CM3 - Vaccins Flashcards
Mémoire immunitaire
Réponse primaire et seconde exposition
Réponse primaire prend 3-4 semaines avec réponse donc moins forte et plus lente qu’à une seconde exposition
Cellules préalablement activées et après expansion clonale capables de se mobiliser plus rapidement et en plus grand nombre = réponse plus rapide
Réponse secondaire: plus rapide et vigoureuse, Ac générés changent dans le temps:
- IgM: réponse primaire
- IgG, IgA, IgE: réponse secondaire
Stimulation répétée = meilleure affinité
Différences entre réponse à infection naturelle vs vaccination
infection naturelle: meille réponse (+ d’anticorps) mais également plus grande virémie et sévérité des symptômes
Réponse meilleure lorsqu’on est exposé à un antigène de façon naturelle mais vient avec le risque d’avoir bcp de symptômes et de complications – donc cherche toujours l’équilibre entre les risques et bénéfices
Facteurs de l’hôte – réponse immunitaire
- Âge:
Système immunitaire immature dans les 2 premières années de vie – mauvaise réponse humorale aux polysaccharides si pas supportée par cellules T (réponse immunitaire T-dépendante)
Transfert passif Ac maternels – interférence possible
Immunosénescence
- Facteurs génétiques: certains répondent mieux que d’autres
- Déficit immunitaire/ malnutrition
- Sexe
Jamais de vaccin polysaccharide avant deux ans, doit être couplé à des protéines pour être reconnu par les lympho T et permettre la production d’anticorps de la part des plasmocytes
À la fin de la grossesse – donne bcp d’anticorps au bébé. Si on donne après un vaccin vivant dans la première année de vie, va avoir de l’interférence donc doit attendre plus qu’un an avant de donner ce type de vaccin
Moins bonne réponse vaccinale si immunodéficience
Facteurs génétiques qui influencent bien si un réagit + ou – et ça change d’un virus à l’autre
Femmes ont tendance à avoir une réponse inflammatoire bcp plus important – meilleure réponse immunitaire mais plus de symptômes (ex: migraines après vaccin) – femme à l’air de mieux contrôler la réponse antivirale
Types d’immunité acquise
- Active
- infection
- vaccination - Passive
- transfert Ac maternels
- Ig
Déf. vaccin
Vaccin: produit biologique composé de bactérie/virus (entier ou partie) ou leurs produits (ex. toxine) qui ne cause pas la maladie, mais protège contre cette maladie.
Nomme deux exemple de vaccins qui viesenet plutôt les toxines
Diphtérie et tétanos
Quelle est la différence majeure entre la vaccination d’avant et de maintenant?
On essaye maintenant de restreindre ce qu’on injecte (ex: juste comme partie de la bactérie pour plus limiter la réponse du SI pour ce qui est vrm important – pour ne pas submerger le SI)
Ex: nombre d’antigènes dans le vaccin de la coqueluche est passé de 3000 à 5
Quels sont les différents types de vaccins? (7)
Vivant atténué
Cellule entière inactivé
Protéine purifiée
Polysaccharide
Polysaccharide conjugué à protéine de conjugaison
Recombinant
ARNm
Donne des exemples de vaccins vivants atténués (a connaitre!)
Bactérien:
BCG; typhoide PO
Viral:
RRO; Varicelle; Zona (Zostavax); Rotavirus; Fièvre jaune, Influenza (LAIV/Flumist); Polio oral
*Influenza – mais seulement celui qu’on injecte dans le nez
Le vaccin bilié de Calmette et Guérin, le plus souvent dénommé vaccin BCG, est un vaccin contre la tuberculose.
Arrêté de donner polio car reste dans les selles et commençait à avoir des cas chez les immunocomprimés
Donne des exemples de vaccins de type Cellule entière inactivé
(pas a connaitre)
BActérien:
ETEC + choléra
Viral:
Hépatite A; Polio inactivé; rage
Donne des exemples de vaccins de type Protéine purifiée (pas a connaitre)
Bactérien:
DCT; menB
Viral:
HBV; influenza; HPV;
Donne des exemples de vaccins de type Polysaccharide (a connaitre!)
Bactérien:
Pneumocque (23-valent); Typhoide injectable
Pas de polysaccharides avant 2 ans!!
Donne des exemples de vaccins de type Polysaccharide conjugué à protéine de conjugaison (pas a connaitre)
Bacterien:
Hib; Meningocoque C ou quadrivalent; pneumocoque (7-, 10-, 13-valent)
Donne des exemples de vaccins de type Recombinant (pas a connaitre)
Bacterien:
Zona (Shingrix)
Donne des exemples de vaccins de type ARNm (pas a connaitre)
Viral:
SARS-CoV-2
Quels sont les autres ingrédients des vaccins?
Agents de conservation
Adjuvants
Autres ingrédients dont de la gélatine
Et le thimérosal
Agents de conservation
Agents de conservation (ex.Thimérosal) peuvent être ajoutés aux vaccins pour prévenir les infections secondaires sévères, résultat d’une contamination fongique ou bactérienne.
** Retiré des vaccins pédiatriques au Canada depuis 1996
(1er point : retiré pcq avait plusieurs doses dans bouteille donc avait des cas de contamination quand remettait l’aiguille dans la bouteille
Maintenant retiré pcq avait plus besoin de thimérosal car tous les vaccins sont rendus à 1 dose (sauf grippe?)
Formaldéhyde (Agents de conservation)
Utilisé dans le processus de production pour tuer ou inactiver virus et bactéries
Quantité résiduelle après purification ne dépasse pas 0,1 mg. La circulation sanguine de l’enfant contient naturellement environ 1,1 mg.
Adjuvants parfois ajoutés aux vaccins pour:
Améliorer la réponse immunitaire
Réduire quantité Ag requis (ex: vaccin pandémique)
Réduire le nombre de doses nécessaires
(Ex: H1N1 avait été adjuvanté pcq permettait de mettre moins d’Ag ce qui permettait de faire plus de vaccins pour combattre la pandémie)
Aluminium
Type d’adjuvant
Retrouvé naturellement dans l’environnement
Lait humain en contient environ 40 mcg/L vs 225 mcg/L dans le lait de formule. Vaccins: autour de 225 mcg
(Aluminium laissé car considérant les qtités qu’on ingère naturellement, voit que change pas grand chose donc encore une question de risque/bénéfice)
Autres ingrédients: Gélatine
Stabilisant – prévient dégradation lors du processus congélation/lyophilisation ou chaleur
Dérivé bovin – pas d’association maladie Creutzfeld- Jacob
V ou F
Les vaccins contiennent des cellules humaines
FAUX!
Vaccins ne contiennent PAS de cellules humaines ni tissu humain
Par contre on utilise des cellules humaines pour faire pousser des virus, mais aucune cellule humaine dans les vaccins
Et le thimérosal
Le Thimérosal: Éthylmercure (par opposition au méthilmercure)
§ EST un composé organique du mercure que l’on retrouve dans certains vaccins
§ N’EST PAS un composé ajouté aux vaccins des nourrissons au Canada (depuis 1996)
§ EST utilisé dans les fioles multi-doses comme agent de conservation
(le méthilmercure entraine des complications neurologiques – mais n’est plus ajouté dans les vaccins pédiatriques depuis 1996)
Efficacité vs efficacité réelle
Efficacité: protection chez les vaccinés vs non-vaccinés dans une ECR (étude randomisée contrôlé)
Efficacité réelle (de terrain) : Protection dans la vraie vie
RR = (1/8) / (7/8) = 0,14 (risque de maladie chez les vaccinés vs non- vaccinés)
VE = 1-RR ou OR = 0,86
*Efficacité réelle (de terrain) = effectiveness, la population de terrain qui a été vaccinée est bcp moins contrôlée (population plus vieille, immunocomprimés, qui on pas pris toutes les doses ou encore qui ne les ont pas assez distancées, etc.)
Effectiveness < efficacy (normalement)
Objectifs programme vaccination
Dépendent de:
- Efficacité vaccin disponible
- Capacité à rejoindre la population cible
- Épidémiologie de la maladie
Objectifs programme vaccination (3) et donne un exemple pour chaque
- Éradication de la maladie – disparition complète de la maladie (ex variole, 1980)
- Élimination de la maladie – absence de transmission soutenue (endémicité)
- Contrôle de la maladie, en termes de morbidité et mortalité (coqueluche)
* Pour pouvoir éradiquer, il faut absolument que le virus ne puisse pas muter dans des réservoirs autres qu’humain! (Il faut que l’homme reste le seul réservoir) Donc on ne pourra jamais éradiquer le Covid, l’influenza et le choléra
Pas encore réussit d’éradiquer la polio
Coqueluche – vaccin maintenant toutes les femmes enceintes pcq la population la plus touchée était les 0-6 mois (bcp de complications et plusieurs mortalités) donc permettait à mère de transferrer des IgG
De l’invention à l’homologation
Une fois un candidat identifié… études pré-cliniques
Phase I:
Déterminer l’immunogénicité et l’innocuité de différentes doses sur un nombre limité d’individus adultes en santé (n=10-100)
De l’invention à l’homologation
Une fois un candidat identifié… études pré-cliniques
Phase II:
Confirmer l’immunogénicité et l’innocuité des vaccins et déterminer le calendrier et la dose optimale chez des volontaires sains (n=50-500)
De l’invention à l’homologation
Une fois un candidat identifié… études pré-cliniques
Phase III:
Déterminer si le vaccin est sécuritaire, immunogéne et efficace à prévenir la maladie dans la population d’intérêt (n = milliers… rotavirus = 70K)
*Phase III prennent tellement de temps pcq faut énormément de cas pour pouvoir ouvrir la randomisation
Donc pour la Covid, comme on est en pandémie, n’a vrm pas pris bcp de temps pour avoir tous les cas positifs donc c’est pour cela qu’on est arrivé à un vaccin plus rapidement (en fin de phase III)
Également processus plus souple pour Covid et homologation plus rapide par Santé Canada car données rentraient très rapidement
À pris tellement de temps pour avoir des données sur les enfants pcq attend de voir chez les adultes qui eux se portent volontaire et consentent à la phase I et attend d’avoir des résultats positifs chez des adultes en santé. Donc en pédiatrie, souvent orphelins car pas payant. Donc commence tout juste pour la Covid a avoir des études chez enfants et prend des nombres moindres enfants pour les études car a quand même observé comment tout cela se passe chez les adultes
De l’invention à l’homologation
Une fois un candidat identifié… études pré-cliniques
Phase IV:
Post-homologation– efficacité réelle (effectiveness), innocuité, différentes populations, etc.
Éléments de décision – santé publique
Est-ce que le fardeau de la maladie justifie l’implantation d’un programme?
Est-ce que les caractéristiques du vaccin permettent un programme efficace?
La stratégie d’immunisation permet-elle d’atteindre les objectifs?
Le programme est-il coût-efficace et comment se compare-t-il aux autres interventions en santé?
Le programme est-il perçu comme acceptable?
L’implantation du programme est-elle faisable, compte tenu des ressources?
Peut-on évaluer les divers aspects du programme?
Les questions de recherche importantes ont-elles été adressées?
Comités aviseurs
Mondial: SAGE (Strategic Advisory Group of Experts – Immunization) - aviseur à l’OMS
USA: ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices) – aviseur pour le CDC
Canada: NACI (National Advisory Committee on Immunization)/CCNI (Comité consultatif national de l’immunisation) – aviseur pour l’Agence de santé publique du Canada
Québec: CIQ (Comité sur l’immunisation du Québec) – Protocole sur l’immunisation du Québec – aviseur au MSSS
(Au Canada, comme la santé est une sphère provinciale donc un autre comité au Qc)
Exemple: rougeole
Pour éradiquer la rougeole (OMS)…:
R0= 15 (Occident)
En se fiant à l’immunité de groupe:
Proportion de gens protégés > 1 – (1/ R0) = 1 – 1/15 = 0.94
*Ro = personnes infectées à partir d’une personne infectée sans que rien ne soit fait, pour la Covid, pense que Ro était 3 (pour la souche originelle)
Dans les gens vaccinés, en a qui perdent la protection
Qu’est ce que l’immunité de groupe?
Immunité de groupe:
Transmission d’une maladie infectieuse est proportionnelle à la proportion de sujets réceptifs. La transmission diminue avec l’accroissement des gens protégés (vaccinés + maladie)
Base des programmes populationnels
Quelques maladies évitables par la vaccination
Rougeole : symptomes
fever red blotchy rash first appears on the forehead red, inflamed eyes runny nose hacking cough and sore throat Koplik's spots inside the mouth
Attention car ressembles à présentation coxsackievirus
Rougeole
incubation?
quand survient le rash?
§ Incubation: 7-14 jours
§ Rash survient 10-14 jours après l’exposition
Rougeole
contagiosité?
et symptomes?
§ Personne considérée contagieuse à partir de 4 jours avant jusqu’à 4 jours après l’apparition du rash
§ Fièvre, toux, coryza
§ Koplik spots surviennent d’abord
Rougeole: Transmission
§ Transmission aérienne
§ Taux d’attaque secondaire – maisonnée = au-delà de 90%
Rougeole: Transmission
§ Qui est considéré protégé ?
A reçu 2 doses d’un vaccin rougeole APRÈS l’âge de 12 mois
Preuve de maladie
Sérologie IgG positive
Différents vaccins covid et ce qu ils attenquent
ADN: Vecteur viral: AstraZeneca/J&J
Vaccins ARNm : Pfizer-BioNTech/ Moderna
VLP: Medicago
Protéine sous- unitaire: Novavax/Sanofi-GSK
Efficacité de terrain (effectiveness) des vaccins covid
Voir tableau ppt
Plus on est jeune, meilleure est notre immunité résiduelle
Reste bien protégé contre les hospitalisation mais moins contre les infections
Sécurité vaccinale
Injections multiples:
Aucune contrindication à administrer plus d’un vaccin à la fois
Réponse immunitaire similaire
Moins d’Ag administrés aujourd’hui qu’autrefois
Certaines manifestation cliniques peuvent faire suite à l’immunisation (AEFI = MCI):
- Légère:
- Sévère:
taux?
- Légère: fièvre ou oedème au site d’injection – commun et limité
- Sévère: encéphalite post RRO: rare
1/1 000 000 doses (comparativement au risque après rougeole de 1/1000)
Association souvent temporelle, habituellement pas causale.
Manifestations cliniques inhabituelles (MCI)/(AEFI)
Réaction locale:
fréquente, plus souvent après la 4e ou 5e dose
*Car réexpose le corps aux mêmes Ag encore une fois
Manifestations cliniques inhabituelles (MCI)/(AEFI)
Systémique:
fièvre, irritabilité, rash, myalgie
Convulsions fébriles rares. Vues après RROV à 12 mois
Manifestations cliniques inhabituelles (MCI)/(AEFI)
Syndrome de Guillain-Barré :
Syndrome de Guillain-Barré a été associé avec le vaccin influenza de 1976 (grippe porcine):
- Rapport de cas après vaccin quadrivalent méningo
- Rapport de cas après vaccin influenza
*Voit quand même plus de Guillain-Barré post-influenza que post vaccin
Si Guillain-Barré en dedans de 6 semaines du vaccin, ne recommande pas d’autres vaccins contre influenza mais pas de contre-indications pour les autres vaccins
Déclaration MCI
MCI doivent être rapportés à la direction de santé publique locale: http://www.msss.gouv.qc.ca/professionnels/vaccination/m ci/declarer-une-mci/
Comité de suivi (ESPRI) au QC qui rapporte ensuite au fédéral – le comité fédéral détermine ensuite la causalité
Vaccination influenza des travailleurs de la santé
Certaines études démontrent que l’immunisation des TdeS est associée à une diminution de l’absentéisme. Bénéfice direct sur la protection des patients, difficile à démontrer.
CDC et OMS recommandent que tous les TdeS soient vaccinés annuellement contre l’influenza
Malgré cela, couverture vaccinale reste faible (35- 40%)
Certaines juridictions ont rendu la vaccination obligatoire
Myocardite et covid?
Myocardites post-vaccination de la Covid
Surtout en Israël car n’ont pas respecté le délais entre les 2 doses
Surtout chez les moins de 30 ans
Relativement bégnine mais doit quand même communiquer le risque (reste plus bénéfique que risqué)
Pourquoi refuser la vaccination ?
Motifs parentaux
Inquiétudes face à la sécurité des vaccins et possibles effets secondaires
Manque d’information sur la maladie et/ou le vaccin et crainte que l’information disponible soit biaisée
Contraintes logistiques
Injections multiples
Croyances morales, religieuses ou éthiques.
La vaccination est victime de son succès.
Explique
Si n’a jamais vu de rougeole ou de varicelle, moins tenté de se faire vacciner – vu en France avec recrudescence de rougeole et mort d’enfants en santé!
Pourquoi refuser la vaccination ?
Social/Environnemental
Couverture médiatique/internet
- 8 thèmes récurrents
Influence des pairs
- Influence majeure du groupe social auquel nous appartenons
Pourquoi refuser la vaccination ?
Interaction avec système de santé et institutionnel
Interaction avec système de santé
- Multiples études soulignent l’importance de l’influence du professionnel de la santé
Institutionnel
- Recommandations des autorités officielles
Pourquoi refuser la vaccination ?
Environnement physique:
et
Parental/Personnel:
Environnement physique:
- Perception de la prévalence d’une maladie quelconque
Parental/Personnel:
- Attitudes, croyances et connaissances des maladies évitables par la vaccination
- Inquiétudes sociales concurrentes
- Peur des effets secondaires possibles
Mythes et vaccins
- lien entre vaccin et autisme:
mais prévalence des TSA en augmentation malgré diminution de CV à RRO.
mais prévalence de TSA élevée malgré retrait du thimérosal des vaccins pédiatriques en 1996.
“Epidémie” de TSA probablement due à des changements dans les critères dx et une meilleure identification des enfants avec TSA - 1998 : Wakefield et coll décrivaient 12 enfants avec une association entre TED et colite – qui se serait développé après le vaccin RRO (8/12) (RETRACTED)
Conséquence: chute de la couverture vaccinale du RRO avec éclosions de rougeole et oreillons
Programmes de compensation
Dédommagement possible après vaccin si a effets secondaires sérieux (Qc est la seule province permettant cela)
Québec: seule province avec un tel programme (causalité)
Aux USA: national vaccination injury fund
- Industries pharmaceutiques contribuent un montant proportionnel au nombre de doses produites
- Pas de causalité
Prise de décision
Contre la vaccination
pk?
Biais d’omission
Elimination du risque
Aversion de l’ambiguïté
« Freeloading »
Contre la vaccination
- Biais d’omission
explique
Perception que l’action (comettre) est plus nocive que l’inaction (omission)
Ex: parents se sentiraient plus coupables si leur enfant était victime d’effets secondaires de la vaccination plutôt que des séquelles de la maladie
Contre la vaccination
- Elimination du risque
explique
Le fait d’accepter une conduite seulement si le risque est de 0%
Contre la vaccination
- Aversion de l’ambiguïté
explique
Le risque d’une maladie connue est plus acceptable qu’un risque équivalent ou même moindre perçu comme ambigu ou théorique (ex. d’un nouveau vaccin).
Contre la vaccination
- « Freeloading »
explique
Se fier sur les hautes couvertures vaccinales et l’immunité de groupe pour protéger les enfants non vaccinés – accepter que d’autres “prennent le risque”.
Pour la vaccination
« Bandwagoning »
Altruisme
Pour la vaccination
« Bandwagoning »
explique
Tout le monde le fait, fais-le donc ! Sans se poser de questions.
Pour la vaccination
Altruisme
explique
Accepter un risque personnel si la société, dans son ensemble, en bénéficiera
Immunité de groupe
Rôle du professionnel de La santé p/r a la vaccination
- Communiquer risques/bénéfices
- Approche centrée sur le patient
- Communiquer connaissances actuelles
- Respecter les différences d’opinion
- Représenter risques/bénéfices des vaccins de manière transparente
- Profiter de chaque occasion pour parler de la vaccination avec des messages clairs, basés sur des données probantes
2. Communication - Parents avec connaissances limitées sur un sujet sont hautement influençables par les parents qui ont n’importe quelle information – peu importe leur véracité
- Il faut savoir à qui on s’adresse:
Ø Types de parents: ont la foi (médecine, immunisation), relax, prudents, indécis et objecteurs de conscience
- Rester flexible et compréhensif: injections séparées et réduire douleur lors des injections
- Penser à documenter les refus vaccinaux
Conclusions
Parents sont confrontés à de multiples sources d’information sur la vaccination et les vaccins et recherchent une information fiable.
Les professionnels de la santé doivent connaitre les complications possibles des vaccins, les discuter de manière transparente, mais aussi défaire les mythes existants.
Les motifs parentaux contre la vaccination sont complexes – le professionnel de la santé a un rôle à jouer
Utiliser chacune des occasions pour discuter de l’immunisation
Les parents se fient à VOTRE opinion et à vos recommandations pour faire vacciner leurs enfants.