Cours 10 Flashcards

1
Q

Vrai ou faux
Toutes les consonnes sont maîtrisés avant la maternelle

A

Faux, certaines sont seulement maîtrisées en maternelle/1ere année

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2
Q

PHONOLOGIE
A) donne un exemple de réduction du groupe consonantique

B) donne un exemple de dévoisement

A

A) dire «tain» ou «rain» au lieu de «Train»

B) dire «pol» au lieu de «bol» car on fait pas vibrer nos cordes vocales

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3
Q

Laquelle de la morphologie flexionnelle ou dérivationnelle est acquis plus tardivement?

A

Morphologie derivationnelle

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4
Q

Quelle habileté en langage orale permet de développer son vocabulaire et de comprendre de nouveaux mots

A

Morphologie

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5
Q

SYNTAXE
De la maternelle à la 3ème année du primaire, différents éléments syntaxiques progressent. Nomme 4 de ces éléments (et explique au besoin)

A

• longueur moyennes des énoncés (phrases plus longues)

• densité des énoncés (+ d’info se retrouve dans les énoncés. L’enfant utilise des subordonnés relatives, complétives et circonstancielles)

• complexité des énoncés (ex: forme passive est mieux maîtrisée)

• complexité des relations exprimées (+ de marqueurs de relation. Pas juste «et» et «pis»)

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6
Q

SÉMANTIQUE
Au primaire, il y a progression des connaissances lexicales. Explique ce qui s’améliore concernant…

A) la forme
B) le sens
C) le combinatoire
D) le degré d’abstraction

A

A) le prononciation et l’orthographe

B) meilleure compréhension de la polysémie, synonymie et du sens figuré

C) connaissances accrues de quel mot peut être associé à quel autre mot

D) le degré d’abstraction est de plus en plus grand, ce qui permet à l’enfant de manipuler la polysémie et de comprendre les expressions idiomatiques

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7
Q

La pragmatique est l’utilisation sociale du langage. Nomme des habiletés pragmatiques qu’on observe chez les enfants de 6-12 ans

A

• à 6-7 ans, assez bonne maîtrise des tours de parole

• maintien du sujet de conversation pendant de plus longs échanges

• indications et manifestations plus précises et adaptées des incompréhensions

• adaptation de plus en plus juste à une diversité d’interlocuteurs et de contextes de communication

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8
Q

DISCOURS 6-12 ANS
A) nomme différents types de discours qu’utilise un enfant de 6-12 ans

B) quelle est la difficulté qui vient avec l’apprentissage d’un type de discours

C) vrai ou faux
Il y a diversification et complexification des types de discours entre 6-12 ans

A

A) narratif, descriptif, explicatif, argumentatif
B) c’est que chaque discours possède sa grammaire/structure spécifique et l’enfant doit être habile avec chacune de ces grammaires
C) vrai

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9
Q

Trace l’évolution du discours narratif de 6 à 11 ans

A

6 ans: surtout épisodes abrégés (petites histoires où il manque des éléments)

7-8 ans: épisodes complets (buts, motivations internes, réactions)

11 ans: épisodes complexes, multiples, enchâssés, interactifs

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10
Q

DISCOURS
60 élèves de la maternelle à 5ème année

Augmentation d’année en année pour:
• la [1] des histoires
• le nombre d’épisodes [2]
• le nombre de [3]

2ème année: apparition de [4] entre épisodes (augmentation pendant les années subséquentes)

• amélioration de la [5] (marqueurs de relations plutôt que phrases sans liens entre elles)

A
  1. Longueur
  2. Complets
  3. Propositions
  4. Liens de causalité
  5. Cohésion
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11
Q

Nomme des habiletés de langage de haut niveau acquises entre 6 et 12 ans

A

• grammaire du discours
• inférences
• gestion de l’incompréhension
• interprétation du langage complexe (ironie, blagues, polysémie, sens figuré)

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12
Q

A) qu’est-ce qu’une inférence
B) quels sont les prérequis permettant de faire des inférences
C) quelle est la différence entre une inférence logique et une inférence pragmatique

A

A) habileté à générer une représentation mentale cohérente et complète d’un message en allant au-delà des mots (lire entre les lignes)

B) • connaissances sémantiques
• connaissances lexicales
• expériences personnelles

C) une inférence logique implique une seule réponse possible; une inférence pragmatique peut en impliquer plusieurs

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13
Q

Entre 6 et 8 ans et 8 à 10 ans, on remarque une progression dans le pourcentage de réponses correctes dans une tâche de compréhension d’inférences. Cette performance et son amélioration est prédit par quoi

A

Le vocabulaire (son étendue et sa profondeur)

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14
Q

Que sont les habiletés métalinguistiques? (Définition)

A

Conscience des différentes composantes du langage et manipulation volontaire des unités qu’elles comportent

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15
Q

2 caractéristiques du langage sont qu’il est arbitraire et systématisé. Élabore

A

Arbitraire car le langage est un code permettant de représenter objets et idées. Les symboles de ce code sont toutefois arbitraire (pas de raison logique pour laquelle on appelle un chat un chat)

Le langage est systématisé car il est tout de même régit par des règles

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16
Q

Définis la conscience phonologique

A

Habileté à réfléchir au sujet de la composition phonologique et syllabique des mots de même qu’à les manipuler

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17
Q

La conscience phonologique est l’Habileté à réfléchir au sujet de la composition phonologique et syllabique des mots de même qu’à les manipuler

Cette conscience se divise en trois composantes. Quelles sont-elles?

A

Conscience syllabique, conscience de la rime et conscience phonémique

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18
Q

Le développement de la conscience phonologique varie en fonction de plusieurs aspects. Nomme en 3

A

3 parmi les suivants:
• type/taille des unités
• nombre d’unités
• fréquence du mot
• structure des unités
• position dans le mot
• tâche
• langue

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19
Q

Vrai ou faux
la conscience phonémique est la première habileté métalinguistique concernant la conscience phonologique que l’on voit apparaître

A

Faux c’est la dernière (apparaît vrm avec la scolarisation)

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20
Q

Qu’est-ce que la conscience morphologique (définition)?

A

Capacité de l’enfant à réfléchir et à manipuler consciemment les plus petites unités de sens, les morphèmes

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21
Q

A) que permet la conscience morphologique flexionnelle

B) que permet la conscience derivationnelle?

A

A) comprendre et appliquer les nuances grammaticales
Ex: nous [plouter] le ballon ➡️ nous ploutons le ballon

B) comprendre les mots non familiers selon constituants morphologiques
Ex: une personne qui ploute est un plouteur

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22
Q

La conscience morphologique est un puissant moteur du développement du vocabulaire. Pq?

A

Pcq si je comprends comment les mots sont construits, je peux m’appuyer sur cette compréhension pour comprendre de nouveaux mots

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23
Q

Définis la conscience syntaxique

A

Connaissance des caractéristiques des phrases et capacité à réfléchir et à manipuler volontairement ses différents constituants

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24
Q

La conscience syntaxique peut se diviser en 2 catégories. Quelles sont-elles? Explique ce que permet chacune d’entre elles

A
  1. Conscience syntaxique IMPLICITE
    Permet de comprendre le sens de phrases ayant différentes structures (ex: phrase active vs passive)
  2. Conscience syntaxique EXPLICITE
    Permet de Juger la grammaticalité de façon délibérée et contrôlée
    Ex: le garçon voulons attraper la balle de son amie
25
Q

Définis la conscience sémantique

A

Habileté à reconnaître le langage en tant que code conventionnel et arbitraire et l’habileté à manipuler les mots et les unités de sens sans que leurs référents n’en soient automatiquement affectés

26
Q

Les capacités suivantes relèvent de quelle habileté métalinguistique?

«Jugement selon les caractéristiques sémantiques»
«Évocation de mots par catégorie ou caractéristique»
«Création de devinettes»
« différences et similitudes sémantiques”

A

Conscience sémantique

27
Q

Qu’est-ce que la conscience lexicale?

A

Habileté à isoler un mot et à l’identifier en tant qu’élément faisant partie du lexique, ainsi que celle à chercher intentionnellement à accéder au lexique

28
Q

De quel habileté métalinguistique relèvent ces capacités:
« décision Lexicale»
«Compréhension d’ambiguïtés selon le contexte»
«segmentation de phrases en mots»
«Utilisation du sens figuré»

A

Conscience lexicale

29
Q

Définis la conscience pragmatique

A

Conscience qu’a l’individu des règles sociales du langage

30
Q

Qu’est-ce que la conscience discursive

A

Réflexion et gestion de l’utilisation des procédés linguistiques associés à la cohérence, à la cohésion et au respect des grammaires du texte

31
Q

De quelle habileté métalinguistique relèvent les capacités suivantes:
«Reconnaître et catégoriser des types de discours»
«Organiser consciemment un discours»
«Résumer un discours en respectant la macro structure»
«Choisir des mécanismes maintenant la cohérence et la cohésion»

A

Conscience discursive

32
Q

Associe les bonnes lettres aux bons chifffres

A) permet de construire de bonnes compétences en orthographes

B) permet de respecter les règles grammaticales

C) permet de respecter les structures de phrases

D) permet de choisir les bons mots pour exprimer nos idées

E) permet de transmettre un point de vue et une intention

  1. Sémantique
  2. Phonologie
  3. Morphologie
  4. Pragmatique
  5. Syntaxe
A

A et 2
B et 3
C et 5
D et 1
E et 4

33
Q

LIEN ENTRE L’ORAL ET L’ÉCRIT

L’apprentissage du langage oral se fait selon un processus [1] alors qu’en écrit, l’apprentissage est [2]

Le langage oral, en terme de temporalité, est [3] et contraint alors qu’en écrit, le langage est permanent et [4]

Contexte: le langage oral est un discours contextualisé dans une situation. L’écriture est plus de l’ordre d’un [5]

Dans le langage oral, la non-linguistique est davantage présente (ex: mimiques, regards, postures, prosodie), dans le langage écrit, elle est moins présente

Dans le langage oral, notre prononciation peut différer, dans l’écriture, il doit y avoir respect de la [6]

Le vocabulaire oral est moins diversifié et on retrouve des registres différents, en écriture, le vocabulaire est plus diversifié, riche et précis

En ce qui a trait à la morphologie, dans le langage oral, les [7] ne sont pas tjs identifiables. Dans l’écriture, les marques sont importantes à respecter (ex: «s» pour le pluriel)

En syntaxe, pour le langage oral, l’ordre des mots et le respect des règles est plus [8]. On rencontre des phrases plus linéaires. En écrit, on a une structure à respecter; des phrases plus complexes et plus denses.

En termes de pragmatique, le langage oral permet une [9] des bris de communication, ce qui est quasi impossible en écriture

A
  1. Naturel
  2. Explicite
  3. Transitoire
  4. Non-contraint
  5. Monologue
  6. Phonologie
  7. Indices
  8. Souple
  9. Réparation
34
Q

Afin de devenir un lecteur compétent
A) nommé une habileté périphérique à avoir
B) nommé une habileté de base nécessaire
C) nommé une habileté de haut niveau

A

A) Tx visuel
B) identification de mots (pour lire avec précision et rapidité les mots)
C) compréhension en lecture (permet de construire le sens à ce qu’on lit)

35
Q

Nous avons les deux petites phrases suivantes:
« Joane est coincée dans un bouchon monstre.Elle s’inquiète de ce que son patron dira.»

A) Pour comprendre ces deux courtes phrases, quelles sont les deux premières étapes

B) quels sont deux autres habiletés/éléments importants pour la compréhension

A

A)
1. Identifier les mots
2. Activer leur sens selon le contexte (ex: bouchon ici ne réfère pas à bouteille.) faire des liens entre les phrases

B) activer mes connaissances antérieures et faire des inférences

36
Q

A) quel est le défi de l’apprentissage de la lecture

B) pour apprendre à lire, l’enfant doit comprendre le principe alphabétique. Il s’agit du système régissant la représentation des phonèmes par des lettres. Comme l’enfant acquiert /parvient à maîtriser le principe alphabétique?

A

A) craquer le code alphabétique (de la langue française)

B)
• par la connaissance des correspondances graphemes-phonemes (CGP)
• par la mise en relation des connaissances des lettres avec la structure sonore du langage
• en comprenant les relations arbitraires des CGP

37
Q

Vrai ou faux
L’apprentissage de la lecture passe entre outres par l’influence mutuelle entre deux habiletés soit l’identification de mots et la conscience phonologique

38
Q

Une intervention de 20 semaines auprès de 152 enfants de 5 ans se basait sur l’enseignement des CGP et de la CP (conscience phonologique)

Quelles sont les résultats de l’intervention?

A

• Amélioration des deux habiletés (CGP et CP) à la fin des 20 semaines

• amélioration des habiletés D’identification et d’orthographe de mots 5 mois après la fin de l’intervention (grâce à CGP et CP)

  • donc CGP et CP importants pour l’apprentissage de la lecture
39
Q

APPRENTISSAGE DE LA LECTURE
A) explique le concept de transparence (définition)

B) vrai ou faux,
Le français est une langue très transparente

C) vrai ou faux
Une langue très transparente est plus vite à apprendre (en termes de lecture)

A

A) c’est le nombre d’associations possibles pour une même unité (unité= lettre ou gr. de lettres)

B) faux. Elle l’est peu (car bcp d’associations possibles)

C) vrai, car il y a moins de correspondances graphèmes phonèmes à apprendre

40
Q

Le progrès en lecture se traduit par une transition du décodage vers un passage direct de l’écrit au sens.

A) qu’entend-on par décodage (qu’est-ce qui le caractérise)?

B) la lecture fluide des mots familiers et l’automatisation de la lecture est permise par quoi?

C) quel est le fonctionnement du processus d’auto-apprentissage (qui permet une lecture plus fluide)

A

A) c’est un tx séquentiel un graphème à la fois

B) l’expérience (processus d’auto-apprentissage)

C) le décodage est renforcé par la reconnaissance du mot et l’association à un mot à l’oral. Une représentation orthographique voit alors le jour

41
Q

Quelle méthode d’enseignement de la lecture est préconisée et pq? Décris cette méthode

A

l’approche phonétique car avec un relativement petits nombres de connaissances (les CGP) la personne peut décoder la majorité des mots de sa langue. Sans cette approche l’enfant devrait mémoriser des dizaines de milliers de mot (c’est lourd!). L’approche phonétique est donc l’enseignement des CGP

42
Q

L’approche phonétique est celle préconisée pour enseigner la lecture, mais il arrive que cette approche ne puisse être utilisée. Dans quel contexte cela arrive? Quelle méthode est alors utilisée? Décris la.

A

L’approche phonétique ne peut être utilisée lorsque la CGP ne permet pas de bien lire le mot (ex: le terme «monsieur»). On a alors recours à l’approche globale. C’est un enseignement qui met l’accent sur la reconnaissance visuelle des mots

43
Q

Pour apprendre l’écriture…
A) nomme une habileté périphérique nécessaire
B) nomme une habileté de base
C) nomme une habileté de haut niveau

A

A) la calligraphie
B) orthographe (comment les mots s’écrivent)
C) production de texte

44
Q

On dit que le français est moins transparent en écriture qu’en lecture. Pq?

A

En écriture, pour un seul phonème, il y a plusieurs graphèmes possibles

45
Q

L’apprentissage est un processus parallèle à l’apprentissage de la lecture. En lecture on apprend les CGP et en écriture on apprend les [1]

46
Q

Vrai ou faux
L’automatisation de l’orthographe est plus tardive en écriture

47
Q

Pq l’automatisation du geste d’écriture (calligraphie) est importante

A

Un coup maîtrisée, ça libère des ressources cognitives pouvant être utilisées ailleurs (ex: orthographe)

48
Q

L’orthographe est l’activité d’écriture de la séquence des lettres des mots.

Quels sont les deux aspects/catégories de l’orthographe? Décris les

A

Orthographe lexicale (écriture des mots du lexique)

Orthographe grammaticale (application des règles de grammaire. Ex: marque du pluriel)

49
Q

L’acquisition de l’orthographe s’appuie sur quelles habiletés

A

Habiletés(méta)morphologiques et (méta)sémantiques

50
Q

Quels sont les habiletés de haut niveau en lecture et en écriture

A

Compréhension en lecture et production écrite

51
Q

Vrai ou faux
Au 2eme cycle du primaire, le niveau de complexité de la communication excède le niveau de complexité du texte

A

Faux c’est l’inverse, le niveau de complexité du texte excède celui de la communication. La lecture devient alors la voie d’apprentissage

52
Q

La compréhension en lecture est le «processus simultané d’extraction et de construction de sens chez le lecteur par le biais d’une interaction constante entre ses connaissances et les informations continues dans le texte»

A) qu’est-ce qui permet d’extraire du sens dans un texte

B) qu’est-ce qui permet de construire du sens dans un texte

A

A) habiletés langagières et identification de mots

B) les inférences et métacognition

53
Q

L’identification de mots et la compréhension orale sont deux habiletés permettent de développer la compréhension de mots. Laquelle de ces deux habiletés devient plus prépondérante avec le temps

A

La compréhension orale (logique car lecture s’automatise)

54
Q

A) de quelle habileté relève ces composantes
• «sight word reading»
• décodage
• «fluent reading of connected text»

B) de quelle habileté relève ces composantes
• inférences
• gestion de l’incompréhension
• connaissance de la structure du texte

A

A) identification de mots
B) compréhension orale

55
Q

La production de texte implique une démarche complexe mettant en jeu de nombreux processus (cognitifs, metacognitifs, linguistiques et moteurs)

Quelles sont les grandes étapes de cette démarche. Décris les sommairement

A
  1. Planification (Quelles idées veut-on communiquer? Comment les organiser et les conceptualiser?)
  2. Transcription (encoder idées en unités linguistiques, grâce aux mots, phrases et discours)
  3. Révision (le texte traduit il bien notre intention et respecte t’il les conventions linguistiques)
56
Q

La sphère langagière interagit avec la sphère sociale.
Quelles sous-sphères de la sphère sociale sont impliquées dans le développement du langage

A
  1. Environnement familial (SSE,
    Niveau d’éducation, valorisation de l’éducation, compétences parentales, engagement auprès de l’enfant, qualité de la stimulation offerte à l’enfant, contexte linguistique et culturel ont tous un rôle à jouer)
  2. Environnement littéraire (exposition au langage écrit)
  3. Environnement scolaire (méthodes d’enseignement, accès à des professionnels, curriculum scolaire, relations, qualité et implication de l’enseignant)
  4. Environnement physique (matériel écrit présenté à l’enfant et niveau de bruits lors de la lecture)
57
Q

La sphère langagière interagit avec la sphère affective.
Quelles sous-sphères de la sphère affective sont impliquées dans le développement du langage

A
  1. Personnalité et disposition émotive (ex: si l’enfant est fatigué, y va peut être pas vouloir lire)
  2. Intérêt et motivation
  3. Sentiment d’efficacité personnelle («je crois que je peux lire et écrire»)
58
Q

La sphère langagière interagit avec la sphère cognitive.
Quelles sous-sphères de la sphère cognitive sont impliquées dans le développement du langage

A
  1. MCT (permet d’emmagasiner info lue ou info qu’il veut écrire)
  2. Métacognition (permet de détecter et gérer incompréhension. Permet de planifier, gérer et évaluer les stratégies employées pour comprendre et écrire un texte)
  3. Fonctions exécutives et mémoire de travail (permet de gérer et réguler ses comportements. permet par exemple d’inhiber le sens d’un mot dans un texte)
  4. Attention