mots qu’elles étaient les fonctions de cette boîte ?

A

En 1970-1980, la seule et unique fonction d’auparavant s’est diviser en plusieurs fonctions distinctes (Ex : penser, communiquer, planifier, mémoriser, parler = 5 fonctions)

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4
Q

Quelle est l’objectif principal de la psychologie cognitive ?

A

Élaborer des modèles du traitement de l’information chez le sujet normal

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Q

Quelle est l’objectif de la neuropsychologie cognitive ? (sa spécialité)

A

Étudier les patients atteints de lésions cérébrales.

Elle utilise les données de pathologie cérébrale comme des indicateurs de l’architecture et du fonctionnement du système cognitif chez le sujet normal.

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6
Q

Quelles sont les différences entre la psychologie cognitive et la neuropsychologie cognitive ?

A

PSYCHOLOGIE COGNITIVE :

  • Ne s’intéresse pas aux substrats neuro-anatomique et neuro-psychologique
  • Stimulus –> Boîte noire –> Réponse
  • Pas de localisation

NEUROPSYCHOLOGIE COGNITIVE :

  • S’intéresse aux substrats neuro-anatomique et neuro-psychologique
  • Relier les processus cognitifs aux substrats cérébraux
  • Localisation
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7
Q

Qu’est-ce qu’un syndrome cognitif ?

A

Ensemble de symptômes cognitifs mis en évidence par le jeu des dissociations et des doubles dissociations

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8
Q

Vrai ou faux.

La neuropsychologie s’intéresse en priorité aux patients atteints d’un syndrome cognitif.

A

Vrai.

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9
Q

Qu’est-ce qu’une dissociation ? Donne un exemple.

A

Par rapport à l’individu normal, il y a un module qui fait en sorte qu’un comportement est dysfonctionnel.

Par exemple, dans l’aphasie de Broca, comme le module d’élocution est dysfonctionnel, cela fait en sorte que le patient ne peut produire un mot

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10
Q

Qu’est-ce qu’une double dissociation ? Donne un exemple.

A

La double dissociation montre que 2 modules sont indépendants et donc que l’un peut fonctionner sans l’autre.

Par exemple, dans l’aphasie de Wernicke, bien que le module de compréhension est dysfonctionnel, le module d’élocution est tout de même fonctionnel et préservé.

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11
Q

Quels sont les 3 postulats principaux nécessaires pour que le profil de perturbations et de capacités préservées d’un patient puisse contribuer à préciser une théorie du fonctionnement cognitif ?

A
  • Principe de modularité
  • Principe de transparence
  • Principe de fractionnement
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12
Q

Qu’est-ce que le principe de modularité ?

A

Le principe de modularité suppose qu’une fonction cognitive (langage), conçue comme un système complexe de traitement de l’information, est décomposable en sous-systèmes et en modules (compréhension, élocution) ayant une certaine autonomie fonctionnelle

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13
Q

Qu’est-ce que le principe de transparence ?

A

Le principe de transparence postule que les performances observées chez un patient atteints de lésions cérébrales peuvent être interprétées comme la résultante d’un traitement normal amputé d’un ou plusieurs modules

Ex : Test de production oral des mots : Pas capable de répondre
= Faible performance = 1 (ou plusieurs) des modules est altéré

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14
Q

Qu’est-ce que le principe de fractionnement ?

A

Rejoint le concept de dissociation.

Une lésion cérébrale peut entraîner la perturbation d’un seul module. Les modules sont indépendants.

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15
Q

À quoi s’oppose le principe de fractionnement ?

A

Au globalisme « Le cerveau fonctionne comme un tout »

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16
Q

En somme, la démarche de la neuropsychologie cognitive …

A
  • S’appuie toujours sur un modèle de traitement de l’information
  • Recherche la lésion fonctionnelle responsable des troubles
  • Nécessite l’utilisation d’une méthodologie précise pour caractériser cette localisation « sur le papier », c’est-à-dire dans le modèle de fonctionnement cognitif choisi
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17
Q

Qu’est-ce que la localisation « sur papier » ?

A
Le fait de déterminer l'endroit dans le module de la cognition,
quel module est dysfonctionnel ?
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18
Q

À qui s’applique la neuropsychologie cognitive ?

A

La neuropsychologie cognitive s’applique en priorité à un patient unique, les études de groupes moyennant nécessairement des données hétérogènes, y compris chez des malades présentant a priori les mêmes symptômes « de surface »

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19
Q

Vrai ou faux.

Avant l’avènement de la rééducation, la neuropsychologie cognitive s’intéressait à la lésion et au symptôme.

A

Faux, uniquement à la lésion.

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20
Q

Qu’à fait évoluer la neuropsychologie cognitive ?

A

La rééducation d’une pratique empirique visant à corriger des symptômes vers une démarche plus rationnelle et scientifique cherchant d’abord à comprendre sur un plan théorique les perturbations du patient.

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21
Q

Que cherche à comprendre la rééducation pour les tenants de la neuropsychologie cognitive ?

A

À comprendre sur un plan théorique les perturbations du patient

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22
Q

Que suis-je ?

J’ai permis de proposer un programme précis et contrôlé de rééducation.

A

Le diagnostic cognitif

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23
Q

Vrai ou faux.

Présentée surtout comme une discipline fondamentale, la neuropsychologie cognitive a néanmoins contribué à modifier les pratiques cliniques tout en conservant sa spécificité au plan théorique et méthodologique.

A

Vrai

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24
Q

Quelle est la limite de la psychologie cognitive ?

A

L’organicité.

Elle a organisé sa théorie sans avoir fait de recherches sur un vrai cerveau.

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25
Q

Quel débat anime la neuropsychologie cognitive ?

A

Le débat sur les liens entre la cognition et le cerveau

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26
Q

Que doit intégrer la neuropsychologie cognitive (dans le débat sur les liens entre la cognition et le cerveau) ?

A
  • Les contraintes neurobiologiques
  • Les techniques d’exploration du cerveau
  • L’avancement des connaissances
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27
Q

Un autre débat qui anime la neuropsychologie cognitive porte sur les liens entre cognition et cerveau.

Pourquoi ?

A

Pour rapprocher les modèles cognitifs aux modèles neurobiologiques.

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28
Q

Donne des exemples de l’extension du champs de la neuropsychologie cognitive concernant les pathologies exemptes d’atteintes neuronales patentes.

A
  • Pathologies développementales : dyslexie, trouble du spectre de l’autisme
  • Pathologies psychiatriques : Schizophrénie
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29
Q

Que signifie exactement que certaines pathologies sont exemptes d’atteintes neuronales patentes dans la neuropsychologie cognitive ?

A

Certaines personnes présentent des troubles cognitifs bien qu’ils n’aient pas de lésion cérébrale. Cela résulterait en fait d’un développement anormal du cerveau

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30
Q

Qui-suis je ?

Je suis une discipline qui entretient des liens étroits avec la neuropsychologie cognitive (pour l’étude de la schizophrénie entre autres)

A

La psychopathologie cognitive

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31
Q

Quel est l’objectif de la neuropsychologie fonctionnelle ?

A

Mettre en relation un comportement (et plus précisément une activité cognitive) avec une activité cérébrale

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32
Q

Quelles sont les indices qui permettent au fonctionnement du cerveau d’être mesurer ?

A
  • Électrique
  • Magnétique
  • Physico-chimique
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33
Q

Qui suis-je ?

Je suis la technique qui permet de mesurer le fonctionnement du cerveau électriquement.

A

EEG

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34
Q

Qui suis-je ?

Je suis les techniques qui permettent de mesurer le fonctionnement du cerveau par l’activité magnétique.

A

IRM fonctionnelle

MEG

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35
Q

Qui suis-je ?

Je suis la technique qui permet de mesurer le fonctionnement du cerveau par l’indice physico-chimique ?

A

TEP

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36
Q

Sur quoi s’appuie la neuropsychologie fonctionnelle ?

A

Des modèles physiques et mathématiques

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37
Q

Qu’elle est l’originalité de la neuropsychologie fonctionnelle ?

A

Être applicable au sujet sain

38
Q

Quels sont les avantages de l’EEG ?

A
  • Excellente résolution temporelle (parfois même on-line)
39
Q

Quels sont les désavantages de l’EEG ?

A
  • La résolution spatiale au niveau de la localisation

- Ne permet pas de visualiser les structures sous-corticales (seulement sur le cortex)

40
Q

Quels sont les avantages de la TEP ?

A
  • Bonne résolution spatiale

- Permet de visualiser les structures sous-corticales

41
Q

Quels sont les désavantages de la TEP ?

A
  • Résolution temporelle (1 min)
42
Q

En gros, qu’est-ce que l’EEG ?

A

On installe des électrodes sur le crâne du sujet et on observe l’activité électrique cérébrale recueillie sur de très courtes durées

43
Q

En gros, qu’est-ce que la TEP ?

A

Injection d’un produit radioactif de contraste qui permet d’être un marqueur qui va s’illuminer lorsqu’il va passer dans les tissus

44
Q

Quels sont les avantages de la MEG ?

A
  • Bonne résolution temporelle

- Bonne résolution spatiale au niveau du scalpe

45
Q

Quels sont les désavantages de la MEG ?

A
  • Ne permet pas de visualiser les structures sous-corticales
  • Mauvaise résolution spatiale sous le scalpe
  • Coûteux
  • Lourd
46
Q

Entre la MEG et l’EEG, laquelle de ces techniques possèdent la meilleure résolution spatiale ?

A

EEG

47
Q

En gros, qu’est-ce que l’IRM ?

A

On prend plusieurs photos du cerveau en tranches et toutes ces tranches permettent la reconstruction 3D du cerveau.

48
Q

Quel est le principe physique de l’IRM morphologique ?

A
  • Le corps est composé d’eau
  • La composante d’eau est différente pour chaque tissus
  • Basée sur le contraste des différences de concentrations d’hydrogène dans les tissus
49
Q

Quel est l’autre nom pour l’IRM morphologique ?

A

IRM anatomique

50
Q

Dans l’IRM morphologique, que représente les portions noires ?

A

L’hydrogène –> LCR

51
Q

Quel est le principe physique de l’IRM fonctionnelle ?

A
  • L’oxygène est amené dans les tissus par les globules rouges = Hémoglobine
  • L’hémoglobine a une charge différente si elle a sur elle la molécule d’oxygène vs sans oxygène.
  • Le neurone a besoin d’oxygène lors d’une activité électrique
52
Q

Vrai ou faux.

La rééducation vise à corriger les symptômes.

A

Vrai

53
Q

Vrai ou faux.

Dans l’évaluation neuropsychologique, on a une représentation théorique du fonctionnement cognitif.

A

Faux, athéorique

54
Q

Qu’est-ce que la psychométrie ?

A

La psychométrie se caractérise par l’emploi de tests mentaux, aussi appelés tests psychométriques

55
Q

Qu’ont de différent les tests psychométriques des tests cognitifs ?

A

Ils ne sont pas développés dans le cadre d’une approche cognitive.

56
Q

Qu’est-ce qu’un test mental ?

A

Un test mental est une épreuve standardisée dans sa consigne, son matériel, ses conditions de passation et dans l’interprétation des résultats.

57
Q

Que doivent être les qualités d’un test mental ?

A
  • Fidélité (reproductibilité des résultats)
  • Validité (mesure spécifique de ce qui est censé mesurer)
  • Sensibilité (détecter ceux qui s’écartent de la norme)
58
Q

Qu’à permis le diagnostic clinique ?

A

A permis de proposer un programme précis et contrôlé de la rééducation

59
Q

Complète la phrase.

Présentée surtout comme une discipline ___ , la neuropsychologie cognitive a néanmoins contribué à modifier les pratiques ___ tout en conservant sa spécificité au plan ___ et _____.

A
  1. Fondamentale
  2. Cliniques
  3. Théorique
  4. Méthodologique
60
Q

Complète la phrase sur la neuropsychologie fonctionnelle.

Ce domaine implique l’utilisation de technologies ___ et ___ et la construction de ____ _____ pertinents.

A
  1. Sophistiquées
  2. Contraignantes
  3. Paradigmes cognitifs
61
Q

L’une des originalités de cette approche est d’être applicable au sujet sain.

Pourquoi ?

A

Les méthodes d’imagerie fonctionnelle permettent ainsi de visualiser « directement » les structures cérébrales impliquées dans différentes opérations cognitives.

62
Q

Quels sont les 3 types de tests psychométriques ?

A
  • Les épreuves d’efficience intellectuelle
  • Les tests d’aptitude
  • Les tests de personnalité
63
Q

Quels tests vont utiliser les premières évaluations neuropsychologiques ?

A
  • Les épreuves d’efficience intellectuelle

- Les tests d’aptitude

64
Q

Que mesurent les tests d’efficience intellectuelle ?

A

Les effets de l’intelligence

65
Q

Complète la phrase sur la neuropsychologie fonctionnelle :

Il s’agit en quelque sorte d’une nouvelle neuropsychologie où les ___ ne sont plus uniquement ___ mais intègrent la dimension de l’activité ___ cérébrale.

A
  1. Corrélations
  2. Anatomo-clinique
  3. Fonctionnelle
66
Q

L’utilisation de l’imagerie cérébrale fonctionnelle est également en passe de modifier certaines procédures de diagnostic. Donne un exemple.

A

Par exemple dans le domaine des maladies neurodégénératives, notamment à leur phase précoce, où elle complète les investigations cliniques

67
Q

Qu’inclut la validité ?

A

La fidélité, la sensibilité et la spécificité

68
Q

Qu’est-ce que la sensibilité d’un test ?

A

Capacité à détecter tous les sujets s’écartant de la norme

69
Q

Qu’est-ce que la spécificité ?

A

Capacité à ne détecter que les sujets s’écartant de la norme

70
Q

Qu’est-ce que le pouvoir discriminant d’un test ?

A

La résultante de sa sensibilité et sa spécificité.

71
Q

Si l’on cherche à repérer tous les individus «anormaux», est-ce qu’on parle de sensibilité ou de spécificité ?

A

Sensibilité

72
Q

Si l’on cherche à repérer uniquement les individus « anormaux », est-ce qu’on parle de sensibilité ou de spécificité ?

A

Spécificité

73
Q

Qu’est-ce qu’un étalonnage ?

A

L’étalonnage fournit des données normatives qui permettent de situer un sujet dans une population de référence.

74
Q

Par quoi sont souvent réalisés les études d’étalonnage ?

A

Groupe d’âge et plus rarement en fonction du sexe et du niveau socio-économique

75
Q

Complète cette phrase concernant l’étalonnage :

Ces différentes variables permettent de prendre en compte la ___ de la population de ___ et d’améliorer le ___ ___ de l’épreuve.

A
  1. Variabilité
  2. Référence
  3. Pouvoir discriminant
76
Q

Nomme-moi 3 tests d’intelligence.

A
  1. Échelle de Binet
  2. Échelle d’intelligence de Wechsler pour adulte (WAIS)
  3. Les matrices progressives de Raven
77
Q

Sur quoi est fondée l’échelle de Binet ?

A

Sur l’idée qu’il existe un facteur psychologique commun à toutes ces épreuves. Ce facteur général (ou facteur G) a parfois été assimilé à l’«intelligence».

78
Q

Vrai ou faux.

Les tests psychométriques sont purs.

A

Faux.

79
Q

L’inadéquation entre les fondements théoriques des tests psychométriques et les modèles de la neuropsychologie pose des problèmes, de quels types ?

A
  • Interprétation

- Validité de la mesure

80
Q

Comment sont construits les tests cognitifs ?

A

Sur la base de modèle de fonctionnement cognitif

81
Q

Vrai ou faux.

Les échelles comportementales sont subjectives. Pourquoi ?

A

Vrai.

Les échelles d’hétéro-évaluation reposent sur l’observation par les proches des modifications du comportement susceptibles d’être présentées par le patient.

82
Q

Vrai ou faux.

Lorsque le fonctionnement cognitif est normal ou subnormal, la pathologie ne peut pas se manifester par des troubles comportementaux.

A

Faux.

83
Q

Quelles sont les 4 techniques d’évaluation neuropsychologique ?

A
  1. Les évaluations psychométriques
  2. Les évaluations cognitives
  3. Les échelles comportementales
  4. Les méthodes d’imagerie fonctionnelle cérébrale
84
Q

Quelle est la différence entre la dépression et la dépression chronique ?

A

Dépression : Trouble de l’humeur qui impact les capacités cognitives (pas de lésion, mais bien un dysfonctionnement)

Dépression chronique : Microlésions cérébrales

85
Q

Complète la phrase :

L’extension du champs de la neuropsychologie cognitive concernant___

A

Les pathologies exemptes d’atteintes neuronales patentes.

86
Q

Complète la phrase sur la neuropsychologie fonctionnelle :

Dans l’évolution des idées en neuropsychologie, cette approche fonctionnelle a permis de concilier une ___ ___ et des explorations ___ de plus en plus ___ du cerveau humain.

A
  1. Modélisation cognitive
  2. Dynamiques
  3. Précises
87
Q

Vrai ou faux.

Ces méthodes de neuroimagerie sont aussi utilisées chez des patients atteints de pathologie neurologique ou psychiatrique.

A

Vrai et fournissent dans ce cas des arguments physiopathologiques à la compréhension de ces maladies

88
Q

Quel atome est présent dans l’hémoglobine ?

A

Le fer

89
Q

Comment est chargée l’hémoglobine lorsqu’elle a sur elle l’oxygène ?

A

Neutre

90
Q

Comment est chargée l’hémoglobine lorsqu’elle n’a pas sur elle l’oxygène ?

A

Positive

91
Q

Qu’est-ce que la standardisation ?

A

Ensemble des procédures pour administrer le test

92
Q

Pourquoi un test n’est jamais pur ?

A

Il met toujours en jeu une diversité de processus cognitifs.