Cours 11| Neuropsy De L’adulte âgé Flashcards

1
Q

Quest ce que le vieillissement cognitif

A

Des changements dans les capacités cognitives liées aux modifications neurophysiologiques qui s’opèrent avec l’avancée en âge

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Q

Les travaux portant sur la cognition chez les sujets âgés insistent sur quoi pendant des décennies

A

ont insisté sur le déclin des capacités cognitives, et surtout mnésiques, trouvant un écho dans les plaintes spontanées des sujets âgés et dans les craintes suscitées par la médiatisation de la maladie d’Alzheimer.

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3
Q

Quest ce que la double variabilité dans les études récentes pour le vieillissement

A
  1. Une variabilité entre les individus
  2. Une variabilité selon les diverses fonctions cognitives étudiées
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4
Q

Quelle est la performance aux différents domaines cognitif avec l’avancement de l’âge (vieillissement)

A

Diminue avec l’âge et ce dès 20-25 ans:
Vitesse de traitement de l’info
Mémoire de travail
Mémoire à long-terme

Augmente avec l’âge:
Mémoire sémantique
- elle ne fait que s’additionner (nbr de mots)

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5
Q

Quel domaine cognitif est la plus sensible aux effets négatif du vieillissement

A

La mémoire épisodique
Puis la mémoire de travail suit de près

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6
Q

Quelle mémoire est relativement préservé

A

La mémoire procédurale, la mémoire sémantique et la mémoire perceptive

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7
Q

Au niveau du développement de la vie humaine quelle est l’ordre d’acquisition et de la maturation de chaque mé;moire

A

Mémoire procédurale
Système de représentation perceptive
Mémoire sémantique
Mémoire de travail
Mémoire épisodique

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8
Q

Avec les effets du vieillissement quel est l’ordre de préservation de la plus sensible à la moins sensible

A

Mémoire épisodique
Mémoire de travail
Mémoire sémantique
Système de représentation perceptive
Mémoire procédurale

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9
Q

Que dire sur la mémoire épisodique et les modification cognitives lié au vieillissement

A

La conception des niveaux de traitement propose que la persistance de la trace mnésique est fonction de la profondeur de traitement:
– Les niveaux de traitement profond sont associés à des traces mnésiques plus élaborées et plus résistantes dans le temps.

Plus je mets de détails dasn les éléments à se souvenir meilleur je vais être pour la récupérer

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10
Q

Quels sont les niveaux de traitement de la mémoire épisodique

A

Encodage - stockage - récupération

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11
Q

Quels sont les difficultés des personnes âgés au niveau de l’encodage de la mémoire épisodique

A

difficultés à utiliser spontanément des stratégies de traitement sémantique au moment de l’encodage

difficultés à encoder ces informations contextuelles et ne peuvent pas s’en servir comme indices de récupération. difficultés à restituer non seulement les informations cibles mais encore plus le contexte dans lequel elles étaient présentées.

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12
Q

Quel test utilisons-nous pour observer les difficultés liés à l’encodage

A

Test de rappel
Test de reconnaissance avec distracteurs sémantiques

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13
Q

Dasn la tâche de rappel pour l’encodage, quels sont les performances des personnes âgés comparer aux personnes jeunes

A

les sujets jeunes regroupent les mots par catégorie sémantique dès le premier rappel, tandis que les sujets âgés le font moins spontanément.

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14
Q

Quels est la différence de performance pour les tests de reconnaissance avec distracteurs sémantiques

A

entraînent plus de fausses reconnaissances chez les sujets âgés que chez les jeunes.

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15
Q

Quels sont les hypothèse sur les performances des sujets âgés au niveau de l’encodage et quelles difficultés remarquions nous

A

Hypothèse d’un encodage insuffisamment précis et distinctif : difficultés à utiliser spontanément des stratégies de traitement sémantique au moment de l’encodage

Hypothèse d’un déficit d’encodage du contexte
- difficultés à encoder ces informations contextuelles et ne peuvent pas s’en servir comme indices de récupération. > difficultés à restituer non seulement les informations cibles mais encore plus le contexte dans lequel elles étaient présentées

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16
Q

À quoi consiste le test de rappel pour la mémoire épisodique (encodage)

A

une tâche où la consigne est de mémoriser des séries de mots appartenant à différentes catégories sémantiques et dont les mots sont présentés dans le désordre,

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17
Q

Quest ce que les jeunes utilisent pour encoder et récupérer des items cibles

A

Les sujets jeunes encodent les items cibles et les informations associées à ces items (la voix de l’examinateur, la couleur de l’encre, ou le graphisme selon le mode de présentation, orale ou écrite), de façon automatique. Ils pourront s’appuyer sur ces éléments qui forment le contexte pour récupérer les items cibles.

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18
Q

quel autre nom peut on donner au stockage

A

maintient des informations en mémoire

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19
Q

Grâce à quoi est possible le stockage

A

est possible grâce à la consolidation de l’information encodée.

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20
Q

comment calculer les capcités de stockages

A

en calculant un taux d’oubli entre deux sessions de récupération d’informations.

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21
Q

quel est l’impact sur le taux d’oubli en fonction de l’âge lorsque le délai est court

A

les études portant sur le stockage ne montrent généralement pas de différence

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22
Q

à partir de quand voyant nous une différence entre les jeunes et les sujets âgé par rapport aux informations encodées en mémoire et oublié par la suite

A

A partir d’un délai d’environ 24 heures, les informations encodées en mémoire sont oubliées plus rapidement chez les sujets âgés que chez les sujets jeunes.

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23
Q

quelle est le rôle du sommeil dans la stockage de l’informations et quel impact a-t=il sur la vieillesse

A

De nombreuses études ont montré l’importance du sommeil dans la consolidation des informations épisodiques et plus particulièrement le sommeil lent profond.
– Le sommeil paradoxal intervient également dans la consolidation mais plutôt sur les aspects spatiaux du souvenir et des détails contextuels.
* Or, le vieillissement s’accompagne de modifications importantes du sommeil, notamment une réduction du sommeil lent profond, ce qui pourrait contribuer à diminuer l’efficacité des processus de consolidation chez les sujets âgés.
– Par exemple, plus la nuit est occupée par du sommeil lent profond, plus les performances de rappel le lendemain sont élevées

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24
Q

quelle est la différence de performance des personnes âgé et les sujet jeunes sur la récupération

A

En situation de récupération, les diminutions de performances chez les sujets âgés par rapport aux jeunes varient selon les modes de rappel (Plus le support environnemental est faible, c’est-à-dire qu’il y peu d’aide externe, moins bonne sera la performance):
Le rappel libre entraîne le plus de difficultés chez les sujets âgés
– Le rappel indicé entraîne un peu moins de difficultés
– Pour la reconnaissance, leurs performances sont souvent équivalentes à celles des jeunes

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25
Q

quelle est l’hypothèse des modifications cognitives par rapport à la récupération MÉ

A

Hypothèse d’un déclin des mécanismes de récupération

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26
Q

quelles sont les types de processus pour la reconnaissance (récupération)

A
  • Des processus automatiques assimilables au sentiment de familiarité
  • Des processus contrôlés
27
Q

quest ce que le processus automatiques assimilables au sentiment de familiarité

A

processus de reconaissance:
L’information est récupérée mais pas son contexte spatio-temporel. Le sujet
« sait » que l’item faisait partie de la liste d’étude mais ne se souvient pas des détails du contexte d’encodage

28
Q

quest ce que le processus contrôlé pour la reconnaissance (récupération)

A

L’information et son contexte d’encodage sont récupérées. Le sujet a le
sentiment de « se souvenir » et pas seulement de « savoir ».

29
Q

quelle est le paradigme pour la distinction entre les deux types de récupération

A

paradigme Remember/Know,

30
Q

quest ce que le paradigme Remember/know

A

initialement proposé par Tulving, qui permet d’étudier la conscience associée à la récupération de l’information.
– Les réponses « je me souviens » relèvent de la mémoire épisodique (reconstruction consciente de l’événement)
– Les réponses « je sais » relèvent plutôt de la mémoire sémantique (sentiment de familiarité)

31
Q

est ce que les effets de l’âge affectent les processus de récupération

A

oui, mais pas tous
affectent ainsi les processus de récupération contrôlée, mais pas les processus de récupération automatiques.

32
Q

quelle est la tâche la plus couramment utilisées pour évaluer la MdeT

A

La mesure de l’empan (empan de chiffre par exemple)

33
Q

est ce que l’empan est sensible aux effets de l’âge (MdeT)

A

oui mais pas tous

L’empan endroit des adultes âgés est comparable à celui des jeunes
– Préservation de la boucle phonologique et du calepin visuospatial avec
l’âge

L’empan envers ou l’empan alphabétique sont sensibles aux effets de l’âge:
* Diminution des capacités de l’administrateur central avec l’âge (les difficultés se situeraient au niveau de la manipulation d’informations et non pas du stockage)

34
Q

est ce que la mémoire sémantique est sensible à l’âge

A
  • non elle résiste particulièrement bien
  • Néanmoins la fluence verbale diminue avec l’âge, mais cela n’est pas systématique et la réduction de la production est expliquée par un fonctionnement exécutif moins efficace.
35
Q

démontre que la mémoire sémantique résiste bien aux effets de l’âge

A
  • L’intégrité des représentations sémantiques est avérée par des très bonnes performances aux tests de vocabulaire, de connaissances générales, de similitudes sémantiques, de définition de proverbes.
  • A des tâches d’amorçage sémantique telles que les tâches de décision lexicale où certains items sont des mots précédés d’autres mots reliés sémantiquement, l’activation de la représentation sémantique du mot suivant étant plus courte s’il est relié sémantiquement au mot précédent,
    les sujets âgés présentaient des effets d’amorçage équivalents à ceux des jeunes
36
Q

est ce que la mémoire perceptive ou le syst des représentation perceptive (SRP) est sensible aux effets de l’âge

A

non
Pas d’effet de l’âge sur les effets d’amorçage perceptif
– Les sujets âgés sont aussi rapides que les jeunes pour identifier des dessins dégradés lorsqu’ils ont vu les dessins dans leur intégralité auparavant

37
Q

est ce que la mémoire procédurale est sensible aux effets de l’âge

A

non
Pas d’effet de l’âge sur la mémoire procédurale
– Néanmoins, les sujets âgés présentent un ralentissement de la dynamique de l’apprentissage, parvenant plus tard que les jeunes à la « phase procédurale » qui signe l’automatisation de la procédure et constitue la dernière étape de l’apprentissage.

Les effets de l’âge se manifestent donc lors de l’apprentissage des procédures, et ce d’autant plus qu’elles impliquent d’autres processus cognitifs (mémoire de travail, fonctions exécutives, …), une phase qu’il faut bien distinguer de la mémoire procédurale, qui elle, résiste aux effets de l’âge

38
Q

est ce que la langage est sensible aux effets de l’âge

A

l n’existe pas d’altération majeure du langage liée au vieillissement et si un déclin modeste est observé, il affecte essentiellement les capacités de production alors que les capacités de compréhension restent préservées.

Dans le domaine de la production, le manque du mot, l’incapacité à produire le bon mot au bon moment, « l’avoir sur le bout de la langue » sont des expériences dont la
survenue s’accroît avec l’âge.

Il affecte surtout les mots de basse fréquence et plus particulièrement les noms
propres
Ce phénomène serait la conséquence d’un défaut d’activation de la représentation phonologique d’un mot correctement sélectionné

39
Q

est ce que les fonctions exécutives et l’attention sont sensible aux effets de l’âge

A

oui
Le déclin des fonctions exécutives est une caractéristique du vieillissement normal.
– La flexibilité, la mise à jour et l’inhibition sont sensibles aux effets de l’âge.
 Les perturbations liées à l’âge ont été classiquement attribuées au ralentissement cognitif ou aux déficits attentionnels mais, plus récemment, c’est un déclin du contrôle exécutif qui a été avancé.

40
Q

quelles sont les approches cherchant à expliquer les modifications cognitives au cours du vieillissement normal

A
  • approche global
  • approche neuropsychologique
41
Q

quest ce que l’approche globale explique

A

Selon l’ approche globale, un facteur général explique l’ensemble des effets du vieillissement. qu’il s’agissent de la mémoire ou des autres fonctions cognitives

42
Q

quest ce que l’approche neuropsychologique explique

A

Selon l’ approche neuropsychologique, les effets du vieillissement sont dus à la détérioration de certains processus spécifiques au sein de la fonction concernée et/ou des structures anatomiques qui les sous-tendent.

43
Q

il y a-til un lien entre l’approche globale et neuropsychologique

A

Il existe indéniablement des liens entre les deux approches, par exemple entre l’hypothèse globale qui privilégie le déficit des capacités d’inhibition ou de la mémoire de travail et l’hypothèse neuropsychologique « frontale ».

Au total, les deux approches sont complémentaires, aucune des deux ne permettant à elle seule, de rendre compte de l’ensemble des phénomènes observés au cours du vieillissement

44
Q

plusieurs variantes existent de l’approche globale sur quoi sont elles basées

A

toutes basées sur l’idée que le vieillissement normal s’accompagne d’une diminution des ressources disponibles pour le traitement de l’information, avec des différences quant aux mécanismes sous-jacents à cette diminution

45
Q

quelles sont les différentes variantes de l’approche globale

A

A. L’hypothèse d’une diminution de la vitesse de traitement de l’information (Salthouse, 2009)
B. L’hypothèse d’une diminution des capacités de la mémoire de travail avec l’âge
C. L’hypothèse d’une diminution des capacités d’inhibition des informations non pertinentes

46
Q

quels sont les mécanismes de l’hypothèse A responsable de la relation vitesse - cognition

A
  • D’une part, les opérations cognitives sont exécutées trop lentement pour être achevées en un temps limité, et moins de traitement cognitif équivaut généralement à un moins bon niveau de performance.
    – D’autre part, le ralentissement réduit la quantité d’informations disponibles simultanément, nécessaires à un traitement cognitif de plus haut niveau. Les produits d’une première étape de traitement risquent alors d’être perdus au moment où les traitements ultérieurs sont accomplis.
47
Q

quest ce que l’hypothèse B diminution capacité de la mémoire de Travail

A

Certaines études montrent ainsi que des mesures de mémoire de travail sont de bons prédicteurs des performances dans des tâches de rappel de phrases ou de textes, mais ce résultat a été controversé.

48
Q

quest ce que l’hypothèse C (approche globale) diminution capacité d’inhibition des infos non pertinente

A

La conséquence serait une surcharge de la mémoire de travail à l’origine de difficultés cognitives chez les personnes âgées : celles-ci auraient tendance à traiter toutes les informations plutôt que de sélectionner les plus appropriées.

49
Q

quelle est la spécificité de l’approche neuropsychologique

A

La spécificité de cette approche est de permettre de comprendre comment le vieillissement normal peut s’accompagner de l’atteinte sélective de certains systèmes (ou de certains processus au sein des systèmes).

L’idée centrale est que l’atteinte sélective de certaines structures cérébrales est responsable du déclin de performances

50
Q

avec quelle trouble comparons nous l’analyse du fonctionnement de la mémoire épisodique des sujets âgés

A

syndrome frontal

51
Q

quelle est la comparaison de la mémoire épisodique entre les sujets âgés et le syndrome frontal

A

Ces patients n’ont pas de véritable syndrome amnésique, ils éprouvent des difficultés de même nature que celles notées chez les sujets âgés normaux, même s’il existe des différences quantitatives:
* Difficultés dans l’organisation du matériel
* Stratégies spontanées d’encodage et de récupération insuffisamment
efficaces
* Difficultés d’inhibition et sensibilité aux interférences
* Problèmes de jugement temporel
* Amnésie de la source et risque accru de faux souvenirs

52
Q

quelle autre distinction pouvons nous faire entre les jeunes et les âgés pour appuyé l’hypothèse de l’approche neuropsychologique

A

Un argument supplémentaire à l’appui de cette hypothèse est que les différences entre les performances de groupes de sujets jeunes et de sujets âgés s’expliquent au moins en partie par les différences de performances aux tests de fonctions exécutives

53
Q

quelles sont les contextes socio faisant varié interindividuellement les performances cognitive

A

niveau culturel
niveau d’éducation

54
Q

vrai ou faux:
Certains sujets âgés bénéficieraient d’un vieillissement « normal » voire « réussi » tandis que d’autres seraient plus sensibles au déclin cognitif.

A

vrai

55
Q

quelle est la variabilité lié au niveau culturel

A

Plus précisément, différentes études suggèrent qu’elle augmente dans certains domaines cognitifs, dont la mémoire, et davantage chez les sujets de bas niveau culturel.

56
Q

quelle est la variabilité lié au niveau d’éducation

A

L’influence de cette variable sur les systèmes mnésiques n’est pas homogène, la mémoire épisodique, la mémoire de travail et la mémoire sémantique y étant plus sensibles que les effets d’amorçage et la mémoire procédurale

De plus, le niveau d’éducation des sujets peut moduler l’influence de l’âge sur la mémoire.
* Plus le niveau d’éducation est bas, plus les effets délétères de l’âge sur l’apprentissage d’une liste de mots et sur la capacité d’inhiber les mauvaises réponses sera important.

57
Q

quelles sont les caractéristique d’un sujet ayant plus de chance d’échapper à la détérioration intellectuelle et au déclin de la mémoire

A

des sujets en bonne santé, avec un haut niveau d’éducation, actifs sur le plan intellectuel et bien intégrés socialement

58
Q

quest ce que la notion de vieillissement réussi

A

est volontiers
employée pour qualifier ce qui se passe chez les personnes âgées dont le
fonctionnement cognitif est remarquablement préservé.

59
Q

à quelle terme s’oppose la vieillissement réussi

A

Ce terme s’oppose au vieillissement habituel ou normal, et au vieillissement pathologique.

60
Q

quels sont les facteurs prédictifs d’un vieillissement réussi

A

l’importance:
* du niveau d’éducation
* de la bonne santé
* d’une nutrition de bonne qualité
* de l’exercice physique et intellectuel
* du maintien des liens sociaux

61
Q

quest ce que la réserve cognitive

A

La réserve cognitive a été proposée pour expliquer l’écart observé chez certains individus entre le degré de leur atteinte cérébrale et son expression sur le plan cognitif.

certains individus semblent résister remarquablement aux effets de l’âge.

62
Q

quels seraient les facteurs environnementaux modulant la réserve cognitive

A

le niveau d’éducation, la pratique d’activités cognitivement stimulantes, la pratique régulière d’activités physiques au cours de la vie.

63
Q

quest ce que les résultats de l’étude SHARE ont démontré

A

ont montré que le fait de rester en activité, ainsi que la pratique d’une activité non professionnelle ou d’activités physiques sont favorables à la constitution de la réserve cognitive

64
Q
A