Cours 11 - Interactions des protéines Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que l’interactôme ?

A

L’interactôme est l’ensemble des interactions entre les protéines dans une cellule.

Certaines protéines forment plusieurs complexes et agissent comme des nœuds ou des régulateurs maîtres.

Cependant, toutes ces interactions n’ont pas lieu simultanément.

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2
Q

Comment les interactions entre protéines peuvent-elles différer selon les compartiments cellulaires ?

A

Une protéine peut interagir avec des partenaires différents selon les compartiments cellulaires.

Cette spécificité spatiale permet une régulation précise des processus biologiques.

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3
Q

Comment les modifications post-traductionnelles influencent-elles les interactions protéiques ?

A

Après une modification post-traductionnelle (MPT), une protéine peut interagir avec un partenaire différent, modifiant ainsi sa fonction ou sa localisation.

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4
Q

Comment la concentration des protéines influence-t-elle leurs interactions ?

A

Une compétition dépendante de la concentration peut avoir lieu entre deux protéines pour un même partenaire, affectant ainsi la stabilité et la dynamique des complexes.

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5
Q

Comment les protéines à multiples domaines participent-elles aux interactions protéines-protéines ?

A

Plusieurs protéines avec de multiples domaines peuvent former des interactions spécifiques avec différents partenaires à travers chaque domaine, diversifiant ainsi leurs fonctions biologiques.

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6
Q

Pourquoi une protéine avec plusieurs domaines peut-elle interagir avec différents partenaires ?

A

Une protéine possédant plusieurs domaines peut établir des interactions distinctes pour chaque domaine, lui permettant d’interagir avec différents partenaires protéiques simultanément.

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7
Q

Quelles sont les principales forces qui déterminent les interactions protéines-protéines ?

A

Les forces qui gouvernent ces interactions incluent :

  • Forces électrostatiques
  • Forces de liaison hydrogène
  • Forces hydrophobes
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8
Q

Que sont les forces électrostatiques dans les interactions protéiques ?

A

Les forces électrostatiques résultent de l’attraction ou de la répulsion entre particules chargées selon les lois de l’électrostatique classique.

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9
Q

Quelle est la formule de la loi de Coulomb pour les interactions électrostatiques ?

A

La loi de Coulomb s’exprime par : 𝑈 = 𝑘⋅𝑞1⋅𝑞2 / 𝐷⋅𝑟2

où 𝑈 est l’énergie d’association, 𝑘 la constante de proportionnalité, 𝑞1 et 𝑞2 les charges électriques, 𝐷 la constante diélectrique du milieu, et 𝑟 la distance entre les charges.

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10
Q

Quels types d’interactions électrostatiques existent dans les protéines ?

A

On distingue plusieurs types d’interactions électrostatiques :

-Interactions ioniques (paire d’ions ou pont salin)
-Interactions dipôle-dipôle
-Interactions cation-π, anion-π, soufre-π et amine-π

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11
Q

Comment se forment les interactions ioniques dans les protéines ?

A

Les interactions ioniques résultent de l’attraction électrostatique entre deux groupes protéiques de charges opposées, formant ainsi des paires d’ions ou des ponts salins.

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12
Q

Comment les charges électrostatiques se répartissent-elles dans les interactions ioniques ?

A

Dans une interaction ionique, les charges électrostatiques se répartissent de manière radiale autour des ions, influençant la stabilité et l’énergie de l’interaction.

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13
Q

Quelle est la distance typique des interactions ioniques dans les complexes protéines-protéines ?

A

La distance entre les charges dans une interaction ionique est généralement de 3-4 Å ou moins.

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14
Q

Quelle est l’énergie d’une paire d’ions typique dans l’eau ?

A

L’énergie d’une interaction ionique typique est d’environ 1,4 kcal/mol dans l’eau, et cette énergie varie inversement avec la distance entre les charges selon 1/𝑟2.

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15
Q

Quels sont des exemples typiques de paires d’ions dans les protéines entre pH 6 et 9 ?

A

Exemples de paires d’ions courantes :

  • Lys-Glu
  • Lys-Asp
  • Arg-Glu
  • Arg-Asp
  • His-Glu
  • His-Asp
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16
Q

Quels sont les exemples d’interactions ioniques après des modifications post-traductionnelles (MPT) ?

A

Après phosphorylation, on observe souvent des interactions ioniques comme :

  • pSer-Lys, pSer-Arg
  • pThr-Lys, pThr-Arg
  • pTyr-Lys, pTyr-Arg
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17
Q

Que sont les interactions dipôle-dipôle dans les protéines ?

A

Les interactions dipôle-dipôle sont des forces non covalentes entre molécules électriquement neutres, englobées dans les forces de van der Waals.

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18
Q

Comment les interactions dipôle-dipôle se forment-elles ?

A

Elles résultent d’interactions électrostatiques entre dipôles permanents ou induits, où les charges partielles opposées s’attirent.

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19
Q

Comment la force des interactions dipôle-dipôle se compare-t-elle aux interactions ioniques ?

A

Les interactions dipôle-dipôle sont généralement plus faibles que les interactions charge-charge des paires d’ions.

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20
Q

Comment l’énergie des interactions dipôle-dipôle varie-t-elle avec la distance ?

A

L’énergie des interactions dipôle-dipôle varie selon la distance :

  • 1/𝑟3 pour les dipôles permanents
  • 1/𝑟6 pour les dipôles induits

Ainsi, leur intensité diminue rapidement avec l’augmentation de la distance.

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21
Q

Quelle est la distance typique des interactions dipôle-dipôle dans les complexes protéine-protéine et pourquoi sont-elles importantes ?

A

Les interactions dipôle-dipôle ont une distance typique de 3-6 Å dans les complexes protéine-protéine. Elles jouent un rôle crucial car un grand nombre de contacts dipôle-dipôle sont souvent présents aux interfaces des complexes.

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22
Q

Quel rôle jouent les acides aminés aromatiques dans les interactions cation-π, anion-π, soufre-π et amine-π ?

A

Dans les complexes protéine-protéine, les acides aminés aromatiques comme Phe, Tyr et Trp participent à des interactions importantes aux interfaces, grâce à leurs noyaux aromatiques.

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23
Q

Pourquoi les noyaux aromatiques favorisent-ils les interactions cation-π, anion-π, soufre-π et amine-π ?

A

Les noyaux aromatiques possèdent des caractéristiques uniques qui permettent des interactions mixtes, combinant des éléments des interactions ioniques et dipôle-dipôle.

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24
Q

Comment se forment les interactions cation-π dans les protéines ?

A

Les interactions cation-π se produisent entre les noyaux aromatiques de Phe, Tyr ou Trp et les charges positives de Lys ou Arg.

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25
Comment se forment les interactions anion-π dans les protéines ?
Les interactions anion-π se produisent entre les noyaux aromatiques de Phe, Tyr ou Trp et les charges négatives de Asp ou Glu.
26
Comment se forment les interactions soufre-π dans les protéines ?
Les interactions soufre-π se forment entre les noyaux aromatiques de Phe, Tyr ou Trp et les groupes soufre de Cys ou Met.
27
Comment se forment les interactions amine-π dans les protéines ?
Les interactions amine-π se forment entre les noyaux aromatiques de Phe, Tyr ou Trp et les groupes amines de Gln ou Asn.
28
Pourquoi les noyaux aromatiques peuvent-ils participer à plusieurs types d’interactions simultanément ?
Les noyaux aromatiques ont une distribution de charge symétrique sur les deux faces, permettant les interactions cation-π, soufre-π et amine-π avec les deux côtés en même temps. De plus, les interactions anion-π peuvent se produire avec le bord du noyau aromatique.
29
Qu'est-ce qu'une liaison hydrogène et comment se forme-t-elle ?
Une liaison hydrogène est une interaction entre un atome d'hydrogène lié de façon covalente à un atome électronégatif (N, S ou O) et un autre atome électronégatif qui sert d’accepteur.
30
Quelle est la force des liaisons hydrogène par rapport aux interactions dipôle-dipôle ?
Les liaisons hydrogène ont une énergie de 12-30 kJ/mol, ce qui les rend plus fortes que les interactions dipôle-dipôle.
31
Quelle est la distance typique des liaisons hydrogène dans les complexes protéine-protéine ?
La distance entre les donneurs (D) et les accepteurs (A) est généralement de 2,7 Å à 3,5 Å.
32
Pourquoi les liaisons hydrogène ont-elles tendance à être linéaires ?
Les liaisons hydrogène sont souvent linéaires car l’atome d’hydrogène (H) s’aligne vers l’orbitale de la paire non partagée de l’accepteur, assurant une interaction plus forte.
33
Quand les liaisons hydrogène sont-elles les plus fortes ?
Elles sont les plus fortes lorsque les trois atomes (Donneur-Hydrogène-Accepteur) forment une configuration linéaire, maximisant l’attraction électrostatique.
34
Qu'est-ce que l’effet hydrophobe et comment influence-t-il les protéines ?
L’effet hydrophobe regroupe les forces qui poussent les acides aminés non polaires à minimiser leur contact avec l’eau. Cela stabilise la structure des protéines en repliant les résidus hydrophobes vers l'intérieur.
35
Pourquoi l’eau influence-t-elle l’effet hydrophobe ?
L’eau a une constante diélectrique élevée qui accentue l’effet hydrophobe. Les molécules d’eau forment un réseau de liaisons hydrogène, excluant les groupes non polaires.
36
Quelle est la différence entre les interactions hydrophobes des acides aminés non polaires et aromatiques ?
Les interactions hydrophobes des acides aminés non polaires sont endothermiques (Δ𝐻 > 0), tandis que celles des acides aminés aromatiques sont athermiques (Δ𝐻 = 0).
37
Comment l’entropie influence-t-elle l’effet hydrophobe ?
Lors de l’effet hydrophobe, la variation d’entropie (−𝑇Δ𝑆) est généralement importante et négative, reflétant une réduction du désordre moléculaire.
38
Quels sont les deux principaux types d’interactions entre protéines et ADN ?
Les protéines peuvent : 1. Interagir avec des séquences spécifiques d’ADN, comme la protéine p53. 2. Se lier à l’ADN sans spécificité de séquence, comme les histones.
39
Quels sont des exemples de complexes protéine-ADN spécifiques ?
Les principaux exemples incluent : - Hélice-boucle-hélice - Doigt de zinc - Homéodomaine - Fermeture à leucine - Enzymes
40
Comment les régulateurs de transcription interagissent-ils avec l’ADN ?
Les régulateurs de la transcription reconnaissent et se lient généralement à des séquences spécifiques d’ADN pour moduler l’expression des gènes.
41
Sous quelle forme les protéines interagissent-elles souvent avec des séquences d’ADN spécifiques ?
Les protéines interagissent souvent avec des séquences d’ADN spécifiques sous forme de dimères, augmentant ainsi leur stabilité et efficacité.
42
Comment les protéines se lient-elles préférentiellement aux séquences d’ADN spécifiques ?
Les protéines qui lient les séquences d’ADN spécifiques interagissent principalement via le sillon majeur de l’ADN, souvent à l’aide d’une hélice α.
43
Pourquoi la dimérisation est-elle avantageuse pour les interactions protéine-ADN ?
La dimérisation permet : - Une augmentation de l’affinité de liaison - Une diversification des sites de liaison - Une diversification de la régulation transcriptionnelle
44
Quels sont des exemples de dimères dans les interactions protéine-ADN ?
Homodimères : Ils interagissent avec des séquences d’ADN palindromiques. Hétérodimères : Exemple des récepteurs des hormones stéroïdes.
45
Pourquoi l’hélice α est-elle souvent utilisée pour interagir avec l’ADN ?
Le diamètre de l’hélice α (~12 Å) correspond approximativement à la largeur du sillon majeur de l’ADN, facilitant une interaction précise.
46
Quelles forces d’interaction dominent dans les complexes protéine-ADN sans spécificité ?
Dans les complexes sans spécificité, les principales forces d’interaction sont : - Forces électrostatiques : Paire d’ions et dipôle-dipôle (van der Waals) - Liaisons hydrogène : Simples
47
Quelle proportion des interactions protéine-ADN sont de nature électrostatique ?
Plus des 2/3 des interactions protéine-ADN sont électrostatiques, impliquant principalement le squelette de l’ADN (sucres et phosphates).
48
Quelles forces d’interaction dominent dans les complexes protéine-ADN avec spécificité ?
Dans les complexes avec spécificité, on retrouve : - Forces électrostatiques : Paire d’ions et dipôle-dipôle (van der Waals) - Liaisons hydrogène : Simples, bidentées ou complexes
49
Quels sont les deux types d’interactions électrostatiques dans les complexes protéine-ADN ?
1. Paire d’ions entre les groupes phosphates de l’ADN et les acides aminés basiques (Lys, Arg) 2. Dipôle-dipôle (van der Waals) entre les sucres de l’ADN et les acides aminés hydrophobes (Ala, Met, Val, Leu, Ile)
50
Quelles autres interactions électrostatiques peuvent exister entre les protéines et l’ADN ?
Certaines interactions électrostatiques se produisent entre les acides aminés de la protéine et les groupes méthyles (T) de l’ADN.
51
Quel est le rôle principal des interactions électrostatiques dans les complexes protéine-ADN ?
Elles ne confèrent pas de spécificité de séquence mais jouent un rôle clé dans la stabilisation de l’interaction et l’augmentation de l’affinité.
52
Quels sont les trois types de liaisons hydrogène dans les complexes protéine-ADN ?
Les liaisons hydrogène peuvent être : - Simples - Bidentées - Complexes
53
Quels types de liaisons hydrogène confèrent la spécificité des séquences d’ADN ?
Plus des 2/3 des liaisons hydrogène avec les bases d’ADN sont bidentées ou complexes, fournissant une spécificité de séquence.
54
Quel est le rôle des liaisons hydrogène simples dans les complexes protéine-ADN ?
Les liaisons hydrogène simples ne confèrent pas de spécificité pour les séquences d’ADN, mais elles stabilisent l’interaction et augmentent l’affinité.
55
Qu’est-ce qu’une liaison hydrogène bidentée et pourquoi est-elle importante ?
Une liaison hydrogène bidentée implique deux liaisons hydrogène ou plus entre un acide aminé et une base de l’ADN, souvent via les chaînes latérales des acides aminés. Elles sont cruciales pour la reconnaissance spécifique des bases.
56
Qu’est-ce qu’une liaison hydrogène complexe dans les interactions protéine-ADN ?
Une liaison hydrogène complexe implique deux ou plus de liaisons hydrogène, engageant généralement les chaînes latérales des acides aminés et plus d’une base d’ADN.
57
Comment les bases d’ADN sont-elles impliquées dans les liaisons hydrogène complexes ?
Dans les liaisons hydrogène complexes, les bases peuvent appartenir au même brin ou à des brins opposés de l’ADN.
58
Pourquoi les liaisons hydrogène simples offrent-elles peu de spécificité de séquence ADN ?
Les liaisons hydrogène simples n’ont pas de préférence marquée pour des bases précises et ne confèrent donc pas de spécificité.
59
Quels acides aminés sont souvent impliqués dans les liaisons hydrogène bidentées ?
L’arginine est fréquemment impliquée dans les liaisons hydrogène bidentées en raison de sa longueur, sa conformation et sa géométrie. Cruciales pour la reconnaissance de bases simples à des positions spécifiques.
60
Quelle est la fonction principale des liaisons hydrogène complexes dans les interactions protéine-ADN ?
Les liaisons hydrogène complexes permettent la reconnaissance de petites séquences d’ADN plutôt que de simples bases, conférant ainsi une spécificité universelle.
61
Quelles sont les caractéristiques de la glycine (G) ?
Modifications post-traductionnelles : Aucune Forces d’interactions : La glycine n’a pas de chaîne latérale et interagit uniquement via sa chaîne principale.
62
Quelles sont les caractéristiques de la proline (P) ?
Modifications post-traductionnelles : Aucune Forces d’interactions : Forces de van der Waals et effet hydrophobe. Son cycle rigide limite sa flexibilité.
63
Quelles sont les caractéristiques de l’alanine (A) ?
Modifications post-traductionnelles : Aucune Forces d’interactions : Forces de van der Waals et effet hydrophobe.
64
Quelles sont les caractéristiques de la valine (V) ?
Modifications post-traductionnelles : Aucune Forces d’interactions : Forces de van der Waals et effet hydrophobe.
65
Quelles sont les caractéristiques de la leucine (L) ?
Modifications post-traductionnelles : Aucune Forces d’interactions : Forces de van der Waals et effet hydrophobe.
66
Quelles sont les caractéristiques de l’isoleucine (I) ?
Modifications post-traductionnelles : Aucune Forces d’interactions : Forces de van der Waals et effet hydrophobe.
67
Quelles sont les caractéristiques de la phénylalanine (F) ?
Modifications post-traductionnelles : Aucune Forces d’interactions : Forces de van der Waals, effet hydrophobe, et interactions cation-π, anion-π, soufre-π et amine-π.
68
Quelles sont les caractéristiques du tryptophane (W) ?
Modifications post-traductionnelles : Aucune Forces d’interactions : Forces de van der Waals, effet hydrophobe, liaisons hydrogène (D), et interactions cation-π, anion-π, soufre-π et amine-π.
69
Quelles sont les caractéristiques de la cystéine (C) ?
pKa : ≈ 8.3 Modifications post-traductionnelles : Oxydation (ponts disulfure) Forces d’interactions : Forces de van der Waals, effet hydrophobe, soufre-π et liaisons hydrogène (D et A).
70
Quelles sont les caractéristiques de la méthionine (M) ?
Modifications post-traductionnelles : Oxydation (sulfoxyde) Forces d’interactions : Forces de van der Waals, effet hydrophobe, soufre-π et liaisons hydrogène (A).
71
Quelles sont les caractéristiques de l’acide aspartique (D) ?
pKa : ≈ 3.9 Modifications post-traductionnelles : O-Glycosylation Forces d’interactions : Liaisons hydrogène (A), interactions ioniques et anion-π.
72
Quelles sont les caractéristiques de l’acide glutamique (E) ?
pKa : ≈ 4.1 Modifications post-traductionnelles : O-Glycosylation Forces d’interactions : Liaisons hydrogène (A), interactions ioniques, van der Waals et anion-π.
73
Quelles sont les caractéristiques de la sérine (S) ?
Modifications post-traductionnelles : Phosphorylation et O-Glycosylation Forces d’interactions : Liaisons hydrogène (D et A) et interactions ioniques (après MPT).
74
Quelles sont les caractéristiques de la thréonine (T) ?
Modifications post-traductionnelles : Phosphorylation et O-Glycosylation Forces d’interactions : Liaisons hydrogène (D et A), interactions ioniques (après MPT) et van der Waals.
75
Quelles sont les caractéristiques de la tyrosine (Y) ?
pKa : ≈ 10.1 Modifications post-traductionnelles : Phosphorylation et O-Glycosylation Forces d’interactions : Van der Waals, effet hydrophobe, liaisons hydrogène (D et A), interactions ioniques (après MPT), et interactions cation-π, anion-π, soufre-π et amine-π.
76
Quelles sont les caractéristiques de l’asparagine (N) ?
Modifications post-traductionnelles : N-Glycosylation Forces d’interactions : Liaisons hydrogène (D et A) et amine-π.
77
Quelles sont les caractéristiques de la glutamine (Q) ?
Modifications post-traductionnelles : N-Glycosylation Forces d’interactions : Liaisons hydrogène (D et A), amine-π et van der Waals.
78
Quelles sont les caractéristiques de la lysine (K) ?
pKa : ≈ 10.8 Modifications post-traductionnelles : Acétylation et Méthylation Forces d’interactions : Van der Waals, effet hydrophobe, liaisons hydrogène (D), interactions ioniques et cation-π.
79
Quelles sont les caractéristiques de l’arginine (R) ?
pKa : ≈ 12.5 Modifications post-traductionnelles : Méthylation et N-Glycosylation Forces d’interactions : Van der Waals, effet hydrophobe, liaisons hydrogène (D), interactions ioniques et cation-π.
80
Quelles sont les caractéristiques de l’histidine (H) ?
pKa : ≈ 6.0 Modifications post-traductionnelles : Aucune Forces d’interactions : Liaisons hydrogène (D et A), interactions ioniques et potentiellement cation-π, anion-π, soufre-π et amine-π.