Cours 11 Flashcards
Pour quelles raisons est-il important de s’intéresser à la désinformation et aux théories du complot? Nommez 4 raisons.
Il y a un millier de raisons.
Premièrement, pour la radicalisation violente (terrorisme, actes haineux, etc.)
Deuxièmement, il peut y avoir un danger santé publique : (COVID19 et mesures sanitaires)
Troisièmement, les dérives sectaires et emprise mentale sur les gens
Quatrièmement, la montée du populisme (donc impact sur l’oppression des minorités)
Cinquièmement, les dangers de croire soins alternatifs et de remettre en question la science médicale pour sa propre santé.
Sixièmement, les impacts sur l’entourage de la personne qui vont adhérer à ses théroeirs du complot (tensions familiales)
Septièmement, les impacts sur l’environnement (ex: Climato scepticisme)
Bien entendu, la santé mentale est impliquée dans tous ces aspects
Quel rôle jouerait la paranoïa dans l’adhésion aux théories complotistes? Justifier votre réponse en distinguant le style paranoïde de la paranoïa, telle que considéré sur le plan clinique.
La Paranoïa est probablement le concept le plus souvent associé aux TC.
D’un point de vue clinique, la paranoïa est un mode de pensée troublé. Donc, la personne voit le monde comme hostile et comploteur. Alors, tout est dirigé contre la personne. Aussi, il y aura de la méfiance intense, irrationnelle à l’égard d’autrui. Enfin, la personne va souvent voir les Actions des autres sont toujours menaçantes ou rabaissantes. Cela est des manifestations paranoïaques.
Mais, il y a un style de personnalité soit le style paranoïde ou cognition paranoïde, qui est une forme non pathologique. Ici, l’hostilité n’est pas perçue comme dirigée contre la personne, mais contre une nation, un groupe social, une culture, un mode de vie, etc. Aussi, il y a de la victimisation et un sentiment d’impuissance. Donc les personnes ‘’complotistes’’ ne sont pas nécessairement paranoïaque sur le plan clinique mais auraient tendance à présenter un Style paranoïde ou une cognition paranoïde
Moins impo: Cette méfiance qui serait lie au style paranoïde pourrait être lié à l’anxiété.
Selon Del Vicario et al. (2016), l’effet cascade jouerait un grand rôle dans la propagation des fausses nouvelles. Selon eux, certaines caractéristiques du contenu à l’origine des fausses nouvelles permettraient d’exacerber cet effet cascade. Pour répondre à cette question, rapportez ces caractéristiques puis expliquer ensuite pourquoi elles contribuent à propager la fausse information.
Le degré de nouveauté, les réactions émotionnelles et l’engagement suscité ???
L’effet cascade propose que plus le contenu est polarisant sur le plan des positions ou valeurs, plus il est homogène et sans nuance, plus il sera propice à être partagé. Le premier problème des fausses nouvelles est qu’elles atteignent plus de personnes que la vérité (presque 100 fois plus). Cela génèrerait un effet de cascade où elles se partagent plus rapidement que la vérité. Le degré de nouveauté et les réactions émotionnelles des destinataires peuvent être responsables des différences observées car les gens qui le reçoivent sont donc porter à les partager. De plus, les fakes news générant plus d’émotion mène au fait qu’ils sont davantage retenus par les algorithmes. De plus, les fausses nouvelles suscitent plus d’engagement (les personnes qui vont y croire vont vouloir les partager car elles sont plus polarisantes), même si c’est pour les contester ou s’en moquer (Donc en parler en bien ou en mal contribue au succès de la fausse nouvelle). Comme le réseau social est simplement intéressé à garder ses spectateurs sur la plateforme, ils vont partager contenu fautif car suscite plus d’engagement et revenu publicitaires.
Qu’est-ce qu’est la loi de Brandolini? Pour bien répondre à cette question, assurez-vous de rapporter les mots-clés et expressions pertinentes vues dans le cours.
La loi de brandolini ou le principe d’asymétrie des idioties propose que le coût en énergie nécessaire pour réfuter une théorie est toujours plus important en termes de magnitude, que celui pour la générer, puisqu’il s’agit d’un renversement du fardeau de la preuve.
Donc une fausse nouvelle sera généré reposant sur des arguments fallacieux ou inexistants, mais la logique derrière va se construire pour que les gens y croient et qu’il soit difficile à réfuter car il y aura une forme de logique argumentative. « Prouve-moi que j’ai tord » “Fais tes rechÂrches”. En revanche, créer des sites de « fact checking » et créer une argumentation convaincante pour détruire les mensonges prend du temps et dépend de la bonne foi des gens qui sont exposés aux preuves. C’est une course qui est un peu perdue d’avance.
Bien que pour certains auteurs et militants, l’utilisation de termes comme « complotiste » ou « théorie du complot » puisse parfois être contreproductive lorsque l’on cherche à intervenir contre la désinformation, il n’en reste pas moins que la plupart des théories du complot partagent certaines caractéristiques en commun. À partir de ce qui fut présenté dans le cours, qu’est-ce qui caractérise généralement les théories du complot? Pour répondre à cette question, présentez au moins 4 aspects.
Pas de consensus sur définition et certains dissent de pas utiliser ce terme mais certains disent généralement 4 piliers qui peuvent permettre de caractériser une théorie du complot (TC).
Premièrement, absence de hasard ou de coïncidences entre différents éléments qui compse la theorie.
Deuxièmement, tous les événements sont le fruit d’actions cachées (à qui profite le crime) donc quelque va profiter du complot. Puisque ses actions sont caché, il y a une intentions de nous mentir donc ce qu’on croirait serait une illusions
Ainsi, troisièmement, tout n’est qu’illusion (on nous ment)
Quatrièmement, tous les éléments qui font l’histoire sont liés entre eux (apophénie) afin d’en dégager un sens.
Si demande plus :
Pour d’autres auteurs, TC servirait d’explications de certains événements en termes d’action causale
Premièrement, intentions cachées des conspirateurs sont néfastes. *pas le mettre sauf nécessaire car ressemble aux quatre plus haut
Deuxièmement, il y a une Volonté manifeste de cacher la vérité des conspirateurs. *pas le mettre sauf nécessaire
Troisièmement, va servir Contradiction d’une version « officielle » ou « évidente » car dans version officiel on nous ment *pas le mettre sauf nécessaire
Quatrièmement, lient des événements qui n’ont pas de rapport évident entre eux, *pas le mettre sauf nécessaire
Enfin, les données aberrantes (éléments contradictoires ou qui n’ont pas été expliqués dans la version « officielle ») sont les éléments de base des TC. Donc, les personnes qui croient aux théories du complot ont souvent tendance faire lecture rapprochée de ce qu’elles vont lire. Evil??
Si demande plus plus : 1. Les TC sont souvent irréfutables: tout argument contre le complot étant transformé en preuve de son existence. 2. Le contenu des TC est traversé par un paradoxe : on y trouve souvent des éléments fantaisistes, mais en même temps une espèce d’hypercohérence logique dans les détails invoqués pour soutenir le récit.
Quel rôle jouerait l’anomie dans l’adhésion aux théories du complot et comment la mesure-t-on? Pour bien répondre à cette question, assurez-vous d’expliquer en quoi consiste le concept d’anomie, puis rapportez les trois façons de la mesurer.
Un aspect psychologique lié à la théorie du complot est l’anomie
Ce concept proposé par Durkheim, décrit sentiment individuel ou collectif voir une société au complet. Donc le sentiment que la société est en déclin donc un malaise individuel causé par un recul des valeurs (éthiques, religieuses) ou un manque de lois et de règles sociales, ou quelles sont non respecté. Il y a un rôle important du sentiment de perte de contrôle et d’anomie dans les croyances aux TC. Il s’exprime notamment par un manque de confiance envers les « experts » et les autorités.
L’anomie est mesurée (avec des questionnaires psychométriques) premièrement par la méfiance envers les institutions, notamment politique. Deuxièmement, par la détérioration, soit le sentiment que la situation personnelle et sociale se détériore. Troisièmement par l’impuissance, soit le sentiment de ne pas pouvoir contrôler le monde environnant. L’anomie est donc intimement liée à l’anxiété.
Quel rôle jouerait le locus de contrôle dans l’adhésion aux théories du complot? Pour bien répondre à cette question, assurez-vous de bien expliquer le concept en détail, tel que présenté dans le cours.
Selon le concept du locus de contrôle, les gens qui auraient tendance à percevoir un moins grand contrôle sur leur vie donc style d’attribution externe seraient davantage prédisposé à adhérer aux théories du complot. Le locus de contrôle ou style d’attribution causale est un concept en psychologie qui cherche à déterminer si on a tendance à davantage attribuer à l’extérieur ce qu’il peut nous arriver ou si on attribue ca à nous-même. (moins impo mais qd mm)
Le locus de contrôle et les styles d’attribution causale seraient ce à quoi les individus attribuent divers événements de la vie parmi trois ensembles de causes. En effet, cela peut être Interne à la personne, soit que les événements sont causés par les capacités, habiletés, etc. de la personne. En fonction des événements positifs ou négatifs on peut avoir ce style. Cela peut aussi être externe à la personne, par exemple attribuer les choses par la chance, le hasard, la fatalité du destin ou à partir de l’action d’autrui puissants (plus de pouvoir qu’ils en ont). Les personnes qui ont un lieu d’attribution externe et qui considère que les évènements peuvent davantage être expliqué par l’action des puissants seraient les plus disposé à adhérer aux TC. Un style d’attribution externe est donc plus enclin à souscrire aux TC.
Quels phénomènes seraient à l’origine de la simplification de la complexité?
Une tendance des gens disposé à croire au TC serait une tendance à la volonté de simplification. Ce besoin s’exprimerait entre autres par le biais de confirmation. Donc la Tendance à rechercher à confirmer ses croyances, et la réticence à les infirmer est au cœur de la pensée conspirationniste. La volonté de simplifier un monde de plus en plus complexe en ramenant la plupart des événements importants à une cause unique joue un rôle modeste s’expliquerait par le besoin de clôture.
Cela est dans une dimension liée encore au contrôle et à l’insécurité. Cela peut être insécurisant de pas savoir ce qui se passe et quand on se donne l’impression de comprendre comment ça fonctionne c’est rassurant (intolérance envers l’ambiguïté au niveau cognitif).
Ce besoin de clôture serait aussi lié au biais cognitif qu’est la Croyance en un monde juste En effet, la croyance en un monde juste a pour fonction de diminuer l’incertitude et le hasard de la vie, par la conviction que les gens ont ce qu’ils méritent (notamment par exemple en attribuant paradoxalement aux victimes innocentes une part de responsabilité de leur malheur). Donc les biais cognitifs jouent un grand rôle en interférant grandement sur les capacités de raisonnement. (moins impo)
Comment la détection d’agent jouerait un rôle dans les théories du complot? Pour bien répondre à cette question, assurez-vous d’expliquer le concept.
La détection d’agent est la tendance des animaux et des humains à présumer l’intervention réfléchie d’un agent conscient ou intelligent. Donc à chaque fois que quelque chose se passe, c’est parce qu’un être vivant en est la cause.
Plusieurs anthropologues croient que cela serait impliqué dans la religion, et ce particulièrement dans les religions polythéistes (Ex: Dieu qui va créer des tempêtes, etc.).
Dun point de vue évolutionniste, cela serait très pratique pour la survie (Origine évolutionniste). En fait, détecter les agents permet de détecter les prédateurs. Par exemple présumé qu’un bruit vient d’un prédateur peut éviter la mort donc mieux de penser en a que non. Effectivement, Il est plus couteux de ne pas détecter d’agent (de pas détecter prédateur = mort) que de détecter un agent qui n’existe pas.
En quoi l’apophénie jouerait un rôle dans le développement des théories du complot? Pour bien répondre à cette question, assurez-vous de bien expliquer le concept d’apophénie.
Une tendance prédisposante à la TC est la tendance à l’apophénie, soit une perception spontanée de rapport et de significations à partir de phénomènes sans aucune relation. Tendance à voir des rapports entre des objets ou des idées sans aucune relation.
Des niveaux importants de dopamine affectent la propension à trouver une signification, des motifs, et une importance là où il n’y en a pas.
Cette tendance liée à la tendance à croire au paranormal, à la créativité et à la psychose. En effet, des neurologues ont découvert que cette propension à trouver une signification a des motifs et générer des liens entre des choses là ou devrait pas en avoir serait lié a d’important niveau de dopamine (lié circuit de récompense et schizophrénie).
En statistiques, l’apophénie est appelée une erreur de type I. Ce type d’erreur consiste à voir des motifs là où il n’en existe pas vraiment. Il est fort probable que la signification apparente de nombreuses expériences et phénomènes inhabituels soit due à l’apophénie.
Qu’est-ce que l’effet Dunning-Kruger? Expliquez le concept en vous assurant d’expliquer le paradoxe derrière ce concept.
Un facteur expliquant pourquoi certaines personnes partagent de fausses informations serait manque de compétence pouvait être expliqué par le biais cognitif Dunning-Kruger. Ceux-ci réalisent que les gens incompétents surestiment leurs capacités, mais qu’au contraire les personnes compétentes ont tendance à se sous-estimer. Cela donne naissance au sentiment d’imposteurs. Donc les personnes qui s’initient à un sujet qu’il ne maitrise pas vont se découvrir un sentiment de compétence, car cela va procurer un sentiment de puissance. Elle pensera posséder les outils nécessaires pour bien comprendre le problème, mais elle ne connait pas toutes les connaissances pour bien comprendre et ne saura mm pas que ces connaissances existent. En effet, pour Dunning et Kruger, au départ on est peu compétant avec une grande confiance en soi (mont stupide), mais avec l’approfondissement des connaissances, le sentiment de compétence va diminuer significativement (vallée du désespoir)
Plus la personne progresse, plus acquière compétence et un peu de confiance.
Ainsi, il y a un paradoxe, soit que pour savoir que l’on n’est pas compétent, il faut être compétent. Savoir que l’on ne connait pas certaines choses est une connaissance en soi. « La culture, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale ».
Parler d’efforts?
Que rôle jouerait la question identitaire dans la propagation et l’adhésion aux fausses nouvelles? Pour bien répondre à cette question, assurez-vous de rapporter les concepts les plus pertinents.
La question identitaire est centrale. Pour la théorie de l’identité sociale, l’identité affecte nos croyances et la façon de se comporter (ex. irrationnelle) pour adhérer à un groupe. C’est le tribalisme (défendre notre tribu) qui expliquerait d’un pdv évolutionniste l’identification et l’adhérence à des positions politiques et des discours pour assurer l’appartenance social.
De plus, notre vision du monde (réalités épistémiques) est façonnée par notre position sociale individuelle. Le narratif identitaire, se transforment en communautés idéologiques car les gens partagent des nouvelles (fausses ou vraies) qui soutiennent leurs croyances préexistantes et signalent leur identité et leur appartenance au groupe. Cela peut créer l’empowerment menant à la désinformation/mésinformation, car les gens se renforcent en partageant seulement le contenu pour la cohésion du groupe et ont des réactions hostiles aux sceptiques, menant au panurgisme. L’identité de la personne sera instrumentalisé par les médias qui présenteront des identités sociales pour promouvoir des idéologies.
Ensuite, les bulles de filtre et les chambres d’échos par les algorithmes mène à la polarisation idéologique empêchant les gens de mettre leurs croyances à l’épreuve des faits et les renforce.
De plus la perte de confiance envers les experts et les médias mène au partage de faussetés car ils ont confiance à ceux qui le partage et non aux auteurs (détermine social).
Enfin, les gens donnent un sens à l’information reçu, ou émis, en fonction de leur positionnement social, leur Identité, leurs ressources discursives et leurs compétences. Donc, les gens peuvent adhérer à des informations fausse consciemment étant dans leur sens identitaire. Puis le biais de confirmation privilégiant les informations confirmant ses idées peut aussi explique l’adhésion aux fausses croyances.
Vous êtes dans un souper de famille, en visite chez votre tante Huguette, qui habite le charmant village de Saint-Clinclin des Meumeux (tout près de Saint-Profond des trous, dans le coin de Perpette-Les-Oies). Durant la soirée, alors que vous pensiez enfin être passé à autre chose, votre famille se remet à parler de la COVID-19 et plus précisément, à parler des diverses théories du complot qui sont encore partagées sur les médias « sociaux ». Après de houleux débats sur la question, votre oncle en vient à la conclusion que ça serait si facile de régler le problème. Selon lui, si le gouvernement prenait simplement un peu d’argent pour créer des sites de « fact checking », la question serait réglée depuis longtemps, idée que semble désormais partager toute la famille sauf vous. En effet, à la suite de votre cours d’histoire critique de la psychologie (qui vous semblait si futile à l’époque), vous savez que la problématique de la désinformation est une question très complexe qui n’est pas si facile à régler d’un point de vue scientifique.
Étant donné tous les impacts importants derrière la question de la désinformation, vous aimeriez pouvoir convaincre votre famille qu’il est très difficile d’intervenir sur cet enjeu et qu’il n’existe pas de solutions miracles. En fait, vous aimeriez pouvoir leur expliquer tout ce que vous avez vu dans le cours, mais malheureusement, celle-ci est beaucoup trop bavarde pour que vous puissiez argumenter suffisamment pour tout rapporter. Heureusement, vous vous rappelez une mise en situation qui était présente dans l’un de vos examens et qui vous demandait justement de vous préparer à ce genre de situation, question qui vous demandait de produire un court texte synthétique dans lequel donneriez quatre raisons pour lesquelles la désinformation est un enjeu très complexe à résoudre. À partir de cette mise en abîme situationnelle un peu trop longue à lire pour le temps qu’il vous reste pour terminer votre examen (on s’en excuse à l’avance), nous vous demandons donc de rapporter ces quatre raisons.
De plus, la perte de confiance envers les experts, les savants, les ensignants, la politique et les politiciens et les médias mène au fait que La littératie médiatique et le « fact checking » seraient des pratiques qui provoqueraient un effet contraire, en renforçant une méfiance envers les médias de masse comme si on cachait quelque chose.
Deuxièmement, les gens donnent un sens à l’information reçu, ou émis, en fonction de leur positionnement social, leur Identité, leurs ressources discursives et leurs compétences. Donc, les gens peuvent adhérer à des informations fausse consciemment étant dans leur sens identitaire. Ainsi, il ne suffit pas de montrer que c’est vrai pour que la personne y adhère rend l’enjeu complexe à résoudre.
Troisièmement, les bulles de filtre et les chambres d’échos par les algorithmes rend aussi l’enjeu complexe à résoudre. Cela car les algorthmies qui cible de contenu préférentiel pour la personne mène à la polarisation idéologique empêchant les gens de mettre leurs croyances à l’épreuve des faits et les renforce d’autant plus.
Quatrièmement, les biais cognitifs inhérents tels que le biais de confirmation rend cet enjeu également complexe à résoudre. Cela car ce biais fait en sorte que les individus privilégient les informations confirmant ses idées préconçues ou ses hypothèses, ou à accorder moins de poids aux hypothèses et informations jouant en défaveur de ses conceptions. Ainsi, même avec des sites de facts checking, les individus pourraient moins privilégier ceux-ci et continuer d’Adhérer aux leurs.
Quelle est la différence entre la désinformation et la mésinformation?
La mésinformation est involontairement incorrecte, par exemple lorsqu’un journal imprime un fait erroné et publie ensuite une correction (médium ou personne qui transmet nouvelle n’est pas consciente qu’elle est fausse donc pas intention désinforme. La désinformation, en revanche, est intentionnellement incorrecte (volontairement faire croire aux gens des fausseté).
Quelles formes peut prendre la désinformation? Rapportez 4 formes.
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