CM3 - M. Ardisson Flashcards

1
Q

On produit de la voix grâce aux 3 étages suivants

A
  1. La soufflerie
  2. Le vibrateur laryngé
  3. Les résonateurs
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Q

1er étage : La soufflerie - Trajet de l’air (inspiration)

A

Nez et/ou bouche –> Larynx –> Trachée –> Bronches –> échange au niveau des alvéoles pulmonaires puis trajet inverse.

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3
Q

Lors du trajet inverse (expiration), l’air rencontre un obstacle

A

Le larynx qui permet la phonation

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4
Q

L’étage de la soufflerie a donc deux fonctions

A
  • L’hématose (apport en O2 et rejet de CO2)
  • Le souffle qu’il faut savoir ajuster aux besoins phonatoires (la pression et le débit de l’air conditionnent l’aspect de la voix)
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5
Q

1er étage : La soufflerie - Au niveau musculaire
AU REPOS (respiration calme, rythme régulier)
À l’inspiration

A

Le diaphragme, les muscles intercostaux externes et moyens et les scalènes sont actifs.

Le diaphragme s’abaisse et compresse les viscères pour aider les poumons à se remplir.

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6
Q

1er étage : La soufflerie - Au niveau musculaire
AU REPOS (respiration calme, rythme régulier)
À l’expiration

A

Le diaphragme, les muscles intercostaux externes et moyens et les scalènes reviennent au repos par un mécanisme réflexe.

Le diaphragme s’élève pour aider les poumons à se vider.

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7
Q

AU REPOS - Inspiration/Expiration - durée ?

A

Ces deux temps ont sensiblement la même durée mais la durée d’expiration serait très légèrement supérieure à celle de l’inspiration.

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8
Q

1er étage : La soufflerie - Au niveau musculaire

EN PHONATION

A

Les muscles intercostaux intimes (=internes) et le diaphragme s’activent pour pousser l’air vers le larynx.
Un élan phonatoire (= inspiration abdominale) est nécessaire pour faire vibrer les cordes vocales sans effort.
Un élan pré-phonatoire suffisant est un élément de bonne santé de l’acte vocal.

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9
Q

EN PHONATION - Inspiration/Expiration - durée ?

A

Expiration active sonorisée : souffle phonatoire → plus long que la phase d’inspiration

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10
Q

Quel muscles permet l’élan pré-phonatoire en voix projetée ?

A

Le diaphragme

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11
Q

Soufflerie au repos

A

Inspiration active + expiration passive réflexe

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12
Q

Soufflerie en phonation

A

Inspiration réflexe détendue, passive + expiration active plus longue que l’inspiration

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13
Q

Les différents types de souffle

A
  • Souffle abdominal : Voix projetée
  • Souffle thoracique supérieur : Voix expression simple
  • Souffle vertébral : Voix d’insistance, de détresse (peut provoquer un forçage vocal)
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14
Q

Souffle abdominal/Voix projetée

A

En voix projetée, les muscles Obliques et Transverse de l’abdomen sont en action et la paroi abdominale se rétracte avec un refoulement du diaphragme vers le haut. On observe alors un abaissement costal dit en
« anse de seau » qui entraîne une compression de la partie inférieure des poumons.

En voix projetée, il faut pouvoir trouver un équilibre : le diaphragme est antagoniste des abdominaux, il contient et contrôle l’action des abdominaux qui poussent vers le haut, nous permettant de doser l’effort vocal selon la nécessité. Le larynx doit être libéré de toute tension et n’a plus le rôle de sphincter : il ne fait que vibrer.

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15
Q

Souffle thoracique supérieur/Voix expression simple

A

Pendant le souffle thoracique, le muscle intercostal interne est en action et le mouvement des côtes s’apparente à celui d’une « poignée de pompe » : le thorax s’élève lors de l’inspiration, puis s’affaisse avec une bascule du sternum lors de la phonation : la partie supérieure des poumons est alors compressée.

Pendant la phonation, le larynx a un rôle de vibrateur et d’obturateur → c’est le sphincter laryngé, qu’on peut aussi appeler « robinet laryngé » puisqu’il dose en fonction de la nécessité.

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16
Q

Souffle vertébral/Voix d’insistance, de détresse

A

Lors du souffle vertébral, la musculature du tronc est mise en jeu (intercostaux internes et Grand Droit de l’abdomen) : le corps perd en verticalité, se crispe, on arrondit le dos et la face est projetée en avant pour mettre de l’intensité.

Le larynx devient alors obturateur et subit la contrainte du serrage antéro-postérieur induit par la projection de la tête en avant. Les cordes vocales sont alors soumises à une double contrainte.

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17
Q

Souffle vertébral - double contrainte des CV

A
  • Contrainte latéro-latérale pour la vibration cordale
  • Tension antéro-postérieure

Il y a une compétition entre ces deux mouvements et c’est au niveau du point de tension des CV
qu’apparaissent les pathologies vocales comme les nodules (et si aggravation : polype). Ainsi, ce mécanisme physiologique est efficace mais peut devenir nocif s’il est prolongé.

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18
Q

2ème étage : le vibrateur - Le larynx occupe deux fonctions principales

A
  • Vitale : protection des voies aériennes
  • Vibratoire : phonation

C’est un ensemble de cartilages reliés par des ligaments, des lames aponévrotiques et des muscles.

En plus d’être vibrateur, le larynx peut avoir un rôle de résonateur/articulateur car en fonction des voyelles il a une position plus ou moins haute dans le cou.

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19
Q

Le larynx est composé de 5 cartilages principaux et d’un os

A
  • 3 cartilages impairs et médians (cricoïde, thyroïde et épiglotte)
  • 2 cartilages pairs et latéraux (aryténoïdes)
  • L’os hyoïde

+ des cartilages accessoires : de Santorini, de Morgagni, les cartilages Sésamoïdes et les cartilages corniculés

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20
Q

Cartilage thyroïde (du grec thyros = bouclier car il protège le larynx)

A

Le cartilage thyroïde est formé de deux lames quadrilatères (ailes thyroïdiennes) unies en avant par leur bord antérieur en formant un angle dièdre ouvert en arrière de 90° environ. L’arête de cet angle forme la pomme d’Adam (chez la femme l’angle est un peu plus ouvert). Sur chaque face externe se trouve une crête oblique.
Ses bords postérieurs se prolongent vers le haut (grandes cornes) et vers le bas (petites cornes, incurvées vers l’intérieur pour permettre l’articulation avec le cartilage cricoïde).

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21
Q

Les muscles qui s’insèrent sur le cartilage thyroïde sont

A
  • Le muscle sterno-thyroïdien, orienté vers le bas

- Le muscle thyro-hyoïdien, orienté vers le haut.

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22
Q

Cartilage cricoïde (du grec krikos = anneau)

A

Situé sous le cartilage thyroïde, c’est le « Chapiteau du larynx ».
La partie antérieure (arc cricoïdien) est beaucoup plus fine que la partie postérieure (chaton cricoïdien).

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23
Q

Les muscles qui s’insèrent sur le cartilage cricoïde sont

A
  • Les muscles crico-aryténoïdiens postérieurs (sur les crêtes médianes du cartilage)
  • Les muscles crico-thyroïdiens (sur le tubercule cricoïde au niveau de l’arc cricoïdien)
  • Les muscles crico-aryténoïdiens latéraux (sur le bord supérieur de l’arc)
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24
Q

Cartilages aryténoïdiens (du grec arytaina = cruche)

A

Ils ont un rôle physiologique capital puisqu’ils permettent l’ouverture et la fermeture des plis vocaux.
Ils sont pairs, symétriques, et de forme pyramidale.

Chaque pyramide présente :

  • Une face interne
  • Une face postérieure → insertion du muscle inter-aryténoïdien
  • Une face antéro-externe → insertion du pli vocal
  • Une base reposant sur le chaton cricoïdien (articulation crico-aryténoïdienne)
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25
Q

Cartilage épiglottique

A

Il a un rôle de protection des voies aériennes → il se rabat sur l’orifice laryngé au cours du deuxième temps de la déglutition pour protéger le larynx.
C’est un cartilage mince et souple, en forme de pétale (ovalaire à grosse extrémité supérieure).
La pointe inférieure s’attache dans l’angle rentrant du cartilage thyroïde.

26
Q

2ème étage : le vibrateur - Articulations

A
  • Articulations crico-thyroïdiennes : permet la bascule du thyroïde sur le cricoïde.
  • Articulations cricoaryténoïdiennes : permet le rapprochement des aryténoïdes et des plis vocaux (en
    adduction ou en abduction).
27
Q

2ème étage : le vibrateur - Muscles

A
  • 2 muscles crico-thyroïdiens
  • 2 muscles crico-aryténoïdiens postérieurs
  • 2 muscles crico-aryténoïdiens latéraux
  • 2 muscles thyro-aryténoïdiens supérieurs
  • 2 muscles thyro-aryténoïdiens inférieurs
28
Q

Muscles tenseurs des plis vocaux

A

2 muscles crico-thyroïdiens

29
Q

Rôle des muscles crico-thyroïdiens

A

Ils permettent le basculement du cartilage thyroïde vers l’avant, ce qui tend les plis vocaux. Ils sont indispensables pour faire des sons aigus.

30
Q

Innervation - Muscles crico-thyroïdiens

A

Nerf laryngé supérieur

31
Q

En cas de lésion du nerf laryngé supérieur

A

La qualité vocale sera altérée (hemmage, fatigabilité, perte de voix de tête, sécheresse laryngée). Si la lésion est unilatérale, la bascule du thyroïde sur le cricoïde sera asymétrique et les PV ne seront pas étirés de la même façon → bitonalité.

32
Q

Muscles dilatateurs de la glotte (ouverture/abduction des plis vocaux)

A

2 muscles crico-aryténoïdiens postérieurs

Ils s’insèrent sur la dépression de la face postérieure du chaton cricoïdien et vont du cartilage cricoïde jusqu’aux cartilages aryténoïdes.

33
Q

Muscles constricteurs de la glotte

A
  • 2 muscles crico-aryténoïdiens latéraux
  • 2 muscles thyro-aryténoïdiens supérieurs
  • 2 muscles thyro-aryténoïdiens inférieurs
34
Q

Rôle des muscles crico-aryténoïdiens latéraux

A

Insérés sur les faces externes du cartilage cricoïde, ils

permettent l’adduction des plis vocaux.

35
Q

Rôle des muscles thyro-aryténoïdiens supérieurs

A

Rigidifie les muscles vocaux, notamment les bandes ventriculaires (les « faux plis vocaux » qui sont utilisés lors d’un forçage vocal).

36
Q

Rôle des muscles thyro-aryténoïdiens inférieurs

A

Leur couche interne forme les plis vocaux.

37
Q

3ème étage : les résonateurs - Le pharynx

A

Cavité de l’arrière-gorge qui fait suite à la bouche, en arrière de la langue. Avec le larynx, il forme le carrefour aéro-digestif.

Le pharynx est une cavité musculaire capable de rétrécir latéralement et d’avant en arrière grâce aux muscles constricteurs du pharynx.

38
Q

Le pharynx est composé de 3 étages

A

Hypo-pharynx
Oro-pharynx
Rhino-pharynx

39
Q

3 types de voix

A
  • La voix d’expression simple
  • La voix projetée
  • La voix de détresse ou d’insistance
40
Q

La voix d’expression simple

A

L’interlocuteur n’est pas au premier plan des préoccupations du locuteur (raconter ce qui vient d’arriver, évoquer un souvenir, faire part de ses impressions, parler tout seul, exprimer son mécontentement). L’attitude physique est variable.

41
Q

Quel souffle utilise la voix d’expression simple ?

A

Le souffle thoracique supérieur

42
Q

La voix projetée

A

L’interlocuteur/L’auditoire est au premier plan, notre comportement vocal a pour but l’action sur autrui (donner un ordre, appeler quelqu’un, affirmer, informer, interroger, se produire vocalement en public).

43
Q

La voix projetée - 4 paramètres importants

A
  • Intention d’agir avec certitude d’être efficace
  • Orientation du regard
  • Redressement du corps
  • Mise en œuvre du souffle abdominal
44
Q

Il existe plusieurs regards lorsqu’on s’adresse à quelqu’un

A
  • Regard oculaire : orientation des yeux
  • Regard facial : orientation du visage
  • Regard thoracique : orientation du thorax qui peuvent notamment donner des indices sur la personnalité du sujet
45
Q

Voix de détresse ou d’insistance

A

Action vocale à caractère d’urgence ou de rattrapage.

Cette voix nécessite la mise en œuvre de la partie haute de la colonne vertébrale thoracique. Il n’y a pas de contrôle diaphragmatique et le contrôle du débit est exclusivement laryngé : c’est efficace mais coûteux. Ainsi, si l’usage est prolongé → pathologie dysfonctionnelle.

46
Q

Forçage vocal

A

Cette souffrance de l’organe vocal est bien tolérée si elle est ponctuelle (la voix de détresse a son utilité et sa raison d’être), mais elle devient pathologique si le forçage est renouvelé de façon trop fréquente (encore pire si c’est habituel).

Ainsi, le mécanisme de projection vocale est progressivement remplacé par celui de la voix d’insistance ou de détresse : c’est le cercle vicieux du forçage vocal.

47
Q

En temps normal, après un forçage, la muqueuse des plis vocaux se répare seule en combien de temps ?

A

48h environ
À condition qu’on n’entretienne pas le forçage : il faut modérer sa voix avec une intensité limitée jusqu’à amélioration.

48
Q

Moins la voix va…

A

Plus le sujet force sur sa voix

49
Q

Et plus le sujet force sur sa voix…

A

Moins la voix va

50
Q

6 caractéristiques du forçage vocal

A
  • Altération de l’attitude générale = perte de verticalité + crispations
  • Attaque en coup de glotte
  • Apparition de sensations subjectives particulières : manque d’efficacité, fatigue à la phonation, paresthésies pharyngo-laryngées, oppression respiratoire, non-conscience de l’effort fourni
  • Altération laryngée (irritation de la muqueuse voire laryngopathies) et périlaryngée : nodules, par ex.
  • Diminution de la maniabilité phonatoire
  • Altération vocale
51
Q

Forçage vocal - facteurs déclanchants

A
  • Certaines affections de la sphère ORL : laryngite aigüe, traumatismes (chez le boxeur ou le judoka lors d’étranglements par ex.), intubation, réaction œdémateuse à la climatisation.
  • Facteurs psychologiques : évènements familiaux, professionnels ou sentimentaux → l’émotion qui
    « prend à la gorge » et entretient une tension psychomotrice.
  • Affaiblissement général : surmenage, maladie.
  • Intoxication alcoolique et tabagique : le tabac et l’alcool sont le poison électif de la muqueuse des plis
    vocaux.
  • Affections chroniques de la sphère ORL : amygdalite, sinusite, pharyngite chronique, antécédents pulmonaires.
  • Allergies : source d’inconfort et de crispation à la douleur.
  • Toux : en particulier quand il y a une trachéite ou une irritation de la muqueuse.
  • Période pré-menstruelle : pendant cette période, la couche superficielle de la muqueuse des plis vocaux (épithélium) est légèrement modifiée.
  • Grossesse et intervention abdominale
52
Q

Si la toux est fréquente on parle de

A

Hemmage

53
Q

Forçage vocal - facteurs favorisants

A
  • Obligation socio-professionnelle de parler ou de chanter : enseignants, comédiens, chanteurs, religieux, représentants, ouvriers, mères de famille.
  • Caractéristiques psychologiques : émotivité et primarité, anxiété, perfectionnisme.
  • Situations psychologiques difficiles : évènements familiaux, professionnels durables.
  • Déficience du contrôle audio-phonatoire : hypoacousie ou « défaut d’oreille ».
  • Technique vocale défectueuse : ne concerne que les comédiens et chanteurs.
  • Exposition au bruit : élévation réflexe de l’intensité de la voix donc effort vocal.
  • Exposition à la poussière, vapeurs irritantes, air conditionné.
  • Présence d’un dysphonique (mimétisme) ou hypoacousique (intensification des efforts vocaux) dans
    l’entourage.
54
Q

Contenu de l’anamnèse

A
  • Qualité de la voix/du timbre en situation
  • Signes subjectifs concernant la phonation et l’organe vocal : sensation de corps étranger dans la gorge,
    douleurs, picotements, irritations, tiraillements, oppression respiratoire, fatigabilité, impossibilité de
    projection de la voix/de chanter/ d’aller dans les aigus.
  • Variations de ces signes subjectifs
  • Facteurs déclenchants
  • Facteurs favorisants
  • Qualité du sommeil
  • Traitements hormonaux ou anabolisants de synthèse
  • Troubles gynécologiques, rhumatismes, troubles de la nutrition
55
Q

Examen du comportement vocal - En voix conversationnelle spontanée

A
  • Intensité : forte, faible, irrégulière, éteinte, altération des finales
  • Hauteur : aiguë, aggravée, instable
  • Timbre : rauque, éraillé, grésillant, nasillard, passages brutaux d’un registre à l’autre
  • Variabilité du trouble vocal
56
Q

Examen du comportement vocal - Epreuves plus formelles

A
  • Epreuves de lecture : en lecture simple puis en lecture projetée
  • Comptage projeté
  • Voix d’appel (« hou-hou »)
  • Voix chantée
  • Temps maximum de phonation (au moins 15 secondes sur une même note)
  • Examen de la maîtrise du souffle phonatoire
57
Q

Soupir du samouraï

A

Souffle thoracique supérieur. On place une main sur le thorax et une main sur le ventre, le pouce au niveau du nombril → 1 respiration thoracique, et 1 expiration longue. La bouche doit rester ouverte.

58
Q

Souffle abdominal simple (respiration de repos)

A

Le ventre se gonfle à l’inspiration, et « rentre » à l’expiration.

59
Q

Souffle du Hérisson

A

o Souffle du samouraï
o Inspiration abdominale brève, volontaire
o Expiration abdominale prolongée, passive

60
Q

Souffle du Seau Magique

A

o Souffle du samouraï
o Inspiration abdominale prolongée, passive
o Expiration abdominale brève, volontaire

61
Q

Souffle « à bras » : en position debout

A

o Samouraï
o Élévation des bras à l’inspiration
o Abaissement des bras à l’expiration

62
Q

Rééducation - on peut proposer

A
  • Des exercices de glottages : /!\ ce ne sont pas des coups de glottes mais de très légers serrages des plis vocaux, peu sonores. Il ne faut pas trop le faire pour éviter les coups de glotte.
  • Des vocalises
  • Des techniques dites « à la paille »
  • Chant