Cours 10 Flashcards
En quoi consiste le croisement des savoirs, tel que vu dans le cours sur la psychologie critique? Pour répondre à cette question, dites à quel paradigme on associe le croisement des savoirs. Ensuite, expliquez quels sont les principes et valeurs derrière cette pratique. Finalement, indiquez quels sont les types de savoirs que l’on vise à croiser.
Le paradigme du constructivisme social.
Les types de savoirs complémentaires que l’on cherche à croiser sont scientifiques (issus de la recherche), professionnels (issu de la pratique des professionnels) et expérientiels (le savoir des personnes qui vont vivre les situations qu’on cherche à étudier).
Étant donné qu’on accorde beaucoup d’importance au savoir de chacun le constructivisme social valorise le croisement des savoirs. C’est donc le résultat de la confrontation entre les expériences individuelles et l’élaboration d’un savoir commun (avec échange et collab). De cette façon, la recherche se trouve ainsi mieux préservée du risque de s’éloigner de ses ancrages sociaux, car elle repose seulement sur une des trois visions.
Le croisement des savoirs fait alors apparaître des questions nouvelles et même des approches, et mettre en lumière certaines failles dans notre façon de voir les choses, et d’offrir une perspective plus riche.
Dans un contexte d’intervention social, qu’est-ce qui différencie un changement de premier ordre d’un changement de deuxième ordre? À partir de ce qui fut abordé dans le cours sur la psychologie critique, faites la différence entre ces deux types de changement.
Il y a 2 types de changements visés.
1. Le changement de premier ordre fonctionne dans le cas d’une structure et d’une vision du monde existante où on ne change pas de paradigme.
- mais il y a un rafistolage du système en cherchant à l’améliorer et être plus adapté à la réalité sur laquelle on cherche à intervenir,
- donc c’est un changement progressifs.
- Ainsi, les visions du monde et les valeurs restent les mêmes.
2. En revanche, dans le changement de 2e ordre, on parle de distribution ‘’transformationnel”, “révolutionnaire”, “radical”, “perturbateur” ou “discontinu” qui signifie qu’on change les mentalités plus en profondeur dans la société (macro-système).
- Donc, on remet en question des hypothèses de départ, on voit le monde d’une nouvelle manière et on fait tabula rasa. Cela déstabilise les gens mais c’est toujours nécessaire pour faire avancer la société.
Dans un contexte de libération, pour amorcer le changement et promouvoir le progrès social, Moane (2003) propose d’opérer à plusieurs niveaux (personnel, interpersonnel et politique). D’après ce que nous avons vu dans le cours, pour chacun de ces niveaux, que vise-t-on à modifier exactement ?
Pour favoriser la conscience et l’organisation des actions collectives Moane propose d’investir 3 niveaux de changement soit
1. personnel (Agir sur les représentations individuelles et leur donner des moyens de travailler leur estime de soi),
2. Interpersonnel (Changer les relations entre les groupes, changer leurs manières d’interagir) et
3. Politique (faire la promotion du militantisme et investir la scène publique).
- Donc on veut aller plus loin, on agit sur le macro-système.
- c’est ce qui est propre à la psychologie de la libération, soit le côté militant où l’on ne se contente pas juste de guérir la blessure, mais d’enrayer l’oppression qui les cause.
À partir de ce que nous avons vu dans le cours, expliquez en quoi consiste l’éducation populaire. Pour répondre à cette question, essayez de mobiliser les concepts les plus pertinents.
C’est une pratique et philosophie sur laquelle se base la psychologie de la libération.
On cherche à reconnaitre la présence de conflits sociaux dans la société et l’omniprésence du pouvoir dans toutes les sphères sociales donc on cherche à critiquer les logiques de domination par la conscientisation (conscience critique).
- Celle-ci est un processus d’analyse de l’influence d’une culture dominante sur la société et la fin de l’éducation est donc de libéré les groupes opprimés par la redistribution du pouvoir. On parle donc d’acquisition d’une conscience critique à mesure que les gens réalisent l’oppression qu’ils subissent et quels en sont les effets, et comprendre l’origine sociohistorique de cette oppression.
(6)SPDEEC
Ce fait en dehors des structures formelles et
n’est pas une nouvelle forme de plus pédagogie mais plutôt un mouvement social.
Ainsi, on critique la déshumanisation de l’être humain par le système capitaliste qui cherche à le considérer que pour sa valeur marchande et les rapports de pouvoir entre les humains,
mais on vise à corriger les inégalités en rendant les gens proactifs (empowerment).
Selon ça, il critique l’éducation classique (expérience cumulative, donc processus apprentissage unidirectionnel et hiérarchique.)
Il a plutôt une visions collaborative de l’éducation en mettant l’accent sur l’apprentissage et la prise de conscience d’enjeux sociaux et s’exprimant dans les rapports de pouvoir entre la classe dominante et les classes dominées (la participation est au cœur).
Concrètement, c’est un ensemble de mesures et d’activités généralement en dehors des lieux formels avec une perspective de transformation sociale dont le contenu abordé n’est pas nécessairement standardisé et les priorités sont indépendantes de l’État.
L’Éducation populaire ne vise pas à vulgariser le savoir, mais le produire et le croiser à partir de l’expérience des participant.e.s
Pour faire face à l’oppression, nous avons vu que certains groupes opprimés organisaient leur lutte à travers des cadres de vie alternatifs. À partir de ce que nous avons vu dans le cours sur la psychologie de la libération, expliquez en quoi consiste un cadre de vie alternatif et expliquez très brièvement les 3 processus impliqués derrière cette « pratique ».
Les cadres de vie alternatifs ou ‘’counterspaces’’ sont des niches de résistance qui vont servir à contrer le pression en se protégeant mutuellement, donc des lieux de rencontre structurés (safe space) où les personnes peuvent discuter en toute sécurité de leur situation. Ces lieux cherchent à améliorer le bien-être des personnes marginalisées et combler leur déficit en se rassemblant pour trouver une solution aux enjeux qu’elles vivent. C’est une réponse adaptative par le « Coping » de gérer sa situation d’oppression avec résilience tout en résistant.
- Le premier des 3 processus est le narratif identitaire au travers duquel les gens vont se réapproprier leur identité en essayant de décrire par exemple la façon dont elles se sentent traitées par la société.
- À travers cette identité commune créé, ils vont créer une cohésion dans le groupe qui va permettre de faire des actes de résistance (2e) donc de trouver des moyens pour améliorer leur situation par
- des transaction relationnelles directes (3), donc la cohésion dans le groupe a travers bienveillance et sentiment de sécurité partage par tous.
En quoi consiste la théorisation ancrée? Décrivez les principes et la logique épistémique derrière le concept.
Sur le plan de la recherche la psychologie critique s’appuie sur plusieurs méthodes et une de ces méthodes est la théorisation ancrée ou « grounded theory » Cette méthode s’oppose à la méthode hypothético-déductive, donc c’est une méthode qui s’appuie sur l’induction. Ainsi, les théories non pas à partir d’hypothèses prédéterminées, mais à partir des données du terrain et on va partir des données pour dégager du sens de tout ça donc le chercheur est sans apriori. Donc, la théorisation ancrée est beaucoup utilisée en approche qualitative est une Méthodologie systématique.
Considéré comme un cadre de référence partagé permettant aux individus d’organiser leur expérience et de comprendre les phénomènes qui les entourent de manière cohérente, la notion de paradigme occupe une place centrale non seulement en philosophie des sciences, mais également en psychologie, tant sur le plan clinique qu’en recherche. À partir des éléments présentés dans le cours portant sur la psychologie critique, comparez les paradigmes suivants : post-positivisme, constructivisme, socioconstructivisme et la psychologie critique. Pour bien répondre à cette question, assurez-vous de bien situer les paradigmes les uns par rapport aux autres afin d’en faire ressortir les éléments qui les distinguent.
Sur le plan philosophique et des connaissances des paradigmes :
- Dans le post positivisme, la compréhension se construit par une compréhension commune via des méthodes et des normes donc on veut définir un problème social et chercher des solutions avec une approche hypothético-déductive
- Alors que dans le constructivisme et le socioconstructivisme, la connaissance est créée en collaboration entre des chercheurs et les participants.
- Dans l’approche critique, la connaissance est façonnée par la remise en question des relations de pouvoir et des biais cognitif qui vont teinter notre compréhension du monde.
Sur le plan de la méthodologie et de la compréhension :
- Le post positivisme repose sur la compréhension des relations de cause à effet, la vérification des hypothèses, la modélisation et les méthodes expérimentales donc il y a une prédominance des devis quantitatifs
- Alors que dans le constructivisme et le socioconstructivisme, la compréhension se fait par rapport au contexte donc on cherche à donner une signification aux expériences vécues par les participants. De plus, on utilise une méthode qualitative.
- Pour l’approche critique, on met l’accent sur l’intégration la recherche et l’action en s’occupant des voix des personnes non entendues. On utilise autant les méthodes quantiques et qualitatives, bien que plus cette dernière. De plus, on s’oppose aux injustices.
Le constructivisme est considéré comme un paradigme important en psychologie. Rapportez et expliquez les deux prémisses centrales du constructivisme, tel que proposé dans le cours portant sur la psychologie critique.
Les deux prémisses sont
premièrement que la connaissance est activement construite par l’apprenant et non passivement reçue de l’environnement (apprentissage par l’action).
Deuxièmement, l’apprentissage est un processus d’adaptation qui s’appuie sur l’expérience qu’on a du monde et qui est en constante modification (Principe d’assimilation-accommodation).
Ces 2 principes sont importants dans la façon de faire la science, et ce, surtout quand on se tourne vers la sphère sociale, car l’assimilation fait en sorte que l’on ajoute une information à une autre qui existe déjà, donc la connaissance généré n’entre pas en contradiction avec d’autres connaissances mais quand on parle d’accommodation, alors celle-ci peut avoir un clash entre les nouvelles connaissance et celles préexistante.
Quels sont les trois courants de l’approche critique? Pour bien répondre à cette question, assurez-vous de bien rapporter ces trois courants en fournissant une brève explication pour chacun d’entre eux.
Généralement on peut comprendre la psychologie critique à partir de 3 grands courants.
Premièrement, l’intervention, soit de concevoir de nouvelles méthodes en vue de réduire les injustices, favorisant ainsi un changement social progressif ou radical.
Deuxièmement, le courant analytique où l’on va analyser et démontrer les effets sociaux néfastes des fondements idéologiques et développer des éléments théoriques et des pratiques de recherche et d’intervention pour l’émancipation des individus.
Troisièmement, le courant militant où l’on conteste pouvoir institutionnel d’une certaine forme de psychologie et l’on critique le processus croissant de « normalisation ».
*Dans l’apprentissage on va souvent voir des chercheurs qui sont des empêcheurs de tourner en rond. La psychologie critique n’est pas quelque chose d’institutionnaliser, est un courant relativement informel et a priori militante.
Quelles sont les origines de la psychologie de la libération? Pour bien répondre à cette question, assurez-vous de rapporter les principaux courants à l’origine de cette dernière. Par la suite, rapportez le nom de la personne que l’on considère comme le père de la psychologie de la libération. Finalement, expliquez le contexte dans lequel cette dernière est apparue.
Le père de la psychologie de la libération est Ignacio Martin-Baro.
La psychologie de la libération a eu 3 influences principales, soit la théologie de la libération, la philosophie de la libération et Pédagogie de la libération (éducation populaire) de Paolo Freire. Cela apportera une grande importance à la critique.
Le réalisme critique de Martin-Baró se fonde sur l’existence d’une réalité objective dont il dénonce avec insistance les injustices et les misères.
De plus, le réalisme critique se situe d’une certaine façon entre le constructivisme et le positivisme, tout en les critiquant.
Le réalisme critique et la psychologie critique soutienne de réfléchir comment les différents systèmes entretiennent l’oppression et maintiennent les privilèges.
Martin-Baro va remettre en question la psychologie en :
- idéologique et normative et non universelle
- Inadéquate pour traiter les effets de la violence structurelle
- Ne tient pas compte du contexte socio-historique et que
- Oppression affecte santé mentale
- Peu de validité écologique : Le psychologue doit œuvrer dans les milieux de vie
- Psychologue doit travailler pour la collectivité, pas un seul individu
Il est apparu dans un contexte de tensions en Amérique latine dû aux conflits liés aux mouvements révolutionnaires communistes pour un meilleur partage des richesses dans lesquels les Américains (CIA) ce sont impliqué expliquant l’apparition des mouvements sociaux axés sur la libération s’opposant à cette oppression. Il y a donc une grande place à la critique, car on se dit que le changement social devait passer par des remises en question.
Pour opérer directement sur l’oppression et les problèmes sociaux à partir de la psychologie critique, Alexa Hepburn propose quelques interventions. Sur les cinq types d’intervention présentés dans le cours, rapportez-en 4 puis donnez un exemple concret pour chacun.
- Premièrement les interventions sociales (communiquer).
- Par exemple, une campagne d’informations publique dans les écoles sur la sensibilisation à l’intimidation. - Deuxièmement, l’intervention rhétorique (analyser comme d’analyser au-delà de la forme en s’attaquant aux idées de fonds).
- Par exemple, une affirmation proposant que les jeunes hébergés en vertu de la loi sur la protection de la jeunesse sont problématiques à cause qu’ils sont de mauvaises personnes pourrait être déconstruite en analysant l’influence parentale, notamment. - Troisièmement, les interventions cliniques (remettre en question les intervention, idéologies),
- par exemple, en psychanalyse, il y avait une tendance à regarder les patients de hauts sur lequel la psychologie critique peut porter un regard critique. - Quatrièmement, les interventions pratique pour soutenir des populations (Soutenir population qui sont jugées opprimées et marginalisées,ie utilisateurs de services qui vont être impuissantes, souvent dans le domaine de la défense des droits),
- par exemple, aider les jeunes de la DPJ à revendiquer leur droit au moyen d’une pétition de ne pas être soumis à des mesures d’isolement et de contentions sauf sous certaines conditions bien précises. - Cinquièmement, les interventions narratives (retravailler le discours sur un enjeu ie compréhension du sens commun pour montrer pas nécessairement obj),
- par exemple de retravailler le discours que les autochtones ont des problèmes de consommation et qu’ils sont responsable de leur situation, qui change dans les dernières années en parlant des pensionnats, des traumas etc. Le système de croyance a une grande influence sur tous les autres systèmes.
Pour clôturer le dernier projet de recherche mené par son laboratoire, votre directeur de maîtrise vous invite à participer à un colloque de psychologie portant sur l’immigration, les inégalités sociales et la santé mentale. Pendant l’heure du dîner, on vous apprend que des tables ont été formées aléatoirement pour « stimuler » les débats d’idée entre les participants et que vous ne pourrez donc pas vous assoir à côté des membres de votre labo. Puisque vous ne vous sentez pas trop à l’aise avec cette situation, vous hésitez à aller dîner. Après 15 minutes d’hésitation et un ventre qui gargouille, vous décidez malgré tout de rejoindre votre table assignée et d’aller vous assoir devant votre « name tag », prenant ainsi cette conversation au passage. En fonction des différentes positions épistémiques entendues pendant cette conversation, à quel paradigme pouvez-vous rattacher chaque personne?
AUGUSTE : « J’pense que si on veut changer les choses, c’est important d’étudier notre sujet avec le plus d’objectivité possible. Nos solutions doivent seulement reposer sur des données quantitatives concrètes basées uniquement sur l’observation, avec le plus de conditions de contrôle possible ».
NANCY : « Franchement! J’suis d’accord avec toi sur le fait que c’est important que nos solutions doivent seulement reposer sur des données concrètes et sur l’observation, mais faut pas oublier que même si on ne le veut pas, on va toujours influencer un peu sur notre processus de recherche, ça n’existe pas la totale neutralité ».
JEAN : « Voyons donc! J’pense que vous êtes dans le champ avec votre pseudo rigueur. Moi je pense que l’apprentissage, c’est un processus actif contingent aux conditions environnementales où l’organisme développe sa connaissance du monde par assimilation et accommodation ».
SOPHIE : « L’autre avec son vocabulaire élitiste. C’est bien de faire la morale aux autres, mais tu oublies que la relation entre les individus est centrale dans l’établissement d’une signification commune. Tu ne peux pas juste considérer l’environnement pis la personne pour proposer des solutions ».
AUGUSTE : « Ouais, on dirait que personne n’est entièrement d’accord ici. En fait, personne n’adhère au même paradigme on dirait ». « Et toi, retardataire? On était en train de parler de nos positions épistémiques. À quel paradigme tu adhères toi »?
VOUS : « Honnêtement, vos approches sont pas mal toutes intéressantes, mais perso, je pense que ça ne sert à rien de se raconter des menteries. Tant que l’on ne porte pas attention aux relations de pouvoir entre les individus, qu’on en fait pas une analyse approfondie pour remettre en question le statu quo, ben nos recherches ne serviront pas à grand-chose ».
AUGUSTE : « J’pense que si on veut changer les choses, c’est important d’étudier notre sujet avec le plus d’objectivité possible. Nos solutions doivent seulement reposer sur des données quantitatives concrètes basées uniquement sur l’observation, avec le plus de conditions de contrôle possible ». Positivisme
NANCY : « Franchement! J’suis d’accord avec toi sur le fait que c’est important que nos solutions doivent seulement reposer sur des données concrètes et sur l’observation, mais faut pas oublier que même si on ne le veut pas, on va toujours influencer un peu sur notre processus de recherche, ça n’existe pas la totale neutralité ». Postpositivisme
JEAN : « Voyons donc! J’pense que vous êtes dans le champ avec votre pseudo rigueur. Moi je pense que l’apprentissage, c’est un processus actif contingent aux conditions environnementales où l’organisme développe sa connaissance du monde par assimilation et accommodation ». Constructivisme
SOPHIE : « L’autre avec son vocabulaire élitiste. C’est bien de faire la morale aux autres, mais tu oublies que la relation entre les individus est centrale dans l’établissement d’une signification commune. Tu ne peux pas juste considérer l’environnement pis la personne pour proposer des solutions ». Constructivisme social-socioconstructivisme
AUGUSTE : « Ouais, on dirait que personne n’est entièrement d’accord ici. En fait, personne n’adhère au même paradigme on dirait ». « Et toi, retardataire? On était en train de parler de nos positions épistémiques. À quel paradigme tu adhères toi »?
VOUS : « Honnêtement, vos approches sont pas mal toutes intéressantes, mais perso, je pense que ça ne sert à rien de se raconter des menteries. Tant que l’on ne porte pas attention aux relations de pouvoir entre les individus, qu’on en fait pas une analyse approfondie pour remettre en question le statu quo, ben nos recherches ne serviront pas à grand-chose ». Approche critique
Quel personnage serait à l’origine d’un mouvement éducatif connu sous le nom de pédagogie de la libération?
Paulo Freire
Quel est le nom du concept qui représente le processus par lequel les individus, les groupes, les organisations et les communautés acquièrent la capacité à exercer du pouvoir, afin d’améliorer leurs conditions de vie et atteindre les buts qu’ils se sont fixés?
Empowerment